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Biopresse Hors-série : Diversification et agriculture biologique - 2022
Esméralda RIBEIRO, Auteur ; Héloïse BUGAUT, Auteur ; Sophie VALLEIX, Auteur ; ET AL., Auteur | LEMPDES (VetAgro Sup - Campus agronomique de Clermont, 89 Avenue de l'Europe - CS 82212, 63 370, FRANCE) : ABIODOC (Service de VetAgro-Sup) | 2022La diversification fait partie des leviers mobilisables par les agriculteurs pour augmenter la durabilité de leurs exploitations. Il peut s’agir de diversification au sein de leurs productions (ex : plusieurs ateliers de productions animales et/ou végétales), ou d’activités qui ne relèvent pas de la production alimentaire, mais qui prennent appui sur l’exploitation (ex : accueil pédagogique ou social, production d’énergie, vente directe…). Pour identifier plus facilement des documents portant sur la diversification au sein des fermes biologiques (descriptions de systèmes diversifiés, témoignages d’agriculteurs, fiches, études, guides…), ABioDoc, le Centre national de ressources en agriculture biologique, a publié un numéro Hors-série de sa revue Biopresse sur ce sujet. Ce Hors-série est composé de références bibliographiques extraites de la Biobase, la seule base de données documentaire francophone spécialisée en agriculture biologique. Il compile environ 380 références sur la diversification, publiées entre 2012 et 2022, classées par grands thèmes (élevage, grandes cultures, maraîchage, arboriculture, viticulture, agriculture et environnement…). Cette sélection de références est le fruit d’une recherche large sur la diversification, mais non exhaustive sur certains thèmes (ex : agroforesterie, circuits courts, agritourisme…). Précision supplémentaire pour les références en lien avec l’élevage : elles portent aussi bien sur les systèmes d’élevage diversifiés, que sur les élevages mixtes et le pâturage mixte. Ce Hors-série a été réalisé dans le cadre du projet BioRéférences 2017-2022. L’objectif de ce projet est d’acquérir des références (notamment technico-économiques) sur les systèmes de production biologiques dans le Massif Central. Un volet s’est intéressé à la diversification des systèmes, afin de voir comment mieux les accompagner et d'acquérir des références spécifiques.
Claire Bernard et Gaël Le Coz : À taille humaine
Vincent DEMAZEL, AuteurEn 2020, Claire Bernard et Gaël Le Coz se sont installés en bio, respectivement en tant que maraîchère et paysan-boulanger, à la Ferme des Sailles, sur les hauteurs du Vigen, près de Limoges (87). Avec leur production, ils approvisionnent les marchés des villages à proximité, les épiceries et les bistrots, ainsi que les AMAP, en pain et en légumes. Installé « hors cadre familial », ce jeune couple s'est intégré à différents réseaux professionnels (CUMA, syndicat, associations...) et cultive son ouverture sur le monde à travers l'accueil de « wwoofers » sur l'exploitation.
Solan, la terre et la foi
Marie ARNOULD, AuteurAu monastère de Solan (30), un collectif de sœurs orthodoxes s'est lancé dans la transformation d'une ancienne exploitation viticole intensive qui a laissé les terres fatiguées. Après quelques essais en biodynamie, avec pour objectif de cultiver une vigne sur sol vivant, les sœurs se sont tournées vers Terre & Humanisme pour les accompagner dans leurs travaux. Aujourd'hui, les sœurs cultivent des fruits et légumes, qui assurent l'auto-suffisance du monastère et dont une partie est transformée pour la vente en boutique, et elles produisent du vin qu'elles commercialisent en vente directe. Elles accueillent également un grand nombre de visiteurs et de bénévoles, qui viennent leur prêter main forte et apprendre, à leur contact, la culture menée en agroécologie.
Amandine Mulin accueille des wwoofers depuis trois ans
Isabelle DOUCET, AuteurEn 2015, Amandine Mulin s'est installée, en Isère, en maraîchage. Après avoir découvert le wwoofing en tant qu'utilisatrice, elle a souhaité, à son tour, devenir hôte, étant très attachée aux valeurs et à l'état d'esprit du mouvement. En 2018, elle a commencé à accueillir des wwoofers chez elle, d'avril à octobre. Elle s'appuie sur le site internet du réseau Wwoof France, sur lequel les candidats s'inscrivent et envoient leur demande dans la ferme de leur choix. Selon Amandine, 2 types de profils viennent chez elle : de futurs candidats à l'installation et des vacanciers. Autre témoignage, celui d'Anne Liotard, du domaine viticole bio des 13 Lunes, en Isère. Les wwoofers qu'elle accueille sont très intéressés par la viticulture et viennent en grand nombre pour découvrir, échanger, se ressourcer... Si le mouvement existe depuis une cinquantaine d'années dans le monde, il s'est développé depuis environ 15 ans en France et connaît un succès croissant. Un encart rappelle les règles de fonctionnement et le cadre légal du wwoofing.
Une ferme urbaine pour l'insertion et l'installation
Marc DHENIN, AuteurOptim’ism est une entreprise associative bretonne de l’économie solidaire qui développe plusieurs activités : maraîchage bio, écopâturage, entretien écologique d’espaces verts, animation de jardins partagés… Elle expérimente la création de microfermes en milieu urbain. Une première microferme a été créée à Pont-Scorff (Morbihan), dans le cadre de chantiers d’insertion. La ferme de la Croizetière, à Riantec, près de Lorient, a été installée en 2009 sur le même modèle (insertion, vente en paniers…). Parallèlement, Optim’ism a accompagné l’installation de deux personnes en insertion sur un terrain de l’agglomération de Lorient. D’autres expérimentations de ce type sont en cours.
Guide maraîchage biologique Nouvelle-Aquitaine 2021 : Organisation ; Planification
Réalisé par le réseau AB des Chambres d'agriculture de Nouvelle-Aquitaine, ce document est consacré à l'organisation du travail et à la planification en maraîchage biologique. Il propose des fiches techniques : - Rotations et assolements ; - Planification des cultures ; - Organiser son travail ; - La main d’œuvre ; - Banque de temps et de matériel ; - Financer son projet : Le financement participatif.
Dossier : Zoom sur les ruralités dans l’épidémie de Covid-19
Jade LEMAIRE, Auteur ; Fabrice BUGNOT, Auteur ; Jean-Sébastien PIEL, Auteur ; ET AL., AuteurL’épidémie de Covid-19 a entraîné de nombreux changements dans notre société. Ce dossier s’intéresse plus particulièrement aux changements engendrés dans les territoires ruraux. Il donne la parole à différents acteurs (agriculteurs, habitants, responsables associatifs…) afin qu’ils partagent des initiatives ou des réflexions soulevées par cette crise, notamment sur l’approvisionnement local et la souveraineté alimentaire. Certaines incohérences de notre système alimentaire ont en effet été mises en évidence durant le printemps 2020 : alors que les filières étaient désorganisées et que certaines d’entre elles étaient en surproduction, la pauvreté et les distributions sociales de produits alimentaires ont augmenté en France. Une tribune, publiée le 12 mai par un collectif d’associations et de syndicats (dont la Confédération paysanne, le Réseau Civam…), questionnait la souveraineté alimentaire et démontrait l’importance du rôle des paysans dans celle-ci. Pour les Civam, cette épidémie a en effet mis en avant la nécessité de mettre en place des systèmes de production autonomes et économes. Elle a aussi souligné l’importance des collectifs d’agriculteurs. Par ailleurs, pour faire face à la fermeture des marchés et autres débouchés, des agriculteurs se sont mobilisés pour pouvoir continuer à vendre en circuits courts. Les AMAP ont été très résilientes grâce à la pertinence de leur modèle basé sur la solidarité entre les producteurs et les consommateurs. Plusieurs autres initiatives en lien avec les circuits courts sont décrites : vente à la ferme, épicerie paysanne, groupement d’achat de produits locaux, possibilité d’offrir des paniers de produits locaux à des personnes dans le besoin, plantation de pommes de terre et de courges dans des tiers-lieux pour éviter les fins de mois difficiles… D’autres initiatives et réflexions, moins en lien avec le secteur agricole, sont également abordées dans ce dossier.
Quand la production facilite l’insertion ; L’insertion : une autre voie de diversification
Claudine GALBRUN, AuteurCes articles portent tous les deux sur l’insertion professionnelle par le biais d'activités agricoles. Le premier explique en quoi la production de fruits et légumes se prête particulièrement bien à l’économie sociale et solidaire, ainsi qu’à l’insertion professionnelle. Pour l'illustrer, l’article s’appuie sur l'exemple du Réseau Cocagne. Cette association est reconnue d’utilité publique et rassemble 102 ACI (Ateliers et chantiers d’insertion). Ces derniers sont souvent connus sous le nom de Jardins de Cocagne. Ils emploient des personnes éloignées du monde du travail pour une durée maximale de deux ans, tout en leur proposant un accompagnement socioprofessionnel. Le maraîchage biologique est ainsi utilisé comme support pédagogique et de remobilisation. Les légumes sont vendus sous forme de paniers à plus de 100 000 « consom’acteurs » au prix du marché, afin de ne pas créer de concurrence déloyale. Le but de ces ACI n’est pas de transformer leurs salariés en futurs maraîchers bio (même s’ils peuvent révéler des vocations), mais de les rendre plus polyvalents, de les responsabiliser et de les faire renouer avec la notion d’exigence. Le second article présente le réseau Astra (Agriculture sociale et thérapeutique en région Auvergne-Rhône-Alpes). Cette association a été créée en 2011, pour promouvoir et professionnaliser l’accueil de personnes en difficultés chez des agriculteurs.
Coopérative Biocer : Un nouvel outil pour valoriser les grains
Annie RIGAULT, AuteurBiocer, coopérative de céréales biologiques, comptait 230 adhérents en 2018. En cinq ans, les volumes collectés par Biocer ont augmenté de 50 %. Afin de répondre à l’essor de la bio, Biocer a créé une nouvelle filiale, Normandie Grains Bio, avec l’objectif d’augmenter les capacités de stockage et de structurer la filière. Cette filiale est une création partenariale, elle rassemble trois autres coopératives bio (Cocebi, Corab et Probiolor) et une coopérative conventionnelle (Natup). Les financeurs sont privés (Esfin Gestion, Défi Bio) et publics (Fonds Avenir bio de l’Agence BIO et Agence de l’eau Seine-Normandie). Biocer a porté ses valeurs au travers d’une stratégie d’investissement attentive aux enjeux économiques, à l’indépendance financière, au caractère humain, équitable et durable des projets, tout en maintenant les valeurs coopératives et participatives. Si ce projet de nouvel outil de stockage et de triage a pu voir le jour, c’est d’abord grâce aux adhérents, qui ont réuni en quelques jours plus de 25 % du capital social, indispensable au lancement. Cet équipement, prévu pour être opérationnel à la fin de l’été 2019, possède la particularité de regrouper une structure de stockage évolutive, un trieur optique, et une ligne de conditionnement et d’ensachage. En phase de concrétisation, la structure pourrait bientôt accueillir un atelier de meunerie.
Dossier : Alimentation : Une place à table pour tous !
Hélène BUSTOS, Auteur ; Mélanie THÉODORE, Auteur ; Mathieu DALMAIS, Auteur ; ET AL., AuteurLes agriculteurs du réseau des Civam s'interrogent : Comment se peut-il qu’un système de production nourrisse mal un nombre croissant de ses consommateurs et ne permette pas de vivre à une partie de ses producteurs ? Quel rôle les acteurs agricoles ont-ils à jouer pour répondre à la nécessité de l’accès de tous à une alimentation de qualité et durable ? Pour répondre à ces questions, le Réseau Civam s’est associé, de 2016 à 2019, à des partenaires du secteur social, de la recherche et de la formation, dans le cadre du projet de recherche-action Accessible. Le séminaire final de ce projet a eu lieu le 28 mars 2019, à Paris. Au cours du séminaire, intervenants et participants ont mis en évidence la multiplicité des enjeux liés à l’alimentation et les moyens pour repenser la solidarité alimentaire. Ce projet a notamment permis de créer des livrets pour la mise en place d'un jeu de rôle sur l'accès de tous à une alimentation durable ; un film « La part des autres », des modules de formation, etc. Ce dossier aborde, par ailleurs, l’économie sociale et solidaire ainsi que les concepts de gratuité de l’alimentation et de sécurité sociale de l’alimentation.
Le Wwoofing, un mode de voyage durable et solidaire
Hélène COLNAT-BREUNE, Auteur ; Benjamin MERCIER, AuteurLe Wwoofing est un moyen de voyager, dans les milieux ruraux, en aidant à la ferme contre le gîte et le couvert. Ce principe, datant des années soixante-dix, s’est disséminé dans 120 pays, dont les paysans-hôtes sont aujourd’hui référencés sur le site internet du réseau Wwoofing (World wide opportunities on organic farms). Hélène et Benjamin racontent leurs expériences de Wwoofing en Outre-manche et leurs échanges, riches, avec les agriculteurs.
Carnets de WWOOFing : Partager le quotidien des fermes bio
Né au début des années 70, le WWOOFing permet de partager le quotidien des paysans qui pratiquent et défendent l'agriculture biologique. Il constitue aussi une alternative éco-touristique solidaire qui fait de nombreux adeptes. Ainsi, un choix s’offre pour aller, dans de nombreux pays, à la découverte du maraîchage, de l’apiculture, de la construction écologique, de la fabrication de pain, de fromages, etc. Pratiqué partout dans le monde, le WWOOFing présenté dans cet ouvrage se déroule cependant principalement en France, dans le souci écologique de limiter les déplacements. L’auteur partage ses expériences de WWOOFing et donne des conseils pratiques pour bien préparer son séjour. Présentés sous forme de petits carnets de voyage qu’il a réalisés lors de divers séjours depuis une dizaine d’années, ses récits fournissent un aperçu réaliste des coulisses de la paysannerie.
Dossier : Engagement et militantisme
Nathalie DELAGNES, Auteur ; Daniel COUHAILLAT, Auteur ; Thierry LEMAÎTRE, Auteur ; ET AL., AuteurPromouvoir une autre forme d'agriculture, incarner ce changement nécessaire et partager avec les autres agriculteurs le sentiment que l'avenir de l'agriculture est entre leurs mains... tels sont, entre autres, les traits communs d'un grand nombre d'agriculteurs engagés. Les témoignages et les portraits d'adhérents de Biolait rassemblés dans ce dossier l'illustrent parfaitement. Ils reflètent aussi la diversité et la richesse des formes d'engagement au travers desquelles, dans d'autres domaines ou structures, les agriculteurs mettent en pratique leurs convictions, mènent des combats, résistent et se révoltent : - Mêlons-nous de ce qui nous regarde ! (Daniel Couhaillat, 64) ; - Du rock à la ferme ! (Thierry Lemaître, 61) ; - Nous devons être acteurs ! (GAEC Bioloval, 85) ; - Le militantisme : un apport à la société (Robert Neuburger, psychiatre) ; - La fourme de Montbrison et Biolait (Olivier Marcoux, 42) ; - Les humains au cœur de la pédagogie (Bertrand Cailly, LPA de Bray, 76) ; - Le foot et la révolte ! (Jean-Luc Denis, GAEC Lortagne, 49) ; - L'engagement dans l'association "Solidarité Paysans" (Jean-Baptiste Provost, 22) ; - Jacques, paysan et diacre (Jacques Pezot, 49) ; - Mon objectif : promouvoir la bio (Nicolas Perrin, SCAE des Charrières, 25) ; - Le bénévolat, l'essence même de l'engagement (Claude Choux, directeur de Probiolor) ; - Engagement et militantisme : Semons-nous les uns les autres (Floriane Derbez, doctorante en sociologie).
Dossier : Quel accueil à la ferme ?
Morgane COULOMBEL, Auteur ; Alexis BILLIEN, AuteurDerrière le terme "Accueil à la ferme", existent de nombreuses modalités et motivations. Ce dossier illustre cette diversité à travers quatre témoignages d'agriculteurs bretons ayant fait le choix d'ouvrir leurs portes, voire plus, à leurs concitoyens. Installé en 1986 en élevage laitier, Didier Labouche accueille des adolescents en difficulté depuis 1989. Aujourd'hui, le troupeau laitier n'existe plus et les deux activités principales de l'exploitation sont un centre équestre et l'accueil social, ce dernier représentant environ 120 jours de travail par an. Sur la ferme de son conjoint maraîcher bio, Sterenn Laurent Kervella a développé une activité d'accueil pédagogique à destination de groupes d'enfants (écoles, centres de loisirs, maisons de jours...). Elle leur présente le jardin mais leur propose aussi des animations telles que des dégustations, du jardinage, ou encore du land art. Elle ressent une grande satisfaction dans le sentiment d'avoir transmis quelque chose. Samuel Dugas, éleveur laitier et maraîcher en AB, a quant à lui choisi l'accueil à travers le wwoofing, une forme de bénévolat en échange du gîte et du couvert sur la ferme. Enfin, Stéphanie et Cyrille Guilloteau, éleveurs bio, accueillent depuis trois mois une famille albanaise qui a dû fuir son pays. Totalement bénévole, cette forme d'accueil relève plus encore du partage à travers la mise à disposition d'un lieu de vie. Ces agriculteurs peuvent échanger sur leurs choix d'accueil et leurs expériences au sein de différents réseaux comme Accueil paysan ou Accueillir au pays.
Petites cantines, grande solidarité
Leila PIAZZA, AuteurUne cantine d'un nouveau genre a vu le jour en 2016, à Lyon, grâce à Diane Dupré La Tour et Étienne Thouvenot. Respectivement journaliste et ingénieur, l'idée leur est venue de créer un lieu pour rompre l'isolement en ville, en partant du principe que la cuisine est un bon trait d'union, à même de favoriser partage et rencontres. Le projet a évolué et, aujourd'hui, les Petites cantines de Vaise offrent aux adhérents un espace pour cuisiner ensemble - sous l’œil attentif et bienveillant de Juliette Grizard, la "maîtresse de maison" - mais aussi communiquer, s'informer sur des sujets variés comme l'équilibre alimentaire, apprendre à économiser les ressources, tisser des liens... Diane et Étienne ont voulu leur projet avant tout participatif et solidaire, mais il va bien plus loin : des échanges avec les magasins du quartier leur permettent de récupérer des invendus pour les cuisiner, les déchets organiques compostés sont donnés au jardin partagé voisin, et puis deux autres établissements ont été ouverts, l'un à Perrache et l'autre à Paul-Santy. Diane et Étienne se sont fixés un objectif de créer une douzaine de cantines dans la ville et 22 emplois durables d'ici fin 2020. Avec plus de 7000 adhérents, le modèle de l'association séduit. Celle-ci accompagne désormais des groupes de citoyens souhaitant essaimer dans leur ville à Lille, Strasbourg, Annecy ou encore Dijon. A Saint-Étienne, la FABuleuse cantine a ouvert en septembre 2017 avec un mot d'ordre : la lutte contre le gaspillage alimentaire. C'est aussi un laboratoire d'idées, avec une cuisine ouverte qui accueille toutes sortes de personnes souhaitant se former à la cuisine zéro déchet, avec l'organisation de workshops, de concerts...