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1000 diagnostics « biodiversité » : Les agriculteurs font l'état des lieux
Kristell LABOUS, AuteurLa FNSEA a mobilisé 1000 de ses adhérents, en septembre 2013, pour un diagnostic national sur la biodiversité au sein des exploitations agricoles. Les profils des agriculteurs qui ont accepté de réaliser cet autodiagnostic sont variés : céréaliers, maraîchers, éleveurs ; conventionnels, raisonnés, bio Si certains ont des démarches liées à une réglementation (zonage, MAEt), d'autres mettent en place des actions plus volontaires : entretien d'espaces boisés, installation de ruches, utilisation d'auxiliaires de culture
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2èmes Assises de la bio : Enfin du bio dans toutes les cantines ?
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurCes Assises avaient pour thème "Les perspectives de la bio en restauration collective", secteur stimulé par les mesures du Grenelle de l'environnement et l'engagement de l'Etat. Les 10 millions de repas, incluant au moins un ingrédient bio, servis en 2007, ne représentent actuellement que 0,2% du marché total des repas hors domicile, estimé à 3,5 milliards de repas par an. Ils font d'ailleurs pâle figure face aux 924 000 repas bio quotidiens servis en restaurants scolaires en 2007 en Italie. Si la volonté est là, les problèmes récurrents restent l'approvisionnement et la gestion du surcoût. Pour favoriser le développement d'initiatives, l'Agence Bio répertorie les actions existantes et met en avant des dispositifs exemplaires. Le Synabio estime, pour sa part, que les objectifs fixés au sein de l'administration publique sont un geste fort mais qu'il faut se donner les moyens de les atteindre en structurant les filières, en planifiant les approvisionnements et en faisant évoluer le cahier des charges de la restauration collective. La Fnab, pionnière dans ce secteur, a mis au point une charte. Elle évoque la régularité et la pérennité des actions comme clés de la réussite à long terme, ainsi que la planification et le partenariat comme facteurs de diminution des surcoûts. Elle considère par ailleurs que ces surcoûts sont surestimés du fait des externalités négatives non prises en compte de l'agriculture conventionnelle.
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Agriculture et gaz à effet de serre : Etat des lieux et perspectives
Diane VANDAELE, Auteur ; Amandine LEBRETON, Auteur ; Benoît FARACO, Auteur | MONTREUIL (47 avenue Pasteur, 93 100, FRANCE) : RAC-F (Réseau Action Climat-France) | 2010Après un rappel sur la façon dont l'agriculture mondiale s'est largement recomposée au cours de la seconde moitié du XXème siècle, et comment, d'ici 2050, elle devra nourrir 9 milliards d'individus tout en préservant les écosystèmes, le document précise que l'agriculture occupe une place à part, en particulier dans le contexte des changements climatiques. L'objet de la publication est de faire un état des lieux des connaissances scientifiques en matière d'émissions de GES (Gaz à effet de serre) agricoles et de mettre en exergue les différentes pistes techniques, politiques, ainsi que les instruments qui peuvent jouer sur ces émissions. La publication se compose comme suit : - Comprendre les interactions entre climat et agriculture ; - Agriculture : réduire les émissions et accroître le stockage du carbone ; - Les politiques d'atténuation en agriculture.
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Aides Pac à la bio : au bon cur des régions !
BIOFIL, AuteurEn France, les Régions proposent des aides à la bio différentes selon leurs volontés politiques et leurs contraintes budgétaires. Les agriculteurs bio ou en conversion peuvent donc être plus ou moins bien lotis en fonction de leur localisation. Concernant laide Cab (Conversion à lAgriculture Biologique), les régions mettent souvent en place un plafond annuel par ferme (avec transparence GAEC), mais ces plafonds ne sont pas partout les mêmes : 12 000 en Auvergne-Rhône-Alpes, 15 000 en Pays de la Loire, Occitanie, Bretagne, PACA et Bourgogne-Franche-Comté ; 18 000 en Normandie et en Nouvelle-Aquitaine Seuls les Hauts-de-France, lÎle-de-France et la Corse ne plafonnent pas. Concernant laide Mab (Maintien à lAgriculture Biologique), elle a été supprimée dans la majorité des régions. Elle résiste encore en Bretagne et elle est prolongée pour un an en Nouvelle-Aquitaine, Île-de-France et Hauts-de-France. En revanche, plusieurs régions continuent de la restreindre aux zones à enjeu eau (ex : Normandie).
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L'arboriculture biologique : Etat des lieux de la conversion
L'agriculture biologique connaît ces dernières décennies, un développement conséquent et international, en réponse à une demande croissante des pays développés. La France accuse un certain retard au sein de l'Union Européenne. Les cultures fruitières constituent un des secteurs les moins dynamiques de l'agriculture biologique française. Afin d'approcher au mieux le contexte et les enjeux de la conversion en arboriculture, le Ctifl a fait le choix de s'adresser directement aux producteurs, au travers d'une enquête de terrain. L'ouvrage se décline en trois grandes parties, avec dans un premier temps, un aperçu de la situation de l'arboriculture biologique française dans le cadre européen et mondial. La deuxième partie développe les résultats de l'enquête proprement dite et présente les enjeux économiques et techniques pour le développement de ce secteur. Enfin, un état des lieux est dressé pour chacune des neuf espèces étudiées.
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La bio en Hongrie : De nouvelles aides plus stimulantes
Philippe CALDIER, AuteurL'agriculture biologique représente actuellement 2% des surfaces et 0,3 % des exploitations en Hongrie. Après avoir connu une forte période de croissance jusqu'en 2004 puis un ralentissement jusqu'en 2008, un nouveau régime de subvention mis en place en 2009 devrait faire augmenter rapidement la production, particulièrement dans le secteur des fruits. Léa Bauer, du principal organisme de contrôle hongrois (Biokontroll), donne dans cet article de nombreux chiffres et informations sur les diverses productions du pays, les aides disponibles et la commercialisation des produits biologiques hongrois. Elle explique ainsi que 85 % de la production part à l'export et que la demande intérieure reste faible pour le moment.
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Caractérisation de l'offre de viande bovine biologique des troupeaux allaitants des Pays de la Loire
La région Pays de la Loire est la première région française productrice de viande bovine biologique. Les vaches allaitantes "bio" de la région représentent 22 % de l'effectif national. Afin d'avoir plus de lisibilité sur les choix faits par les producteurs, un état des lieux de l'offre de viande bovine biologique a été réalisé. L'étude a été mise en place par les Chambres d'agriculture de la région, en partenariat avec l'association Ebio et avec le soutien de la Direction régionale de l'agriculture et de la forêt (DRAF) et de la Région. Elle fait suite aux travaux précédents traitant de la même problématique (campagnes 2004/2005, 2005/2006 et 2006/2007). Le travail a deux principaux objectifs : quantifier la production de viande bovine biologique des troupeaux allaitants et suivre l'évolution de la production sur la campagne 2007/2008 ; caractériser les structures de production. Présentation : matériel et méthodes ; les exploitations et les éleveurs ; les ventes des élevages allaitants "biologiques" ; l'organisation des exploitations allaitantes "bio".
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Climate Change and Land: An IPCC Special Report on climate change, desertification, land degradation, sustainable land management, food security, and greenhouse gas fluxes in terrestrial ecosystems
Almut ARNETH, Auteur ; Humberto BARBOSA, Auteur ; Tim BENTON, Auteur ; ET AL., Auteur | GENEVA 2 (c/o World Meteorological Organization, 7 bis Avenue de la Paix - C.P. 2300, CH - 1211, SUISSE) : IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) | 2019Ce document est le résumé, pour les décideurs, du rapport du GIEC sur le changement climatique et le foncier. Il fait suite à la publication d'autres rapports récents (rapport spécial du GIEC sur le réchauffement de la planète de 1,5°C ; évaluation de la dégradation et de la restauration des terres par lIPBES...) et fournit une évaluation actualisée et complémentaire des connaissances sur le réchauffement climatique et les problématiques quil engendre. Ce document traite à la fois des émissions de gaz à effet de serre (GES), de la gestion et de l'utilisation du foncier, de la dégradation des terres, de la désertification des zones rurales, de la sécurité alimentaire et des adaptations au changement climatique. Ce résumé est structuré en quatre parties : A - Les personnes, les terres et le climat dans un monde en réchauffement ; B Les possibilités en matière d'adaptation et d'atténuation ; C Les options de réponses possibles ; D Les actions à réaliser à court terme.
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Consommation et production durable : Comment agir ?
Laurent MEUNIER, AuteurDans sa feuille de route visant une meilleure utilisation des ressources, la Commission européenne met en avant la nécessité de développer des modèles de consommation et de production plus durables. Dans ce contexte, le cabinet BIO Intelligence Service a réalisé une étude, pour le compte de l'ADEME, qui quantifie l'impact environnemental de la consommation de biens et services en France. Les critères utilisés sont les gaz à effet de serre, l'acidification, les composés organiques volatils non méthaniques, les déchets industriels dangereux et non dangereux. Les impacts environnementaux calculés prennent en compte les phases de production des produits et de leurs différents composants, ainsi que leurs phases d'utilisation et de fin de vie (recyclage, mise en décharge ). Les principaux résultats de cette étude sont présentés dans cet article. L'alimentation, le logement et le transport sont les postes ayant les plus forts impacts environnementaux parmi les consommations des Français, mais ceux liés à la communication et aux loisirs sont en forte augmentation. Des leviers d'action ont été identifiés pour produire et consommer plus durablement : - améliorer les processus de fabrication et la logistique ; - inciter des choix de consommation vers des produits à moindre impact, possible grâce au développement de l'étiquetage environnemental ; - mettre en place des systèmes d'incitation économique, etc.
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Coop & Bio 2015 : Panorama Auvergne-Rhône-Alpes
Cette brochure présente un tour d'horizon de l'agriculture biologique dans la coopération agricole en région Auvergne-Rhône-Alpes. En 2015, dans la région, 102 entreprises coopératives avaient une activité certifiée en agriculture biologique, soit une coopérative sur trois. Cela représente un chiffre d'affaires de 120 millions d'euros, en progression de 18 % par rapport à 2014. Si toutes les filières y sont représentées, c'est celle des grandes cultures qui réalise la part la plus importante du chiffre d'affaires. Pour cette filière, 80 % de la collecte bio régionale est réalisée par les coopératives. Globalement, le nombre d'exploitations bio présentes en coopérative est en progression.
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Covid-19 : Quels impacts sur la Bio ?
Anne UZUREAU, Auteur ; Emmanuelle CHOLLET, AuteurGlobalement, les filières bio ont plutôt bien résisté à la crise de la Covid-19. Le confinement a dailleurs accentué la dynamique de consommation des produits bio, ce qui sest traduit par une augmentation des ventes dans les GMS et dans les magasins spécialisés (cette croissance est toutefois inégale suivant les départements). Ce phénomène a dailleurs pu engendrer quelques difficultés occasionnelles dapprovisionnement en produits bio dans les magasins. Concernant la vente directe, cette crise a occasionné un surplus de travail chez les producteurs. Elle a aussi impacté de différentes manières les filières : la filière viande na pas trop subi de baisse de volume, sauf pour la viande de veau et un peu pour la viande dagneau. Quant à la filière lait, elle a réussi à gérer cet épisode en limitant les volumes produits durant le pic printanier. Luf bio a connu une pénurie et des problèmes dapprovisionnement sont à prévoir pour la farine bio française (la demande est forte et les récoltes sont faibles). Deux filières, la filière vin et la filière bière, ont en revanche directement souffert de cette crise sanitaire (leurs ventes se sont effondrées).
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Développer les fruits et légumes bio : quels besoins techniques et travaux dexpérimentation ? : Principaux résultats de létude réalisée en 2016 et 2017 par le Ctifl pour Interfel
Face à lengouement croissant des consommateurs pour les fruits et légumes bio, la production progresse à un rythme inférieur à la demande. Cest dans ce cadre que le Ctifl a réalisé une étude, en 2017, à la demande du Comité Bio dInterfel, afin didentifier les domaines nécessitant un renfort de recherche-expérimentation. Cette étude se décline en trois temps : 1) Identification des besoins en expérimentation / recherche ; 2) Recensement des travaux conduits en 2017 ; 3) Identification des champs à développer. Globalement, le nombre dexpérimentations observées reste faible par rapport à la diversité des productions de fruits et légumes, à la diversité de leurs problématiques et aux enjeux de la filière. Environ 415 expérimentations ont été réalisées en 2017, dont la moitié concerne de la lutte directe. Selon cette étude, les axes à renforcer sont la maîtrise de certains bioagresseurs, la connaissance du sol et de son fonctionnement biologique, la sélection et la production de semences pour adapter le matériel végétal aux exigences, et la gestion des pertes post-récolte.
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Développer les fruits et légumes bio : Quels besoins techniques et travaux d'expérimentations ?
Muriel MILLAN, Auteur ; Prisca PIERRE, Auteur ; Xavier VERNIN, Auteur ; ET AL., AuteurLe développement de la production et de la consommation française de fruits et légumes biologiques soulève un certain nombre de problématiques techniques tant pour la production que pour la commercialisation. Les travaux menés en France peuvent concourir à y répondre de manière directe ou indirecte. À la demande du Comité Bio d'Interfel, une étude a été menée par le CTIFL, en 2017, pour identifier les verrous techniques et technologiques du développement de ces productions, connaître les efforts de recherche/expérimentation pouvant actuellement y répondre afin d'identifier les domaines à renforcer et d'établir une feuille de route de recherche/expérimentation intéressante pour le développement des fruits et légumes biologiques.
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Devenir maraîchers en Loire Atlantique
Le GAB 44 a réalisé un état des lieux sur la production maraîchère et a référencé des indicateurs économiques afin de faciliter les installations. En Loire Atlantique, trois systèmes de production se distinguent : soit un système basé sur la production de quelques légumes avec une mécanisation importante et une vente en circuit long, soit un système diversifié plutôt basé sur la vente directe, et enfin une production de légumes en complément d'une autre activité. Le coût de la main d'uvre, des semences et plants dépend de ces différents systèmes. Le choix du mode de commercialisation influence également le montant des charges opérationnelles. Des éléments de comparaisons sont donnés afin de mettre en évidence les avantages et inconvénients de chacun des systèmes.
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Dossier : Agriculture biologique, zoom sur un secteur en plein essor
Pierre AT, AuteurCe dossier offre en premier lieu un tour d'horizon du marché, des produits et des conditions de production biologique, rapidement exposés à l'échelle mondiale et européenne et plus en détail pour la France et l'Aveyron. Les principales caractéristiques de la conversion sont ensuite exposées, ainsi qu'un schéma des démarches à suivre pour être labellisé en agriculture biologique. Une large place est finalement laissée aux témoignages de six agriculteurs aveyronnais qui donnent ainsi des exemples concrets pour différentes productions : l'élevage bovin lait, bovin viande, ovin lait, ovin viande, production de fromage de vache fermier et maraîchage.