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Documents disponibles dans cette catégorie (12)


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Agrotourisme : Détente et expériences dans des fermes
Harry ROSENBAUM, Auteur ; Beat GROSSRIEDER, Auteur ; René SCHULTE, Auteur ; ET AL., AuteurEn Suisse, l'agrotourisme se développe. Cette activité est une bonne source de revenus pour de nombreuses fermes et elle comprend toute forme d'hébergement, avec ou sans services, offrant la possibilité de voir de près l'agriculture, la vie paysanne et le monde animal. L'agrotourisme est souvent géré par des femmes, en complément de l'activité agricole. Des portraits de fermes bio présentent différentes offres en agrotourisme : - Une ferme, une école - et de la nature, avec le gîte rural de La Bergerie, à Mormont JU ; - Wellness avec panorama, une offre spa à la ferme Hof Bach, à Trub BE ; - Activités sous le signe du respect, avec les activités pédagogiques, loisirs et sports à La Finca, à Cresciano TI.
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Une petite ferme autrichienne engagée pour un monde meilleur
Joris GAUDARÉ, AuteurÀ l'ouest de l'Autriche, dans le Voralberg, Daniela et Anton Kohler ont repris, en 2006, la petite ferme familiale de 10 ha, ainsi qu'une quinzaine d'hectares de forêt, avec une production de bovins lait et de maraîchage bio. En 2014, le couple a décidé d'arrêter la production laitière, passant à un petit élevage d'allaitantes avec un taureau. C'est Anton qui s'occupe des animaux, en plus de la construction d'une maison à partir d'arbres sélectionnés dans leurs parcelles forestières. Cette maison est destinée à Thomas, leur fils, qui souhaite reprendre la ferme. Daniela se consacre à la partie maraîchage, située dans un pré-verger. Les légumes, ainsi que des produits transformés à la ferme (tisanes, confitures, assaisonnements, etc.), sont vendus au marché hebdomadaire de la ville voisine. Le reste de la production est écoulée auprès des membres du « Comité de soutien à l'agriculture » local, une structure proche des AMAP françaises, constitué d'une vingtaine de familles volontaires. Pour Daniela, le collectif est essentiel pour s'émanciper de l'agro-industrie : elle cultive les relations d'entraide et partage ses savoirs auprès des volontaires locaux. Elle s'est aussi formée et syndicalisée, avec l'ÖBV (Organisation autrichienne de défense de l'agriculture paysanne), pour lutter contre les politiques agricoles qui mettent, notamment, les paysans et les paysannes de montagne en grande difficulté.
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Webconférences La Terre est Notre Métier : La bio au féminin
AGROBIO 35, Auteur ; COORDINATION RURALE, Auteur ; ENSFEA, Auteur ; ET AL., Auteur | CESSON-SEVIGNÉ (FRAB, 12 Avenue des Peupliers, 35 510, FRANCE) : RÉSEAU GAB-FRAB BRETAGNE | 2020A chacune de ses éditions, le salon La Terre est Notre Métier propose un cycle de conférences. Le contexte sanitaire particulier de lédition 2020 a amené les organisateurs du salon à proposer des conférences en ligne. La section « La bio au féminin » regroupe quatre webinaires et aborde les thématiques suivantes : 1 - Le congé maternité pour les agricultrices (présenté par Agrobio 35, la Coordination Rurale, un enseignant-chercheur de lÉcole Nationale Supérieure de Formation de lEnseignement Agricole, ainsi que des agricultrices) ; 2 - Lengagement des agricultrices dans la gouvernance des organisations bio (présenté par la FNAB, une Haut-Fonctionnaire du ministère de lAgriculture et une docteure en sciences politiques) ; 3 Des retours dagricultrices suite à l'Appel à témoignages "On peut le faire" (présenté par Agrobio 35 et une agricultrice) ; 4 - Le travail des femmes sur la ferme : reconnaissance sociale, visibilité et adaptation (présenté par Agrobio 35, la FNAB, la FDCivam Loire-Atlantique, une étudiante en école dingénieurs agronomes, ainsi que des agricultrices).
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Devenir agricultrice bio : Les clés pour s'installer
En France, les femmes représentent 1/3 du monde agricole bio, soit environ 10 000 agricultrices (sur 36 600 producteurs et productrices bio, selon lAgence BIO). En 2018, la FNAB a organisé une grande enquête nationale auprès de ces paysannes bio pour mieux les connaître ; 2 500 ont répondu. Les réponses ont permis détablir, entre autres, que ces femmes sont en majorité non issues du monde agricole, plutôt jeunes, diplômées, et souvent seules à la tête de leur exploitation Courageuses, déterminées, engagées dans leur quotidien de cheffes dentreprises bio, mais aussi dans leur quotidien de mères, de conjointes, dassociées Souvent, elles rencontrent des difficultés plus importantes que leurs collègues masculins dans leur parcours professionnel et familial. Leurs témoignages attestent quelles ne sont pas des cas isolés. Ce guide fournira à celles qui ont un projet dinstallation ou sont en cours dinstallation des clés pour faire des choix éclairés et pour résoudre certaines difficultés en matière de formation, foncier, financement, statut, congé maternité, répartition du travail à plusieurs, accompagnement.
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Dossier : La place de la femme dans l'agriculture
Alain GRASTEAU, Auteur ; Isabelle PETITPAS, Auteur ; Stéphanie PAGEOT, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier est consacré à la place des femmes en agriculture. En sappuyant sur les propos de Nadine Vivier, historienne et membre de lAcadémie dAgriculture de France, ce dossier commence par retracer le rôle des femmes dans lagriculture à travers les siècles (du XVème au XXIème siècle). Il se focalise ensuite sur létude effectuée par la FNAB sur la place des femmes en Agriculture Biologique. Cette enquête a mis en lumière la « double journée » des agricultrices bio : elles assurent à la fois des tâches agricoles et les tâches domestiques. Cest donc plutôt par manque de temps quelles ne prennent pas de mandats professionnels, et non par manque de confiance ou par peur de prendre des responsabilités. Les initiatives mises en place par le groupe de travail « Place de la Femme » dAgroBio 35 sont également détaillées : des saynètes, des travaux de groupe, ainsi quun plan dactions (travail sur lergonomie, travail sur la communication et la représentation des femmes à AgroBio 35, mise en place de formations ) ont été présentés lors de lAG dAgroBio 35. Des informations sont également apportées sur le Groupe Femmes du CIVAM DEFIS, en Loire-Atlantique : création, fonctionnement, témoignages dagricultrices... Enfin, dix articles sont réservés aux témoignages dagricultrices bio. Elles sont toutes éleveuses de bovins lait, passionnées et épanouies dans leur métier. Leurs situations sont diverses : installation dans le cadre familial, installation seule, installation pour rejoindre leur conjoint, reconversion Elles expliquent leur parcours, les avantages et les difficultés quelles rencontrent en tant que femmes, ainsi que leur organisation pour allier travail et vie de famille.
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Quelle est la place des femmes dans l'agriculture biologique ?
La FNAB a réalisé, en 2018, une grande enquête nationale, en partenariat avec lAgence BIO, auprès de plus de 2 500 agricultrices bio afin de mieux connaître leur travail et leur engagement. Un colloque public sur le thème de la place des femmes dans l'agriculture biologique a été organisé, le 10 avril 2018, afin de présenter les résultats obtenus. Les résultats détaillés de lenquête et les pistes de travail qui en ont découlé sont présentés dans ce document. Les paysannes bio ont 45 ans en moyenne et sont en couple pour 79 % d'entre elles. Tous les types de production sont présents dans leurs fermes, avec une forte prévalence de la polyculture-élevage (46 %). 46 % sont seules cheffes d'exploitation. 40 % ont un niveau de diplôme BAC + 3 et plus. 60 % sont hors cadre familial.
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4èmes Rencontres nationales travail en élevage des acteurs du développement, de la recherche et de la formation : 5 et 6 novembre 2015 à AgroSup Dijon : Recueil des contributions
Jean-François TOURRAND, Auteur ; Delphine NEUMEISTER, Auteur ; Ibrahim DAOUD, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (Maison Nationale des Éleveurs, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : INSTITUT DE L'ÉLEVAGE | 2015Ce document rassemble la quarantaine dinterventions en séances plénières ou en ateliers qui ont eu lieu aux 4èmes Rencontres nationales travail en élevage des 5 et 6 novembre 2015, à AgroSup Dijon, dans le cadre du Réseau Mixte Technologique Travail en élevage, co-animé par lInstitut de lÉlevage, lInra et les Chambres dAgriculture. Le programme comprenait des interventions en séances plénières, 12 ateliers et des posters thématiques (attractivité du métier, économie et performance, réseaux, ressources humaines, santé, techniques délevage). Les thématiques abordées pendant ces deux jours portaient, notamment, sur l'importance de renforcer l'accompagnement des éleveurs sur le sujet du travail, de promouvoir l'image du métier auprès des jeunes, de développer l'agriculture de groupe et les réseaux professionnels, de réinventer la relation homme/animal et de miser sur les complémentarités entre travailleurs (hommes et femmes, employeurs et salariés).
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L'agroécologie selon la Via Campesina
LA VIA CAMPESINA, Auteur« Les terres détenues selon des principes féodaux ne peuvent pas être considérées comme agroécologiques, même si elles sont exploitées sans aucun agent chimique. Une ferme contrôlée par des hommes sans que les femmes aient un pouvoir de décision ou dans laquelle les femmes ont une charge de travail plus importante n'est pas non plus agroécologique. L'agriculture biologique qui remplace les intrants chimiques coûteux par des intrants biologiques sans modifier sa structure de monoculture n'est pas agroécologique ». Ces quelques phrases sont issues de la « Déclaration de Surin » (http://viacampesina.org) des délégués de Via Campesina réunis en Thaïlande en novembre 2012, pour la première rencontre mondiale de l'agroécologie et des semences paysannes. Il s'agissait certes pour Via Campesina de réaffirmer que la souveraineté alimentaire, son cheval de bataille depuis 20 ans, passe par des semences paysannes adaptées et libres de droits ; mais aussi, on le comprend dans ces quelques phrases d'introduction, que l'agriculture bio est autant, sinon plus, un changement de paradigme que de techniques : réforme agraire, plafonnement des aides et des surfaces, égalité homme-femme, relocalisation de la production et distribution : autant de conditions à réunir pour une vraie agroécologie.
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Organic agriculture : A way forward to achieve gender equality in India
B. SUBRAHMANYESWARI, Auteur ; M. CHANDER, AuteurAfin de mieux comprendre la dynamique des genres en agriculture biologique, 111 hommes et 69 femmes, tous agriculteurs biologiques dans la province d'Uttarakhand, dans le Nord de l'Inde, ont été interviewés et des observations ont été faites sur leurs fermes. Cette étude a montré qu'une participation officielle des femmes a été encouragée par des programmes politiques appropriés dans cet Etat, premier Etat biologique en Inde, notamment via des formations de sensibilisation sur l'égalité des sexes. Afin d'aller plus loin dans cette étude, les auteurs recommandent de réaliser des études comparatives entre agriculture biologique et conventionnelle, qui permettraient de mesurer la contribution de l'AB à l'égalité des sexes et à l'amélioration de l'autonomie des femmes.
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Organic farming and gender roles in Northern Thailand
L'Association de Producteurs Biologiques de Chiang Mai (COPA) est composée de fermiers qui se sont engagés à utiliser les méthodes de production biologiques pour assurer une durabilité environnementale et pour protéger leur propre santé, ainsi que celle des consommateurs. De plus, ils fabriquent leurs propres intrants (compost, pesticides végétaux...) à partir de matériaux locaux disponibles qu'ils trouvent dans la forêt, sur leurs fermes ou dans leurs communautés, celà dans le but de réduire les coûts et d'accroître leur indépendance. La COPA travaille avec des groupes de consommateurs et a mis en place des marchés alternatifs dans la ville de Chiang Mai pour vendre les produits de ses membres à des prix équitables. Pour devenir un membre de la COPA, il faut passer 4 formations : sur les concepts d'agriculture durable, sur les techniques d'agriculture durable, un voyage d'étude ; enfin, une session est consacrée au rôle de chacun, notamment des femmes, dans la COPA. Explications.
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Women in organic agriculture
Ce dossier d'Ecology and Farming célèbre les femmes et le rôle qu'elles jouent au niveau du développement de l'agriculture biologique à travers le monde. Les pensées de Suzanne Vaupel, Vice-Présidente d'IFOAM, et de Liz Clay, membre du bureau d'IFOAM ; l'histoire de femmes "biologiques" à Gippsland (Australie) ; la Journée Mondiale Rurale de la Femme ; les femmes et la sécurité alimentaire ; le mouvement Via Campesina et les femmes ; le rôle des femmes dans l'agriculture, principalement l'élevage bovin laitier, au Sahel ; leur rôle au niveau de la production de thé biologique et équitable ; des femmes soutenant "La Terre-Mère" aux Etats-Unis ; la puissance de la femme en agriculture biologique à travers l'histoire de la coopérative féminine "Bäuerinnen GbR" qui conduit une exploitation biologique, spécialisée en productions légumières, près de Berlin, en Allemagne,... Des témoignages et des actions menées par des femmes qui montrent l'importance de leur rôle dans le développement de l'AB, partout dans le monde.
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Le travail de la paysanne d'aujourd'hui
Cet article présente le travail de la paysanne dans l'exploitation agricole suisse. Les résultats ressortent d'une enquête effectuée dans 662 domaines exploités à titre principal. En moyenne, les femmes travaillent pendant 20 heures par semaine dans l'exploitation. Elles travaillent moins à l'étable et au champ qu'autrefois, mais sont généralement responsables de la vente directe des produits agricoles et de la comptabilité de l'exploitation. La participation de la paysanne varie selon la région et dépend, en outre, du type d'exploitation et de la situation familiale. La répartition des tâches et la participation aux décisions concernant l'exploitation, montrent la paysanne dans le rôle traditionnel de ménagère et d'employée à temps partiel dans l'exploitation. Le progrès technique a bien allégé les travaux dans l'exploitation, mais le nombre d'heures de travail de la paysanne est resté le même. Dès que le degré de mécanisation augmente, les femmes se chargent de nouvelles tâches et entrent de plus en plus dans des domaines masculins, tels que la traite et la conduite du tracteur. Par rapport aux autres femmes ayant une activité rémunérée, les paysannes se sentent plus libres dans leur travail. Elles apprécient de pouvoir travailler auprès de leur fammille et leur métier leur paraît intéressant et varié.