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Il presse les fruits du terroir
Philippe BOURGET, AuteurC'est à Saint-Andiol, dans les Bouches-du-Rhône, qu'Arnaud Redheuil, originaire de Montréal, s'est lancé, en 2009, dans l'entreprenariat en reprenant Sojufel. Cette PME de fabrication de jus de fruits valorise la production d'arboriculteurs régionaux, leur assurant ainsi un débouché quand les fruits ne peuvent être vendus comme produits de bouche. Sous la marque « Pressoirs de Provence », trois activités sont ainsi développées : pressage des fruits ou légumes des producteurs qui souhaitent vendre eux-mêmes leur jus, transformation de fruits achetés auprès d'agriculteurs qui ne font pas de vente directe et commercialisation des jus sous la marque « Pressoirs de Provence », et enfin fabrication des jus pour des distributeurs qui confient cette tâche à l'entreprise. Sur les 1 500 producteurs qui bénéficient de la valorisation Sojufel, 35% sont aujourd'hui en bio.
Impacts sociaux des circuits courts alimentaires sur les exploitations agricoles - Diversité des modèles et analyses croisées
Yuna CHIFFOLEAU, Auteur ; Agnès GAUCHE, Auteur ; Denis OLLIVIER, Auteur | CHATEAU-CHINON (6 Place Saint Christophe, 58 120, FRANCE) : C.E.R.D | 2013Le document est issu d'une large étude réalisée dans le cadre du projet lauréat Casdar 2010 : « Élaboration d'un référentiel pour évaluer la performance technique, économique, sociale et environnementale et favoriser le développement des circuits courts de commercialisation ». Ce projet s'est déroulé d'octobre 2010 à décembre 2013 et a réuni 61 partenaires (recherche, instituts techniques, organisations professionnelles agricoles, fédération d'AMAP ), dont 11 contributeurs en continu sur l'ensemble du programme : le Centre d'Études et de Ressources sur la Diversification (CERD), la Fédération nationale d'agriculture biologique (FNAB), l'Institut de l'élevage, l'Institut du porc (IFIP), l'Institut Technique de l'Aviculture et de l'Élevage des Petits Animaux (ITAVI), TRAME, la FRCIVAM Bretagne, l'APCA/RESOLIA, la Chambre régionale d'agriculture de Rhône-Alpes, l'INRA UMR Cesaer/AgroSup Dijon et l'INRA UMR Innovation. Le présent document rend compte de l'aspect social associé aux circuits courts, à l'échelle des exploitations. L'étude a reposé sur deux approches complémentaires : traitement de données spécifiques aux aspects sociaux collectées via une enquête par questionnaire auprès de producteurs de 6 familles de produits, et approfondissement de certains aspects par des entretiens avec une diversité dans les acteurs concernés. L'étude souligne notamment la contribution des circuits courts au développement territorial et à la cohésion sociale. Au sommaire : - Méthodologie ; - Typologie des producteurs en circuits courts à partir des entretiens approfondis ; - Analyse transversale sur l'échantillon total du projet ; - Approfondissement des aspects sociaux : Éléments de réponse aux hypothèses de travail ; - Synthèse.
Languedoc-Roussillon : Arcadie récolte ses premières PPAM
Frédéric RIPOCHE, AuteurInstallé dans le Gard, Arcadie est une entreprise qui cultive et transforme les plantes à parfum, aromatiques et médicinales biologiques. 2013 est l'année de la première récolte pour cette structure. Au-delà de son activité de production, Arcadie fournit aussi des références et des modèles technico-économiques dans le cadre du programme Avenir Bio « Sud Aroma bio ». Dans l'objectif de maîtriser au mieux la qualité de ses produits, le transformateur a fait l'acquisition d'un outil de première transformation du frais (séchoir).
Du producteur au consommateur : La ruche qui dit oui, ça butine, ça papillonne et ça essaime
Charlotte BERLIVET, AuteurCréée à l'automne 2010, La ruche qui dit oui est une plateforme Internet dont l'objectif est de réunir des producteurs et des réseaux de consommateurs, le plus localement possible. Rencontre avec Elisabeth Burki, responsable de la ruche de Concarneau, et Loïc Bernard, maraîcher bio, à Elliant (Finistère), qui livre La ruche : le rôle et les motivations d'une responsable de ruche, les atouts et contraintes de ce système, les pistes d'amélioration, ainsi que, côté producteur, les avantages et point faibles de la ruche. Elisabeth Burki a adhéré au projet, il y a un an, avec l'envie d'être un relai sur Concarneau A Rennes, Gilles Boulard a créée, au printemps 2012, la première Ruche de la ville dans le quartier de Bréquigny. Elle fonctionne avec 40 à 60 commandes régulières par semaine La Ruche de Caulnes, dans les Côtes d'Armor, dont Patricia Leblanc est responsable, compte déjà une quarantaine d'inscrits... Le système a le mérite de la transparence et, dans ce lien entre producteur et consommateur, joue un rôle de garantie réciproque. Un encart présente les plus et les moins de La ruche qui dit oui, et le développement de ce débouché en France.
Structurer la filière vinicole : La Fnivab devient France Vin Bio
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLa Fnivab, fédération nationale interprofessionnelle des Vins de l'agriculture biologique, a été créée en 1998 et devient France Vin Bio en 2013. Elle a participé à l'élaboration du cahier des charges européen de la vinification, appliqué depuis le 1er Août 2012. Une vague de conversions a eu lieu en 2011-2012. Les surfaces certifiées en bio atteignent près de 8% des surfaces viticoles françaises et les volumes de production vont probablement doubler entre 2012 et 2014. Les caves coopératives produisent maintenant des volumes leur permettant de se positionner à l'export ou en grandes surfaces et des négoces conventionnels s'intéressent au bio, ce qui risque de tirer les prix vers le bas. Il y a donc un fort enjeu pour maintenir des prix rémunérateurs. France Vin Bio regroupe des producteurs et des négociants et s'appuie sur les structures interprofessionnelles locales déjà existantes. Ceci permet d'avoir de meilleurs moyens pour organiser la filière. France Vin Bio, actuellement structurée autour d'interprofessions des régions Languedoc-Roussillon, Aquitaine, Champagne-Ardennes et Val de Loire, souhaite maintenant s'ouvrir à d'autres régions pour que les viticulteurs bio français puissent avoir une position coordonnée lors de la révision du règlement de la vinification bio et pour structurer ensemble la filière, en partenariat avec l'Agence Bio.
All the Dirt : Reflections on Organic Farming
Rachel FISHER, Auteur ; Heather STRETCH, Auteur ; Robin TUNNICLIFFE, Auteur | VICTORIA (340 1105 Pandora Avenue, V8V 3P9, CANADA) : TOUCHWOOD EDITIONS | 2012Trois productrices biologiques de la Colombie-Britannique au Canada sont propriétaires de la coopérative Saanich Organics. Cette entreprise commercialise les produits de leurs fermes respectives en plus de distribuer les légumes d'autres producteurs de la région. Leur système de mise en marché comprend un programme de boîtes de légumes livrées à domicile, un étal au marché public et une livraison dans des restaurants et des magasins de détail. Le métier de producteur maraicher n'est pas toujours facile, surtout pour démarrer une entreprise. Cet ouvrage écrit par des producteurs pour des producteurs décrit le cheminement, les réflexions, les joies et les problèmes de chacun. Il s'agit d'un puissant témoignage qui décrit le cheminement des producteurs vers ce que constitue aujourd'hui Saanich Organics. Les auteures partagent avec le lecteur de nombreuses anecdotes ainsi que plusieurs informations techniques. Les trois productrices détaillent tour à tour les caractéristiques de leurs entreprises. Ces fermes complémentaires ont des outils, des cultures, des élevages, des infrastructures et des méthodes de planification différents.
Certification : Les coûts en question
SPORE, AuteurLes labels et signes de qualité sous certification sont de plus en plus nombreux. Conçus notamment pour aider les petits exploitants agricoles à valoriser leurs produits sur le marché mondial, les processus de certification restent coûteux et ne sont pas toujours au bénéfice des producteurs concernés. C'est ce que dénonce l'économiste Tim Harford, selon lequel seuls 10 % du supplément payé par le consommateur reviendrait au producteur, observation confirmée par d'autres études. Les programmes de certification peuvent avoir des objectifs différents : Agriculture Biologique, Fairtrade (commerce équitable), Rainforest Alliance (formation, conseils et accès au crédit pour les producteurs), Marine Stewardship Council (pêche durable). L'engagement dans un de ces programmes présente certains avantages (accès au marché facilité, formation des paysans pour améliorer la qualité de leurs produits et leurs techniques, organisation de la filière) mais aussi des inconvénients (frais élevés, contraintes administratives lourdes, problèmes techniques) qui posent la question de la viabilité de telles démarches. Autre problématique : la possible saturation du marché au vue du nombre toujours croissant d'engagements. Dans les pays ACP (Afrique, Caraïbes, Pacifique), des solutions se développent : mise en commun des ressources, systèmes de garantie participatifs, indications géographiques.
Cultures fruitières : 10 % des surfaces en bio
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurEn 2010, les conversions en cultures fruitières ont fait un bond significatif : les surfaces engagées représentaient 46% des surfaces totales en fruits bio. En 2011, si l'élan s'est ralenti, la dynamique se poursuit, la moitié des conversions s'effectuant par démarche progressive, en conservant la mixité. Les fruits frais, pommes, poires, abricots, kiwis, cerises, sont les principales espèces cultivées en bio, principalement en Aquitaine, PACA, Languedoc-Roussillon et Rhône-Alpes. Dans le secteur des fruits à coque, châtaignes, noix, noisettes et amandes, les conversions ont triplé par rapport à 2009, et ils sont présents notamment en Rhône-Alpes (noyers et châtaigniers), en Corse (châtaigniers) et en Aquitaine (noyers). Les cultures fruitières dédiées à la transformation, olives en PACA et LanguedocRoussillon et pommes à cidre en Basse-Normandie, ont doublé.
Dictionnaire du commerce équitable : Etat des lieux des recherches universitaires
Vivien BLANCHET, Auteur ; Aurélie CARIMENTRAND, Auteur ; Céline CRAVATTE, Auteur ; ET AL., Auteur | VERSAILLES CEDEX (RD 10, 78 026, FRANCE) : ÉDITIONS QUAE | 2012Le commerce équitable connaît un fort développement qui ne se dément pas depuis près de vingt ans. Mais de quoi s'agit-il exactement ? Quels sont les acteurs locaux et internationaux ? Qui l'a inventé et quelles sont les filières concernées ? Voici un dictionnaire qui permet de répondre à ces questions fondamentales tout en présentant une synthèse des recherches menées depuis une quinzaine d'années. Il est le fruit d'un travail collaboratif mené par des chercheurs spécialistes du commerce équitable et des échanges alternatifs, réunis au sein de l'association Fairness. Les différents courants du commerce équitable sont décrits et analysés en prenant en compte les avis des acteurs concernés. L'analyse est pluridisciplinaire et couvre la sociologie, l'anthropologie, les sciences politiques, le droit, l'économie et les sciences du management. Les entrées proposées concernent trois grands domaines : les principes fondamentaux et l'éthique du commerce équitable ; les différents acteurs du commerce équitable ; le développement du commerce équitable. Cet ouvrage de référence s'adresse tout autant aux chercheurs désireux d'étudier le phénomène qu'aux étudiants en sciences sociales ou aux militants, entrepreneurs et citoyens s'interrogeant sur l'équité dans les relations commerciales.
Dossier : Installations en agriculture bio : quels accompagnements pour quels profils ? ; Installations en maraîchage : des projets, des objectifs, des stratégies
Véronique SEGUY, Auteur ; Thérèse PIEL, AuteurCet article présente les résultats d'une étude concernant l'accompagnement de porteurs de projets durant le parcours d'installation en agriculture biologique. Au total, 28 fermes ont été visitées, réparties sur l'ensemble de la Bretagne, avec des agriculteurs installés entre 2006 et 2008. Les productions rencontrées reflètent une forte proportion de maraîchers (plus d'un tiers des installations en AB), suivie de celle des éleveurs laitiers, puis des éleveurs ovins et caprins. Les entretiens ont fait ressortir l'importance de certains facteurs sur le profil des nouveaux installés en fonction desquels quatre groupes de producteurs ont été identifiés. Un tableau les présente (atouts, faiblesses, propositions d'accompagnement) : Groupe 1 : Reprise de l'ensemble de l'outil de production et parfois même des débouchés ; Groupe 2 : Système économiquement performant, producteurs impliqués mais dont la charge de travail est jugée trop forte ; Groupe 3 : Système économiquement fragile, producteurs impliqués dont la charge de travail n'est pas un problème ; Groupe 4 : Difficultés causées par un isolement social et/ou une charge de travail trop élevée et/ou des résultats économiques très faibles. Des pistes d'accompagnement adaptées à chaque profil d'agriculteurs ont émergé : étude de marché valorisable, mutualisation des connaissances, sensibilisation avant l'installation, point à faire, 2 à 3 ans après l'installation, révision des critères d'attribution du crédit d'impôt formation. Trente-cinq maraîchers d'Ille-et-Vilaine, récemment installés, ont pu bénéficier de visites sur le terrain, au cours de l'année 2011. Ont été observés : la formation et la référence que constituent les stages professionnels, le projet de vie et ses difficultés, le nécessaire esprit d'entreprise, la viabilité économique du système de production.
Dossier de presse : Agrilocal.fr : Soutenir les circuits courts ; Accompagner les filières agricoles locales ; Le Département de la Drôme innove
Agrilocal est une innovation du département de la Drôme pour soutenir les producteurs locaux et encourager les circuits courts dans le cadre de la commande publique pour l'approvisionnement de la restauration collective. Le site internet www.agrilocal.fr permet une mise en relation directe entre acheteurs et fournisseurs Porté par le département de la Drôme, en partenariat avec la Chambre d'agriculture, le dispositif Agrilocal est destiné, dans un premier temps, aux gestionnaires des collèges pour favoriser l'approvisionnement des restaurants scolaires en produits locaux de saison. Le dossier de presse en aborde plusieurs aspects : Comment est né Agrilocal ; www.agrilocal.fr, c'est quoi ? ; Comment ça marche ? ; Agrilocal, c'est pour qui ? ; Les avantages du dispositif Agrilocal ; Un contexte départemental favorable à la consommation de produits locaux ; Consommer local : un enjeu de développement durable ; Quelques chiffres.
Emballages : le carton meilleur que les bacs plastique ?
Fleur MASSON, AuteurUne étude réalisée par l'association Carton ondulé de France visait à comparer l'utilisation de caisses en plastique ou de plateaux de carton ondulé pour le conditionnement des fruits et légumes. D'un point de vue environnemental, les différences ne sont pas significatives et ne suffisent pas à faire un choix entre l'un ou l'autre. D'un point de vue économique en revanche, le carton ondulé serait plus intéressant, notamment pour les producteurs. Toutefois, pour les distributeurs, l'utilisation de bacs plastiques reste moins coûteuse, les coûts étant majoritairement supportés par les producteurs. Aujourd'hui, le prix de reprise des cartons usagés, très fluctuant, est un handicap important pour la filière Carton, qui cherche à mieux fédérer le travail des papetiers et des récupérateurs.
Guide bio : Où acheter nos produits biologiques d'Ile de France ? : Avec la bio faites-vous plaisir !
Ce guide, édité par le Groupement d'agriculture biologique de la région Ile-de-France (GAB IdF), présente, en introduction, les finalités politiques du GAB, ses missions, les raisons pour lesquelles les producteurs du GAB IdF ont fait le choix de la bio. Il rassemble, en outre, les adresses et les produits de différentes fermes : - Les fermes de Seine et Marne ; - Les fermes des Yvelines ; - Les fermes d'Essonne ; Seine-Saint-Denis ; - Val de Marne ; - Les fermes du Val d'Oise ; - Marchés ; - Se fournir en AMAP. La dernière page du guide définit ce qu'est un produit bio.
Guide Répertoire de l'Agriculture Bio à la Réunion : 2012-2013
BIO CONSOM'ACTEURS, Auteur ; GAB REUNION, Auteur | LE TAMPON (36 Rue des Gerberas, 97 430, FRANCE) : BIO CONSOM'ACTEURS REUNION | 2012Ce guide répertoire de l'agriculture bio à La Réunion a été co-édité par Bioconsom'acteurs Réunion, le Gab Réunion (Groupement des agriculteurs biologique de La Réunion) et la Chambre d'agriculture de La Réunion. Présentation : - L'AB : définition, garanties, labels, marques et contrôles ; - Expérimentations en bio : la station d'expérimentation de l'Armeflhor ; - Filière agriculture biologique ; - Producteurs et transformateurs ; - Associations ; - Où manger bio sur l'Ile ? ; - Annonceurs professionnels.
Reportage : Fête du Lait bio : Toujours plus de déj' servis
SYMBIOSE, Auteur7 000 petits déjeuners ont été servis dans des fermes, en 2012, lors de la 8ème édition de la Fête du Lait bio. Cette manifestation est solidement ancrée en Ille-et-Vilaine (Bretagne) : 2 000 petits déjeuners y ont été servis. La Fête du Lait bio gagne d'autres régions et s'installe progressivement dans le paysage agricole bio en Pays de la Loire, en Alsace et en Rhône-Alpes. L'Auvergne et la Champagne-Ardenne sont les deux nouvelles régions arrivées dans l'organisation, en 2012... Les personnes qui viennent d'années en années sont déjà consommatrices de produits biologiques. Un des objectifs de cette Fête du Lait bio est de toucher un nouveau public, pas ou peu consommateur de produits biologiques, pour lui faire découvrir les enjeux d'une agriculture locale, respectueuse de l'environnement et du territoire. L'intérêt est de pérenniser la Fête du Lait dans certaines exploitations afin d'ancrer le rendez-vous dans les têtes et les calendriers, de renforcer la pédagogie lorsque la fête est organisée sur des exploitations non laitières En 2013, il est prévu de maintenir la Fête dans les régions qui ont reçu peu de visiteurs et un groupe de réflexion va être mis en place pour améliorer la communication Des producteurs témoignent sur cet accueil à la ferme : Nicolas Dekeyser et Anne-Sophie Bouriser, maraîchers à Theix (56), Alain, Bernadette et Suzy David, apiculteurs à Argol (29), Gaëtan Marquet et Stéphane Lécrivain, éleveurs laitiers, à Sens de Bretagne (35). Un tableau présente les chiffres de fréquentation de la Fête du Lait bio par région.