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CAP'2ER® : Guide simplifié de la méthodologie d'évaluation environnementale d'une exploitation agricole
CAP'2ER® est un outil développé par l'Institut de l'Élevage-Idele qui permet d'évaluer les impacts environnementaux d'un atelier agricole (Niveau 1 de l'outil) ou d'une exploitation dans sa globalité (Niveau 2), et ce, pour toutes les filières d'élevage et les grandes cultures. Il peut être utilisé à des fins de conseil et pour la mise en uvre d'un plan d'actions. Ce guide simplifié, disponible également en anglais, présente les principes généraux, ainsi que les référentiels sur lesquels s'appuie cette méthodologie. Cet outil permet d'évaluer, entre autres, les émissions de gaz à effet de serre, les consommations d'énergies fossiles et la production d'énergies renouvelables, ou encore les impacts de l'activité agricole sur la qualité de l'air et de l'eau (pertes d'ammoniac...). Outre des indicateurs environnementaux, une évaluation de la performance nourricière de l'exploitation est proposée.
Ferme des Mesnils : 50 légumes bio pour la vente directe !
En 2009, le lycée agricole de Courcelles-Chaussy, en Moselle, a converti une partie de son exploitation, la ferme des Mesnils, à l'agriculture biologique, notamment pour mettre en place un atelier maraîchage. Dans la région, ce mode de production et cette filière sont encore peu présents. Cet atelier couvre l'ensemble des étapes de la filière, de la production de plants à la vente des légumes, en passant par le stockage à la ferme. Une centaine de paniers sont vendus chaque semaine, représentant la moitié du chiffre d'affaires global pour l'atelier légumes. Concernant la pédagogie, ce sont surtout les apprenants en BPREA qui utilisent l'atelier maraîchage bio, mais la quasi-totalité des élèves et stagiaires de l'établissement le visitent au moins une fois par an.
Des pleurotes dans nos moulinages ?
Christophe Bournoville est producteur de champignons bio, dans l'Yonne. A l'invitation d'Agri Bio Ardèche, il est venu présenter et expliquer comment il cultive plusieurs variétés de champignons, et plus particulièrement le pleurote, dont la culture est relativement facile.
Étude filières volailles et porcs
Une étude a été réalisée sur les filières porc biologique et volaille de chair biologique dans les départements Drôme et Ardèche, dans le but de réaliser des fiches filières contacts pour ces productions. En ce qui concerne la filière volaille de chair, 10 élevages bio ont été localisés en Ardèche. La question de l'autonomie des fermes de l'Ardèche et de la Drôme a fait l'objet d'une attention particulière, ce dont l'article rend compte. Pour la filière porc biologique, 14 élevages bio ont été répertoriés en Ardèche, et font l'objet d'une description globale.
Elevage : Mettre en place un atelier poules pondeuses bio sur sa ferme ?
Madeg JOIN-LAMBERT, AuteurSur la ferme de Marcel Jolivel, éleveur de vaches limousines, Timothée Dupont et Marie Jolivel ont pu développer, il y a trois ans, un atelier de poules pondeuses bio sur 3 ha. En moyenne, 660 poules pondeuses sont présentes à l'année (parcours plantés de pommiers moyenne tige, poulaillers mobiles et pondoirs, gestion sanitaire par des mesures préventives et des médecines alternatives, écoulement de 27 à 30 000 boîtes/an d'ufs en vente directe). Les charges principales sont liées à l'alimentation et au poste de commercialisation. David Léger, quant à lui, s'est installé, en 2011, sur une ferme où il conduit de front vaches allaitantes, poules pondeuses bio (filière Cocorette) et cultures. L'atelier pondeuse est organisé dans un bâtiment fixe, unique, de 300 m² où 1 800 poules sont logées (lumière artificielle pour un éclairage journalier de 16 h, pondoirs sur les murs intérieurs, garnis de foin). L'aliment est acheté chez Novial et le parcours compte 5 m²/poule. Economiquement, cet atelier permet de dégager un demi-salaire, avec un temps de travail de 2h-2h30/jour en moyenne.
Oeufs bio : 2/3 des pondeuses dans les Côtes d'Armor
Michaël DESPEGHEL, AuteurLa filière ufs bio se consolide en Bretagne : 930 000 pondeuses étaient certifiées bio ou en conversion fin 2011 (augmentation de 15 % en une année). 2/3 du cheptel se concentre essentiellement dans les Côtes d'Armor (618 330 pondeuses). Pour 70 % des 187 élevages de poules pondeuses, l'atelier uf est la production principale L'ancrage de la filière avicole dans les Côtes d'Armor et le processus d'intégration verticale ont deux conséquences sur le profil moyen des élevages : une production essentiellement tournée vers la grande distribution, une SAU par ferme peu élevée. L'article fait un point particulier sur l'intégration verticale et le lien au sol (en rapport avec la règlementation).
Formation volailles et poules pondeuses en bio : Comment bien démarrer son atelier ?
Cet article est issu d'une formation sur le thème du démarrage d'une production de volailles ou de poules pondeuses bio, formation axée sur la prévention sanitaire. Divers points sont ainsi abordés, de façon très synthétique : i) le choix du logement (bâtiments fixes ou mobiles), ii) l'optimisation de l'utilisation du parcours (notamment le rôle et la nature des haies), iii) les points clés en lien avec la physiologie de l'animal (exemple : comment entretenir une flore digestive adaptée), iv) le choix du type de poules et poulets (comme l'intérêt des races rustiques en lien avec les parcours), v) l'alimentation des pondeuses (exemple : la prévention des carences), et enfin, vi) la gestion sanitaire de l'élevage (en particulier, la prévention du parasitisme externe).
Elevages transformant et commercialisant leurs porcs : Caractéristiques techniques
Cyrielle DELISLE, Auteur ; Pierre FROTIN, AuteurCet article rapporte la partie technique des résultats d'une étude rétrospective d'évaluation de la rentabilité d'élevages transformant et commercialisant leurs porcs à la ferme dans différentes régions françaises, ainsi qu'une mise au point d'une typologie de ces exploitations (sujet traité dans cet article). Dans un premier temps, les démarches à suivre lors de la création d'une activité de transformation et de commercialisation sont détaillées. Les administrations intervenant dans le contrôle de la vente directe, et leurs rôles respectifs, sont donnés, ainsi que les réglementations que doit respecter l'éleveur pour la création des ateliers, le respect des règles d'hygiène, l'obtention de l'agrément sanitaire de l'atelier de transformation, l'étiquetage et les signes d'identification de la qualité et de l'origine. Les facteurs en fonction desquels les modes de commercialisation et de communication doivent être réfléchis sont évoqués, tout comme les moyens de mesurer la rentabilité du projet. Dans une deuxième partie, les résultats des caractéristiques techniques sont donnés et commentés pour l'atelier de production (orientation et statut, taille de l'atelier, mode d'élevage, main d'uvre), l'atelier transformation (structure et orientation, abattage, volume et poids de carcasse, main d'uvre, agrément sanitaire, produits transformés) et l'atelier vente (structure et circuits de commercialisation, main d'uvre, communication et clientèle). Il s'avère ainsi que le critère le plus adapté pour caractériser l'activité de production/transformation/vente est le % de porcs transformés. Trois groupes se distinguent et sont caractérisés par le fait qu'ils transforment moins de 50% des porcs produits, entre 50 et 75%, ou plus de 75%.
Technique - Ovins biologiques lait et viande
Les 9 et 10 avril 2008, l'ITAB et le Pôle Scientifique AB Massif Central ont organisé, en partenariat avec le Lycée agricole de St Affrique et la Chambre d'Agriculture de l'Aveyron, des Journées Techniques nationales sur l'élevage ovin en AB, à St Affrique. Les questions sanitaires, alimentaires, économiques, de reproduction, de qualité des produits en ateliers lait et viande ont été largement abordées à travers des conférences, des ateliers thématiques ou des visites d'élevage. Ce petit dossier en donne un aperçu avec les trois articles suivants : - Recherche de la qualité du sol au lait ; - Gérer le parasitisme pour éviter les traitements ; - Adapter l'élevage au potentiel du terrain. Un encart détaille les revenus en bio et conventionnel qui sont comparables.
Inauguration au lycée Les Vergers : Le porc bio s'enseigne à Dol-de-Bretagne
Le lycée agricole de Dol-de-Bretagne a inauguré le 30 novembre un post sevrage engraissement bio de 200 places. Pour mener à bien ce projet de plate-forme agro-biologique avec un atelier porc, le lycée a fait appel au pôle de l'agriculture bio d'Ille-et-Vilaine dans lequel sont regroupées pas moins de 6 structures différentes, pour environ 150 producteurs adhérents dont 7 éleveurs de porcs. L'ensemble de l'atelier porc a été réalisé dans l'exact respect du cahier des charges bio. Un bel outil pédagogique de référence mais dont la rentabilité reste complètement à démontrer.
Ateliers fermiers : Des systèmes variés et complexes
Les ateliers fermiers sont répartis sur l'ensemble du territoire national et présentent, selon leur taille et les associations de productions animales ou végétales, des systèmes diversifiés. Les petits ateliers avec diversification qui traitent de 10 000 à 35 000 litres de lait par an représentent 20% de l'ensemble des exploitations caprines. Pour la plupart des ateliers, la production laitière fermière vient en complément de troupeaux souvent importants de vaches allaitantes.