Thésaurus
![]() RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE |


Etendre la recherche sur niveau(x) vers le bas
![]()
4 pour 1000 : Les sols agricoles pour la sécurité alimentaire et le climat
Cette vidéo présente le cycle du carbone et le stockage de carbone dans les sols, puis l'intiative qui vise à augmenter le stock de carbone dans les sols de 4 pour 100, ou de 0,4 %, chaque année. Un tel stockage permettrait de stopper l'augmentation de CO2 dans l'atmosphère, en complément à d'autres actions. Pour ce faire, il faut amplifier l'usage de pratiques agroécologiques (couverture du sol, fertilisation organique, cultures intermédiaires, haies, prairies permanentes...) et ce, à l'échelle mondiale. Lien : http://4p1000.org/
![]()
![]()
50 idées reçues sur l'agriculture et l'alimentation
Des réponses claires qui remettent en cause beaucoup d'idées reçues, c'est ce que propose cet ouvrage. Exemples : - La plupart des tomates n'ont plus de goût. Vrai. Le goût ne fait pas partie des critères de sélection des aliments proposés par l'agriculture industrielle ; - Boire beaucoup de lait est bon pour la santé. Faux. C'est mauvais pour les os et pour le taux de cholestérol ; - Le réchauffement climatique met en péril nos vins. Vrai. Mais on pourra peut-être y remédier ; - Nos races animales sont en voie de disparition. Vrai. Et il est urgent d'agir ; - L'agriculture industrielle vend des produits « bon marché ». Faux. Nous les payons en réalité très cher ; - Vivre à la campagne est bon pour la santé et rend plus heureux. Faux. Les conditions de vie s'y dégradent. Citons encore dans les idées reçues abordées : Les plantes bio contiennent des champignons toxiques ; La variété des semences diminue ; Nos éleveurs se soucient peu du bien-être animal ; Les produits bio, plus coûteux, sont réservés aux bobos ; Les paysans sont libres de produire ce qu'ils veulent, etc. Ce sont en tout 50 affirmations qui sont ainsi passées au crible pour y apporter des éléments de réponse étayés par les résultats de recherches scientifiques.
![]()
Adapter la production fourragère des ruminants dans un Massif Central sous contrainte hydrique : Des pistes à développer à partir d'expériences en zone méditerranéenne
Le projet Mélibio a été mis en place en 2012 pour accompagner les éleveurs biologiques du Massif Central dans la sécurisation de leur système fourrager. En effet, ces derniers seront soumis, d'après les scenarii, à des conditions climatiques de plus en plus contraignantes, notamment en termes de stress hydrique. A partir d'entretiens, les solutions mises en uvre par des éleveurs de ruminants en Catalogne et en Toscane pour faire face à la sécheresse sont étudiées, et ce afin de déterminer lesquelles pourraient être transposables dans le Massif Central. Cette synthèse de l'étude réalisée décrit les techniques rencontrées : - l'implantation de luzerne ; - le recours aux cultures fourragères annuelles ; - l'utilisation de prairies à flore variée, mais généralement sur de petites surfaces et pour leurs fonctions complémentaires ; - la constitution de stocks avec les coupes de fourrages de meilleure qualité au détriment du pâturage sur les surfaces concernées ; - l'utilisation de la forêt ; - l'irrigation ; - les achats de fourrages.
![]()
![]()
Adapter ses pratiques au changement climatique dans le Massif Central
Elsa EBRARD, Auteur ; Marie TISSOT, AuteurPour répondre à un besoin doutils et de références pour accompagner les agriculteurs au changement climatique, le projet AP3C, porté par le SIDAM (Service InterDépartemental pour lAnimation du Massif Central) et regroupant 11 Chambres dagriculture et lIDELE, est né en 2015. Il combine une triple expertise climatique, agronomique et systémique, à léchelle du Massif Central. Dans ce cadre, un ensemble de projections à léchelon local et à l'horizon 2050 est réalisé. Les premiers résultats montrent une forte dégradation du bilan hydrique potentiel sur lensemble du Massif Central, une hausse de la température moyenne annuelle (de 0,35 à 0,40°C tous les 10 ans), un maintien du cumul de pluviométrie annuel mais une modification de la distribution des pluies (cumul en baisse au printemps, en hausse à lautomne) et une augmentation de lévapotranspiration potentielle. Afin dadapter les pratiques à ces évolutions climatiques, 30 indicateurs agroclimatiques sont mobilisés pour traduire linformation climatique en information agronomique, répartis en indicateurs généralistes, relatifs à la pousse de lherbe, aux céréales, au maïs, aux dérobées, et à la vigne. Les conclusions dune première phase de projections sont présentées : le cycle de végétation de l'herbe sera plus précoce (et plus court en plaine), avec de fortes chaleurs stoppant la pousse de l'herbe l'été et des températures d'automne favorables ; pour les céréales, la reprise de végétation sera plus précoce avec un risque de gel au printemps et d'échaudage l'été ; et, pour le maïs, son démarrage de végétation sera plus précoce avec un échaudage important en été et un maintien plus tardif à l'automne.
![]()
![]()
L'agenda du jardinier bio 2009 et son calendrier lunaire : Le réchauffement climatique
Avec 29 ans d'âge, L'agenda du jardinier bio est une référence pour les jardiniers bio et ceux en passe de le devenir. Il est un compagnon indispensable du jardinier respectueux de l'environnement avec ses conseils pratiques, son aide mémoire, les bonnes adresses et son calendrier lunaire. Pour l'année 2009, le thème à l'honneur est le réchauffement climatique au jardin. Il fait suite à l'enquête phénologique réalisée par le magazine Les 4 Saisons du Jardin Bio et présente des exemples précis du changement climatique : en janvier, observation d'une population d'hirondelles qui ne migre plus et passe l'hiver en Loire Atlantique ; en février, remontée vers le Nord de la chenille processionnaire... Il propose aussi à ses lecteurs de consigner leurs propres observations sur l'évolution du climat et de les envoyer au magazine. Une démarche qui rend le jardinier acteur d'une étude nationale menée par l'Observatoire des Saisons.
![]()
![]()
AGRICE 2005 : Rapport d'activité 2005
Ce document est le rapport d'activité d'AGRICE, le programme national de soutien à la recherche sur les bioproduits.
![]()
![]()
Agriculture et changement climatique
Les enjeux et solutions d'adaptation agricole face au réchauffement climatique font l'objet de quatre contributions scientifiques et de regards croisés d'experts indépendants. Sont évalués les coûts des émissions de Gaz à Effet de Serre (GES) liés à l'agriculture, ainsi que celui des instruments économiques incitatifs à la réduction des émissions, notamment le système européen d'échange des quotas carbone. Des mesures techniques sont proposées afin de réduire les émissions sans perturber les systèmes de production actuels, ni réduire leur productivité. Les coûts de ces mesures sont parfois négatifs car elles sont des économies de ressources : isolation des bâtiments, introduction de légumineuses prairiales, allongement de la durée des prairies temporaires, etc. La non-adoption spontanée de ces mesures par les agriculteurs semble être le résultat des importants coûts de transaction qui y sont associés : temps consacré par l'agriculteur à l'information, la formation et la négociation, consubstantiels à tout changement de pratique. Ensuite, l'impact des aléas climatiques sur les élevages bovins et ovins allaitants sont décrits dans la perspective du développement d'outils assurantiels privés. Enfin, une réflexion est menée sur les pratiques de gestion extensives des pâturages de longue durée et le coût de maintien pour l'agriculteur de ce service environnemental.
![]()
![]()
Agriculture et réchauffement climatique : Comment limiter les rejets ?
Franck DENET, AuteurFace au réchauffement climatique, l'agriculture doit contribuer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Une étude, réalisée par l'INRA, donne dix actions, regroupées en quatre leviers, qui permettraient à l'agriculture de participer à la réduction des émissions. Le premier levier concerne la diminution des apports de fertilisants minéraux azotés : ajustement des apports, utilisation de légumineuses et d'engrais organiques. Second levier : le stockage du carbone, via la simplification du travail du sol, l'utilisation de couverts et d'arbres et la gestion des prairies. L'évolution de la ration des animaux est un troisième levier pour limiter les rejets par les animaux. Enfin, limiter l'utilisation d'énergie fossile et produire de l'énergie à partir des effluents d'élevage constitue le quatrième levier. Un tiers des actions proposées sont économiquement bénéfiques pour l'agriculteur, un tiers sont à coût modéré, et un tiers présentent un coût élevé sans qu'un retour sur investissement soit assuré. Cependant, le calcul ne prend pas en compte les effets agro-environnementaux autres que la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
![]()
![]()
Agrocarburants : une étude sous pression
La polémique sur le bilan énergétique de la production d'agrocarburants n'en finit pas. Suite à la publication d'une étude en 2002 par l'ADEME, fortement critiquée, une nouvelle étude a été commandée, toujours par l'ADEME, mais avec un comité technique élargi chargé de valider la méthodologie. Avant même la sortie de cette étude, le comité de pilotage a laissé paraître des fuites, laissant entendre que le bilan énergétique était favorable aux agrocarburants, ce que contestent certains des participants du comité technique, comme Patrick Sadones, du Réseau Action Climat. Il souligne par ailleurs qu'au-delà de ces chiffres, les agrocarburants posent le problème des surfaces utilisées au détriment des cultures vivrières, ainsi que celui de la déséquestration brutale du carbone lors de massives déforestations, comme en Indonésie, pour planter ces cultures énergétiques.
![]()
![]()
L'Agroécologie peut nous sauver
Marc DUFUMIER, Auteur ; Olivier LE NAIRE, Auteur | ARLES CEDEX (Place Nina-Berberova, BP 90038, 13 633, FRANCE) : ÉDITIONS ACTES SUD | 2019
Ingénieur agronome, Marc Dufumier a découvert lagroécologie à 22 ans à Madagascar, lorsque des femmes analphabètes lont initié à une agriculture paysanne respectueuse de lHomme et de son environnement. Devenu professeur et expert sur des missions de terrain aux quatre coins du monde, il est aujourdhui lun des spécialistes les plus reconnus dans le domaine de lagroécologie. Alliant rigueur scientifique et engagement, Marc Dufumier explique, dans ces entretiens avec le journaliste Olivier Le Naire, en quoi la révolution agroécologique est une réponse concrète, réalisable et globale à beaucoup des maux de notre monde moderne dont la famine, la malbouffe, lobésité, la pollution, le réchauffement climatique, la perte de biodiversité, les inégalités mondiales ou les migrations contraintes. Selon lui, tous ces problèmes étant liés, leurs solutions ne peuvent plus être étudiées séparément. Pour nourrir les 10 milliards dhabitants que nous serons bientôt, il faut donc à la fois renoncer à la privatisation des semences, à lemploi des produits pesticides et aux dérives du commerce mondial, mais surtout amener les citoyens à prendre conscience que leur sort, comme celui de la planète, est entre leurs mains et non entre celles des lobbys industriels.
![]()
![]()
Aléas climatiques et lait bio : Lautonomie alimentaire comme principale réponse
Guillaume MICHEL, Auteur ; Niels BIZE, AuteurLe changement climatique, avec une prévision dun réchauffement moyen de 1 à 3 °C en Bretagne à lhorizon 2070-2100, a et aura des incidences sur les principales cultures. Ainsi, sur cette région, daprès le projet Climalait, la courbe de croissance des prairies sera modifiée, avec une pousse de printemps plus précoce et des creux plus marqués en été. Les rendements moyens seront en hausse mais avec une forte variabilité (majorité de la matière sèche produite au printemps et une pousse automnale incertaine). Le maïs verra son cycle raccourci, un atout possible face à la sécheresse estivale, mais la pluviométrie très variable deviendra un facteur de production prépondérant. Quelles réponses techniques apporter ? Le projet Casdar Optialibio a montré lintérêt dun bon niveau dautonomie alimentaire face aux aléas climatiques. Ainsi, si les fermes les plus autonomes présentent globalement un revenu supérieur, cela se vérifie aussi en années de sécheresse comme 2003, 2010 et 2011. Ce projet a aussi permis didentifier certains déterminants importants du niveau dautonomie, comme la diversité de lassolement ou la précocité de la mise à lherbe, exemples déléments favorables. Les éleveurs mobilisent divers leviers pour plus dautonomie, certains mis en place de façon anticipée (ex. diminuer le taux de renouvellement), dautres en réaction à un aléa, comme lanticipation des réformes. Ces leviers peuvent être classés en trois grandes catégories : augmenter les ressources, diminuer les besoins ou encore adapter son troupeau aux ressources. Ces résultats montrent limportance du travail sur la cohérence de son système (adéquation sol-troupeau).
![]()
![]()
Alerte rouge : Agir contre le réchauffement climatique
Tim FLANNERY, Auteur ; Raymond CLARINARD, Traducteur | PARIS (87 Boulmevard Saint-Michel, 75 005) : EDITIONS HELOISE D'ORMESSON | 2009
A ceux qui perçoivent encore le désastre écologique comme un fantasme incertain, le scientifique Tim Flannery raconte l'édifiante histoire du temps qu'il fait à travers le temps qui passe. A une rapidité inédite et folle, l'humanité a grillé les ressources planétaires, gâché les milieux naturels et destabilisé avec une insouciance coupable des équilibres environnementaux complexes : et cela à la faveur d'un modèle de développement économique lui-même en panne. Ouvrage de vulgarisation scientifique, le livre de Tim Flannery est le manifeste d'une génération qui prend son destin et celui des générations futures en main.
![]()
![]()
Appel de Paris : ONUE : Un maigre espoir de rassemblement, après l'échec de Kyoto
La conférence de Paris sur l'environnement a donné naissance à une nouvelle organisation internationale destinée à lutter contre le réchauffement climatique. Mais si les trois plus gros pollueurs mondiaux refusent de le signer, il est difficile d'imaginer comment cet accord pourra être plus efficace que les précédents. Parmi les 46 signataires actuels, ne figurent ni les Etats-Unis, ni la Chine, ni la Russie.
![]()
![]()
Après Kyoto, Bali : Deuxième chance pour la planète
A l'occasion de la Conférence des Nations unies sur le changement climatique, du 3 au 14 décembre 2007, à Bali, plusieurs articles alimentent la réflexion sur le sujet : un premier article renvoie au rapport annuel de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) qui s'intitule "The World Energy Outlook 2007". Ce document rappelle l'urgence à agir pour limiter les dépenses énergétiques à l'échelle mondiale. Un second article analyse l'impact effectif du protocole de Kyoto sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre, à partir des travaux de deux chercheurs Gwyn Prins, de la London School of Economics, et Steve Rayner, de l'Université d'Oxford. Un troisième article, partant des produits fabriqués en Chine, mais consommés en Occident, pose le concept du consommateur-payeur.
![]()
![]()
Les arboriculteurs face aux changements climatiques : Evolution de la phénologie florale et du risque de gel printanier
L'arboriculture s'adapte difficilement aux changements climatiques. Les impacts commencent à être visibles, et sont susceptibles, dans un avenir proche, de conduire à des irrégularités de production et de bouleverser les spécificités régionales. Des travaux ont été poursuivis et approfondis durant ces deux dernières années afin de retracer et analyser les évolutions phénologiques en vergers, en relation avec le réchauffement global. La modélisation de la floraison a été développée sur des scénarios probables, afin de pouvoir évaluer les évolutions à moyen terme. Parmi les conséquences agronomiques des évolutions phénologiques engagées (avancée de floraison) et à venir, la question de l'évolution du risque de gel printanier a été approfondie.