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Glu, application du pyrèthre en soirée… De nouvelles pistes pour maîtriser la cicadelle de la flavescence dorée
Frédérique ROSE, AuteurDepuis plusieurs années, Sudvinbio cherche des solutions utilisables en agriculture biologique pour lutter contre la cicadelle de la flavescence dorée. L’étude du cycle de développement et du comportement de ce ravageur a montré que les larves de cicadelle montent et descendent sur le tronc de la vigne au début de leur vie. En 2021, Sudvinbio a testé des bandes de glu, qui entourent les ceps, pour intercepter les larves lors de leur migration sur le tronc. L’essai est très convaincant, mais cette technique demeure, pour l’instant, chronophage et fatigante au moment de l’installation. Sudvinbio a également cherché à optimiser les traitements au pyrèthre naturel, en jouant sur la qualité de la pulvérisation et le moment de la journée où est réalisé le traitement. Des essais effectués également en 2021 ont montré que les traitements réalisés le soir étaient 25 % plus efficaces que ceux effectués le matin. Des essais en laboratoire ont permis d’analyser la cinétique de dégradation du pyrèthre. Cette cinétique est la même le matin que le soir : la différence d’efficacité n’est donc pas expliquée par la photosensibilité du produit. Cette différence pourrait donc plutôt dépendre du ravageur : est-ce que la sensibilité de la cicadelle au traitement augmenterait le soir ?
Optimiser les traitements en bio contre la flavescence
Isabelle MONTIGAUD, AuteurLe Pyrévert est un insecticide d’origine naturelle autorisé depuis 2008 pour lutter contre la flavescence dorée en viticulture biologique. Pour optimiser son efficacité, la qualité de la pulvérisation est essentielle : comme la cicadelle aime bien être à l’ombre, elle se trouve souvent sur la face inférieure des feuilles, et il est important de mettre en place une pulvérisation qui cible le cœur du feuillage. Néanmoins, pour tenter d’expliquer la variabilité de l’efficacité du Pyrévert, des essais ont été conduits, dès 2012, par SudVinBio. De nouveaux essais, avec une approche multicritère, ont été conduits en 2020 et 2021, en Occitanie. Les résultats montrent que l’efficacité est plus importante si le traitement est réalisé le soir. Il est aussi possible d’obtenir une bonne efficacité tôt le matin, mais les traitements en soirée (après 19 h) permettent de mieux préserver la faune auxiliaire et les pollinisateurs. Il est aussi recommandé d’appliquer le Pyrévert seul. Le mélanger avec des produits à base de soufre peut, par exemple, augmenter les problèmes de phytotoxicité. La mise en place de comptages de cicadelles, actuellement en cours d’essai avec les Fredon, permet également de mieux cibler les traitements, voire d’en économiser. Par ailleurs, un adjuvant (l’huile de sésame), permettant d’améliorer l’efficacité des pyréthrines, devrait bientôt arriver sur le marché.
Des médecines douces pour vos fruitiers : Phytothérapie, homéopathie, aromathérapie...
Les ennemis des fruits sont nombreux et le « zéro traitement » a ses limites, si l’on veut être sûr d’avoir des arbres en bonne santé et obtenir de belles récoltes. Ce livre a pour objectif de donner au jardinier les clés pour traiter le plus naturellement possible les fruitiers. Différentes possibilités s’offrent ainsi au jardinier pour soigner les arbres fruitiers en utilisant des médecines douces : extraits de plantes, argiles, macérats, homéopathie, gemmothérapie, isothérapie, huiles essentielles, kanné, neem, thé de compost, EM, LiFoFer, élixirs floraux… Les procédés utilisés pour les fabriquer sont simples, économiques, bien expliqués, avec de nombreuses photos : séchage à température ambiante, extraction par pression, dissolution dans l’eau (décoctions, infusions, macérations) ou dans l’alcool, distillation par la vapeur d’eau, etc. Les modes d’administration sont également détaillés.
Biocontrôle : Éléments pour une protection agroécologique des cultures
X. FAUVERGUE, Auteur ; A. RUSCH, Auteur ; M. BARRET, Auteur ; ET AL., Auteur | VERSAILLES CEDEX (RD 10, 78 026, FRANCE) : ÉDITIONS QUAE | 2020Protéger les cultures par des moyens naturels est une nécessité pour la transition vers une agriculture respectueuse de l’environnement. Un effort de recherche et développement sans précédent est aujourd’hui mis en œuvre dans le domaine du biocontrôle, qui rassemble des approches basées sur l’usage d’organismes vivants et de produits d’origine biologique. Cet ouvrage en présente un panorama exhaustif et en explique les fondements théoriques et les applications pratiques. L’histoire du biocontrôle débute à la fin du XIXème siècle, avec les premiers travaux sur la lutte biologique qui utilise les ennemis naturels des insectes nuisibles. Puis, les progrès scientifiques en écologie, en génomique, en modélisation, vont étendre les possibilités. On cherche maintenant à reconstruire des équilibres biologiques à l’échelle des paysages cultivés. En manipulant leur sens olfactif, on attire les insectes dans un piège, ou on brouille la piste qui les conduit au partenaire sexuel. En étudiant le microbiote végétal, on espère améliorer la santé des plantes. On découvre également que certaines molécules synthétisées par des microorganismes ou par des végétaux, sont utilisables en biocontrôle. Réalisée par des chercheurs, cette synthèse s’adresse à un public professionnel, mais aussi à tout lecteur désireux de s’informer sur la révolution agroécologique de l’agriculture.
La flavescence dorée en agriculture biologique
Marie LARGEAUD, Auteur ; Nicolas CONSTANT, Auteur ; Emma CARROT, AuteurEn viticulture, la flavescence dorée (FD) est une maladie incurable causée par un phytoplasme, qui engendre le dépérissement du pied de vigne. Cette maladie, très présente dans les vignobles occitans et très contagieuse, est transmise par la cicadelle de la flavescence dorée. Lorsque la maladie se présente, des traitements insecticides sont obligatoires et les pieds touchés doivent être arrachés. L’impact économique est donc non négligeable. Cette problématique entre d’autant plus en compte dans le cas d’une conversion en agriculture biologique. A ce jour, seul le pyrèthre naturel, insecticide d’origine végétale, est autorisé en bio pour lutter contre la cicadelle, au stade larvaire. Un essai sur les effets du pyrèthre naturel, réalisé en 2017, montre la sélectivité de la substance et donc l’impact faible sur le reste de la faune du vignoble. En effet, cet essai confirme l’impact sur les acariens, bien que peu durable dans le temps, mais montre qu’il n’entraîne pas de baisse des autres arthropodes présents. Baptiste Cartier, responsable d’un domaine de 22 ha conduits en bio, a créé un GDON (groupement de défense contre les organismes nuisibles) afin de ne pas être soumis à un traitement préventif insecticide obligatoire. De nouveaux outils d’information et de prospection ont été mis en place afin d’essayer de limiter la propagation de la FD.
Pyrèthre naturel : Quel impact sur la faune auxiliaire ?
Frédérique ROSE, AuteurDes essais réalisés par SudVinBio, en collaboration avec le Centre de biologie pour la gestion des populations (CBGP) de l'Inra de Montpellier, visent à évaluer l'impact d'une application de pyrèthre naturel sur les arthropodes auxiliaires présents dans les vignes. Cette étude a pour objectif de répondre aux questionnements des viticulteurs et acteurs de la filière concernant cet insecticide, utilisé notamment dans les périmètres de lutte obligatoire. Deux parcelles, chez des viticulteurs bio de l'Aude et de l'Hérault, ont servi de support pour le comptage des insectes auxiliaires sur la vigne mais aussi sur les interrangs enherbés. Les prélèvements effectués dans des zones "essais" et dans des zones "témoins" non-traitées, avant le traitement et 24h après, ont été comparés. 24h après le traitement au pyrèthre, les populations d'acariens sont nettement plus faibles. Toutefois, d'après la bibliographie, celles-ci retrouveraient leur niveau d'origine en quelques jours (environ une semaine) grâce à une faible rémanence du pyrèthre. Aucun impact significatif n'a été observé sur les populations des autres arthropodes.
Flavescence dorée : sus aux traitements superflus !
Xavier DELBECQUE, AuteurLa flavescence dorée, et donc son vecteur, la cicadelle, font l'objet de périmètres de lutte obligatoire. En agriculture biologique, ce sont des traitements au pyrèthre, insecticide naturel mais non sélectif, qui sont réalisés. Agrobio Périgord et le SRAL Aquitaine (Service Régional de l'alimentation) ont travaillé sur un protocole qui permettrait aux viticulteurs bio de s'affranchir du dernier traitement obligatoire. Basé sur l'observation et le comptage de larves de cicadelles présentes dans les vignobles dès leur premier stade et plus tard dans la saison, ce protocole doit être encadré par un technicien et une demande de dérogation doit être faite auprès de l'État pour pouvoir supprimer ce dernier traitement obligatoire. En 2016, 35 ha en agriculture biologique, sur 42 concernés, en ont bénéficié.
Soigner la vigne par les plantes : Une des pistes d’expérimentation pour la flavescence dorée
Fleur MOIROT, Auteur ; Arnaud FURET, Auteur ; Marc CHOVELON, Auteur ; ET AL., AuteurEn Auvergne-Rhône-Alpes, des viticulteurs expérimentent des pratiques alternatives au pyrèthre pour lutter contre la flavescence dorée. En Ardèche notamment, des expérimentations ont démarré et se sont inspirées des formations d'Eric Petiot avec, en premier lieu, des éléments pour renforcer le sol. Plusieurs critères ont été identifiés pour connaître et suivre le potentiel des sols : le paramagnétisme, la conductivité, le PH et le redox du sol et sa capacité à dégrader les matériaux. Pour rétablir les paramètres et équilibrer un sol, divers apports sont bénéfiques au sol : micro-organismes, fumure, engrais verts, poudre de basalte, de zéolite, de charbon de bois, extraits fermentés de consoude et/ou de luzerne... Un encadré précise quelques définitions (rédox, PH, paramagnétisme, micro-organismes efficaces (Em)). Un deuxième article présente les expérimentations en cours dans le réseau bio, notamment l'application de sucres sur la cicadelle de la flavescence dorée, et des tests de produits alternatifs ou complémentaires au pyrèthre naturel.
Dossier Viticulture : Limiter les attaques sanitaires : Des vignes en bonne santé
Frédérique ROSE, AuteurLes vignerons doivent faire face à divers ravageurs et maladies : cicadelle de la flavescence dorée, Drosophila suzukii, eudémis, black rot... Dans certaines régions, ces indésirables sont présents depuis longtemps, et les viticulteurs en ont alors une certaine maîtrise. Dans d'autres, de nouvelles pressions prennent au dépourvu. C'est le cas pour le black rot, qui a entraîné de nombreux dégâts dans le sud de la France en 2015 (Vaucluse, Gard). En l'absence de produit alternatif homologué en bio contre ce champignon, la solution à ce jour reste un mélange de cuivre et de soufre, mais surtout, il faut agir aux bons moments. Du côté de la cicadelle de la flavescence dorée et de l'eudémis, des alternatives sont à l'étude, notamment pour réduire le nombre de traitements. En termes de prévention, l'utilisation de plantes, inspirée des pratiques de la biodynamie, fait de plus en plus d'émules chez les viticulteurs. Jean-Michel Florin, du MABD, ainsi que deux viticulteurs en biodynamie, témoignent dans ce dossier.
Pratiques à la ferme : Comment lutter contre la flavescence dorée ?
La flavescence dorée de la vigne est en constante progression sur le territoire français et provoque des dégâts importants dans les vignobles. Cette maladie, diffusée par un insecte ravageur, la cicadelle Scaphoideus titanus, et par la mise en circulation de plants contaminés, est aujourd'hui incurable sur vigne en place. Après un rappel des symptômes de la flavescence et de la biologie de l'insecte responsable, l'article fait le point sur la prophylaxie et sur les moyens de lutte, en particulier sur le Pyrévert, à base de pyrèthre, seul produit utilisable en AB à être homologué en France. Le protocole, qui comprend deux actions principales, ainsi que quelques conseils d'utilisation, sont présentés. Les vignerons, bio et conventionnels, se mobilisent ensemble pour détecter et arracher les ceps touchés, seul moyen de contrôler et de prévenir l'extension de la maladie. Fanny Monbouché, viticultrice bio dans le Bergeracois, fait partie du réseau de surveillance participatif mis en place, en 2009, par AgroBio Périgord. Elle explique les raisons de son implication au sein de ce réseau.
La gestion de la Flavescence dorée en viticulture biologique
La flavescence dorée est une maladie à phytoplasme (bactérie sans paroi) qui touche les vignes et est transmise par un insecte : la cicadelle (Scaphoideus titanus). En 2013, la moitié du vignoble français était concernée par cette maladie incurable. La lutte s'organise autour de trois axes d'action : - l'implantation de ceps sains, par exemple après les avoir traités à l'eau chaude ; - l'assainissement du vignoble, par une surveillance de celui-ci et l'arrachage des souches contaminées ; - et la maîtrise des populations de cicadelles. Des mesures prophylactiques et une lutte biologique se sont avérées inefficaces pour la gestion de cet insecte ravageur. En agriculture biologique, un insecticide est homologué contre la cicadelle : le pyrèthre naturel. Il permet en moyenne une baisse de 75 % des populations de cicadelles, avec toutefois des résultats assez variables. Les résultats de plusieurs expérimentations visant à évaluer l'effet de différents facteurs sur l'efficacité de cet insecticide sont rapportés dans ce document : - sensibilité aux UV ; - positionnement des traitements ; - utilisation en mélange avec du cuivre et du soufre ; - volumes de bouillie appliqués ; - effet du pH ; - impact sur la faune auxiliaire. L'intérêt d'autres produits de traitement qui seraient utilisables en bio a également été étudié : - traitements larvicides, à base de kaolinite calcinée notamment ; - traitements ovicides à base d'huile minérale et de soufre mouillable. Ce document est complété par le témoignage d'un viticulteur biologique devant faire face à la flavescence dorée et par une foire aux questions.
La gestion des mouches en élevage caprin et ovin bio
Le réseau des référents techniques régionaux agriculture biologique des Chambres d'Agriculture de Rhône-Alpes a réalisé un ensemble de fiches thématiques. Ces fiches sont des outils d'accompagnement des projets d'installation et de conversion. Cette fiche porte sur "La gestion des mouches en élevage caprin et ovin bio" et aborde notamment les points suivants : - Contexte (Connaître le cycle de développement de la mouche domestique pour limiter sa pullulation) ; - Les moyens de lutte (1 : Hygiène dans ET autour du bâtiment ; 2 : Actions directes sur les mouches adultes ; 3 : Lutte contre les larves (œufs, larves et pupes) ; 4 : Et la fromagerie ? ; Mes moyens mis en place ne sont pas efficaces ?) ; - Quelques adresses d'approvisionnement.
Le pyrèthre : Plantation, installation et utilisation domestique
VIVRE LA VIGNE EN BIO, Auteur ; Abel, Auteur ; Jean DUVAL, Auteur ; ET AL., AuteurLe pyrèthre est un produit insecticide naturel, issu du pyrèthre (ou chrysanthème) de Dalmatie, une plante de la famille des Astéracées. Ses principes actifs, les pyréthrines, agissent sur le système nerveux d'un grand nombre d'espèces d'insectes. Autorisé en agriculture biologique, le pyrèthre permet de lutter contre Scaphoïdus titanus, une cicadelle vectrice de la flavescence dorée sur vigne. Cet article présente cet insecticide naturel sous différents aspects : histoire de sa culture et enjeux géopolitiques de celle-ci, botanique, choix des variétés, conditions propices à cette culture, transformation et utilisation. Le Kenya est le premier pays exportateur de pyrèthre. Dans d'autres pays voisins, notamment au Rwanda, la culture du pyrèthre est parfois au cœur de conflits. En effet, sa culture intensive se développe aux abords du parc national des Virunga, réduisant les frontières de celui-ci, principal habitat naturel du gorille à dos argenté (ou gorille des montagnes). D'un point de vue agronomique, les zones montagneuses équatoriales sont les plus propices à la culture du pyrèthre, avec une augmentation de la teneur en pyréthrines dans les plantes avec l'altitude. Les conditions de sa transformation et de sa conservation, ainsi que les différentes modalités de l'utilisation de cet insecticide naturel sont également explicitées.
Le doryphore
Antoine BOSSE-PLATIERE, AuteurLe doryphore reste présent dans les jardins, et le réchauffement climatique pourrait même expliquer certains regains d'activité dans la moitié nord de la France. Le doryphore est un coléoptère de la famille des chrysomélidés. Après une présentation de sa vie biologique (comportement de l'adulte et des larves qui dévorent les feuilles de pommes de terre), l'article indique des moyens de lutte : surveillance régulière du feuillage des pommes de terre dès la fin avril, semis de lin bleu entre les rangs de pommes de terre, plantation de pieds de ricin ou de datura en bordure de parcelle, traitement au pyrèthre (début d'invasion de larves) ou avec une souche de Bacillus thuringiensis (Novodor), efficace sur les premiers stades larvaires.
Les journées ITAB/GRAB en fruits et légumes biologiques des 14 et 15 décembre 2010 : La gestion des pucerons : le thème phare des ateliers maraîchage
Jérôme LAMBION, AuteurLors des journées techniques ITAB/GRAB en fruits et légumes biologiques des 14 et 15 décembre 2010, un atelier thématique sur la gestion des pucerons en maraîchage a eu lieu, faisant intervenir de nombreux techniciens et chercheurs français. Cet atelier a permis d'aborder l'ensemble des moyens de contrôle des pucerons. Un point est fait sur les pucerons et les protections qui s'imposent : - La biologie des pucerons : présentation générale des pucerons ; caractéristiques communes des différentes espèces de pucerons ; - Les mesures directes de protection : contexte règlementaire de l'utilisation de produits de traitement contre les pucerons en maraîchage biologique ; piste la plus prometteuse avec les pyrèthres naturels, pour lesquels une AMM (autorisation de mise sur le marché) devrait arriver à moyen terme ; produits non utilisables comme les extraits de neem, les huiles végétales ou les extraits de plantes ; stratégies de lutte biologique et lâchers en préventif de micro-hyménoptères parasitoïdes... ; - Les mesures indirectes de protection : impact du paysage sur les ravageurs et leurs auxiliaires ; rôle des zones non cultivées ; complexité des mécanismes mis en jeu ; - Modification du système de production : intérêt des cultures associées pour limiter les attaques de pucerons (elles perturbent le puceron, elles peuvent être toxiques ou répulsives...).