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VALEUR ALIMENTAIRE |


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Adapter ses pratiques pour valoriser les prairies naturelles dégradées : Approche globale de la gestion des systèmes fourragers permanents
Lola JEANNINGROS, AuteurDans les zones dites défavorisées, les éleveurs doivent concilier des contraintes liées à leurs prairies permanentes souvent dégradées avec leurs objectifs de production. Le mode dexploitation de lherbe, le comportement au pâturage des animaux, ainsi que la gestion des prairies sont trois leviers daction qui influencent directement la flore. Maîtriser le cycle des graminées et notamment la notion de mise en réserve est essentiel pour pérenniser une prairie naturelle. Il est globalement plus difficile de gérer l'équilibre des espèces pour les prairies de fauche que pour des pâtures où les coupes sont plus nombreuses. Comprendre le comportement des animaux au pâturage est également important afin de pouvoir stimuler leur ingestion, celle-ci étant stimulée par la diversité des fourrages. 26 types de prises alimentaires sont ensuite évoqués. Afin dhabituer les animaux aux différentes prises, il est recommandé de leur offrir, dès le plus jeune âge, des végétaux diversifiés, dassocier des animaux jeunes avec des animaux plus expérimentés, voire de les mettre avec dautres espèces (par exemple, les chèvres incitent les autres espèces à lever la tête). Enfin, il est essentiel de réfléchir ses pratiques en fonction dobjectifs zootechniques et agroécologiques. Par exemple, pour limiter le tri et augmenter lappétence dune prairie, il est possible daugmenter le chargement instantané ; pour pousser les animaux à explorer différentes zones, les points dintérêt (eau, pierre à sel) peuvent être déplacés ; pour éviter de faucher les refus ou damener du foin, il est possible deffectuer du report sur pied. Enfin, contre les adventices (ronces, joncs, fougères), il faut concentrer les coupes sur les jeunes plants au printemps car ces derniers sont plus sujets à la mortalité.
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Agriculture de conservation : Résultats d'essais sur les couverts végétaux d'été et le maïs sans labour
Muriel SIX, AuteurSur la ferme de Bernussou, siège de ses essais, la Chambre d'agriculture de l'Aveyron a mis en place plusieurs expérimentations autour de l'agriculture de conservation. Les résultats de la campagne 2015 pour les couverts d'été et le maïs sans labour sont présentés dans cet article. Six mélanges de couverts d'été ont été implantés. Ils étaient constitués de légumineuses (pois, trèfle d'Alexandrie...), de crucifères (radis fourrager, navette...) et de plantes d'autres familles (tournesol, lin, avoine...). Chacun de ces mélanges visaient un objectif spécifique : - structuration du sol ; - couverture du sol ; - restitution d'azote ; - production de fourrage ; - piège à nitrates. Le sixième mélange a été constitué à partir des graines restantes. Les biomasses, valeurs alimentaires, rendements et restitutions en azote, phosphore et potasse, ainsi qu'un bilan économique ont été mesurés ou calculés. Des parcelles de couverts végétaux d'été pâturées chez des agriculteurs ont aussi été étudiées. A noter que des fertilisants non-autorisés en agriculture biologique ont parfois été apportés (contexte d'agriculture conventionnelle). Un second essai est présenté. Il concerne l'implantation de maïs sans labour, mais n'est pas transposable à l'agriculture biologique (utilisation de produits phytosanitaires interdits en bio pour la destruction du précédent et pour lutter contre les limaces).
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Les algues alimentaires
"Dossier présentant les bienfaits des algues en tant qu'aliments. L'algue est un thallophyte (végétal constitué de cellules juxtaposées) comme le champignon : pas de tige mais un stipe, pas de racine mais des crampons, pas de feuilles mais une thalle. Apparue tardivement dans la pharmacopée, elle a d'abord été employée dans le traitement des surcharges pondérales et du rachitisme. Et, depuis une dizaine d'années, les français consomment des algues (onze algues ont d'ailleurs été autorisées dans le pays) ; leur richesse en acides aminés assimilables, en vitamines, en minéraux et en oligo-éléments en font un apport alimentaire exceptionnel. Les différents types d'algues alimentaires, leurs utilisations, les espèces,... Pour tout savoir sur cet aliment à haute valeur nutritionnelle."
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Alimentation 100 % biologique en élevage de monogastriques : Pistes explorées par la recherche/expérimentation en AB
Antoine ROINSARD, Auteur ; Laurent ALIBERT, Auteur ; Stanislas LUBAC, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut Technique de l'Agriculture Biologique) | 2013La dérogation permettant une alimentation en monogastriques à 95 % biologique prendra fin en 2015. La recherche s'investit pour trouver des solutions pour les producteurs face à cette évolution réglementaire. Cette plaquette présente cinq projets de recherche, régionaux, nationaux ou européens, qui touchent à cette question. Ces projets explorent diverses pistes afin d'avoir une approche globale de cette question cruciale, aussi bien en termes de faisabilité technique, de qualité d'alimentation, de coût économique ou encore d'impact environnemental. Ainsi, sur une période allant de 2011 à 2015, quatre grands thèmes seront abordés par ces projets : (i) la disponibilité des matières premières en France et en Europe (projets ProtéAB, ICOPP et Avialim Bio), (ii) l'agronomie et les systèmes de culture avec en particulier des essais de variétés de protéagineux (projet ProtéAB), (iii) la valeur alimentaire de matières premières (projets ProtéAB, Monalim bio, Avialim Bio et ICOOP), et (iv) les formulations alimentaires (projets ProtéAB, Monalim bio, Avialim Bio, Porcs Bio et ICOOP).
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Alimentation des bovins ovins & caprins
Robert JARRIGE, Editeur scientifique | PARIS Cedex 07 (147 Rue de l'Université, 75 338, FRANCE) : INRA (Institut National de la Recherche Agronomique) | 1988
Cet ouvrage a été conçu pour un large public de techniciens et d'étudiants. Il comporte trois parties:- un précis de la nutrition des ruminants qui montre le rôle central de la digestion microbienne dans le rumen et présente les systèmes révisés concernant l'energie(UF), l'azote(PDI)et la quantité ingérée(UE) - des recommandations alimentaires pour chacune des nombreuses catégories de ruminants exploitées en France. Elles sont situées par rapport aux objectifs de production et illustrées par des exemples de calcul des rations - des tables de la valeur nutritive et de la composition d'environ 600 fourrages et 100 aliments concentrés ou sous-produits, parmi les plus complètes au monde. Elles sont précédées d'une brève description des principales catégories d'aliments.
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Alimentation du lapin en élevage biologique
Ce document a été réalisé dans le cadre du Programme CASDAR RFI LapinBio : "Développer une production cunicole durable en AB", 2010-2012. LapinBio est un projet de recherche expérimentation piloté par l'ITAB, porté par l'ITAVI. Cette fiche, intitulée "Alimentation du lapin en élevage biologique", traite des aspects suivants : Principes généraux de nutrition cunicole ; Recommandations pour la composition d'un aliment granulé complet ; Matières premières et aliments fréquemment utilisés.
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Alimentation : La luzerne cherche sa voie en porc
Dominique POILVET, AuteurLa luzerne, de par sa teneur en protéines deux fois plus élevée que le soja, pourrait constituer une alternative à ce dernier dans le cadre dune production non OGM de porcs (notamment charcutiers). Cependant, sa teneur en fibres pose problème. Or, la mise au point, par une entreprise, dune technique permettant de récolter seulement la partie aérienne riche en protéines (ou parèp) de la plante relance la question. Cette fraction contient 90 % de feuilles, 10 % de tiges et 23 % de MAT, et ce, de façon stable dans le temps, quel que soit le stade physiologique de la plante. Comment alors lincorporer dans lalimentation ou encore comment la conserver ? Il est difficile de répondre, du fait du manque de connaissances sur la valorisation, par les porcs, de ces protéines. De plus, la teneur en fibres encore élevée de la parèp limite sa valeur énergétique et son incorporation dans les aliments. Divers essais sont en cours et diverses pistes explorées. La déshydratation, peut-être idéale pour la conservation, reste coûteuse. La parèp pourrait être mélangée à une autre matière première, comme du blé ou du maïs broyé, et conservée en silo. Néanmoins, sa reprise reste problématique. La piste de la distribution de ce type de mélange sous forme de soupe est aussi à envisager. Dans tous les cas, les questions restent nombreuses et, parmi elles, la question du coût. La rentabilité semblerait meilleure en AB, à condition davoir du matériel de manutention de fourrages pour ruminants.
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Alimentation des ruminants : Apports nutritionnels - Besoins et réponses des animaux - Rationnement - Tables des valeurs des aliments
P. NOZIERE, Auteur ; D. SAUVANT, Auteur ; L. DELABY, Auteur | VERSAILLES CEDEX (RD 10, 78 026, FRANCE) : ÉDITIONS QUAE | 2018
Cet ouvrage permet de mieux répondre aux défis émergents en nutrition animale : qualité des produits, santé animale, émissions dans lenvironnement, tout en améliorant la prévision des réponses productives. Il décrit lensemble du système dalimentation pour les productions de lait et de viande, chez les bovins, ovins et caprins, en incluant les spécificités des zones tropicales et méditerranéennes. Au sommaire : - Les apports alimentaires et en nutriments : Ingestion des aliments ; Digestion et apports en nutriments énergétiques ; Digestion et apports en nutriments protéiques ; Apports en minéraux, en vitamines et en eau ; - Les besoins des animaux et leurs réponses aux rations : Dépenses, efficacité métabolique et besoins en énergie ; Dépenses, efficacité métabolique et besoins en protéines et en acides aminés ; Besoins en minéraux, en vitamines et en eau ; Réponses de lingestion et de la production de lait aux variations dapports alimentaires ; Réponse de la croissance aux variations dapports alimentaires en phase délevage ou en finition ; Taux butyreux et composition de la matière grasse laitière ; Composition en acides gras des muscles ; Excrétion azotée fécale et urinaire ; Emissions de méthane entérique ; Bien-être digestif et acidose ruminale ; - Le rationnement des animaux : Principes généraux de rationnement ; Vaches laitières ; Vaches allaitantes et leurs veaux ; Bovins en croissance et à lengrais ; Ovins en lactation, en croissance et à lengrais ; Caprins en lactation et en croissance ; Spécificités de l'alimentation des ruminants en régions chaudes ; - Les valeurs de référence des aliments : tables et prévision : Méthodes dévaluation de la valeur des aliments et bases de données ; Calcul de la valeur des aliments pour les ruminants : tables et équations de prévision ; Tables Inra de la valeur des aliments utilisés en France et dans les zones tempérées ; Tables Inra de la valeur des aliments utilisés dans les régions chaudes ; - Description des bases de données.
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Allergies alimentaires liées au blé
Lors du séminaire intermédiaire sur le programme " Qualité des blés biologiques et qualité nutritionnelle et organoleptique des pains biologiques" qui s'est tenu en mars 2006, il a été demandé à l'ITAB d'organiser une journée pour faire un état des connaissances sur ce problème des allergies alimentaires liées au blé. Les questions posées étaient les suivantes : clarifier les termes (allergie, intolérance, ...) ; Quelles sont les recherches en cours sur ce sujet ? Quelles sont les solutions envisagées ? Quelles seraient les recherches supplémentaires à conduire pour avancer sur ce problème ? Avec éventuellement la possibilité de proposer un futur programme de recherche sur ce sujet. Pour répondre à cela, il a été fait appel à des spécialistes, des chercheurs très impliqués dans ces problèmes d'allergie et à des praticiens de terrain, confrontés à des consommateurs concernés par ces problèmes. Dans ce document, vous trouverez pour chaque intervenant : le résumé de l'intervention ; la présentation Power Point ; une synthèse des questions qui leur ont été posées et des réponses apportées, suite à leur présentation.
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Amélioration de la stabilité aérobie des ensilages de maïs à l'aide d'agents conservateurs
Cinq nouveaux agents conservateurs d'ensilage ont été testés quant à leur capacité à améliorer la stabilité aérobie au désilage. En plus d'un témoin "sans conservateur", l'essai comprenait aussi une variante traitée à l'acide propionique (Luprosil). Les tests ont été réalisés avec du maïs plante entière, récolté à 30 et 38 % de matière sèche (MS). Le maïs a été ensilé en silos de laboratoire de 1,5 l, soumis à des pénétrations d'air ponctuelles durant la période de stockage. Parallèlement, les deux variantes-témoins ont également été ensilées en conditions exemptes de stress aérobie. Dans les deux variantes en question, on a constaté que la pénétration d'air durant le stockage conduisait à une détérioration de la stabilité aérobie au désilage, l'adjonction de "Luprosil" ne permettant pas de maîtriser le problème. Des cinq nouveaux agents conservateurs à l'essai, les produits "Amasil Combi" et "Schaumasil liquide" ont amélioré la stabilité aérobie des ensilages. Ces deux produits sont donc définitivement autorisés en Suisse.
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Amélioration de la valeur nutritive du tourteau de colza destiné aux ruminants
Comparé au tourteau de soja, le tourteau de colza a des teneurs inférieures en matière azotée et en énergie, à cause de sa teneur élevée en constituants pariétaux. Mais pour le ruminant, en particulier pour la vache laitière, c'est surtout la dégradabilité de sa matière azotée qui est trop élevée (en moyenne 74 %). Seul un tiers environ de la matière azotée ingérée a le potentiel d'atteindre l'intestin sous forme de protéines absorbables (PAI). Trop faible, ce rapport ne permet pas de combler le déficit en PAI de la vache laitière, souvent élevé en début de lactation, sans provoquer un apport excessif de matière azotée qui surcharge l'animal et l'environnement. Une diminution d'au moins 10 % de cette dégradabilité devrait être un objectif de toute la filière du colza. Elle pourrait être obtenue par un traitement thermique adéquat, au niveau des huileries et des fabricants d'aliments.
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Améliorer les prairies : diagnostic et méthodes
Dossier en 5 volets : . Améliorer les prairies pérennes : Maîtriser la production d'une prairie pérenne non assolée et l'adapter aux besoins du troupeau nécessite de mieux la conduire, l'entretenir. Encore faut-il intervenir progressivement et à moindre frais avec une alternative : préserver ou reconstituer. . Un diagnostic nécessaire : Un historique de la parcelle et une observation précise de ses caractéristiques (sol, flore, situation et aspect général) permettent d'établir un bilan et d'apprécier sur quels points devra s'appuyer l'action d'amélioration. . Rénover ou améliorer progressivement : Les données recueillies sur l'état de la parcelle et sur son historique doivent aider à prendre une décision. Une fiche aide à choisir entre amélioration et rénovation, et à définir la méthode utilisée. . Comment améliorer ou rénover : les méthodes : Utilisées seules ou coordonnées les unes derrière les autres, les méthodes d'amélioration de la prairie ou visant à sa rénovation sont nombreuses. . Valorisation des prairies naturelles et entretien de l'espace : Reportage en Ariège : Pour Gérard Pons, éleveur à Villargein, l'autonomie alimentaire de son élevage implique à la fois de bien valoriser certaines parcelles et d'utiliser en pacage de grands espaces qu'il contribue ainsi à entretenir.
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Arbres fourragers : De l'élevage paysan au respect de l'environnement
Pendant des millénaires, les feuilles d'arbres ont constitué la base de l'alimentation du bétail. La mécanisation de la récolte d'herbe a peu à peu fait disparaître cette pratique, qui a résisté jusqu'au milieu du XXème siècle pour le fourrage d'appoint. L'augmentation des périodes de sécheresse menace aujourd'hui les éleveurs qui, en fin d'été, se trouvent en rupture de pâtures et soit laissent surpâturer certaines prairies, soit doivent entamer prématurément leurs stocks fourragers... Les arbres fourragers représentent une solution à ce problème tout en contribuant à la biodiversité et en fournissant des produits pour d'autres usages : bois de chauffage, BRF, fagots, manches... Jérôme Goust nous explique les arbres, leur fonctionnement et leur valeur fourragère, et raconte l'histoire des arbres fourragers depuis le Néolithique. En s'appuyant sur l'exemple d'agriculteurs qui pratiquent encore cette technique, il présente ce qui peut être fait dès aujourd'hui, les recherches menées par l'INRA, les améliorations techniques qui pourraient redonner toute leur place aux fourrages arborés. Enfin, des fiches présentent plusieurs dizaines d'arbres dont les feuilles peuvent nourrir le bétail. C'est sur le terrain que ce livre s'est construit, au contact d'agriculteurs continuant à utiliser les arbres fourragers et de chercheurs s'attachant à actualiser ces pratiques. Écologiste depuis quarante-cinq ans, agriculteur biologique de 1977 à 1995, responsable de Nature et Progrès pendant des années, Jérôme Goust a toujours agi pour une agriculture biologique, paysanne, permettant une meilleure autonomie des producteurs.
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Les arbres, une ressource fourragère au pâturage pour des bovins laitiers ?
Jean-Claude EMILE, Auteur ; Philippe BARRE, Auteur ; Rémy DELAGARDE, Auteur ; ET AL., AuteurPourrait-on utiliser les arbres, arbustes et lianes (plantes dites ligneuses) dans les systèmes fourragers en climat océanique et en particulier au pâturage ? Cet article présente des dispositifs mis en place à l'Inra de Lusignan (Nouvelle-Aquitaine) pour insérer l'agroforesterie dans un système d'élevage bovin laitier. Les dispositifs expérimentaux mis en place permettent d'étudier différentes espèces et organisations spatiales, ainsi que divers types de protection vis-à-vis du troupeau et plusieurs modes d'exploitation de ces ressources ligneuses. La valeur nutritive des feuilles collectées en été sur 27 espèces ligneuses fait l'objet d'une large évaluation (valeur énergétique et azotée, teneur en fibres et en tanins condensés, digestibilité, dégradabilité théorique de l'azote). Plusieurs espèces présentent un excellent profil pour leur valeur protéique et énergétique : le mûrier blanc et le frêne, mais aussi le tilleul, l'aulne de Corse et un certain nombre de lianes et d'arbustes. D'autres espèces conviendraient également pour alimenter en été, et par le pâturage, des animaux à l'entretien ou aux besoins plus modérés que des animaux en lactation.
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Association maïs-soja : Le maya favorise un ensilage plus équilibré
Des travaux d'expérimentation ont été menés en Pays de la Loire sur plusieurs associations : maïs/féverole, maïs/vesce, maïs/haricot, maïs/soja. Cette dernière est de loin l'association la plus intéressante. Cet article fait le point sur les atouts de cette association par rapport à un maïs seul (augmentation de la teneur en MAT et en PDIN, de la teneur de l'ensilage en minéraux, intérêt économique ) et les conditions pour lesquelles cette association est plus intéressante qu'un maïs seul.