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Documents disponibles dans cette catégorie (223)


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Devenir maraîcher bio en Hauts-de-France : les 7 clés de votre réussite
En 2019, les Hauts-de-France comptabilisaient 265 exploitations maraîchères en bio, soit 44 de plus qu'en 2018. Comme dans toute la France, la progression des surfaces maraîchères en région résulte principalement des installations. Face à cette demande grandissante d'installations en maraîchage bio, les Chambres d'Agriculture Hauts-de-France, Bio en Hauts-de-France et le CFPPA de Lomme - Dunkerque ont réuni leurs compétences pour mettre à jour le guide "Je crée mon activité en maraîchage bio en Nord-Pas-de-Calais" datant de 2015, dans le cadre des missions du Point Accueil Installation Transmission. L'objectif du guide « Devenir maraîcher bio » est de fournir toutes les clés de réussite pour sinstaller en Hauts-de-France, que ce soit par la création ou par la reprise d'une exploitation existante. De la confrontation aux réalités du métier, à la construction du projet commercial, en passant par l'organisation du travail, 7 clés de réussite sont développées, appuyées par des témoignages et des références en Hauts-de-France.
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Réintroduire un élevage sur ma ferme : 20 producteurs témoignent ou comment (re)découvrir les vertus de la polyculture élevage
Ce recueil s'appuie sur les témoignages de vingt producteurs basés dans les Hauts-de-France qui ont fait le choix de réintroduire de lélevage sur leurs fermes. La recherche dautonomie et de cohérence était à la base de la motivation de tous ces producteurs, mais leurs objectifs étaient assez variés : valorisation des surfaces, fertilisation organique, diversification des revenus, désherbage des parcelles, diversification de la gamme proposée en vente directe Dans tous les cas, associer des cultures et des animaux leur a apporté de nombreux bénéfices agronomiques, socio-économiques et/ou environnementaux. Ces retours dexpériences, notamment sur les difficultés rencontrées, ont pour objectif de mettre en avant de bonnes pratiques pour favoriser la réussite de tels projets, même si chacun dentre eux reste unique. Ce recueil est ainsi composé de trois parties. La première apporte des recommandations, points de vigilance et clés de réussite. La seconde est composée de quatre fiches sur les caractéristiques de différents ateliers délevage (une fiche par espèce) : volailles, porcs, ovins viande, bovins viande. La dernière partie regroupe sept fermoscopies impliquées dans la bio avec des profils et des projets variés : arboriculteurs ayant réintroduit des ovins, polyculteurs ayant réintroduit des bovins ou des ovins, maraîchers ayant réintroduit des volailles
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Les bio pratiquent en Pays de la Loire : Portraits de fermes bio 2020 : 14 témoignages sur la transition agricole et climatique
14 producteurs.trices bio des Pays de la Loire, dans diverses productions (bovins, volailles, viticulture, arboriculture, maraîchage, céréales), témoignent sur leurs pratiques de transition agricole et climatique. Pour chacun.e, sont présentés : des repères sur le système de production ; des pratiques, techniques ou commerciales ; et les structures qui les accompagnent (structures économiques ou de conseil). Les pratiques abordées concernent : lautonomie protéique en élevage, le remplacement de la paille par des plaquettes de bois, la biodiversité, ladaptation du travail du sol, ladaptation au changement climatique, la relocalisation des filières, limplication dans les filières longues...
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Projet PimAB : Pratiques innovantes en maraîchage en Agriculture Biologique : Fermoscopies
AGRIBIO 84, Auteur ; AGRIBIO 06, Auteur ; AGRIBIO 13, Auteur | CAVAILLON Cedex (MIN 5, 15 Avenue Pierre Grand, 84953, FRANCE) : AGRIBIO 84 | 2020 et 2021Le projet régional PimAB, réalisé de 2018 à 2020 en région Provence-Alpes-Côte-d'Azur et porté par Bio de PACA, s'est intéressé aux pratiques innovantes en maraîchage biologique, afin de les promouvoir et d'en démontrer la faisabilité. Dans le cadre de ce projet, 16 fermoscopies ont été réalisées. Destinées en priorité aux porteurs de projets, elles présentent les principaux résultats technico-économiques (campagnes 2017, 2019 ou 2020), les moyens mis en uvre, ainsi que les conseils de 16 agriculteurs du Vaucluse, des Alpes-Maritimes et des Bouches-du-Rhône : - Clémentine Vaysse, installée en plantes aromatiques ; - la Ferme du Colibri, en maraîchage sur petites surfaces et avec agroforesterie ; - le Potager d'un curieux, qui produit des plants et semences potagers et ornementaux ; - l'EARL Le Borie, en maraîchage diversifié en circuits courts ; - Vanessa et Aymeric Noir, en maraîchage diversifié, arboriculture et fruits rouges ; - le GAEC Les Rives Paysannes, en maraîchage diversifié, poules pondeuses et transformation ; - la ferme Toutypousse, en maraîchage diversifié avec poules pondeuses ; - Pierre Boijout, en maraîchage diversifié et petits fruits ; - les ruchers de Sallagriffon, apiculture et élevage ; - Yann Vidal, en maraîchage ; - le Cabanon de San Peyre, un verger-maraîcher qui va jusqu'à la transformation ; - Eric Barrière, en maraîchage sur sol vivant ; - l'EARL Le Jardin du Papet, en maraîchage biodynamique ; - la SCOP Des pieds et des mains, une ferme collective ; - Renée et Pierre Venel, maraîchers ; - Le Grand Jardin, microferme maraîchère et poules pondeuses.
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Systèmes économes et autonomes en circuits courts : Portraits de 8 fermes du Pays Chatelleraudais
8 portraits de fermes en circuits courts, dont 6 en bio, du département de la Vienne, ont été réalisés dans le cadre dun GIEE (Groupement dIntérêt Economique et Environnemental) « En marche vers des systèmes de production économes et autonomes dans le Châtelleraudais ». Les agriculteurs mis en avant dans ce document ont choisi la transformation et la commercialisation en circuits courts comme sources de durabilité et de performances environnementales, économique et sociale. Ces portraits décrivent leurs choix techniques, stratégiques, économiques et commerciaux ; les investissements réalisés et/ou à venir, la performance économique et la rémunération ; lorganisation et le temps de travail en circuits courts. Ces témoignages contribuent à créer des références technico-économiques sur des fermes économes et autonomes en circuits courts. Ils peuvent aider des porteurs de projet à sinstaller en circuits courts et des agriculteurs à envisager une diversification en circuits courts.
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Adopter les stratégies techniques des éleveurs laitiers bio : Un choix gagnant pour lenvironnement, et la durabilité économique et sociale de sa ferme L'expérience dans les Hauts de France
Déborah DECAYEUX, Auteur ; Raphaël DELVA, Auteur ; Bertrand FOLLET, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (40 Rue de Malte, 75 011, FRANCE) : FNAB (Fédération Nationale d'Agriculture Biologique) | 2019Ce document a été réalisé dans le cadre du dispositif Transferabio soutenu par Ecophyto et géré par le réseau FNAB. 12 fermes laitières engagées en bio ont été suivies en 2017 par les conseillers bio des Hauts-de-France afin de relever des données technico-économiques et danalyser leurs performances environnementales, techniques et économiques. La SAU moyenne des 12 fermes est de 94 ha, dont près de 80 % en herbe. En plus de la moyenne des 12 fermes, les résultats de 3 fermes ayant des stratégies variées en matière dalimentation des animaux sont présentées : maximisation du pâturage, affouragement en vert ou mixte (stockage et pâturage).
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Recherche collective de qualité de vie et d'autonomie au GAEC du Mûrier (Loire)
Carl WAROQUIERS, AuteurLe GAEC du Mûrier, situé dans la Loire, est né de la fusion de trois fermes qui avaient déjà lhabitude de travailler ensemble. Elles se sont associées lors de leur passage en bio. Le GAEC de cinq associés compte 263 ha et différentes productions : 100 vaches laitières, 30 vaches allaitantes et cinq bufs ou génisses de 36 mois, 3000 poules pondeuses plein air. Un schéma permet de décrire la ferme avec ses intrants, ses productions animales et son assolement (réfléchi pour viser lautonomie alimentaire des productions animales) et les productions commercialisées. Les différentes pratiques et démarches mises en uvre pour développer l'autonomie sont également décrites : participation à un collectif pour acheter un toasteur afin dincorporer les protéagineux de la ferme dans les rations, développement de retenues collinaires pour sécuriser les culture de soja et de maïs, utilisation de variétés population, vente en circuits courts Le GAEC est également en constante réflexion sur son organisation du travail et sur les différents engagements de ses membres. Une réunion hebdomadaire permet à ses derniers de se coordonner, ils ont par ailleurs un week-end sur deux et terminent deux fois par semaine à 17h.
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Recueil de Savoir-faire Paysans : Climat et bio : Pratiques d'atténuation et d'adaptation face au changement climatique
Olivier LINCLAU, Auteur ; Maxime RENOU, Auteur ; Leila VAN THEEMST, Auteur ; ET AL., Auteur | ANGERS CEDEX 02 (Pôle Régional Bio, 9 Rue André Brouard - CS 70510, 49 105, FRANCE) : CAB PAYS DE LA LOIRE | 2019Ce document décrit 10 fermes bio en Pays de la Loire (2 en maraîchage, 1 en viticulture, 2 en polyculture bovins viande, 4 en polyculture bovins lait, 1 en polyculture polyélevage). Chacune dentre elles a mis en place des pratiques vertueuses face au changement climatique, atténuant ainsi ses propres émissions de gaz à effet de serre. Ces initiatives inspirantes fourniront des pistes de réflexion pour les agriculteurs désireux de faire évoluer leur système pour le rendre plus résilient face aux aléas climatiques actuels et futurs et de contribuer, par leurs pratiques, à atténuer limpact des activités agricoles sur le climat.
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Ferme d'Etienne BASTIDE - ST BEAUZELY (12)
Maxime VIAL, AuteurEtienne Bastide élève un troupeau de 300 brebis en Aveyron, entre 790 et 1100 m d'altitude. Depuis son installation en 2001, il a opéré deux changements majeurs dans son système : la conversion à l'agriculture biologique en 2006 et la vente d'une partie des agneaux en direct avec construction d'un atelier de découpe et de transformation à la ferme en 2014. Les principaux résultats technico-économiques sont présentés dans cet article, de même qu'un diagnostic de durabilité (aspects environnemental, socio-territorial et économique). Pour progresser encore, Étienne Bastide travaille particulièrement sur la qualité de ses prairies : il met en place, depuis 2015, des prairies à flore variée pour mieux résister à la sécheresse et pour augmenter la qualité de son foin. Il cherche aussi à améliorer l'alimentation des agneaux, par exemple en intégrant des céréales germées produites sur l'exploitation dans leur ration. D'un point de vue énergétique, l'élevage présente de bons résultats au regard de la moyenne des élevages ovins viande de montagne : consommation de 58,6 GigaJoules/t de viande vive produite contre 77 GJ/t pour la moyenne des élevages.
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Fermebioscopie : Irriguer ses prairies pour maximiser le pâturage
Léo FUZEAU, AuteurCréée en 2001 dans la Sarthe, l'EARL du Logis a atteint progressivement les 56 ha et produit actuellement 440 000 litres de lait, livrés à Biolait depuis novembre 2017 (fin de la conversion en bio). C'est en 2013 que, suite à des difficultés économiques sur la ferme, les éleveurs, Marie-Yvonne et Frédéric Lethuillier, ont décidé de se tourner vers un système plus herbager. Ils ont pour cela bénéficié de l'aide de Solidarité Paysan 72 et du CIVAM AD 72, dans le cadre du projet RADITS (Recours pour les Agriculteurs en DIfficulté par la Transmission Solidaire). Ils ont pu échanger sur leurs pratiques avec un groupe d'éleveurs, et évoluer vers un système herbager économe en intrants, avec un objectif d'autonomie alimentaire et de rentabilité. Aujourd'hui, afin d'optimiser ce nouveau système herbager, les éleveurs ont décidé de profiter de leur système d'irrigation pour arroser leurs prairies et ainsi produire un maximum d'herbe toute l'année. L'article relate l'histoire de l'exploitation et les implications à chaque étape de son évolution.
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Fermoscopies en maraîchage biologique
La production de légumes biologiques est caractérisée par une diversité de fermes très importante : taille des fermes, diversité de gamme (de 5 à 40 légumes), degré de mécanisation, organisation du travail, intrants utilisés, itinéraires techniques, débouchés commerciaux. Afin de faciliter laccompagnement des porteurs de projets à linstallation et/ou à la conversion à lagriculture biologique et de contribuer à lacquisition de références technico-économiques, la FRAB Nouvelle-Aquitaine, en partenariat avec le réseau Chambres dagriculture, a réalisé 9 fermoscopies sur différentes fermes produisant des légumes et ayant plusieurs différences notables quant à lorganisation du travail, la localisation géographique, lancienneté de la ferme ou encore les débouchés commerciaux : 1 en Centre Charente, 3 dans les Landes, 2 dans les Deux-Sèvres, 2 dans le Lot-et-Garonne, 1 en Charente. Ces exemples concrets et chiffrés ont pour objectif dalimenter la réflexion des porteurs de projets dans le cadre de la conception et du dimensionnement de leur ferme.
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Formation maraîchage sur sol vivant en agriculture biologique : Visite de 2 fermes en Haute-Garonne
Cédric HERVOUET, AuteurLe Civam Bio des Landes est fortement sollicité par des producteurs souhaitant réduire le travail du sol sur leur ferme. Il sagit de candidats à linstallation qui veulent développer une activité de maraîchage bio diversifié faiblement mécanisé (lacquisition dun parc de matériels peut être un frein à linstallation à cause des investissements quil engendre) ; ou alors de maraîchers bio qui désirent réduire le travail du sol sur leur ferme afin déviter des perturbations de lactivité biologique. Compte-tenu du manque de références sur le non-travail du sol en maraîchage bio, une visite de deux fermes en Haute-Garonne a été organisée. La ferme de Laurent Welsh est constituée de 3 ha de SAU, il est en MSV (Maraîchage Sol Vivant) et pratique lagroforesterie. Nicolas et Pierre Besse, également avec une SAU de 3 ha, sont en maraîchage diversifié. Les caractéristiques de ces fermes sont détaillées dans larticle. Les échanges ont été nombreux et, bien que ces exploitations puissent être des sources dinspiration, les porteurs de projets nont pas perdu de vue quil est important dexpérimenter une pratique dans un contexte local avant de pouvoir la généraliser.
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Guide éleveurs : Élever des volailles bio - Tome 2
La CAB (Coordination Agrobiologique) des Pays de la Loire accompagne, depuis 2010, un groupe déleveurs de volailles bio sur la région. Partis dun besoin de se retrouver pour partager leurs expériences et avancées, ces producteurs souhaitaient se former pour aller vers plus dautonomie pour leurs fermes. Ils ont rencontré divers interlocuteurs, vétérinaires, nutritionnistes, experts, et ont utilisé des outils pour mieux appréhender leurs marges et leurs prix de vente. Pour que leurs expériences profitent à dautres, ils ont intégré, dans cette nouvelle version du guide volailles, les thèmes partagés dans leur groupe déchange. Au sommaire : - Réglementation ; - Agronomie ; - Conduite d'élevage (parcours, bâtiment et matériel, alimentation, souches, santé (avec, notamment, les questions de biosécurité)) ; - Fabrication d'aliments à la ferme ; - Transformation ; - Circuits de commercialisation ; - Quelques repères pour situer mon élevage. 9 fermoscopies sont présentées en fin de document.
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Guide technique : Produire des PPAM bio
Dans un contexte de croissance de la production de PPAM bio et de création de nouvelles fermes, la CAB Pays de la Loire publie un guide technique dédié à cette production. Il reprend des repères et des recommandations pour tout porteur de projet ou producteur souhaitant se diversifier. Le parcours de 12 producteurs et productrices bio des Pays de la Loire complète ces données, le document cherchant à diversifier les fermes, tant sur la surface que sur le mode de production (spécialisé, polyculture, polyculture élevage). Ce guide vise à accompagner les porteurs de projets en PPAM bio, en leur permettant dy voir plus clair pour mieux appréhender le métier et pour approfondir leur réflexion : - Sinstaller en PPAM ; - Règlementation générale ; - Produire des PPAM (SAU, itinéraires techniques, organisation du temps de travail, matériel, cueillette ) ; - Transformer des PPAM ; - Commercialiser des PPAM.
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Intensifier sa production pour gagner en efficacité
Mehdi AÏT-ABBAS, AuteurLe maraîchage diversifié bio-intensif sur petite surface se développe. Lionel Tixier et Guilhem Boyer, les deux associés du GAEC du Bon Repos à Thiers (63), le pratiquent. Ils cultivent 1,1 ha et ont un saisonnier à plein temps de juin à octobre. Leur objectif est de ne pas dépasser la moyenne de 45 h/semaine en se dégageant un revenu décent. Leur efficacité repose sur deux techniques clés : loccultation « productive » et les associations de cultures. Loccultation est une technique de désherbage courante mais les deux associés la rendent productive en lappliquant aux cultures sur toile tissée. Par exemple, la mâche est semée derrière une culture de melon sur toile tissée, en veillant à ne pas travailler le sol pour ne pas faire remonter les graines dadventices. Ainsi, la mâche ne nécessitera quasiment pas de désherbage manuel (mâche, carotte, panais, radis, betterave, pois et haricot sont automatiquement semés avec cette technique). Ils pratiquent aussi lassociation de cultures : deux, voire trois légumes aux cycles complémentaires sont cultivés sur une même planche. Les associations pratiquées au Bon Repos sont détaillées dans larticle (ex : concombre + haricot nain, avec semis direct des haricots 15 jours avant). La culture principale est celle au cycle le plus long. Elle est implantée avec un espacement standard. Les cultures secondaires (cycle court) sintercalent dans ces espacements et sont récoltées avant quelles n'engendrent une concurrence néfaste sur la culture principale.