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Un groupe distributeurs bio spécialisés à l'IFOAM EU
BIO-LINEAIRES, AuteurLa première rencontre officielle du groupe de distributeurs bio s'est tenue en septembre 2018 en Autriche. Créé au sein d'IFOAM EU, ce groupe est né d'une volonté des distributeurs bio d'être davantage impliqués dans les affaires européennes. Huit pays étaient représentés lors de cette première rencontre. Le premier sujet abordé concernait une définition des caractéristiques d'un distributeur spécialisé bio.
Lobbying and liaisons - Reaching out
Deux des activités et des buts principaux d'IFOAM sont : - d'échanger la connaissance et la compétence avec ses membres et d' informer le public en ce qui concerne l'agriculture biologique, - de représenter, au niveau international, le mouvement biologique lors de rencontres parlementaires, administratives et politiques. Depuis ses tous premiers pas, IFOAM informe le public sur l'AB, et 15 ans après sa fondation, la fédération a commencé à représenter le mouvement biologique et à s'impliquer dans le lobbying. Explications.
Mainmise sur l'agriculture biologique ... Et comment le USDA pave la voie
"Fred Kirschenmann est agriculteur bio au Dakota du Nord. Il met clairement en perspective les enjeux que soulèvent le nivellement par le bas du bio voulu par les grandes transnationales de l'agroalimentaire aux Etats-Unis. En effet, la nouvelle réglementation stipule que la norme américaine est à la fois un plancher et un plafond, c'est à dire que l'atteinte de normes plus sévères ne pourra pas être certifié ""organic""."
Der Biomarkt in Deutschland im Jahr 2010
En 2010, les trois modes de commercialisation de produits biologiques suivants vont être principalement développés en Allemagne : - supérettes exclusivement bio, avec une surface de vente de 200 à 600 m2 et une large gamme de produits alimentaires et non-alimentaires (4000 à 6000 références). Actuellement, l'Allemagne compte 30 à 40 magasins de cette taille. Ce chiffre pourrait se voir multiplié par 10 ou 20, essentiellement dans les moyennes ou grandes villes. - supérettes conventionnelles avec un rayon bio, avec une moyenne de références entre 500 et 1000 articles. La part de produits biologiques dans leur chiffre d'affaires pourra atteindre 20 à 30%. - systèmes de livraison à domicile, avec une augmentation perceptible mais toutefois pas semblable aux deux créneaux précédents. Déjà aujourd'hui, certains systèmes d'abonnement servent 500 à 1000 clients par semaine. Leur essor sera net dans les grandes villes dû aux problèmes de circulation et de stationnement. Globalement, la vitesse de développement de la vente de produits biologiques dans le pays, qui représentera en 2010 probablement 5 à 10% du marché des produits alimentaires, sera conditionnée par d'éventuelles mesures gouvernementales en faveur de la production et de la commercialisation de produits biologiques et par l'efficacité du lobby pro-bio.
La directive emballage dans l'impasse
Le décalage entre la réglementation européenne en matière d'emballage et son application dans les Etats membres est toujours une réalité. Seule la moitié des membres a parachevé la transposition de la directive du 20 décembre 1994 dans leurd droit national, et alors que la date butoir de transposition est dépassée de plus de 30 mois. Au carrefour des politiques environnementales et des considérations du marché, la politique de gestion des déchets reste un problème complexe et délicat.
Les lobbies à Bruxelles : le lobby agricole n'est plus seul
A connotation négative pour le citoyen, mais indispensable au fonctionnement démocratique de l'Union Européenne, le lobbying communautaire connaît un développement spectaculaire. Désormais, les organisations agricoles ne sont plus seules à Bruxelles, elles ont vu l'éclosion d'une multitude de nouveaux groupes de pression se chargeant de défendre les intérêts plus ciblés des régions, des entreprises ou des produits. En fin d'article, un schéma explique le cheminement des prises de décision au niveau européen.