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Ferme d'Etienne BASTIDE - ST BEAUZELY (12)
Maxime VIAL, AuteurEtienne Bastide élève un troupeau de 300 brebis en Aveyron, entre 790 et 1100 m d'altitude. Depuis son installation en 2001, il a opéré deux changements majeurs dans son système : la conversion à l'agriculture biologique en 2006 et la vente d'une partie des agneaux en direct avec construction d'un atelier de découpe et de transformation à la ferme en 2014. Les principaux résultats technico-économiques sont présentés dans cet article, de même qu'un diagnostic de durabilité (aspects environnemental, socio-territorial et économique). Pour progresser encore, Étienne Bastide travaille particulièrement sur la qualité de ses prairies : il met en place, depuis 2015, des prairies à flore variée pour mieux résister à la sécheresse et pour augmenter la qualité de son foin. Il cherche aussi à améliorer l'alimentation des agneaux, par exemple en intégrant des céréales germées produites sur l'exploitation dans leur ration. D'un point de vue énergétique, l'élevage présente de bons résultats au regard de la moyenne des élevages ovins viande de montagne : consommation de 58,6 GigaJoules/t de viande vive produite contre 77 GJ/t pour la moyenne des élevages.
Finition majoritairement à l'herbe des bovins et ovins viandes en agriculture biologique : Compilation bibliographique
Le projet BioViandes Massif Central est un projet multi-partenaire ayant pour objectif le développement de filières de viandes bovines et ovines biologiques valorisant les ressources du Massif Central, particulièrement lherbe, tout en contribuant au développement de ce territoire. Dans le cadre de ce projet, ABioDoc a réalisé une extraction de sa base de données documentaire, la Biobase, sur la finition majoritairement à lherbe des ovins et des bovins en AB. Cette compilation bibliographique a pour objectif dapporter une vision générale des pratiques existantes. A cette fin, seuls les systèmes herbagers, voire tout à lherbe, ont été retenus ; ainsi que des documents connexes abordant des problématiques liées aux filières et à la recherche.
De gros écarts de marge entre unités de méthanisation
Costie PRUILH, AuteurUne enquête a été menée auprès de 21 unités de méthanisation ayant démarré entre 2009 et 2016. Pierre Quideau, de la Chambre dAgriculture de Bretagne, présente une synthèse des résultats technico-économiques. Elle met en avant la fragilité des petites unités. Lenquête a été conduite auprès de seize unités individuelles et de cinq unités collectives. Trois sont de petites entités (< 100 kWe), 17 sont entre 100 et 500 kWe et une dépasse les 500 kWe. Plus de 80 % des enquêtés sont satisfaits, avec une productivité moyenne de 89 % (la productivité correspond à la part de kWh délectricité livrés au réseau sur les kWh que lunité devait produire à puissance maximale sur 8 000 h). Les investissements sont très variables, de 3 500 à 11 000 /kWe, et dimportantes économies déchelle sont constatées. Les coûts de production vont en moyenne de 171 /MWh pour des installations de plus de 300 kWe à 222 pour celles de moins de 145 kWe. De grandes différences sont également observées au niveau de la marge nette : elle est en moyenne de 71 /MWh, mais 20 % des unités ont une très faible rentabilité (25 /MWh). Sans subvention, 38 % de ces unités seraient dans le négatif. La méthanisation a toutefois engendré la création dun nouvel atelier afin de valoriser la chaleur pour 48 % des interrogés.
Maïs hybride, fermier ou population ? Qu'en est-il réellement économiquement ?
Domitille POULIQUEN, AuteurJulien et Franck, du GAEC de la Vallée de lIssoire, exploitation bovins allaitants bio située en Vendée, se sont posés la question de lintérêt économique de produire leur semence de maïs (maïs grain). Les deux associés ont alors mis en place une expérimentation directement sur leur ferme. Dans une même parcelle (au sol relativement homogène), ils ont comparé trois bandes de 1,5 ha : une en maïs hybride (semence pioneer P9074), une en maïs population (Evolino) et une en maïs hybride fermier. Sur ces trois bandes, a été pratiqué le même itinéraire technique. Le bilan économique (charges, produits et marges) de chacune de ces cultures est présenté à laide dun tableau. Ces résultats sont en faveur du blé hybride certifié. Toutefois, le bénéfice du doute est laissé au maïs population qui nest cultivé que depuis deux ans et na pas encore exprimé tout son potentiel. Dans tous les cas, le maïs population est gourmand en main duvre, tout comme le maïs fermier, qui demande en plus un investissement matériel (castreuse, égrenoir et corn picker).
« Notre site a été construit au centre du parcellaire »
Franck MECHEKOUR, AuteurLe GAEC des Collines et Prairies en Ille-et-Vilaine repose sur le pâturage. Avec son troupeau de 90 vaches laitières conduit en AB et ses 110 ha de SAU, il est quasiment autonome (92 % dautonomie fourragère). Jean-Yves Lerétif a fait le choix, dès les années 2000, dun système très pâturant. En intégrant un groupe herbe animé par la Chambre dAgriculture, il s'est rend compte que sa production par vache était supérieure à la moyenne, mais quil nétait pas efficace économiquement. Depuis, il cherche à produire un maximum de lait avec de lherbe pâturée. En 2016, son fils Étienne sinstalle et lexploitation se convertit au bio. La recherche dautonomie monte alors dun cran. En même temps, une opportunité de reprendre 30 ha accolés à 10 ha de lexploitation se présente. Elle permettrait dobtenir 40 ha accessibles aux vaches (50 ares/vache) mais il faudrait reconstruire un nouveau site à deux kilomètres de lancien. Les deux associés optent pour cette solution et investissent 522 000 pour construire le nouveau site, dont 50 000 de subvention PCAE. En 2017, le troupeau est 100 % au pâturage davril à mi-juillet, avec un complément quotidiennement de 1 à 2 kg densilage de maïs épis ou de céréales. Lorsque les vaches ne pâturent pas, lensilage de maïs ou dherbe ainsi que lenrubannage complètent la ration. La première année de conversion sest soldée par une baisse du niveau de production denviron 600 L/vache. En 2018, les conditions difficiles du printemps ont bouleversé leur plan : ils nont pas pu débrayer certaines parcelles pour la fauche. Toutefois, ces deux associés restent confiants sur la viabilité de leur système pâturant une fois ces années de transition effectuées.
Performances de systèmes viticoles à faible niveau d'intrants phytopharmaceutiques dans le vignoble bordelais
L. DELIÈRE, Auteur ; S. GUIMIER, Auteur ; Morgane PETITGENET, Auteur ; ET AL., AuteurAfin de réduire lusage de produits phytosanitaires, des systèmes viticoles économes ont été conçus, puis testés et évalués dans le Bordelais. Deux systèmes expérimentaux ont ainsi été mis en place : ResIntBio (un dispositif dexpérimentation randomisé en station expérimentale permettant de comparer trois systèmes de culture dont deux en conventionnel et un en agriculture biologique) et un réseau DEPHY (un dispositif permettant de comparer différents systèmes bas-intrants dans différents contextes). Dans tous les cas, les systèmes reposent sur différents leviers : la génétique (résistance au mildiou et à loïdium), lefficience des traitements phytosanitaires (règles de décision de traitement) et les différentes techniques de gestion des adventices (travail du sol, couvert végétaux). Les systèmes ont été conduits durant cinq ans et une analyse multicritères a permis de les évaluer. Les résultats montrent que les systèmes basés sur lefficience des traitements permettent de réduire lIFT tout en maintenant des performances agronomiques et économiques satisfaisantes. En AB, il est plus difficile de réduire les doses de cuivre et de soufre si lon souhaite garder des performances agronomiques stables. Par contre, les variétés résistantes permettent de réduire de 90 % lIFT par rapport aux références régionales.
Les prairies au service de l'élevage : Comprendre, gérer et valoriser les prairies
Sébastien COUVREUR, Auteur ; Luc DELABY, Auteur ; Etienne DOLIGEZ, Auteur ; ET AL., Auteur | DIJON CEDEX (26 Boulevard Docteur Petitjean, BP 87999, 21 079, FRANCE) : EDUCAGRI ÉDITIONS | 2018Les prairies, qu'elles soient permanentes ou temporaires, constituent aujourd'hui un enjeu majeur pour l'élevage, tant leurs atouts sont nombreux aussi bien à l'échelle de la parcelle, de l'animal, du système d'élevage que du territoire. De ce fait, les prairies sont au cur de l'évolution de l'agriculture vers l'agroécologie. Néanmoins, la formation des futurs éleveurs, conseillers, techniciens et ingénieurs laisse peu de place aux prairies. L'enjeu est donc de convaincre les différents acteurs de l'intérêt des prairies qui produisent généralement la ration de base des herbivores tout en contribuant à la performance, à la compétitivité et à la durabilité des élevages, sans être particulièrement complexes à gérer. Ainsi, sur la base des ressources existantes recensées grâce au réseau constitué par le RMT Prairies Demain, cet ouvrage de référence a été créé dans l'objectif principal de rassembler et simplifier les messages sur les prairies, en les recentrant sur les idées clés, en les illustrant par des cas pratiques convaincants et opérationnels et en faisant appel à des expériences de formation. Au sommaire : - De l'espèce au couvert prairial ; - Gérer et valoriser les prairies ; La prairie dans le système ; Les rôles des prairies à l'échelle des élevages, des territoires et des filières : 8 cas concrets. Un guide à destination de l'enseignant a été rédigé en complément de ce manuel.
Produire de lail : Une culture délicate, de la plantation à la vente
Jean-Martial POUPEAU, AuteurDavid Aoueillé est céréalier bio depuis 2001 dans le Tarn-et-Garonne. Il produit 1,5 à 2 ha dail sur sa SAU de 86 ha (ail blanc, ail précoce à bâton et ail violet). Dans ce témoignage, de nombreuses informations sont apportées sur litinéraire technique de lail qui est une culture assez sensible aux maladies et à lenherbement inter-rang. D. Aoueillé explique quels sont les précédents et les terrains (type de sol et orientation) à privilégier, comment réussir sa plantation, comment gérer les adventices, quelles maladies peuvent affecter l'ail (avec un focus sur le waxy, défaut physiologique qui intervient durant le stockage après récolte), ainsi que la prophylaxie à suivre. Il aborde également les modes de récolte possibles, ainsi que les cultures quil recommande dimplanter derrière l'ail. Des données économiques permettant de calculer la marge semi-nette prévisionnelle pour un objectif de quatre tonnes dail par hectare sont également apportées.
Produire des grandes cultures biologiques en Bretagne : Les guides techniques du réseau GAB-FRAB Bretagne
Goulven MARÉCHAL, Auteur ; Antonin LE CAMPION, Auteur ; Sarah CHOUPAULT, Auteur ; ET AL., Auteur | CESSON-SEVIGNÉ (FRAB, 12 Avenue des Peupliers, 35 510, FRANCE) : RÉSEAU GAB-FRAB BRETAGNE | 2018La demande en céréales et oléoprotéagineux bio reste très forte, tant pour l'alimentation animale que pour l'alimentation humaine. En parallèle, les conversions à l'AB sont de plus en plus nombreuses, entraînant un changement d'échelle de la bio qui pourrait avoir des conséquences sur les prix. Réalisé par les techniciens et animateurs du réseau GAB-FRAB Bretagne, le guide « Produire des grandes cultures biologiques en Bretagne » est un outil daide à la décision destiné aux agriculteurs bio bretons et aux producteurs en réflexion sur un repositionnement de leur système. Construit autour de données théoriques et réglementaires, il propose des clés pour raisonner son système biologique avec, pour objectif, la recherche dune cohérence économique, technique et agronomique. Les techniques présentées sont illustrées par des retours dexpérience et savoir-faire de producteurs biologiques via des témoignages qui mettent en lumière la diversité des systèmes de cultures bio en Bretagne.
Produire de la patate douce AB en Normandie : Quel itinéraire technique pour quelle rentabilité ?
Grâce aux progrès de la génétique, la patate douce est désormais cultivable en climat tempéré nord. Cette culture soulève cependant des interrogations pour les producteurs normands de légumes en agriculture biologique : Quelles sont les techniques de production optimales en plein champ ? ; Quel niveau de productivité est-il possible despérer ? ; Quels débouchés et quelle rentabilité ? Cest dans lobjectif dapporter les premières réponses à ces questions que le Sileban (Société d'Investissement LEgumière et maraîchère de BAsse Normandie), station dexpérimentation en production légumière normande, lAssociation Bio Normandie et la Chambre dAgriculture de la Manche ont mené une étude. Ce document synthétise lensemble des résultats.
Le souci, plante hôte de Macrolophus
Macrolophus pygmaeus est une punaise prédatrice très intéressante dans la régulation naturelle des bioagresseurs. Elle est indigène en France et sattaque à une large gamme de ravageurs (aleurodes, acariens, thrips, ufs de papillon, jeunes larves, pucerons). Cet auxiliaire est dailleurs utilisé depuis trente ans pour la protection intégrée de la tomate contre les aleurodes. Cependant, son utilisation est coûteuse (environ 0,14 HT/individu) et son installation peut être lente. Le souci (Calendula officinalis), plante rustique et bon marché, est une plante hôte de cette punaise. Elle peut être utilisée en bande fleurie ou en plante relais pour installer cet auxiliaire à un coût réduit. Cette fiche technique apporte des conseils sur la culture du souci (implantation...) et sur son utilisation pour la protection des cultures : comment bénéficier de leffet des soucis sur plusieurs années, comment utiliser le souci en tant que plante relais afin davoir des auxiliaires dès le début du printemps, comment forcer le transfert de Macropholus des soucis à la culture. Enfin, quelques points de vigilance sont évoqués avant de présenter des données technico-économiques sur cette méthode.
Betterave fourragère : Les mini-mottes, une solution ?
LES PRODUCTEURS DU GROUPE BETTERAVES MINI-MOTTES D'AGROBIO 35, Auteur ; David ROY, Auteur ; Marine LEMASSON, AuteurAvec des rendements importants et une valeur énergétique élevée, la betterave fourragère peut se révéler très intéressante pour les éleveurs bio. Toutefois, la maîtrise de son désherbage est difficile et a découragé plus dun éleveur. Aussi, pour pallier cela, une douzaine de producteurs dAgroBio 35 se sont lancés dans la production de 20 ha de betteraves en mini-mottes en 2017 et en tirent les premiers enseignements. La mise en place de la culture a un coût important mais rend possibles des interventions précoces en désherbage mécanique (J+7 et J+15). Trois points sont essentiels pour réussir : la qualité des plants et de la motte, la préparation du sol et la qualité et la régularité de la plantation. Linstallation des mini-mottes nécessite également de prévoir des marges de sécurité car le planning de livraison de plants ne peut pas être modifié en cours de saison. Cette technique permet de maîtriser plus facilement les adventices sur betterave et rend possible cette production. Les avantages et les inconvénients de la betterave fourragère sont détaillés en fin darticle.
En bio, lautonomie en concentré prime sur lautonomie fourragère
Costie PRUILH, AuteurLe suivi en Rhône-Alpes de 23 systèmes en bovins lait biologiques, en zone de plaine ou de montagne, avec des niveaux dintensification variables, ou encore avec ou sans séchage en grange, a permis didentifier divers éléments de succès, communs à tous ces systèmes. Le levier de succès majeur est lefficacité du système fourrager. Il est essentiel de bien adapter son système au potentiel pédoclimatique de son exploitation et à ses surfaces disponibles. Il faut rechercher le meilleur optimum et non vouloir maximiser absolument sa productivité, et viser un système durable, avec des coûts limités. Au niveau technique, il est essentiel de réussir son pâturage, notamment davril à novembre. Vu le prix dachat des aliments en AB, il est aussi important de rechercher lautonomie en concentrés ou encore en paille. Pour ce faire, avoir des céréales et des méteils dans ses rotations présente divers atouts. Il faut enfin laisser une large place aux légumineuses sur la ferme, via notamment les prairies multiespèces.
Caprin lait : intérêt et faisabilité dun projet de séchage en grange : Témoignage : Nathaël et Audrey Reboulet, éleveurs bio à Desaignes (07)
Rémi MASQUELIER, AuteurNathaël et Audrey Reboulet élèvent, en GAEC, 80 chèvres laitières bio et transforment le lait en picodons vendus en circuits courts (marchés et magasins de producteurs à Valence et Grenoble principalement). La ferme est située dans les pentes au-dessus de Lamastre et de la vallée du Doux (07), sur un secteur ayant un sous-sol acide, et très humide. Les prés humides ont un bon potentiel, mais ne sont pas valorisés. Les éleveurs ont entamé une réflexion sur lintérêt de développer une unité de séchage de foin en grange. Au fur et à mesure des rencontres et des réflexions, la pertinence de ce choix sest affirmée et la décision a été prise lorsquils ont eu lopportunité dacquérir 14 ha supplémentaires. Nathaël et Audrey partagent leur réflexion et les rations envisagées, ainsi que les actions déjà mises en place et les investissements réalisés. Ils sont encore à létape du prévisionnel, linconnue viendra de la qualité du fourrage quils réussiront à produire. Ladhésion au contrôle laitier leur permettra de mesurer les performances du système en adaptant la ration à la valeur du fourrage et en améliorant la sélection des chevrettes de renouvellement. Pour les deux associés, les intérêts du séchage en grange recensés sont dordres économique (moins dachats de concentrés), philosophique (valorisation des ressources herbagères importantes de la ferme), et qualitatif (le goût des produits sera amélioré, avec une part de fourrages augmentée dans la ration par rapport au pourcentage de concentrés, et, par ailleurs, une meilleure conservation des arômes des fourrages qui se retranscrira dans le lait).
Dossier : La chèvre : un herbivore pas comme les autres, et qui a le vent en poupe en bio !
Julia SICARD, AuteurLélevage caprin bio en France est en progression : le nombre de fermes avec des chèvres bio a augmenté de 6 % entre 2015 et 2016. Avec une moyenne de 57 chèvres par élevage, le troupeau caprin bio représente 7 % du cheptel national (contre 57 % en Allemagne). 73 % des fermes transforment leur production, chiffre qui illustre bien le fait que cette filière est très orientée sur la vente directe et la transformation à la ferme. En filière longue, la collecte de lait caprin bio ne représente encore quun pourcent de la collecte nationale. Ces grandes tendances se retrouvent aussi notamment en Lorraine. Deux freins peuvent être mis en avant au développement de cette production : le pâturage et le parasitisme. Les avantages du pâturage sont pourtant nombreux et, bien géré (notamment en évitant le surpâturage), limpact sur le parasitisme peut être bien contrôlé. Certes, la chèvre a un système immunitaire moins performant que celui du mouton ou de la vache. Quelques conseils liés au pâturage des chèvres sont dispensés dans cet article.