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Documents disponibles dans cette catégorie (440)


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Dossier : Légumes pour l'industrie : Diversifier en maîtrisant les risques
Marion COISNE, AuteurCe dossier fait le point sur les légumes industrie biologiques (destinés à la surgélation ou à la mise en conserve) : état du marché, principales régions productrices, principaux légumes cultivés, problématiques techniques, témoignages de producteurs Le désherbage est la problématique principale, avec des risques liés à des plantes toxiques comme le datura ou la morelle, ce qui nécessite parfois des passages manuels, notamment en carottes, épinards et betteraves. Jean-Paul Hignet, ainsi que Stéphane et Nathalie Urvoy, producteurs de petits pois industrie en Bretagne, font un retour sur leurs itinéraires techniques et sur les problèmes rencontrés, notamment les aléas climatiques et sanitaires. De même, Thomas Raoul, dans la Somme, témoigne sur la production dépinards, culture intéressante, mais très technique et risquée, pour laquelle « on na pas le droit à lerreur ». Une nouvelle usine de surgélation, ayant démarré son activité au printemps 2022 dans les Hauts-de-France, traite des volumes bio et cherche de nouveaux producteurs. Si les haricots et les pois sont plutôt porteurs, lépinard reste compliqué à produire. Enfin, avec lévolution du climat, lirrigation est de plus en plus de mise pour ces cultures. Par ailleurs, il est important de noter que la production de légumes industrie est en recul dans le Sud-Ouest à cause de problèmes techniques, liés notamment au changement climatique (mildiou sur la tomate, plantes toxiques, températures trop fortes pour les petits pois ). Stéphane Besnier, installé dans le Lot-et-Garonne, apporte son témoignage sur les tomates industrie.
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Essais de pommes de terre en Hauts-de-France : Privilégier les variétés les plus résilientes
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurDes essais variétaux en pommes de terre ont été menés par les Chambres dagriculture des Hauts-de-France et la Fredon, en 2021 et 2022, afin didentifier les variétés les plus adaptées en bio, cest-à-dire ayant un rendement et une qualité suffisants en conditions peu favorables. Les critères quantitatifs et qualitatifs sont passés à la loupe : rendement, tolérance au mildiou, aspect, lavabilité, conservation, coloration à la friture, tolérance à la sécheresse La filière ne doit pas proposer une variété, mais un type culinaire déterminé par le taux de matière sèche et se délitant plus ou moins à la cuisson. Les essais portent sur des pommes de terre de consommation, en transformation en frites ou encore en orientation chips. Ils sont réalisés en culture irriguée ou non, sur cinq sites différents. 2021 et 2022 ayant été opposées au niveau climatique (respectivement une année très humide avec un printemps froid et une année sèche et chaude), les essais ont pu mettre en relief des variétés résilientes et productives selon ces deux types de conditions climatiques. Les principaux résultats de ces essais sont présentés.
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Légumes frais : Les surfaces en stagnation
Tanguy DHELIN, AuteurLes rencontres techniques légumes en agriculture biologique se sont déroulées, le 29 novembre 2022, au centre CTIFL de Balandran. Elles ont été loccasion de faire un point sur la filière des légumes biologiques destinés au marché du frais. Face à une baisse inquiétante de la consommation des fruits et légumes biologiques, la filière stoppe sa dynamique de croissance pour essayer de maintenir lexistant. Les surfaces cultivées en légumes biologiques destinés au marché du frais étaient de 29 404 ha en 2021, soit un chiffre équivalent à 2020. Selon Forébio, fédération des organisations de producteurs (OP) 100 % bio, la stratégie des OP est de soutenir les producteurs historiques et ceux qui ont réalisé récemment des investissements. Elles ne recrutent plus de nouveaux producteurs. Plusieurs questions ont également été soulevées lors de ces rencontres : au vu de la conjoncture économique, comment répercuter la hausse des coûts de production sur les prix de vente alors que le consommateur nest pas prêt à payer plus cher ? Il faut aussi prendre en compte le fait que les GMS ont tendance à déréférencer des produits bio. Lespoir de la filière repose sur une augmentation de la consommation de légumes frais biologiques en restauration hors domicile, notamment dans les cantines dans le cadre de la loi Egalim.
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Retour du Sival : Douar Den a la patate !
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLa coopérative Douar Den était présente au Sival 2023 - salon du végétal spécialisé. Née en 2006 dans les Côtes dArmor, cette Scic (société coopérative dintérêt collectif) est spécialisée dans les pommes de terre bio. Elle associe des producteurs et deux expéditeurs (Poder et Pronatura), pour produire à la fois des plants et des pommes de terre (primeur, consommation et industrie). Depuis dix ans, elle sest lancée dans un programme de sélection, en partenariat avec Bretagne Plants, puisquà lépoque, il nexistait pas de variétés de pommes de terre adaptées à une conduite en agriculture biologique. Fabris Trehorel, gérant-associé de Douar Den, rappelle quil est rare que de petites entreprises accèdent à lobtention, car la démarche est longue et coûteuse. En bio, il faut des variétés adaptées à ce mode de production, avec par exemple un port étalé (afin de couvrir le sol et de limiter le désherbage mécanique), tolérantes aux maladies (mildiou, nématode, virus ) et qui se conservent malgré un stockage sans antigerminatif. La résistance au stress hydrique et aux coups de chaleur devient également un critère important. Ce travail de sélection « par les paysans et pour tous les paysans » dure, pour chaque nouvelle variété, environ sept à huit ans. Quatre variétés issues de ce processus de sélection sont déjà inscrites : Maïwen en 2015, suivie de Passion, puis de Naturea et de Byzance. Cette dernière a reçu un Sival dargent au concours Innovations 2023. Deux autres variétés sont en cours dinscription : Truffette et Wahou.
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La volonté de bien nourrir Arlon
Mathilde RODA, AuteurEn Lorraine belge, Jean-François Depienne de la ferme Bio-Lorraine cultive en agriculture biologique, sur 50 hectares à Arlon, et sur 5 autres hectares en Ardenne, des grandes cultures (pommes de terre, colza, moutarde, tournesol, lentilles, céréales panifiables) et des légumes, principalement hivernaux, de plein champ et en serre (chicons, carottes, poireaux, oignons, céleris raves, échalotes, salades, choux, courges ), en agriculture biologique. La ferme a la mention Nature & Progrès depuis 2011. Jean-François a développé la transformation à la ferme et produit des huiles (tournesol et colza), de la sauce moutarde, des frites fraîches et différentes préparations à base de légumes. Les céréales panifiables sont moulues dans un moulin à une quinzaine de kilomètres de la ferme. La ferme emploie 6 ETP durant lannée, le double en pleine saison. La production est commercialisée localement, notamment au marché bio dArlon.
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La bio chez Eureden : CapAB donne un sens à la filière
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLe groupe coopératif breton Eureden est né en 2000, de la fusion des coopératives Triskalia et daucy. Cette fusion classe le groupe coopératif au 3ème rang des groupes alimentaires français. Avec près de 2 000 producteurs biologiques (qui représentent 10 % des coopérateurs), Eureden cherche à se faire une place sur le marché de la bio, en soutenant les filières et en clarifiant son projet bio. La gouvernance de la partie bio dEureden est assurée par une commission spécifique, présidée par David Joubier, administrateur et producteur bio. Limportant, pour Eureden, est de favoriser la contractualisation pour anticiper. Le groupe coopératif mise également sur sa nouvelle marque, CapAB, lancée au printemps 2022, qui rassemble tous les producteurs bio du groupe et les nouveaux convertis. Pour les grandes cultures, CapAB sappuie sur lactivité dAgro Bio Pinault (filiale spécialisée en grain dEureden). Cette nouvelle entité assure la collecte, la mise aux normes et la vente des céréales et oléagineux bretons. En légumes, la croissance de la filière reste soutenue. Les bassins de production du groupe coopératif alimentent les conserveries daucy et les sites de surgélation. Côté productions animales, la filière est moins avancée : la filière porc est en construction, la filière uf repose sur 45 000 poules en partenariat avec le fabricant daliments Moulin du Poher, et la filière lait sest construite en partenariat avec Laïta et Agrial.
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Biopresse Hors-série : Diversification et agriculture biologique - 2022
Esméralda RIBEIRO, Auteur ; Héloïse BUGAUT, Auteur ; Sophie VALLEIX, Auteur ; ET AL., Auteur | LEMPDES (VetAgro Sup - Campus agronomique de Clermont, 89 Avenue de l'Europe - BP 35, 63 370, FRANCE) : ABIODOC (Service de VetAgro-Sup) | 2022La diversification fait partie des leviers mobilisables par les agriculteurs pour augmenter la durabilité de leurs exploitations. Il peut sagir de diversification au sein de leurs productions (ex : plusieurs ateliers de productions animales et/ou végétales), ou dactivités qui ne relèvent pas de la production alimentaire, mais qui prennent appui sur lexploitation (ex : accueil pédagogique ou social, production dénergie, vente directe ). Pour identifier plus facilement des documents portant sur la diversification au sein des fermes biologiques (descriptions de systèmes diversifiés, témoignages dagriculteurs, fiches, études, guides ), ABioDoc, le Centre national de ressources en agriculture biologique, a publié un numéro Hors-série de sa revue Biopresse sur ce sujet. Ce Hors-série est composé de références bibliographiques extraites de la Biobase, la seule base de données documentaire francophone spécialisée en agriculture biologique. Il compile environ 380 références sur la diversification, publiées entre 2012 et 2022, classées par grands thèmes (élevage, grandes cultures, maraîchage, arboriculture, viticulture, agriculture et environnement ). Cette sélection de références est le fruit dune recherche large sur la diversification, mais non exhaustive sur certains thèmes (ex : agroforesterie, circuits courts, agritourisme ). Précision supplémentaire pour les références en lien avec lélevage : elles portent aussi bien sur les systèmes délevage diversifiés, que sur les élevages mixtes et le pâturage mixte. Ce Hors-série a été réalisé dans le cadre du projet BioRéférences 2017-2022. Lobjectif de ce projet est dacquérir des références (notamment technico-économiques) sur les systèmes de production biologiques dans le Massif Central. Un volet sest intéressé à la diversification des systèmes, afin de voir comment mieux les accompagner et d'acquérir des références spécifiques.
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Brocoli industrie : Ne pas se laisser compter fleurette
Georges MAILLARD, AuteurCet article est consacré à la culture du brocoli bio en Bretagne. Il indique comment l'intégrer dans la rotation des cultures et le type de sol à privilégier pour son implantation, et explique comment lutter, de manière préventive et curative, contre les principaux ennemis du brocoli : la hernie du chou, la mouche du chou, les limaces et les chenilles défoliatrices. En Bretagne, les deux principaux débouchés, pour les brocolis, sont, dans la filière moyenne-courte, la vente en légumes frais et, dans les circuit longs, la vente en légumes industrie visant à être transformés en fleurettes congelées. Les caractéristiques pour ces deux débouchés sont indiquées dans un tableau. Benjamin Thouenon, polyculteur bio à Plouha (22) depuis 2019, cultive des brocolis sur 45 de ses 120 ha de SAU. Dans cet article, il partage ses techniques de culture (choix des parcelles, plantation, désherbage mécanique, récolte).
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C'est parti pour les Rendez-vous Tech & Bio
Adrien LASNIER, AuteurFin mai 2022, dans le Cher, les Rendez-vous Tech & Bio ont débuté par une journée consacrée aux grandes cultures et aux légumes. Cette journée a permis aux agriculteurs bio, aux conventionnels et aux professionnels du monde agricole d'échanger autour des techniques alternatives de production. À cette occasion, au pôle Légumes, des agriculteurs et des agricultrices du Cher et du Loir-et-Cher ont présenté la production de cornichons et d'asperges.
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Dossier : Désherbage mécanique : Des outils et stratégies multiples
Jean-Martial POUPEAU, Auteur ; Marion COISNE, AuteurEn cultures bio, la gestion des adventices est un point crucial pour la qualité et les rendements. De nombreux outils existent pour faciliter les travaux de désherbage mécanique pour les agriculteurs, et ainsi leur permettre de gagner en efficacité, en confort et en vitesse de travail. Dans le premier article de ce dossier, Séverine Bourrin, de la FR Cuma de l'Ouest, et Christopher Brachet, de la FD Cuma du Morbihan, font le point sur l'investissement collectif en matériel de désherbage mécanique, sur ses avantages et ses limites, et sur les dernières innovations en matière de matériels mais aussi d'organisation des chantiers. La principale limite en Cuma reste la disponibilité des outils lors des fenêtres météo favorables aux interventions. Depuis 2014, le PCAE (Plan de compétitivité et d'adaptation des exploitations agricoles) peut être mobilisé par les agriculteurs ou les groupements pour obtenir une subvention d'investissement. Dans la suite de ce dossier, plusieurs agriculteurs témoignent et partagent leurs pratiques : Xavier Morineau, dans le Loir-et-Cher, a trois bineuses adaptées à ses différentes cultures ; Joël Auger, en Eure-et-Loir, sème et bine en triple-rangs jumelés et utilise le guidage par GPS et caméra ; l'EARL La Belle Épine, en Seine-et-Marne, utilise le guidage par caméra ; Grégory Moreau, dans l'Yonne, utilise un outil autoguidé mécaniquement ; le Gaec des Vallées, en Loire-Atlantique, délègue une partie des travaux de désherbage mécanique. Autres témoignages dans la Marne : la famille Lambin et Damien Blondel sont parmi les premiers utilisateurs français du robot semeur et bineur FarmDroid FD20, guidé par GPS-RTK, de la société Stecomat. Du côté des légumes et des plantes aromatiques et médicinales, l'une des dernières innovations, venue de chez Kult, est le guidage par caméra colorimétrique, qui permet de reconnaître les lignes de semis ou de plantation. Enfin, depuis août 2022, la société Binnove commercialise des bineuses prévues pour passer en toutes conditions.
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Dossier : Les légumes de plein champ : une structuration aux petits oignons
Sophie BOMEL, Auteur ; Camille FONTENY, AuteurEn France, la commercialisation et le prix d'achat auprès des opérateurs conditionneurs des légumes bio sont en décroissance, ce qui impacte directement les agriculteurs, pour qui les coûts de production restent très hauts. Ce dossier présente les acteurs et les initiatives qui structurent la filière légumes de plein champ bio, en Alsace et en Champagne-Ardenne. Il présente également le fonctionnement de la filière, les relations d'engagement entre les producteurs, les conditionneurs, la GMS et les industriels, ainsi que les dérives. Pour terminer, des pistes sont données pour poursuivre la réflexion vers l'organisation d'une filière bio plus équitable.
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Filière légumes bio en Auvergne-Rhône-Alpes - Edition 2022
LObservatoire Régional de lAgriculture Biologique dAuvergne-Rhône-Alpes (ORAB AuRA) a publié une fiche consacrée à la filière "Légumes Bio" de la région (données 2020 principalement). Cette fiche synthétise les principales données régionales recueillies sur cette filière au sein de lORAB, de la production à la commercialisation, et fournit une analyse de la filière.
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Il vend des vaches pour produire des légumes
Véronique BARGAIN, AuteurBertrand Poulain était éleveur laitier conventionnel dans le Morbihan. En 2016, suite au départ de deux de ses associés, il décide darrêter le lait (trop dastreinte, marché non satisfaisant ). En 2017, avec sa femme, ils convertissent la ferme en bio et se tournent vers lélevage bovin allaitant. En 2020, ils se lancent également dans la production de légumes industrie et de légumes destinés à la vente directe. Sur leur SAU de 330 ha (dont 110 ha repris en 2022, en cours de conversion), ils cultivent 77 ha de légumes industrie, dont des pommes de terre (plants et consommation), des haricots verts, des flageolets, des petits pois et des potimarrons. Les légumes destinés à la vente directe occupent, pour linstant, seulement quelques hectares, et sont composés de carottes, de poireaux, doignons, de patates douces, de choux, de betteraves, de courges butternut et de lentilles. Dans un premier temps, Bertrand Poulain a testé les différentes légumes sur de petites surfaces, sans équipement spécifique (hormis une herse-étrille). Pour gagner du temps, il a ensuite travaillé avec une ETA (entreprise de travaux agricoles), avant dinvestir dans du matériel spécifique. Les prairies, valorisées par les vaches, rentrent en rotation avec les cultures légumières. La ferme emploie trois salariés à plein temps, ainsi quune dizaine de saisonniers.
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Légumes industrie bio : Limportance du désherbage mécanique
Clara GUEGUEN, Auteur ; Goulven MARÉCHAL, AuteurUn projet de recherche (ILICO, Introduction de Légumes Industries dans les systèmes Céréaliers bio de l'Ouest) a été mis en place par le réseau GAB-FRAB Bretagne afin dacquérir des références technico-économiques et de comparer différents itinéraires techniques pour des cultures de légumes industrie bio. Cet article fait le point sur les résultats des expérimentations relatives au désherbage mécanique en pré-levée sur haricots verts. Il apparaît que le désherbage en prélevée nest pas toujours efficace, voire peut avoir parfois un impact négatif. La dernière année dessai permettra de confirmer les tendances observées et de formaliser des règles de décision pour juger de lutilité ou non dun passage en prélevée selon la date de semis et le contexte pédoclimatique.
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Lutte contre lenherbement en culture maraîchère : TENACE, un projet pour venir à bout des adventices !
Charlotte BERTHELOT, Auteur ; Romane JEAN, Auteur ; Mélanie RIOU, Auteur ; ET AL., AuteurLe projet TENACE vise à répondre aux problématiques de gestion des adventices en maraîchage dans les Pays de la Loire, en saffranchissant des herbicides chimiques et du paillage plastique. Ce projet est financé par lArelpal (association régionale dexpérimentation légumière des Pays de la Loire). Différentes méthodes alternatives sont testées, sur des cultures semées (mâche, roquette, carotte) et sur des cultures plantées (salade, poireau, melon et courgette). Ces essais sont réalisés par plusieurs partenaires du projet, dont le CTIFL. Cet article présente les résultats obtenus, en 2021, sur le centre opérationnel de Carquefou, en culture de laitues. Cet essai a permis de comparer les effets de différents paillages « clés en main » (chanvre, papier et plastique biodégradable), de couverts végétaux et de mulchs organiques. Les paillages clés en main ont permis de saffranchir des adventices, mais seul le paillage papier a obtenu un rendement commercialisable identique à la modalité de référence (paillage plastique classique). Le semis sous couvert de trèfle, le mulch de gazon et le mulch forestier ont permis datteindre un rendement identique ou supérieur à la référence paillage plastique. Mais, ces stratégies sont difficiles à mettre en place sur de grandes surfaces. Des essais complémentaires viendront consolider ces résultats.