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Le "Bio", une chance pour le Massif Central
Faire du Massif Central la région phare de la bio. L'article fait le point sur le positionnement de la région, et sur les enjeux et débats qui animent la filière régionale de l'agriculture biologique. Suivent trois exemples intéressants de structures travaillant en agribio : une minoterie lozérienne, une exploitation de vente directe de viande et charcuterie en Allier, et un maraîcher biodynamique du Puy de Dôme. Une page pratique enfin pour savoir où acheter et où s'adresser pour tout renseignement (chez nous !!).
Bio et diététique : à chacun son client
Sur la base d'une enquête Nielsen, le point est fait sur les marchés de la diététique d'une part, du bio d'autre part. Il apparait que les deux segments sont en développement même si celui-ci est plus marqué côté bio. Dans le magasin, les deux familles cohabitent sous la bannière alimentation santé. Le profil du consommateur est le suivant : + de 35 ans, aisé et urbain, niveau d'instruction relativement élevé, intérêt pour la nutrition et son effet sur la santé. Mais, la diététique touche plus les seniors, le bio les familles avec enfants. Au plan information, dans un sondage réalisé sur 1010 personnes, 71% des personnes font la différence entre bio et diététique. Ainsi, si les produits bio se développent, c'est au détriment de l'alimentation courante et non de la diététique. La motivation pour le bio est guidée par le souci de préserver l'environnement et le côté bon pour la santé. Pour la diététique, les motivations santé sont plus précises : il y a le besoin de corriger une carence ou de régler un problème de santé présent. On parle d'alimentation fonctionnelle. Ces constats étant connus des grandes enseignes, chacun adopte une stratégie de positionnement des deux types de produits pour les développer.
Le "bio" encore dans la confidentialité
Selon la première enquête effectuée sur ce sujet par le SCEES du Ministère de l'Agriculture, le lait biologique ne représente, en 1998, que 0,2% de la collecte de l'industrie laitière (les ventes directes des éleveurs ou par le biais de distributeurs spécilisés ne sont pas comptabilisées). Plus de 40% de la production nationale de lait biologique provient de cinq laiteries. Même si 56% du lait biologique vient du Grand Ouest, la Franche-Comté est la région la plus spécialisée dans ce type de lait (1,2% de la collecte laitière franc-comtoise).
Le bio est arrivé
Avec aujourd'hui plus de 600 producteurs de vins biologiques ou en biodynamie, et venant de toutes les régions viticoles de France, il est possible de croiser le critère bio avec celui de la qualité gustative. Jean-Christophe Estève a ainsi eu l'idée de rassembler et proposer de merveilleux vins respectueux de l'environnement dans le premier magasin de vins fins de Paris.
La bio, laboratoire pour les alternatives
Jean François Moal rappelle pourquoi et dans quelles conditions s'est développée l'agriculture biologique et sa situation actuelle, difficile, au sein des institutions agricoles. Il met ainsi en lumière le fossé qui sépare les discours sur l'agriculture plurielle et la réalité.
Bio et mécanisé
Agriculture biologique n'est pas toujours synonyme d'absence de mécanisation. Pour preuve, ce GAEC de Fresnay-en-Retz, en Loire-Atlantique qui a du s'équiper pour répondre à une demande croissante. Reportage.
La bio ne peut réaliser des économies d'échelle
Interview de Georges Prost, fabricant de produits laitiers biologiques de la marque Biogam. Il explique brièvement pourquoi les produits bio sont plus chers que les produits conventionnels.
Le "bio" veut convaincre
Compte-rendu des rencontres de l'Agriculture Biologique qui se ont tenues à Toulouse. Plus qu'une mode, le "bio" est devenu un phénomène de société. Les producteurs ont affirmé leur volonté de transparence et de professionalisme pour mieux asseoir la crédibilité de la filière.
Biobourgogne : En forte croissance
Longtemps condamnés à commercialiser leurs animaux dans les circuits traditionnels et donc sans plus-value particulière, les éleveurs bio disposent désormais de filières adaptées. Créée en 1994 par une quinzaine d'agriculteurs, la SARL "Biobourgogne" a vu son chiffre d'affaires progresser fortement, passant de 700 000 francs en 1995 à 15 millions de francs en 1999. Les boeufs, vaches et génisses de ses 64 associés éleveurs sont distribués dans les magasins Auchan, en boucheries traditionnelles ou vendus directement aux particuliers. Histoire et parcours de Philippe Cabarat, éleveur bio à Champlein dans le nord de la Nièvre.
Biocoop : donner du sens à ses achats
Suite à un article paru dans le Monde Diplomatique de mars 1999, où Biocoop était accusé de "manipuler", "d'étouffer" l'information, et d'utiliser des termes , éthique et transparence... qui ne seraient "qu'arguments publicitaires sans liens avec la réalité", Huges Toussaint rappelle dans cet article certains points de la politique menée par Biocoop, son éthique et particulièrement ses rapport avec la société Soy, fabriquant de produits à base de soja.
BioCultura 99 Barcelona
Compte-rendu de BioCultura 99 à Barcelone. La devise de BioCultura, célébrée du 7 au 10 Mai 1999, au Palau Sant Jordi de Barcelone a été : "Essayer de retrouver une alimentation saine et un environnement propre est l'affaire de tous". 71 000 personnes ont visité BioCultura 99 à Barcelone. Les produits et services présentés étaient variés et respectueux de l'environnement (produits alimentaires, énergies renouvelables, tourisme rural,...). Deux pôles d'activités principaux se sont mis en place : la Foire des Alternatives et de Qualité de Vie avec 428 exposants (dont 95 étrangers) et, l'organisation d'un lieu de rencontre, d'information et d'échange sur des thèmes de dénonciation, de réflexion, de proposition,... Actuellement, selon les chiffres du Ministère de l'Agriculture, en 1998, on a cultivé en Espagne, 269 465 hectares en bio et les agriculteurs biologiques étaient au nombre de 7 392. Cette augmentation est dûe à la mise en place des subventions européennes pour l'agriculture bio à partir de 1996. L'industrie de transformation des produits biologiques s'est également développée et on compte aujourd'hui plus de 500 exploitaions en élevage (bovin, ovin et porcin).
Biolait : l'innovation encore !
Compte-rendu de l'assemblée générale de Biolait et bilan des activités depuis 1995. Parmi les décisions, il faut noter le lancement de la collecte de lait de brebis et la décentralisation pour l'animation interne et le développement de Biolait. La bio partout et pour tous !
Biological control of Botrytis spp. by Ulocladium atrum, an ecological analysis
Les champignons pathogènes du genre Botrytis sont la cause de maladies aux importantes conséquences économiques pour un grand nombre de cultures pendant la phase de production mais également après la récolte. La lutte actuelle est basée sur l'utilisation fréquente de fongicides mais du fait du développement de résistances aux fongicides et de la prise en compte de l'environnement, des approches alternatives sont étudiées, notamment l'utilisation de l'antagoniste Ulocladium atrum, champignon saprophyte déjà employé comme agent de lutte contre B. cinerea en culture de cyclamen. Le contrôle biologique de U. atrum est basé sur la compétition avec B. cinerea dans les tissus.
Biscuiterie : vers la segmentation
La biscuiterie bio représente aujourd'hui 80 millions de francs. Elle est en progression de +17% à la fin mars 1999 mais cela reste un marché de niche et l'explosion s'est fortement atténuée. Les stratégies des principales marques sont exposées : - Distriborg (leader avec 60% du marché) mise sur le renouvellement par l'innovation. 15 références auxquelles s'ajoutent récemment croquants au sésame et fourrés aux framboise. - Le Goût de la Vie a une politique de gamme courte et classique : 5 références + une nouvelle recette de biscuit au muesli - Le Jardin Biologique a une stratégie proche du Goût de la Vie - Institut Vital veut développer une gamme qui n'est surtout pas une adaptation au bio des biscuits conventionnels.
Blé d'automne : Essais variétaux 1996-1998
Principaux résultats des essais variétaux des blés d'automne placés dans des conditions biologiques pour la période 1996-1998 (classe I et clase II), dans le cadre des expérimentations ménées par la Station Fédérale de Reckenholz (FAL), l'IRAB / FIBL et le Stricknof. Même si on recommande très souvent aux exploitations bio de cultiver des mélanges de variétés pour avoir des cultures plus saines, plus de sécurité de rendement et plus de diversité, les mélanges testés n'ont jamais donné de meilleurs rendements que les variétés Runal, Titlis et Arina cultivées pures (le trio de tête au niveau du rendement). Evolution des rendements des variétés de classe I, rendements moyens absolus de toutes les variétés testées dans les conditions bio,... Attention : les semences testées ont été traitées.