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INFORMATION DU CONSOMMATEUR |
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Vendre sa production biologique en circuits courts
L'aboutissement du travail des producteurs est la commercialisation de produits de qualité. La vente directe à la ferme ou sur les marchés demeure fondamentale, mais l'évolution des modes de vie, les nouvelles techniques de communication, l'évolution des règles sanitaires, de certification ou juridiques incitent les producteurs à chercher des adaptations. La CAB (Coordination Agrobiologique des Pays de la Loire) propose ce kit, composé à la fois de fiches pratiques et de fiches témoignages qui seront complétées régulièrement.
Espérance de vie, la fin des illusions
Nous vivrons moins longtemps que nos parents, contrairement à ce qu'annoncent les démographes. Telle est la thèse iconoclaste défendue par Claude Aubert dans ce livre. Malbouffe, sédentarité, pollution, tabagisme sont autant de bombes à retardement qui vont exploser dans les décennies à venir. Seul un changement radical, mais peu probable, de notre mode de vie pourrait les désamorcer. Un pronostic solidement étayé par l'auteur et crédibilisé par l'inquiétante augmentation de l'incidence de l'obésité, du diabète et du cancer. Une augmentation qui, en plus de provoquer une très probable baisse de l'espérance de vie, nous achemine vers un monde de malades chroniques. Restant optimiste, l'auteur rappelle cependant au fil des pages, les gestes élémentaires pour vivre durablement en bonne santé.
Agriculture biologique : réglementation et communication
Les signes officiels de qualité, qui garantissent l'origine et la qualité, ont vocation à segmenter le marché. Parmi eux, la certification Agriculture Biologique et la marque AB. Les fruits et légumes bio bénéficient d'une réglementation qui leur est propre et qui se décline selon les pays. Ce marché en cours d'essouflement fait l'objet d'un projet de communication par Interfel.
Belgique : Le marché des plats préparés frais
Alors que les ventes de produits biologiques augmentent régulièrement, les plats préparés biologiques, jugés parfois trop élaborés, ne connaissent pas la même croissance en Belgique. Pour se défaire de cette image "artificielle", les plats préparés biologiques doivent bénéficier d'une communication appropriée, rassurant un consommateur habitué à trouver des colorants et des conservateurs dans les plats préparés. Ces derniers ont toutefois un bon potentiel, et peuvent convertir de nouveaux groupes de consommateurs aux produits biologiques.
A la reconquête de nos consommateurs
Depuis une dizaine d'années, les ventes des produits de consommation courante subissent un déclin. Un refus de la consommation de masse se fait ressentir chez des consommateurs faisant leur achat de plus en plus selon une certaine éthique et un respect de l'environnement. Dans ce cadre, l'Agence Bio a mis en place fin 2003 un baromètre de la consommation des produits bio en partenariat avec le CSA. Ainsi, elle nous éclaire sur la perception de la bio par les consommateurs. Les produits bio attirent des personnes plutôt actives et aisées habitant dans des agglomérations importantes. De plus, ils sont bien perçus de manière générale et sont achetés en grande partie dans les GMS et sur les marchés (pour les produits frais). Ils sont consommés souvent par souci de santé et plus rarement par souci de préservation de l'environnement. Cependant, leur prix et le peu de points de vente surtout au niveau local restent une barrière. Ainsi, développer les actions d'information auprès du consommateur et développer une meilleure appréhension des consommateurs seraient, à travers cette étude, les principaux facteurs de développement et donc de réussite.
Arômes dans notre assiette : la grande manipulation
Votre yaourt préféré doit son arôme " naturel " de fraise à des copeaux de bois. Une fraude de plus ? Non, rien que la routine quotidienne de l'industrie alimentaire. En toute légalité, même si votre yaourt n'en souffle mot. Bienvenue dans le meilleur des mondes alimentaires, un monde où la saveur d'un produit est sans rapport avec son contenu et sa valeur nutritive réels. Ce monde, c'est celui des pizzas surgelées, des soupes instantanées, des plats préparés, des petits pots pour bébé, des aliments allégés. C'est celui des aliments industriels, dont le goût doit plus à l'habilité des chimistes qu'à l'art des cuisiniers. Fruit d'une enquête rigoureuse dans les coulisses de l'industrie alimentaire, ce livre met enfin en lumière le rôle méconnu mais central des arômes, ces agents très secrets sans lesquels la grande manipulation de l'industrie alimentaire serait impossible.
Bio raisonnée OGM : Quelle agriculture dans notre assiette
Claude AUBERT, Auteur ; Blaise LECLERC, Auteur ; Michèle RIVASI, Préfacier, etc. ; Corinne LEPAGE, Préfacier, etc. | MENS (Domaine de Raud, 38 710, FRANCE) : ÉDITIONS TERRE VIVANTE | 2003Pesticides, nitrates, vache folle : l'agriculture d'aujourd'hui n'inspire plus confiance. Mais alors, que mettre dans notre assiette ? Des produits bio ? Trop chers, disent les uns. Mais tellement meilleurs pour notre santé et pour l'environnement, rétorquent les autres. Des produits "agriculture raisonnée" ? La seule solution raisonnable, selon ses défenseurs. De la poudre aux yeux selon ses détracteurs. Et pourquoi pas des OGM, présentés comme le seul moyen "moderne" de réduire l'utilisation des pesticides ? Assailli de messages contradictoires, le consommateur ne sait plus à quelle étiquette se vouer. Ce livre a pour but d'éclairer, en passant les trois alternatives qui lui sont proposées (bio, raisonné et OGM) au crible de trois enjeux majeurs : l'impact sur la santé, les conséquences pour l'environnement et la capacité à nourrir la planète. Le verdict, étayé par une argumentation rigoureuse est sans appel : ni l'agriculture raisonnée, ni les OGM ne répondent aux exigences d'une agriculture durable, dont pourtant ils se réclament. L'agriculture biologique est donc aujourd'hui la seule alternative crédible au modèle actuel.
Consommer durable face à la mondialisation
Notre mode de croissance, l'organisation actuelle du commerce mondial, ne sont pas viables et conduisent à l'impasse. Ils épuisent les ressources naturelles, bouleversent le climat et les équilibres écologiques, multiplient les catastrophes technologiques, acccroissent les inégalités sociales et la pauvreté, creusent le fossé entre pays riches et pays pauvres. Le développement durable suppose une autre façon de consommer, soucieuse de la protection de l'environnement, du respect des droits fondamentaux des travailleurs, de la garantie pour les petits producteurs des pays du Sud de revenus leur permettant de vivre décemment. Pour qu'elle ne soit pas qu'une mode passagère, mais un mouvement de fond, cette consommation doit s'appuyer sur des produits et des services de qualité, sur la transparence, sur la garantie que les promesses affichées correspondent à la réalité, et sur des prix justes. Les consommateurs sont prêts à déterminer leurs choix sur d'autres critères que le prix, pour peu qu'ils aient l'assurance que le surcoût est justifié, d'autant que les équipements verts et les produits éthiques et équitables ne sont pas forcément plus chers que les autres. Ce hors-série tâche de prouver que, par nos gestes quotidiens et nos achats, nous avons le pouvoir de consommer durable.
Pour une veille juridique sur les OGM
Les aspects juridiques qui affectent la stricte application du principe de précaution, la liberté de choix et l'accès libre aux ressources biologiques, ont été discutés dans un séminaire organisé en octobre 2002 par Inf'OGM associée à la Confédération Paysanne, Greenpeace, les Amis de la Terre, France Nature Environnement, Solagral, la FNAB et Nature & Progrès. Le séminaire "Etat des lieux juridiques sur les OGM" a réuni des juristes, des responsables d'ONG ou de syndicats agricoles pour asseoir une veille juridique sur la dissémination des OGM en agriculture. Cette synthèse expose autour de trois principaux volets (le droit à l'information, les dommages aux biens et aux personnes, et les recours contre les autorités de régulations) l'essentiel des points de discussion et les pistes d'une veille juridique.
Rennes : La chasse aux pesticides est ouverte !
Suite au constat de l'augmentation des nitrates et des pesticides dans l'eau, la ville de Rennes officie depuis quelques années pour faire changer les pratiques des utilisateurs et ainsi améliorer durablement la qualité de l'eau : modification des pratiques d'entretien des espaces verts, développement de méthodes alternatives comme le désherbage à vapeur, le désherbage thermique ou encore le paillage, mise en place de campagnes de sensibilisation et d'information auprès des habitants.
Les risques d'une exploitation marketing : Le "marché" du commerce équitable
Face à une demande croissante en matière de transparence sociale, les entreprises doivent prendre en compte de plus en plus l'aspect humain et social dans leur activité. Le commerce équitable, via Max Havelaar et sa filière labellisée, a choisi la grande distribution pour se développer. Commerce équitable, éthique ou solidaire, les démarches et les définitions se multiplient, démarches plus ou moins concurrentielles. La cause creuse-t-elle sa tombe ?
Choisis ton c(h)amps camarade !
Les Organismes Génétiquement Modifiés font la Une des médias. En général, les campagnes sont de deux sortes. Leur promotion visant à les populariser et les faire accepter comme utiles, voire indispensables objets de consommation inédits ou remis au goût du jour, après un toilettage approprié. Le débat sur un problème émergeant ou ancien, mais que l'actualité remet sur le devant de la scène. Les OGM relèvent des deux et, de surcroît, risquent de faire encore couler beaucoup d'encre. Il est, dès lors, indispensable que le public puisse avoir accès à une information compréhensible et aussi complète que possible, afin qu'il se fasse une opinion et juge en connaissance de cause des intérêts et des inconvénients. Ainsi, Biozen propose cet article, et tout un chacun peut comprendre ce que sont les OGM.
Le consommateur, qui c'est celui-là ?
"L'agriculture a longtemps été une affaire d'agriculteurs. Au long des années 90, au fil des premières crises alimentaires, la donne change : le consommateur n'a plus confiance, il veut ""savoir"". Le monde agricole, dans son intégralité, du producteur au syndicaliste en passant par l'institutionnel a tendu de bon gré la main à ce consommateur-client-citoyen. Mais au fond, que veut-il ? N'est-il pas en train de prendre le pouvoir ? Bima dresse un portrait robot de ce ""consom-acteur"" désormais incontournable à travers ses exigences, et, parfois, ses contradictions."
La crevette surgelée version biologique
Traçabilité, qualité, sécurité : ces mots étaient sur toutes les bouches lors du dernier Seafood (salon des produits de la mer) à Bruxelles. Le besoin de ré-assurance du consommateur est tel que certains intervenants misent sur le développement du bio. La société britannique Lyons Seafoods propose aujourd'hui des crevettes biologiques. Explications.
Dossier : Déchiffrer les signes de qualité
Qu'elle soit représentée par un sigle officiel ou par une marque, la qualité ne cesse de s'afficher dans les linéaires... Au grand bonheur des consommateurs et des producteurs ? Pas si sûr, car tout le monde commence à s'y perdre ! Cinq chapitres composent ce dossier, à savoir : - filière porcine : défricher la jungle des signes de qualité, - agriculture biologique : le porc bio, entre philosophie et rigueur, - le label rouge en quête de volumes : rencontre avec le porc fermier du Limousin, - certification de conformité de produit : la Gorinette, première coche certifiée, - certification d'origine : les trois stars européennes du jambon sec.