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Dossier : Recherche en bio : Metabio prépare le changement d’échelle
Christine RIVRY-FOURNIER, Auteur ; Frédéric RIPOCHE, Auteur ; Frédérique ROSE, AuteurMetabio est un métaprogramme d’INRAE, lancé en 2020, pour 5 à 8 ans, pour explorer l’hypothèse d’une agriculture bio majoritaire en France. Il englobe plusieurs actions et projets, sur 4 grands thèmes : les conditions pour le changement d’échelle de l’AB, les ressources à mobiliser pour produire suffisamment et durablement, les produits et leurs qualités, et la coexistence systèmes bio et non bio. Un premier bilan a été fait en mars 2023 : plus d’une trentaine d’actions ont été soutenues sur des sujets très divers (potentiel des espèces de légumineuses en matière de fixation de l’azote, création d’outils numériques en maraîchage pour la reconception des systèmes, qualité des fromages en lien avec la variabilité des conditions de milieu en systèmes herbagers bovins…). Ce dossier revient plus particulièrement sur certains de ces projets, comme le projet Lapoesie sur l’évaluation des bénéfices/contraintes de la présence de lapins d’élevage au sein de vergers de pommiers bio, dont les résultats montrent : des lapins en bonne santé, des pommiers nettoyés, mais aussi des points de surveillance à avoir. Le dossier présente aussi le projet européen Ppillow pour plus de bien-être en élevages de porcs et de volailles plein air bio et bas-intrants. Piloté par INRAE, ce projet travaille sur plusieurs questions-clés pour ce type d’élevage : la génétique, les parcours, la santé, l’élevage de porcs entiers, l’ovosexage, l’éclosion à la ferme, la production de souches de volailles double fin (chair et oeufs)...
Les projets, consortia et thèses financés par le métaprogramme METABIO – Période 2020-2023
Depuis 2019, INRAE a mis en place des programmes transversaux de recherche, appelés « métaprogrammes », afin de répondre aux enjeux scientifiques et sociétaux de demain de manière interdisciplinaire. Le métaprogramme « Changement d'échelle de l'agriculture biologique » explore l'hypothèse où l'offre nationale de produits bio deviendrait majoritaire, dans un contexte de transition agroécologique des systèmes agri-alimentaires, dans le but d'anticiper les conséquences et d'accompagner le déploiement de systèmes agri-alimentaires biologiques. Ce document présente les travaux réalisés ou en cours de réalisation (projets, consortia, thèses...), autour des axes de recherche suivants : - Axe 1 : Les conditions pour une transition à grande échelle de l'agriculture biologique et son accompagnement ; - Axe 2 : Les ressources à mobiliser pour produire suffisamment et durablement en AB ; - Axe 3 : Transformation, conservation et qualités des produits bio/issus de l'AB ; - Axe 4 : Coexistence des systèmes/modèles de production, au sein de l'AB et avec les autres agricultures. Les projets présentés sont : Clinorg, Typobio, Agribioleg, Multifunk, Origami, Biodet, Biosylf, Ecosyat, Entail, Lapoésie, Microvarior, Pacon, Selbiodom, Incubio, Breeding, Organic 4 organic, Plan Health 2.0, Bee for bio, Dis-bio, IndiaBio, Innov'Co, Intab, Isobio, Sourcen, Synbiose, Végétruies, Vinobio.
Christophe Riou, directeur général de l’IFV : « Obtenir des références pour les systèmes bio »
Frédérique ROSE, AuteurAprès de nombreuses années passées au sein de l’Institut Français de la Vigne et du Vin (IFV), Christophe Riou a été nommé directeur général de cet Institut, en octobre 2021. Dans cette interview, il revient sur la place de la viticulture et de la vinification biologiques au sein de l’IFV. Cet institut technique a élaboré un nouveau programme scientifique pluriannuel (2022-2027), nommé Cap 2027, axé sur quatre principaux défis : la production de plants et l’innovation variétale, la gestion du dépérissement et des risques sanitaires émergents, la protection durable et la transition agroécologique, le pilotage de la production, ainsi que les attentes des consommateurs et la qualité des vins. Comme la bio est un enjeu transversal, présent dans ces quatre axes, l’IFV a recruté, pour la première fois, un référent national viticole bio : Nicolas Constant. Ce dernier a travaillé pendant vingt ans à Sudvinbio. Il est maintenant chargé de suivre les différents projets d’expérimentation liés à la bio (notamment sur la réduction des doses de cuivre, les couverts végétaux et l’entretien du sol), d’effectuer un travail d’animation pour faire remonter les informations entre les différents partenaires, et de faire le lien entre les commissions scientifiques et professionnelles. L’IFV a aussi décidé qu’un système bio serait étudié et comparé dans l’ensemble de ses travaux de recherche. Au cours de cette interview, Christophe Riou revient aussi sur le Label bas carbone, qui est en cours de création pour la filière viticole.
Inrae au Salon de l'agriculture : Métabio explore le changement d’échelle
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurEn 2019, Inrae lançait Métabio, un métaprogramme de recherche, transversal et interdisciplinaire, dédié au changement d’échelle de la bio, cette agriculture étant portée par la demande sociétale et par les politiques publiques. Dans le cadre du dernier Salon de l’agriculture, Inrae présentait ce programme et, à cette même occasion, le chercheur Marc Benoit revenait sur la nécessité de reconsidérer la place de l’élevage. En effet, la bio présente de nombreux avantages et services mais sous-entend une productivité un peu réduite, liée à une moindre intensification et notamment à l’interdiction des intrants chimiques. Face à cela, divers leviers sont possibles à l’échelle de la planète : maîtriser la démographie, limiter les pertes et les gaspillages, réduire les autres utilisations de terres – infrastructures, énergie…-, augmenter les surfaces cultivées, adapter les régimes alimentaires et assurer une productivité suffisante des surfaces agricoles. Sur ce dernier point, la diversification des productions, en associant plus l'élevage et les cultures, est un point-clé. Cela sous-entend de revoir la carte de la production agricole en France. Par ailleurs, réduire la part de protéines animales dans le régime alimentaire des humains est aussi un levier très important, tout en maintenant un élevage à une part optimale et en produisant sans compétition entre alimentation humaine et alimentation animale. Ceci donne alors une place particulière aux ruminants, capables de valoriser l’herbe. Or, ces éléments sous-entendent d’importants changements, aussi bien au niveau de la production que des systèmes de transformation et de distribution des aliments. Réfléchir et travailler alors à l’échelle des territoires est crucial pour appréhender les grands enjeux (souveraineté alimentaire, valeur ajoutée, environnement, aspects sociaux…) et mettre en œuvre la transition.
METABIO : un ambitieux programme de l'INRAE sur l'agriculture bio
Claude AUBERT, AuteurDans les années 1980, alors que l'agriculture biologique peinait à démarrer, un chercheur de l'INRAE (ex-INRA), Francis Chaboussou, s'est intéressé à l'impact des pesticides et de la fertilisation chimique sur la santé des plantes. Cas isolé à l'INRAE, à son départ à la retraite, ses recherches n'ont pas trouvé de suite. 20 ans plus tard, l'INRA a créé le CIAB (Comité Interne de l'Agriculture Biologique) qui a mis en place des sites d'expérimentations en bio. 2020 voit le lancement du programme METABIO, en adéquation avec l'objectif de passer à au moins 25 % des surfaces en agriculture biologique et avec le changement d'échelle de la bio.
Dossier : Une santé, une planète
Gérard FONTY, Auteur ; Christian AMBLARD, Auteur ; Jean-Pierre JOUANY, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier est consacré au concept « One Health » (une seule santé) qui promeut une approche globale de la santé publique, animale et environnementale au niveau local ou planétaire. L’occasion de faire le point sur : - la biodiversité, indispensable à la vie (et sa dégradation catastrophique) ; - l’utilisation des pesticides et leurs ravages sur la santé du vivant ; - les impacts de l’hyper-industrialisation de l’alimentation sur la santé avec l’utilisation massive d’aliments ultra-transformés (déconstruction, voire modification de la matrice alimentaire) entraînant obésité, diabète… et la règle des 3 VBLS (Vrai, Végétal, Varié, si possible Bio, Local et/ou de Saison) ; - la mobilisation de mille médecins et scientifiques en faveur de la bio et de l’agroécologie face à un enjeu majeur de santé publique ; - l’agriculture du futur, mobilisant les communautés microbiennes, auxiliaires indispensables à la bonne croissance et à la santé des plantes et beaucoup plus présentes avec les variétés anciennes qu'avec les variétés récentes ; - le concept « One Health » et ses limites (selon l’auteur, il ne s’attaque pas au fond du problème, à savoir les déséquilibres créés par l’homme ; ne bouscule pas les systèmes dominants ; fait référence à une santé défensive gérée essentiellement avec des produits allopathiques et des vaccins…). L’auteur propose un autre concept : un seul monde vivant : un regard global sur le vivant et l’interdépendance des espèces animales et végétales.
Rapports annuels 2020
Ce support de l'AG du Pôle Bio Massif Central, association reconnue d'intérêt général qui accompagne le développement de l'agriculture biologique sur le Massif Central, compile rapport moral, rapport d'activité et rapport financier pour l'année 2020. Malgré l'impact de la crise sanitaire liée à la Covid-19, notamment sur les évènementiels organisés par la structure, le Pôle a poursuivi ses principales actions. En 2020, le Pôle Bio menait quatre projets à l'échelle du Massif Central : - BioViandes, autour du développement de filières viande durables en adéquation avec les potentiels du territoire ; - BioRéférences, qui vise à répondre aux besoins en références pour les filières ruminants bio du Massif ; - Idebio Massif Central, dont l'objectif majeur est d'innover et de dynamiser l'environnement de la bio pour un développement durable valorisant la diversité des ressources et des territoires du Massif Central ; - BioTransfert 20-21, pour une meilleure valorisation des connaissances et des pratiques en AB. Le Pôle était également partenaire de plusieurs projets à l'échelle locale (Jaccadit) et à l'échelle nationale (projets Casdar Résilait et Agor@gri). Lors de l'assemblée générale de l'association, à l'occasion de laquelle ont été publiés ces rapports, Marc Benoit, chercheur à Inrae, a présenté des travaux sur la place de l'élevage dans les territoires pour une agriculture durable nourrissant la planète, ainsi que Métabio, le métaprogramme d'Inrae sur l'AB. La vidéo et le diaporama de cette intervention sont disponibles sur https://pole-bio-massif-central.org/une-assemblee-generale-riche-en-echanges/.
Inrae : Métabio, le 1er métaprogramme bio
BIOFIL, AuteurL’année dernière, l’Inrae a lancé le métaprogramme « Métabio : Changement d’échelle de l’agriculture biologique ». Ce dernier, d’une durée de 7 à 10 ans, propose d’explorer l’hypothèse selon laquelle l’offre nationale de produits bio deviendrait majoritaire, dans un contexte de forte demande et de transition agroécologique. Ce programme transversal s’articule autour de quatre axes et étudie les enjeux, les leviers et les conséquences d’un tel changement du système agri-alimentaire. Au moins 300 ETP (équivalents temps plein) seront mobilisés à l’Inrae sur ce métaprogramme.
Un nouvel outil au vignoble : Les cépages résistants se multiplient
Arnaud FURET, AuteurEn France, plusieurs programmes de recherche portent sur l’enrichissement de l’offre variétale en vignes résistantes, comme le programme ResDur (Résistant Durable), débuté dans les années 2000, à l’Inrae de Colmar. Les travaux se focalisent, pour le moment, sur la résistance au mildiou, à l’oïdium et un peu au black rot. L’objectif est de réduire l’utilisation de produits phytosanitaires. Certains membres de la filière voient ces nouveaux cépages (ex : artaban, vidoc et floreal) comme un outil supplémentaire mis à la disposition des vignerons, tandis que d’autres s’alarment de la perte de typicité des vins. Garance Marcantoni, conseillère viticole à la Chambre d’agriculture du Var, précise que ces cépages ne sont pas forcément à utiliser partout, mais qu'ils peuvent l’être dans des zones plus sensibles, comme en ZNT riverains ou près de cours d’eau. Par exemple, Antoine Pignier, vigneron en biodynamie dans le Jura, a planté quelques lignes de pinotin en bordure de parcelle, pour diminuer les traitements près des habitations (même s’il s’agit de préparations biodynamiques). Il entretient ainsi de bonnes relations avec le voisinage. Globalement, ces nouveaux cépages font encore l’objet d’essais par les instituts, mais ils commencent aussi à investir les vignes professionnelles. Cet article est complété par le témoignage de Mickaël Raynal. Ce dernier cultive plus de 30 cépages différents dans le Tarn-et-Garonne et il a observé une nette diminution des traitements sur ses vignes résistantes.
La recherche appliquée au service d’une agriculture biologique compétitive et performante
ACTA, Auteur ; ITAB, Auteur ; INSTITUT DE L'ELEVAGE, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ACTA - LES INSTITUTS TECHNIQUES AGRICOLES | 2020Lors de l’édition 2020 du Salon International de l’Agriculture, des membres du réseau ACTA ont donné une conférence de presse pour présenter le programme de recherche et développement (R&D) en agriculture biologique des Instituts Techniques Agricoles. Cette conférence de presse a été animée par Jean-Michel Schaeffer (président de l’Itavi) et Martial Marguet (président de l’Idele - Institut de l’Élevage). Le diaporama utilisé comme support pour cette conférence présente le développement de la bio, ainsi que les différents besoins identifiés en matière de R&D ; le programme mis en place par les Instituts Techniques Agricoles pour répondre à ces attentes ; puis plusieurs travaux en cours : Natacha Sautereau (Itab) présente « les approches multi-acteurs pour répondre aux préoccupations de la société civile et aux besoins des acteurs de la bio » ; Delphine Neumeister (Idele – Institut de l’Élevage) détaille le projet « Reine Mathilde », une dynamique partenariale pour développer la filière laitière biologique en Normandie ; Isabelle Bouvarel (Itavi) présente « Le champ de la R&D « bio » pour les filières avicoles » qui porte sur la santé, le bien-être, l’environnement et l’alimentation ; Amélie Carrière (Arvalis – Institut du végétal) aborde l'axe de recherche "système" chez Arvalis, visant à construire des systèmes de culture et de production multi-performants.
Core Organic Cofund : La plus-value européenne
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurA l’occasion du nouvel appel à projets européen de recherche en bio 2018-2021, Core organic cofund, qui s’intègre dans le réseau Era-Net Plus, la DGER, l’INRA et leurs partenaires se sont réunis le 24 janvier au ministère de l’Agriculture à Paris. Une enquête menée sur l’impact des projets financés met en évidence les besoins : les programmes doivent être ancrés dans la réalité et dans le territoire pour être adaptés aux conditions locales de chacun. L’objectif est de rendre les systèmes agricoles plus autonomes partout en Europe. Si des agriculteurs participent à certains programmes, il est aussi important de mieux diffuser les résultats sur le terrain.
Date de semis, de sortie à l'herbe... : Le changement climatique bouleverse tous les repères
Costie PRUILH, AuteurLes effets du changement climatique, avec la hausse des températures ou l’augmentation des sécheresses, impactent la production laitière (moins de lait en été, problèmes pulmonaires chez les veaux). Les éleveurs modifient déjà leurs pratiques et calendriers, afin de s’adapter. Dans ce contexte, le programme de recherche Climalait s’intéresse aux effets du changement climatique sur trente unités laitières, réparties sur le territoire. Il consiste, dans un premier temps, à simuler l'impact du changement climatique sur les productions fourragères, puis à réfléchir avec les éleveurs aux voies d’adaptation possibles. Piloté par le Cniel, le projet est conduit par l’Idele, les chambres d’agriculture, Arvalis, le BTPL, l’INRA et Météofrance. Les simulations pour la zone des Mauges, en Maine-et-Loire, sont terminées ; elles prédisent une diminution des précipitations l’été et + 10 % de production fourragère dus à l’élévation du taux de CO2 atmosphérique. Les systèmes de polyculture-élevage locaux basés sur le pâturage assurent une certaine résilience. Les évolutions envisagées sont diverses : - évolution des bâtiments pour les garder frais en été, - sélection génétique afin d’améliorer la résistance des vaches. Le programme devrait livrer ses résultats à l’automne 2018 mais, d’ores et déjà, le maintien du lait semble compromis dans certaines régions, plus exposées à la sécheresse et spécialisées dans l’élevage sans signe de qualité.
Ex-Post Evaluation of the Impacts of the Science-Based Research and Innovation Program: A New Method Applied in the Case of Farmers’ Transition to Organic Production in the Camargue
Sylvain QUIEDEVILLE, Auteur ; Dominique BARJOLLE, Auteur ; Jean-Claude MOURET, Auteur ; ET AL., AuteurCet article vise à évaluer la contribution, le rôle et les impacts du Programme de recherche scientifique et d'innovation (ISRIP) sur la conversion des agriculteurs à la production biologique en Camargue. En mettant l'accent sur la façon avec laquelle les acteurs de la recherche ont contribué à la voie de l'innovation, et dans quelle mesure, les auteurs ont mis en place plusieurs méthodes. L’approche participative de l'impact des cheminements critiques (PIPA) a été utilisée pour mettre au point des mécanismes complexes tout au long du processus d'innovation, la Méthode de récolte des résultats pour adapter le PIPA aux exigences d'une évaluation a posteriori et à l'analyse du réseau social (SNA) afin de mettre l'accent sur les relations des acteurs par rapport au processus de développement. Les auteurs démontrent que la recherche a contribué au changement en développant des interactions de co-apprentissage avec les agriculteurs, bien que cela n'ait pas été essentiel au succès de l'innovation. Ils soulignent plutôt que les politiques agricoles, les facteurs économiques, les tests effectués de manière indépendante par les agriculteurs et le cadre institutionnel sont les facteurs les plus importants et les plus influents.
Évaluer la performance environnementale des exploitations laitières en polyculture-élevage
Claver KANYARUSHOKI, AuteurLe projet CASDAR Qualenvic (qualité conjointe des produits alimentaires et de l'environnement) a pour objectif de fournir aux éleveurs laitiers et aux viticulteurs des méthodes et des références pour évaluer la qualité et la performance environnementale de leur exploitation. Lors des Rencontres 3R de 2015, des chercheurs, des enseignants et des conseillers agricoles ont présenté les travaux menés dans le cadre de ce projet. Des élevages du Cantal et du Finistère ont été observés. Cette étude a permis notamment d'améliorer un outil d'analyse du cycle de vie adapté aux exploitations laitières, et de l'appliquer sur de nouveaux systèmes en zone de plaine et de montagne.
INOSYS, Réseaux d'élevage : Rencontres Nationales des 22 et 23 mars 2016
Aude AGENIS-NEVERS, AuteurLes Rencontres Nationales INOSYS Réseaux d’élevage ont eu lieu les 22 et 23 mars à l’APCA, co-organisées par l’APCA et l’Institut de l’élevage. Plusieurs thématiques ont été abordées. Parmi celles-ci, quelques points particuliers : changement climatique et utilisation du Rami fourrager en Pays de la Loire, fréquence importante des systèmes bio dans les 253 cas innovants identifiés, autonomie alimentaire au travers de deux projets (Autosysel et Terrunic), résilience et gestion des aléas (dans l’Est, les systèmes herbagers sont plus sensibles aux aléas climatiques mais plus résilients au niveau économique)… Une réflexion par filière a ensuite eu lieu.