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RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE |
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Sécheresse et conséquences
Benoît DUCASSE, AuteurGilbert Besson, éleveur laitier bio dans la Loire, témoigne des effets de la sécheresse. Depuis trois ans déjà, les étés sont très secs. Cette année encore, Gilbert a dû recommencer à nourrir ses vaches en juillet, trois mois seulement après la sortie au pâturage. Les prairies sont fortement dégradées. Selon lui, face à cette situation, trois solutions soffrent aux éleveurs : semer des céréales pour une récolte en vert en été, vendre certains animaux ou acheter du foin. Toutes ces mesures impactent le revenu. Gilbert Besson sinterroge sur le devenir de sa ferme, car il juge les assurances mal appropriées et les aides de létat insuffisantes. La prise de conscience du besoin de sadapter face au changement climatique se fait sentir. Pour prévenir les risques, Gilbert Besson voit plusieurs pistes : avoir recours à des plantes plus adaptées, replanter des haies et travailler lagroforesterie, trouver un moyen de mieux valoriser sa production (atelier de transformation), sagrandir ou encore diminuer le nombre dUTH, mais toutes ne sont pas pleinement satisfaisantes. Selon lui, une aide financière serait nécessaire pour accompagner les paysans dans lévolution de leur ferme.
Aléas climatiques et lait bio : Lautonomie alimentaire comme principale réponse
Guillaume MICHEL, Auteur ; Niels BIZE, AuteurLe changement climatique, avec une prévision dun réchauffement moyen de 1 à 3 °C en Bretagne à lhorizon 2070-2100, a et aura des incidences sur les principales cultures. Ainsi, sur cette région, daprès le projet Climalait, la courbe de croissance des prairies sera modifiée, avec une pousse de printemps plus précoce et des creux plus marqués en été. Les rendements moyens seront en hausse mais avec une forte variabilité (majorité de la matière sèche produite au printemps et une pousse automnale incertaine). Le maïs verra son cycle raccourci, un atout possible face à la sécheresse estivale, mais la pluviométrie très variable deviendra un facteur de production prépondérant. Quelles réponses techniques apporter ? Le projet Casdar Optialibio a montré lintérêt dun bon niveau dautonomie alimentaire face aux aléas climatiques. Ainsi, si les fermes les plus autonomes présentent globalement un revenu supérieur, cela se vérifie aussi en années de sécheresse comme 2003, 2010 et 2011. Ce projet a aussi permis didentifier certains déterminants importants du niveau dautonomie, comme la diversité de lassolement ou la précocité de la mise à lherbe, exemples déléments favorables. Les éleveurs mobilisent divers leviers pour plus dautonomie, certains mis en place de façon anticipée (ex. diminuer le taux de renouvellement), dautres en réaction à un aléa, comme lanticipation des réformes. Ces leviers peuvent être classés en trois grandes catégories : augmenter les ressources, diminuer les besoins ou encore adapter son troupeau aux ressources. Ces résultats montrent limportance du travail sur la cohérence de son système (adéquation sol-troupeau).
Dossier : Agriculture bio et santé
Claude AUBERT, AuteurCe dossier est composé de deux articles : - Agriculture bio et santé : la fin des polémiques. Trois principales questions ont fait l'objet de controverses au cours de ces quarante dernières années : Les produits chimiques, et particulièrement les résidus de pesticides, présents dans les aliments, menacent-ils notre santé ? ; La valeur nutritionnelle des produits bio est-elle supérieure à celle des produits conventionnels ? ; Les consommateurs de produits bio se portent-ils mieux que les autres ? L'auteur revient sur les arguments et les données existantes qui permettent de répondre positivement à ces trois questions, avec les nuances nécessaires. - L'agriculture bio, bénéfique pour l'environnement. Claude Aubert revient sur les atouts de l'agriculture biologique pour restaurer la fertilité des sols, lutter contre l'érosion, protéger les végétaux, favoriser la biodiversité, freiner le réchauffement climatique, etc. Des références bibliographiques pour aller plus loin complètent chaque article.
Effect of Three Husbandry Systems on Environmental Impact of Organic Pigs
Gwendolyn RUDOLPH, Auteur ; Stefan HÖRTENHUBER, Auteur ; Davide BOCHICCHIO, Auteur ; ET AL., AuteurCette étude, menée dans huit pays européens, a comparé les impacts environnementaux de trois systèmes délevage en porcs biologiques : des systèmes en bâtiment (24 élevages), des systèmes disposant dun accès partiel à lextérieur (30 élevages) et des systèmes en plein air (10 élevages). Les impacts environnementaux de chaque élevage ont été évalués en quantifiant leurs émissions de gaz participant au réchauffement climatique (principalement des GES), le potentiel dacidification et le potentiel deutrophisation de la ferme. Ces éléments ont été quantifiés pour 1000 kg de poids vif de porcs engraissés (de la naissance à labattage). Les résultats montrent une forte variabilité suivant les élevages. Les émissions de GES sont globalement équivalentes pour les trois systèmes. Comparé au système ayant partiellement accès à lextérieur, le potentiel dacidification est plus élevé en bâtiment alors que le potentiel deutrophisation est plus important en plein air. Les impacts environnementaux les plus forts sont principalement liés au système en bâtiment. Toutefois, les variations sont plus importantes intra-système quentre les différents systèmes. Ce nest donc pas la conduite en bâtiment ou en plein air qui influence le plus les impacts environnementaux mais dautres caractéristiques liées aux conduites délevage. Ces impacts semblent en effet plutôt liés à la gestion de la phase dengraissement (augmentation des poids de carcasse et part des concentrés dans les rations) et à la gestion des effluents.
Emissions de gaz à effet de serre et fertilisation azotée : Initiatives collectives et territoriales
Cyrielle DENHARTIGH, Auteur ; Mélissa DUMAS, Auteur ; Goulven LEBAHERS, Auteur | MONTREUIL (Mundo M, 47 Avenue Pasteur, 93 100, FRANCE) : RÉSEAU ACTION CLIMAT-FRANCE | 2018Le secteur agricole émet 20 % de gaz à effet de serre sur le territoire français (environ 100 millions de tonnes éqCO2). Près de la moitié de ces émissions sont dues à la fertilisation azotée. Celle-ci peut être issue d'engrais minéraux de synthèse (obtenus par un processus industriel entre lazote et lhydrogène) ou d'apports organiques (fumier ou lisier). Cette pratique entraîne en particulier des émissions de protoxyde dazote, lun des trois principaux gaz à effet de serre, directement au champ après lépandage au sol, ou indirectement, après transfert de lazote vers les eaux sous forme de nitrate ou via latmosphère sous forme dammoniac. À cela, il faut ajouter les émissions de gaz à effet de serre liées à la fabrication et au transport des engrais azotés sur le sol français ou liées aux engrais importés. Cette publication a pour objectif de faire la lumière sur létat des connaissances relatives aux émissions de gaz à effet de serre liées à la fertilisation azotée et aux politiques et mesures liées. Elle décrit de façon complète sept initiatives collectives locales, identifie les freins rencontrés et dégage des recommandations en matière de politiques publiques. Son but est, en particulier, dinspirer dautres porteurs de projet pour quils se saisissent de ce champ daction en identifiant les possibilités dactions collectives.
Les feuilles d'acacia pour lutter contre le réchauffement climatique
Bérenger MOREL, AuteurLe concours international francophone « Ma thèse en moins de 180 secondes » 2018 a été remporté par Geneviève Zabré, docteure spécialisée en physiologie et santé animale au Burkina Faso. Sa thèse a porté sur « Lutilisation des plantes médicinales dans la lutte contre le méthane émis par les ruminants ». Elle a pu notamment démontrer les vertus antiparasitaires des feuilles dacacia, ainsi que leurs effets sur la diminution du volume de méthane produit durant la rumination par les ovins. Acacia raddiana (la « gomme du Sahel ») est en effet grandement disponible pour les éleveurs subsahariens. Ses feuilles sont très riches en éléments actifs connus pour leur pouvoir antibactérien. Une fois les feuilles incorporées dans la ration des brebis, ces éléments peuvent éliminer jusquà 80 % des bactéries méthanogènes et ainsi diminuer de moitié le volume de méthane émis par lanimal.
Global warming of 1,5 °C : Summary for Policymakers
Myles ALLEN, Auteur ; Mustafa BABIKER, Auteur ; Yang CHEN, Auteur ; ET AL., Auteur | GENEVA 2 (c/o World Meteorological Organization, 7 bis Avenue de la Paix - C.P. 2300, CH - 1211, SUISSE) : IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) | 2018Ce résumé dun rapport établi par lIPCC (Groupe d'experts intergouvernemental sur les changements climatiques) est destiné aux décideurs politiques et porte sur les impacts d'un réchauffement climatique à 1,5 °C. Il est basé sur des études scientifiques, techniques et socio-économiques, ainsi que sur la comparaison des impacts entre les prévisions dun réchauffement global à 1,5 °C et celles d'un réchauffement à 2 °C. Dans un premier temps, les causes du réchauffement climatique lié aux activités humaines (à partir de lère industrielle jusqu'à nos jours) y sont définies et quantifiées. Les différents impacts et risques associés à ce changement sont ensuite évoqués et les modèles utilisés pour effectuer ces prévisions sont également décrits. Différentes propositions sont ensuite émises pour limiter le réchauffement climatique. Enfin, ce rapport met en avant limportance dapporter une réponse globale des différents pays pour favoriser un développement durable et éradiquer la pauvreté dans le monde, ce qui passe par une implication collective.
Implanter des prairies sous couvert de méteil à l'automne
Vincent VIGIER, Auteur ; Marianne D'AZEMAR, AuteurSi l'on tient compte des projections climatiques du dernier rapport du GIEC qui prévoit une hausse moyenne des températures de + 0,5° C à + 1° C et une fréquence des sécheresses multipliée par 5 dans les 20 prochaines années, les pratiques d'implantation de prairies sous couvert sont à questionner. Ainsi, sur la ferme expérimentale de Thorigné d'Anjou (49), des expériences d'implantation à l'automne de prairies sous couvert de méteil ensilé ont été réalisées. Présentation de quelques résultats et retours d'expériences de producteurs, Olivier Charbonnel, de Landeyrat (15) et David Garcelon, de Polminhac (15).
La nature face au choc climatique : L'impact du changement climatique sur la biodiversité au coeur des Ecorégions Prioritaires du WWF
Dans ce rapport, le WWF évalue le nombre despèces en danger en fonction du réchauffement global de la planète. Le rapport présente une liste de 35 « écorégions » dans le monde, identifiées comme étant des sites exceptionnels par leur biodiversité et emblématiques pour lavenir de la vie sur Terre. Les auteurs ont cherché à évaluer l'impact du climat sur la biodiversité de ces écorégions selon 3 scénarios de réchauffement, eux-mêmes basés sur 3 niveaux d'ambition : un monde à + 2 °C, ce que visent théoriquement les accords de Paris à lhorizon 2100 ; un monde à + 3,2 °C, conforme aux prévisions au cas où les engagements pris à la COP21 seraient tenus ; un monde à + 4,5 °C, correspondant à labsence totale dactions faites pour ralentir le rythme actuel des émissions. Dans cette dernière hypothèse, ce sont 48 % des animaux et 69 % des plantes des 35 écorégions listées qui seraient menacés dextinction au niveau local. Le scénario des + 2 °C réduirait le risque de moitié. En Europe, 2 écorégions sont concernées : la Méditerranée et le bassin de la Mer Noire. Dans certaines régions étudiées, lagriculture locale est identifiée comme une cause de fragilisation de la biodiversité. Les auteurs montrent le rôle que les mesures d'adaptation peuvent et doivent jouer au niveau local, afin de protéger certaines zones de refuge et de réduire les taux d'extinctions dans le scénario d'un respect de la limitation à 2°C. Au-delà, même des mesures d'adaptation complémentaires ne suffiront pas à la survie des populations locales. Ils appellent à des actions locales pour préserver les espèces, et globales pour limiter les émissions de gaz à effet de serre. Concernant lagriculture, « beaucoup peut être fait pour encourager des pratiques plus durables telles que lagroforesterie, que cela soit pour laugmentation des rendements ou la réduction des atteintes portées à lécosystème », précisent-ils. Le document propose un résumé des résultats pour 8 des 35 écorégions prioritaires : Amazonie et Guyanes, Amour-Heilong (fleuve du Nord-Est de lAsie), Côtes est de lAfrique, Madagascar, Méditerranée, Forêts du Miombo, Sud-Ouest de lAustralie, Bassin du Yang-Tsé-Kiang.
Planter des arbres pour les abeilles : L'api-foresterie de demain
Nos paysages changent, les plantes souffrent et dessaisonnent, les abeilles disparaissent et leur alimentation devient problématique Face au changement climatique, chacun de nous peut agir en plantant des arbres : ils permettront aux insectes pollinisateurs de survivre et à nos jardins de s'adapter. Ce livre dresse quelque cinquante portraits d'arbres, d'arbustes et de lianes indigènes et exotiques (savonniers, tilleuls, lotus, buddleias, kalopanax, tetradiums, cyprès, saules ) capables d'attirer et de nourrir les pollinisateurs. Cette nouvelle diversité végétale apportera des solutions écologiques face au changement climatique, enrichira la palette des amoureux des abeilles et permettra l'émergence d'une api-agroforesterie adaptée tant à nos jardins qu'aux espaces agricoles et urbains. Ces plantes, déjà expérimentées, sont choisies, en complément de la flore usuelle, pour leurs floraisons tardives ou au contraire très précoces, pour des solutions paysagères et écologiques adaptées aux canicules et aux hivers doux à venir, et pour assurer aux abeilles une alimentation saine avec des apports réguliers de nectar, de pollen et de résines à propolis
Repères pour réussir la transition
Philippe COUSINIÉ, AuteurLauteur présente un résumé de son approche de la transition, de la transition du mode de vie de lhomme à la transition agroécologique. Changer est une nécessité pour la survie de lespèce humaine, face au changement climatique, à la baisse drastique de la biodiversité ou encore au développement des maladies. Pour lauteur, le frein majeur à la transition est le mode de pensée actuel très cloisonné par disciplines, spécialités ou techniques. Il ny a plus dapproche globale. Or, la transition doit se baser sur une approche systémique, où, à chaque instant, lhomme doit questionner ses actions pour voir leurs impacts sur lensemble des champs : environnement, énergie, social, technologie notamment. Ainsi, la transition agroécologique interroge le champ de lagriculture, de lalimentation, mais aussi de lénergie, de lécologie et de léducation. Léducation est même un point central : elle doit évoluer pour permettre de former des hommes aptes à interroger les savoirs dans leurs diversités et à avoir cette approche systémique. La transition agroécologique peut donc se voir comme sous linfluence des transitions éducative, énergétique, écologique et technologique, avec notamment le rôle fondamental de laliment et du choix par le consommateur de ce quil achète, son achat cautionnant tel ou tel système de production.
La Terre est en surchauffe : L'impact de la mondialisation et des multinationales sur notre planète
L'homme est en train de changer le climat. Depuis la création de l'OMC, l'auteur analyse que les tenants de la mondialisation ont retiré les pouvoirs dévolus aux États pour les confier aux multinationales. Les peuples se sentent souvent abandonnés par leurs gouvernants. Le monde doit impérativement changer : fédérer les États, appliquer un droit international, rechercher et punir les coupables d'écocides. Ce livre expose les liens entre économie mondialisée et dérèglement climatique, puis met en lumière les actions possibles pour les entreprises, les politiciens, les citoyens, dans le monde et dans la vie quotidienne, et propose aussi des idées de projets de grande envergure. Dans une première partie, louvrage revient sur les évolutions qui ont marqué la société et les équilibres mondiaux, depuis laprès-guerre (1945), pendant les Trente Glorieuses et jusquà la période récente (mondialisation, finance, Cop21...). La deuxième partie de louvrage expose les enjeux du réchauffement climatique et les pistes de solutions adaptées pour limiter les dégâts de ce réchauffement (finance, transports, habitat, production et distribution des denrées agricoles, consommations énergétiques et énergies renouvelables, droit international pour la Terre et les citoyens).
Café : une denrée rare à terme ?
BIO-LINEAIRES, AuteurLe café est la première matière agricole échangée dans le monde. 9 millions de tonnes ont été produites en 2016. Cet article présente les 5 démarches durables existantes en matière de production et de commercialisation de café, parmi lesquelles l'agriculture biologique et le label Fairtrade. Le café bio enregistre une belle expansion : sa surface a quintuplé entre 2011 et 2015. Comme le cacao, l'industrie du café est menacée par le réchauffement climatique. Certains experts évoquent même l'extinction pure et simple de l'Arabica sauvage, plus sensible que le Robusta, dès la fin de ce siècle.
Date de semis, de sortie à l'herbe... : Le changement climatique bouleverse tous les repères
Costie PRUILH, AuteurLes effets du changement climatique, avec la hausse des températures ou laugmentation des sécheresses, impactent la production laitière (moins de lait en été, problèmes pulmonaires chez les veaux). Les éleveurs modifient déjà leurs pratiques et calendriers, afin de sadapter. Dans ce contexte, le programme de recherche Climalait sintéresse aux effets du changement climatique sur trente unités laitières, réparties sur le territoire. Il consiste, dans un premier temps, à simuler l'impact du changement climatique sur les productions fourragères, puis à réfléchir avec les éleveurs aux voies dadaptation possibles. Piloté par le Cniel, le projet est conduit par lIdele, les chambres dagriculture, Arvalis, le BTPL, lINRA et Météofrance. Les simulations pour la zone des Mauges, en Maine-et-Loire, sont terminées ; elles prédisent une diminution des précipitations lété et + 10 % de production fourragère dus à lélévation du taux de CO2 atmosphérique. Les systèmes de polyculture-élevage locaux basés sur le pâturage assurent une certaine résilience. Les évolutions envisagées sont diverses : - évolution des bâtiments pour les garder frais en été, - sélection génétique afin daméliorer la résistance des vaches. Le programme devrait livrer ses résultats à lautomne 2018 mais, dores et déjà, le maintien du lait semble compromis dans certaines régions, plus exposées à la sécheresse et spécialisées dans lélevage sans signe de qualité.
Freiner l'accaparement mondial des terres agricoles
INF'OGM, AuteurEn 2016, lassociation Grain a publié de nouvelles données sur près de 500 cas daccaparement de terres dans le monde. Ce sont des puissances financières privées ou publiques, souvent impliquées dans le développement des OGM, qui en sont les auteurs. InfOGM a réalisé une synthèse de ce texte. Létude sur laccaparement des terres a débuté par une collecte de données à partir de 2006, sur la plateforme en accès ouvert farmlandgrab.org. Une première analyse avait été réalisée en 2008. Laggravation du réchauffement climatique serait corrélée à laugmentation du phénomène daccaparement des terres. Ce dernier est décrit et les investisseurs sont caractérisés.