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Documents disponibles dans cette catégorie (34)


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Dossier : Mildiou : Les alternatives de demain
Xavier DELBECQUE, AuteurEntre la découverte dune substance ayant des propriétés antimildiou et son application sur le terrain, le temps est long. Certaines substances, dailleurs, ne sont finalement pas développées. Ce dossier permet de faire le point sur lavancée de différents travaux expérimentaux concernant la lutte contre le mildiou et ayant donné de bons espoirs ces dernières années. Les lysats damibes devraient ainsi arriver dans les vignes en 2024 (mode daction : éliciteur et fongicide), des microalgues sont également en bonne voie (lancement prévu en 2025, mode daction : fongicide), ainsi que des extraits dinule visqueuse (lancement prévu en 2026/27, mode daction : fongicide). Dautres produits sont testés mais nont pas encore de date de lancement prévue : un biostimulant à base de stérols végétaux, leau ozonée qui pourrait agir comme fongicide de contact ou encore leau électrolysée qui pourrait agir également comme fongicide.
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Phytothérapie : Accompagner la sortie d'hiver
Justine VICHARD, AuteurBien que la végétation soit alors "au repos", la période hivernale n'en est pas moins importante dans la gestion des vignes. En sortie d'hiver, il convient d'agir, en premier lieu, sur le sol, et notamment sur les micro-organismes qu'il contient. Pour que ces derniers jouent pleinement leurs rôles, des solutions riches en vitamines, tanins, oligo-éléments et donc en micro-organismes, peuvent être apportées : thé de compost, litière fermentée, extrait fermenté de plantes. Au moment du débourrement, c'est la photosynthèse qu'il faudra faciliter. L'ortie est une plante-clé, en apportant notamment des nutriments nécessaires à la photosynthèse. Enfin, pour mieux faire face aux gels tardifs, la valériane peut être une alliée, en complément des solutions mécaniques de plus en plus indispensables. Elle crée un voile de chaleur sur les plantes et a une action déstressante pour celles-ci.
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Des pistes pour lutter contre les pucerons
Maude LE CORRE, AuteurDans le cadre du projet Casdar Simpa, des essais sont réalisés sur plusieurs sites expérimentaux dans le but d'identifier des alternatives aux pesticides dans la lutte contre les pucerons cendrés en verger de pommiers et contre les pucerons verts en verger de pêchers. Trois grandes stratégies sont testées : l'utilisation de produits de biocontrôle, l'utilisation d'extraits de plantes (huiles essentielles) et l'implantation de plantes de services. Chacune de ces stratégies est comparée à des références en production fruitière intégrée, en agriculture biologique et à une modalité non traitée. Les premiers résultats, obtenus en 2021, sont présentés dans cet article.
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RELACS: Deliverables & reports: Mineral oil
Valerio MAZZONI, Auteur ; Vincenzo VERRASTRO, Auteur ; Catherine EXPERTON, Auteur ; ET AL., Auteur | FRICK (Ackerstrasse 113, Case Postale 219, CH-5070, SUISSE) : FIBL (Institut de recherche de l'agriculture biologique) | 2022 et 2021Le projet européen RELACS - REplacement of Contentious Inputs in organic farming Systems (2018-2022) - avait pour objectif dévaluer des solutions pour diminuer, voire remplacer, lutilisation dintrants controversés dans les systèmes conduits en agriculture biologique. Ce projet sest notamment penché sur les alternatives à lutilisation dhuiles minérales. Bien que ces dernières soient assez peu connues et utilisées en France, elles le sont dans dautres pays européens. Elles sont utilisées pour la protection des cultures biologiques et en santé animale. Ces huiles minérales, issues de ressources non renouvelables, peuvent présenter des risques pour la santé et lenvironnement si elles sont utilisées à des doses non appropriées. Cinq livrables ont été publiés sur des alternatives à leur utilisation. Trois dentre eux concernent les productions végétales : 1 Un livrable présente les résultats dessais conduits sur des fermes italiennes pour tester et valider des pratiques alternatives contre les aleurodes dans les vergers dagrumes et sous serre ; 2 Un autre livrable porte plus spécifiquement sur lutilisation d'huile essentielle d'orange et dextrait de plante Clitoria ternatea pour lutter contre les aleurodes dans les serres ; 3 Un livrable détaille des combinaisons de moyens alternatifs pour contrôler les aleurodes sous serre sans recourir aux huiles minérales. Deux autres livrables traitent des alternatives à lutilisation de ces huiles pour la gestion des mammites des vaches laitières : 1 Le premier porte sur lutilisation de lapproche « AHWP » pour limiter lutilisation dhuiles minérales (approche développée dans le cadre de ce projet, avec des groupes dagriculteurs guidés par des conseillers et des vétérinaires pour améliorer la santé globale de leurs animaux) ; 2 Le second analyse le marché des huiles essentielles pour contrôler les mammites sans recourir aux antibiotiques et aux huiles minérales.
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Expert Group for Technical Advice on Organic Production (EGTOP) : Food VII - Feed V Final Report
L'EGTOP, groupe d'experts indépendants ayant pour objectif de fournir des conseils techniques sur des questions liées à la production biologique, donne, dans ce rapport publié en 2021, son avis sur des demandes dautorisation concernant l'utilisation de nouvelles substances dans lalimentation humaine et animale biologique. Concernant l'alimentation humaine, l'EGTOP a apporté un avis favorable pour l'ajout des substances suivantes aux annexes du règlement (CE) n° 889/2008 : le dioxyde de silicium comme agent d'écoulement pour une utilisation dans la poudre de chocolat chaud, les extraits de pin contenant des acides colophaniques naturels (sous forme de sels de potassium), les extraits de houblon contenant des acides alpha de houblon, des acides bêta de houblon naturels et leurs dérivés (sous forme de sels de potassium). Concernant l'alimentation animale, les avis sont favorables pour : le phosphate monodicalcique, l'argile verte du Velay, la levure et produits à base de levure, la bentonite et la gomme xanthane. Pour certaines de ces substances, les usages sont toutefois restreints ou soumis à des mentions spéciales. En revanche, les experts ont donné des avis défavorables ou n'ont pas été en mesure d'émettre un avis éclairé concernant : l'acide sulfurique comme auxiliaire technologique pour la production de deux produits alimentaires (snacks de maïs grillé et gomme de caroube), l'argile kaolinitique comme auxiliaire de traitement dans les procédés d'extraction de l'huile d'olive, le métabisulfite de sodium, la fumée pré-purifiée, les esters de saccharose, la gomme gellane, les extraits de chêne, la lutéine et la zéaxanthine.
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Gestes de base : Les extraits fermentés
Gauthier BAUDOIN, AuteurEn biodynamie, les extraits de plantes fermentés, ou « purins », sont prisés des jardiniers et des paysans. Pour réaliser ces extraits fermentés, il existe 2 façons. Dans la méthode traditionnelle, le mélange de plantes et deau est régulièrement brassé et donc oxygéné (processus en aérobie), et sera plus particulièrement utilisé comme engrais liquide en arrosage direct. Dans la deuxième méthode, le mélange fermente sans oxygène (processus en anaérobie, comme pour la choucroute ou le vin) et produira un extrait destiné plus spécifiquement à la pulvérisation sur feuilles. Dans un cas comme dans lautre, la difficulté principale pour lélaboration des extraites fermentés consiste à stopper la fermentation au bon moment. Lobservation de lécume qui se crée en surface pendant le processus est, en cela, un bon indicateur. Les plantes les plus utilisées pour fabriquer les extraits fermentés sont lortie, la consoude, la fougère aigle et la prêle. Les principes et les étapes de fabrication du purin dortie sont expliqués.
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Methodologies to Assess the Bioactivity of an Herbal Extract on Immunity, Health, Welfare and Production Performance in the Chicken: The Case of Melissa officinalis L. Extract
Angélique TRAVEL, Auteur ; Angélique PETIT, Auteur ; Laurence GUILLOTEAU, AuteurLes extraits de plantes contenant des composés bioactifs renforçant l'immunité pourraient contribuer à réduire l'utilisation dantimicrobiens dans les élevages. Dans cette étude, une méthodologie a été développée pour évaluer la capacité dun extrait de plantes à renforcer les défenses immunitaires innées des poulets de chair, notamment afin de lutter contre l'inflammation et le stress oxydatif. Cette méthodologie a été appliquée à l'extrait de Melissa officinalis L. (MEL), reconnu pour ses propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires. Différentes méthodes ont été utilisées pour : 1 - garantir la qualité de l'extrait de MEL et sa capacité à stimuler le système immunitaire inné ; 2 - évaluer la pertinence d'un modèle (ex vivo) pour mimer les problèmes inflammatoires et liés au stress oxydatif ; 3 analyser (ex vivo) les effets d'une alimentation supplémentée en extraits de MEL sur l'inflammation et le stress oxydatif du poulet ; 4 évaluer les effets (in vivo) de l'extrait de MEL sur l'équilibre redox, la santé, le bien-être et les performances de poulets exposés, au départ, à des conditions non optimales. La qualité des préparations d'extraits de MEL, évaluée par la quantification de l'acide rosmarinique (AR), a révélé des concentrations variables d'AR suivant les extraits. Ces dernières restent néanmoins stables durant trois mois dans les aliments supplémentés en extraits de MEL. L'incubation de cet extrait avec des cellules de poulet a montré une activation métabolique et une capacité de la MEL à stimuler les fonctions immunitaires. Elle a aussi induit une cytotoxicité à des concentrations élevées. Le modèle ex vivo d'inflammation a également mis en évidence des propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires des cellules sanguines de poulets nourris à l'extrait de MEL. Les essais in vivo ont, quant à eux, validé les effets bénéfiques de l'extrait de MEL sur l'équilibre redox et sur les performances zootechniques des poulets pendant leur phase de croissance.
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Plantes médicinales : Comment aborder la question des résidus ?
Michel BOUY, AuteurCet article revient sur le statut des plantes, dans la réglementation des médicaments ou dans celle des compléments alimentaires, et sur les conséquences de ce statut. Depuis 2013, une note de lANSES sur le « statut juridique du médicament vétérinaire au regard des produits à base de plantes » sert de référence sur le statut des plantes dites médicinales utilisées en élevage. Dès quil y a mention dune allégation de santé, ces dernières et leurs extraits relèvent du statut du médicament, sous-entendant lobtention dune autorisation de mise sur le marché (AMM). Or, en labsence dallégation de santé, une plante entre alors dans le domaine du complément alimentaire, autrement moins contraignant, doù le fort développement de ce type de produits. Cest dautant plus le cas quobtenir une AMM demande, notamment, de travailler sur les résidus et de prouver labsence de toxicité. Or, pour les plantes, lapproche classique qui vise à étudier, un à un, la présence et la toxicité de chaque composé dun produit nest pas applicable : la composition dextraits de plantes, en plus de compter un très grand nombre de composés, varie fortement, par exemple, dune saison à lautre. Par ailleurs, les aliments (lait, viande) issus danimaux au pâturage contiennent naturellement des composés aromatiques issus de plantes consommées par les animaux. De plus, les plantes sont très largement utilisées comme compléments alimentaires chez lhomme. Une solution pour sortir de cette situation serait la reconnaissance dun statut juridique intermédiaire aux plantes et à leurs extraits (à la fois aliment, mais pas seulement), permettant leur usage en élevage, mais sans risque pour le consommateur. Les extraits qui pourraient poser des problèmes de toxicité seraient gérés à part (interdits ou limités).
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Des tanins pour réduire les odeurs sexuelles des carcasses
REUSSIR PORC, AuteurUne étude, réalisée par un groupe de chercheurs tchèques et slovaques, a démontré que lincorporation dextraits de châtaigniers (qui contiennent des tanins) dans lalimentation des porcs mâles entiers, à hauteur de 2 %, semble réduire le dépôt de scatol dans leur viande. Selon Didier Gaudré, de lIfip Institut du porc, les tanins permettent, en effet, de réduire lodeur des viandes en diminuant la production de scatol. Par contre, lincorporation dextraits de châtaigniers a aussi pour effet de pénaliser les performances zootechniques des porcs, puisque les tanins présentent aussi des facteurs antinutritionnels qui empêchent lhydrolyse des protéines.
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Cahier technique : Les extraits végétaux en viticulture : Utilisations et effets face aux maladies et ravageurs de la vigne - Situation en 2019
Ce document est l'aboutissement de 8 ans de synthèses bibliographiques et de travaux d'expérimentation. Il présente ce qu'il est aujourd'hui permis de réaliser en matière d'extraits végétaux naturels dans le cadre réglementaire très contraint lié aux lois phytosanitaires. Le document est organisé en 4 rubriques : - Les termes importants à définir (nomenclature règlementaire, définition des différents extraits végétaux) ; - Matériels et méthodes d'extraction (préparation des extraits végétaux, infusions, tisanes, décoctions, macérations, purins...) ; - Les plantes substances de base (ortie, prêle, saule) ; - Les plantes substances naturelles à usage biostimulant (achillée millefeuille, ail cultivé, matricaire camomille, etc.).
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Ladrôme Laboratoire : Des plantes qui font sens
BIO-LINEAIRES, AuteurLadrôme Laboratoire (auparavant Ladrôme provençale), créée en 1989, était au départ une petite société dédiée à la production de plantes fraîches bio en vrac. L'entreprise s'est ensuite rapidement tournée vers les produits finis, dans le courant des médecines douces et traditionnelles et en synergie avec les magasins spécialisés. Aujourd'hui, Ladrôme Laboratoire offre près de 280 produits, tous maîtrisés de la plante au flacon. Wim Tanghe, PDG de l'entreprise, met en avant l'expertise scientifique au cur de l'activité, illustrée par un laboratoire interne qui travaille en collaboration avec un médecin naturopathe pour élaborer des produits authentiques à 99 % à base de plantes (quasiment aucun ajout de vitamines ou de minéraux) : extraits hydro-alcooliques, huiles essentielles, hydrolats, élixirs floraux, huiles végétales... Le travail en proximité avec les producteurs, à 80 % issus du quart Sud-Est de la France, dont la Drôme et l'Ardèche, permet une attention permanente au maintien de la qualité des plantes. Wim Tanghe explique également le lien entre la saison de cueillette de certaines plantes et la concentration des actifs recherchés pour leur efficacité, établi grâce à une longue expérience et à de nombreuses analyses qui confèrent au laboratoire une expertise parmi les plus pointues dans son domaine. La recherche de sens et de cohérence est présente dans toutes les dimensions de l'activité, que ce soit dans l'efficacité des produits et leur transparence, dans la relation avec les producteurs, dans le bien-être au travail, dans le choix de packaging respectueux de l'environnement ou encore dans l'implication dans la vie du territoire de la Biovallée®...
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Les plantes, une alternative à la résistance des strongles aux anthelmintiques ?
Maya DIEHL, AuteurOn observe de plus en plus de résistances des parasites face aux traitements chimiques, notamment avec les strongles gastro-intestinaux. Cette résistance sappuie sur un processus naturel dadaptation des parasites, accéléré par une mauvaise utilisation des molécules (usage trop massif, à des moments inopportuns, dosages mal adaptés ou encore absence de rotation dans les familles de molécules utilisées). Se pose alors la question des alternatives possibles, comme lutilisation de plantes. Une étude a été menée in vitro sur lefficacité de plantes médicinales africaines contre lhaemonchose. 86 échantillons issus de 60 plantes collectées en Côte dIvoire ont été testés sur différents stades, de luf à la larve infestante, de ce strongle de la caillette. Les résultats ont montré que 31.7 % des espèces testées avaient une activité forte à différents stades du développement du parasite. Reste à étudier lefficacité de ces plantes, et dautres, in vivo, cest-à-dire dans lanimal. Cependant, cela demande encore un important travail de recherche, pour identifier les molécules actives et les concentrations minimales dactivité, les résidus éventuels dans la viande ou le lait, les parties de plantes à travailler et à quelle période de lannée Ceci afin, à terme, darriver à un possible protocole dadministration. Reste aussi à prendre en compte leffet de synergie et de potentialisation qui existe entre plantes, qui souvent sont associées entre elles pour traiter.
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L'innovation biocontrôle bat son plein
Clara DE NADAILLAC, AuteurÀ l'occasion de la 11ème conférence sur les ravageurs et auxiliaires, organisée en octobre 2017, à Montpellier, plusieurs avancées techniques à destination de la viticulture ont été présentées. Trois d'entre elles sont décrites dans cet article : - l'utilisation de nématodes prédateurs des vers de la grappe ; - l'utilisation d'extraits de plantes (figuier, moutarde des champs, radis sauvage) contre le nématode vecteur du court-noué (Xiphinema index) ; - le développement de pièges olfactifs, mettant en jeu l'attractivité de certaines odeurs pour les insectes.
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Les producteurs de fruits auvergnats avancent vers « loptimisation de lutilisation des PNPP et des techniques de bio contrôle »
Coralie PIREYRE, AuteurEn 2017, en Auvergne, huit producteurs, arboriculteurs et producteurs de petits fruits, se sont réunis pour créer un groupe "Ecophyto 30 000". Leur objectif était de trouver des alternatives dites naturelles à lutilisation de produits de traitement, même bio (tels que le spinosad ou le cuivre). Ce groupe de producteurs a défini ensemble le planning des différentes rencontres : formation sur lélaboration et lutilisation des préparations, réunion pour constater leffet au champ Les échanges reposent essentiellement sur un transfert dexpériences entre producteurs expérimentés et novices. Lexemple dune journée chez Jacques Hugon, arboriculteur membre du groupe qui utilise des extraits de plantes depuis une dizaine dannées, est plus amplement détaillé. Ce qui a permis dévoquer les sujets suivants : à quoi sert cette plante ? Comment effectuer la préparation ? Comment lappliquer sur plusieurs hectares ? Quelles sont les erreurs à éviter ? Les « apprentis » ont également pu sessayer à la préparation dun extrait fermenté dorties. Des échanges ont aussi été organisés avec le groupe DEPHY dArdèche qui existe depuis plus longtemps et qui est plus expérimenté. Un bilan a fait ressortir que les producteurs, souvent débordés, narrivent pas à anticiper les préparations, et quil faut de la pratique pour que ces préparations soient de qualité. Les producteurs souhaitent continuer à en discuter et à se former pour que leur utilisation devienne un réflexe.
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Le purin d'ortie, une efficacité en demi-teinte
Xavier DELBECQUE, AuteurDans cet article, plusieurs techniciens en viticulture conventionnelle témoignent sur l'utilisation de purin d'ortie. Si, lors d'années à faible pression parasitaire, l'intérêt de cette préparation ne ressort pas, quelques résultats sont prometteurs en cas de forte pression, notamment contre le mildiou. Toutefois, les résultats varient selon les années et les lieux avec ce type de préparations, de même qu'avec les tisanes de plantes.