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Agriculture biologique et marché bio : Conférence de presse annuelle de Bio Suisse
BIO SUISSE, Auteur ; Urs BRÄNDLI, Auteur ; Daniel BÄRTSCHI, Auteur ; ET AL., Auteur | BÂLE (Peter Merian-Strasse 34, CH-4052, SUISSE) : BIO SUISSE | 2012Le dossier présente un communiqué de presse sur le maintien de la croissance, en Suisse, ainsi que les exposés d'Urs Brändli, Président de Bio Suisse, Daniel Bärtschi, Directeur de Bio Suisse, Max Eichenberger, Président de la Commission de labellisation de la transformation et du commerce de Bio Suisse (partenariat, Le Bourgeon, politique agricole...). Les "Données Production et Marché" présentent les producteurs et surfaces bio en 2011. (En 2011, la Suisse compte 6 005 fermes bio dont 5 618 respectant le Cahier des charges du Bourgeon et la proportion de surface agricole utile cultivée en bio atteint 11,1 % en moyenne générale ) ; les chiffres d'affaires des produits bio en comparaison pluriannuelle et selon les canaux de distribution (le marché bio a progressé de 4,2 % en 2011, le chiffre d'affaires des produits bio a atteint 1 738 millions CHF ) ; les parts de marché d'une sélection de produits bio (le chiffre d'affaires des denrées alimentaires biologiques représente 6 % du total du marché de l'alimentaire ; depuis trois ans les parts de marché progressent en continu dans toutes les régions, en augmentant de 4,5 % ; le chiffre d'affaires des produits frais a de nouveau progressé plus que la moyenne en 2011 et tous les groupes de produits contribuent à la croissance ). Le Moulin Bio « Albert Lehmann Lindmühle », la plus ancienne meunerie familiale de Suisse, est également présenté.
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L'alimentation santé : enjeux et déchiffrages
"L'alimentation santé s'offre comme un champ ouvert aux stratégies d'acteurs. Pour les consommateurs, elle est la promesse de trouver des aliments bons pendant longtemps ; pour les industriels et les distributeurs, elle est un nouvel espace de positionnement, d'innovation et de dynamisation des ventes ; pour les administrations, elle est un enjeu de santé publique et de rassurance. Au total, tout concourt à faire de l'alimentation un phénomène de santé. Cette tendance est illustrée et analysée dans cet article. Son impact est mesurée grâce à une inventaire des segments de marchés concernés et à un chiffrage de leur importance respective."
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Bio Suisse : Conférence de presse du 27 mars 2008
Lors de sa conférence de presse annuelle, Bio Suisse a présenté les principaux chiffres de l'agriculture biologique suisse. L'an dernier, les ventes de produits bio se sont accrues de 7,7% pour atteindre près de 1,3 milliard de francs suisses. Le marché des aliments bio a ainsi enregistré une croissance plus de deux fois plus élevée que le marché alimentaire global (3%). La progression est particulièrement frappante en Romandie où les ventes bio se sont accrues de 9%. La surface agricole cultivée de manière biologique a également augmenté de 2000 hectares. Bio Suisse envisage l'avenir avec confiance. Le marché pourrait absorber aisément quelques centaines de fermes biologiques supplémentaires. Le dossier de presse de la conférence se présente comme suit : - Résumé pour les médias : "Le Bio en plein essor - aussi en Suisse romande" ; - Illustrations : nombre des entreprises agricoles selon le nombre et la surface en 2007, chiffre d'affaires des produits bio sur plusieurs années et selon le mode de commercialisation, parts de marché de différents produits bio ; - Exposés : Markus Arbenz : "Le bio vit un nouvel essor", Jürg Schenkel : "Un Bourgeon à croix Suisse", Markus Weber : "Le vin suisse bio - des débuts difficiles à un produit de qualité". Le dossier complet de la conférence de presse annuelle est téléchargeable à l'adresse : http://www.bio-suisse.ch/fr/bioinzahlen.php.
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Biscuits bio : À la merci des matières premières (Dossier : Biscuits sucrés)
Marc REIDIBOYM, AuteurAvec un bond de 85 % de leur chiffre d'affaires sur 12 mois, les biscuits bio changent d'époque. Ils pèsent désormais 20 millions d'euros en GMS. Certes, cela représente moins de 1,5 % des ventes globales du rayon. Mais les produits estampillés "AB", à en croire la plupart des intervenants du marché, n'en resteront pas là... Si la concurrence entre industriels (cas de Lu qui revoit son sourcing pour faire des économies et proposer des produits plus accessibles) et MDD est positive pour le marché, elle pose la question récurrente des matières premières et de leur disponibilité, ainsi que celle des ambitions d'une PME plus traditionnelle, différentes de celles d'une marque "leader sur son marché" (cas de Traou Mad qui a lancé les galettes de Pont Aven en version bio dans le réseau spécialisé des Biocoop et qui, fort de son succès, a tenté sa chance chez Auchan...). Les avis divergent sur le potentiel réel du bio en GMS : tension sur les matières premières qui limite mécaniquement sa part de marché à 3 %, prix qui demeure un frein incontournable... Malgré cela, certains pronostiquent 5 % à 10 % de part de marché aux biscuits bio.
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La carotte se mange bio
RÉUSSIR FRUITS ET LÉGUMES, AuteurEn Allemagne, 21% des ventes de carottes concernent la carotte biologique, alors que la tomate biologique ne concerne que 5% des ventes et les concombres, poivrons et oignons atteignent 2 à 3% des ventes. L'écart de prix entre la carotte issue d'agriculture conventionnelle et celle issue de l'agriculture biologique tend à diminuer. Ainsi, en août 2010, la carotte biologique était vendue au consommateur 0,18 euro/kg de plus que la carotte conventionnelle.
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Chiffres France 1998-2008 : La distribution spécialisée bio il y a dix ans...
BIO-LINEAIRES, AuteurLe secteur de la distribution spécialisée a fortement évolué en 10 ans, que ce soit dans les réseaux organisés ou chez les indépendants. Les réseaux ont notamment vu leur chiffre d'affaires augmenter de plus de 400 %, selon l'enquête de Bio Linéaires. Rapide tour d'horizon sur l'évolution de ce secteur : - Le secteur de la distribution spécialisée en réseau ; - Parts de marché des réseaux organisés en valeur ; - Evolution des réseaux organisés de 1998 à 2008.
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La concentration s'accélère sur le marché des produits biologiques
"Voilà une approche de l'évolution du bio au travers des ""grands faiseurs"" : les regroupements récents, les espoirs de développement sur les linéaires, la menace de l'agriculture raisonnée comme alternative à une bio dont le prix reste le principal frein, au dire des baromètres économiques. "
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Croissance du marché et freins politiques
Jacqueline FORSTER-ZIGERLI, AuteurLors de la conférence de presse annuelle de Bio Suisse, son directeur s'est exprimé sur les intentions de la Confédération de développer le système des paiements directs qui rémunèrent l'ensemble des agriculteurs pour les prestations qu'ils fournissent à la collectivité tels que : - la sécurité de l'approvisionnement ; - l'entretien du paysage ; - l'occupation décentralisée du territoire Ceci entraînerait la suppression de la prime bio, qui représente actuellement 1% du montant total des paiements directs. Cette suppression exposerait la confédération à deux gros risques : - le développement d'une agriculture spécialisée plutôt qu'une agriculture biologique formant un tout ; - l'arrêt de la récompense aux paysans biologiques dont l'impact sur l'environnement est plus faible avec un risque d'augmentation des coûts pour le traitement de l'eau et la santé publique. De plus, en ne soutenant plus l'agriculture biologique, la Suisse s'isolerait puisque de nombreux pays voisins ont des objectifs ambitieux de développer et de soutenir ce mode de production. Il est par ailleurs rappelé que le marché bio est en forte croissance, aussi bien en circuits long que court, et que le nombre de fermes bio est en légère progression (+0,6%) pour atteindre 11,9% des entreprises agricoles suisses, alors que les surfaces restent constantes avec 112 000 ha, soit 11,4% de la surface agricole totale.
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Danone : Des objectifs très ambitieux pour Les 2 Vaches
Sabine CARANTINO, AuteurLa marque Les 2 Vaches, de la société Stonyfield (filiale de Danone), connaît une croissance continue de sa part de marché en valeur depuis trois ans. Cette croissance devrait être de 19 % en 2013. Pour cela, la marque de yaourts et desserts lactés compte beaucoup sur la communication, notamment via le digital (e-réputation). Les valeurs et engagements restent primordiaux en amont, avec de nouveaux partenariats sourcing pour les myrtilles, issues de forêts polonaises certifiées Natura 2000, et le chocolat, importé de Tanzanie. Les 14 éleveurs laitiers bio qui travaillent avec la marque peuvent compter sur des contrats de cinq ans renouvelables.
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Die Vermarktung von Ökolebensmitteln in Europa
Le marché des produits alimentaires biologiques est très dynamique dans la plupart des pays d'Europe et quelle que soit la filière. Une étude, disponible à l'Université d'Hohenheim, montre qu'il existe des facteurs favorables à une augmentation de la part de marché des produits biologiques, mais également des freins.
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La distribution bio à l'étranger : actualisation des chiffres
Michel KNITTEL, AuteurLa bio est en pleine croissance dans la majorité des pays du monde, avec, d'un pays à l'autre, des disparités. Les chiffres de la distribution bio évoluent rapidement. Ils ont été actualisés et sont présentés pour la France, la Belgique, l'Allemagne, l'Espagne, l'Italie, le Royaume-Uni, la Suisse, puis le Canada et les États-Unis. Sont indiquées : la répartition des ventes par circuit de distribution, l'évolution des ventes de produits bio de 2008 à 2017, l'évolution des parts de marché des différents distributeurs.
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La distribution des produits naturels et bio en Norvège
Michel KNITTEL, AuteurLa Norvège (385 000 km2) présente une densité de population peu élevée (13,8 habitants/km2). Lagriculture biologique et la consommation bio ne sy expriment pas autant que dans beaucoup dautres pays européens. En 2017, seule 4,7 % de la SAU était cultivée en bio (6,4 % en France, 14,4 % en Suisse, la même année ). Bien que ne faisant pas partie de lUnion européenne, la Norvège a adopté les exigences européennes pour sa propre certification. L'organisation privée Debio, créée en 1986, est le seul organisme national certificateur. En 2018, le chiffre daffaires de la bio en circuit conventionnel sélevait à 286 Mio . La même année, 60 % des ventes bio ont été réalisées dans les magasins à prix réduits qui ont fortement augmenté leur offre et dont la part de marché croît régulièrement. Les magasins conventionnels proposent des produits bio similaires à ceux du réseau spécialisé, et à des prix inférieurs. Les données pour le bio vendu en dehors des magasins conventionnels ne sont pas précises. Sous le terme « Spezialbutikker », se trouvent de petits points de vente alimentaires indépendants proposant un large choix daliments bio, mais aussi des produits dorigine locale, sans emballage plastique, etc. La distribution bio est aussi assurée par les « helsekostbutikker » (léquivalent des health-food stores anglo-saxons), qui vendent essentiellement des compléments alimentaires, des produits diététiques pour sportifs, des cosmétiques et un peu dalimentation bio. Pour la vente directe, la Direction de lAgriculture norvégienne dénombre 72 coopératives fermières (coopération à long terme entre producteurs et consommateurs) qui proposent des légumes, des fruits et des plantes culinaires. 60 % dentre elles sont certifiées par Debio (les autres travaillent de façon écologique) et leur chiffre daffaires est estimé à 1,05 Mio pour 2018. Léquivalent des Amap existe aussi (37 initiatives avec 400 producteurs). Les marchés fermiers en ville sont en baisse. En revanche, les grossistes livrant aux professionnels de la restauration collective ont vu leur chiffre daffaires augmenter de 3 % en 2018.
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La distribution spécialisée dans le marché bio
BIO-LINEAIRES, AuteurLes magasins spécialisés continuent d'être, en France, un canal privilégié de la distribution des produits alimentaires biologiques, et les prévisions confirment qu'ils deviendront le premier distributeur de ces produits d'ici quelques années. Ils présentent les plus forts taux de croissance, ainsi qu'une évolution de leur part de marché (36 % en 2014).
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Dossier agrumes : Segment vitaminé
Julie MARTIN, AuteurSoulignée par Kantar WorldPanel dans sa dernière infographie consacrée au bio, la percée des fruits et légumes bio se confirme et les agrumes y tiennent une place de choix. Les ventes ont progressé dans tous les types de circuits de distribution. 6,2 %, telle est la part des fruits bio au sein du marché global des fruits, en volume. Le citron apparaît en tête, avec près de 12 % des volumes achetés en bio en France, l'orange se situe autour de 5 %, le pamplemousse 4 % et les petits agrumes 3 %. Dans le réseau spécialisé, la famille des agrumes pèse 5 000 t, et l'orange reste leader avec 60 % des volumes, selon le dirigeant d'Alterbio, grossiste spécialisé en produits bio pour ce réseau. Les approvisionnements se font à 80 % avec l'Espagne. La seule région de Valence en assure les 10 %, soit 200 t d'oranges, 150 t de clémentines et 100 t de citrons et pomelos. Alterbio a noté un manque en citrons depuis quelques années et encourage ses producteurs partenaires à développer cette production. Le grossiste Arco Fruits, en partenariat avec le producteur Rio Tinto, souhaite miser sur les clémentines et les citrons avec, en particulier, des efforts sur les plantations de variétés précoces de clémentines bio.
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Dossier Le bio promet de nouveaux relais de croissance
Anne-Marie PAULAIS, AuteurL'ajustement de l'offre et de la demande est un enjeu majeur pour les filières. Celle du lait bio est particulièrement concernée. Alors que l'on craignait en 2012 que la consommation ne puisse absorber l'ensemble de la production, 2013 a plutôt vu une demande à la hausse et des conversions ralenties, inversant ainsi la tendance attendue. Les ventes en GMS ont également progressé en 2013, et ce, pour l'ensemble des produits laitiers biologiques : lait de consommation, ultra-frais, crèmes, beurres A noter qu'en parallèle, les ventes de produits laitiers en général (conventionnels et bio tous confondus) ont plutôt tendance à stagner. Ainsi, le lait bio dépasse en valeur les 10 % des ventes de lait en GMS. Seuls les fromages bio ont une part de marché encore très limitée (0,6 %). Ce dossier est complété par les témoignages d'Eric Guihery, éleveur et référent production laitière à la Fnab, et Christophe Baron, président de Biolait. Des zooms sont faits sur les marchés de l'ultra-frais et du lait de consommation, de même que sur l'importance de la communication.