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VIE BIOLOGIQUE DU SOL |
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Des tests simples pour connaître l'activité du sol
Xavier DELBECQUE, AuteurDes tests simples et peu coûteux peuvent être réalisés afin dobtenir des informations sur le fonctionnement de son sol. Trois dentre eux sont détaillés dans cet article : celui du slip, celui du teabag (sachet de thé) et le bait lamina. Ils suivent la même logique : enterrer un objet et regarder sa dégradation, pour mesurer indirectement lactivité biologique dun sol. Le test du slip consiste à peser un slip en coton, à lenterrer verticalement, puis à attendre deux à trois mois. Il faut ensuite le déterrer, le laver à leau claire, le sécher et le peser à nouveau afin de constater sa dégradation. Comme il ne permet pas dobtenir des valeurs absolues, il est plutôt utilisé pour comparer lactivité de plusieurs sols. Le test du teabag repose sur le même principe. Il permet par contre de mesurer uniquement lactivité de la microfaune (le sachet en nylon empêche la macrofaune de dégrader le thé). Ce test a été standardisé, mais il est plus compliqué à mettre en uvre car il demande une balance de précision. Le test bait lamina est plus court (15 jours) et quantifie plutôt lactivité de la macrofaune, notamment celle des vers de terre. Un bâtonnet constitué de 16 trous remplis dappâts est planté dans le sol. Les résultats sont binaires : 1 si le trou a été dégradé et 0 sil ne lest pas. Les bâtonnets sont vendus 3,20 pièce par EnviBioSoil.
5 tests simples pour évaluer son sol : slip - slake - thé - bêche - pot de barber
Le sol est la base de la production agricole. Dans cette vidéo, Sandie MASSON (Agridea) présente cinq outils de diagnostic du sol qui sont à la fois simples et rapides pour l'agriculteur : La méthode du slip ; le slake-test ; la méthode des thés verts et rooibos ; le pot barber ; le test à la bêche. Toutes ces méthodes sont réalisables par tous et permettent d'observer et de comprendre le fonctionnement de son sol et son fonctionnement. Chaque méthode apporte des réponses dans un domaine précis. Certains tests démontreront la présence des auxiliaires de culture alors que d'autres estimeront plutôt la qualité de la dégradation de la matière organique et la vie du sol. In fine, l'ensemble de ces tests permettent de signaler une anomalie dans le fonctionnement de son sol ou encore de pouvoir se comparer entre voisins ou dans un groupe d'échanges afin d'améliorer ses connaissances et de favoriser la vie du sol.
Agriculture biologique, une approche scientifique
Lagriculture biologique est lart de cultiver les bactéries et les champignons en les nourrissant de matières organiques, pour aboutir à la mise à disposition des plantes de tous les minéraux nécessaires à lobtention de récoltes abondantes et saines. Ce livre décrit et explique le fonctionnement dun monde souterrain, en perpétuel mouvement, où animaux et végétaux, la plupart du temps microscopiques, se côtoient, se dévorent, sempoisonnent, sassocient, se livrent des guerres ethniques ou fratricides pour semparer de la nourriture disponible. Ils rejettent ainsi dans le sol des quantités de substances chimiques de plus en plus fines, des antibiotiques, des enzymes sous le commandement implacable des plantes qui orchestrent ces guerres telluriques pour leur seul bien-être. Ce livre est le résumé des nouvelles pratiques agricoles mises au point par les chercheurs et les agriculteurs pionniers depuis 40 ans. Il se veut pratique. Le lecteur est invité à entrer au cur des écosystèmes pour comprendre pourquoi la « vraie agriculture biologique » est simple. L'ouvrage présente les diverses applications de la biologie du sol à toutes les formes dagriculture : céréaliculture, maraîchage, viticulture, arboriculture, jardinage Dans la 2ème partie, par métier, lauteur montre comment chaque agriculteur peut concrètement améliorer ses pratiques de production et préparer lagriculture de demain.
Agriculture régénérative : « Un sol toujours vert »
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurUlrich Schreier, formateur en agronomie depuis plus de vingt ans, co-fondateur de lassociation Soin de la Terre et fondateur de la société Ecodyn, sest engagé dans les TCS (techniques culturales simplifiées) et dans l'agriculture régénérative. Installé en Anjou, il déplore l'existence fréquente de sols négligés, même en bio. Pour lui, un sol devrait toujours être couvert dune végétation multi-espèces afin quil assure sa propre fertilité via la photosynthèse : les exsudats racinaires riches en glucides quelle entraîne nourrissent la vie du sol (cest le principe de lagriculture régénérative). Ulrich préconise deux pratiques pour atteindre lautonomie agronomique : les couverts végétaux en interculture (les engrais verts) et les sous-semis (plantes semées sous la culture). Les mélanges multi-espèces en sont la clé : ils doivent être composés de sept à trente espèces, de familles botaniques différentes, et limplantation de couverts et limplantation de sous-semis doivent se succéder en alternant cultures dhiver et cultures de printemps. Les sous-semis sont implantés en même temps que les semis pour les cultures dautomne et doivent contenir des graminées naines type gazon dotées dun faible pouvoir aérien et dun système racinaire puissant. Pour les cultures de printemps, les sous-semis sont implantés lors du dernier binage. Ulrich Schreier conseille également de réduire le passage des outils pour limiter la minéralisation et la déstructuration des sols et de ne pas détruire un couvert par le gel (une plante morte n'apporte pas suffisamment à la vie du sol). Il rappelle également que les systèmes peuvent être enrichis avec des animaux et des arbres dont les intérêts sont à la fois agronomiques et économiques.
Biodynamis Hors série n°21 : Vivre les préparations biodynamiques
Laurent DREYFUS, Auteur ; Hans-Christophe VAHLE, Auteur ; Gauthier BAUDOIN, Auteur ; ET AL., AuteurCe hors-série de la revue est entièrement consacré aux préparations biodynamiques et à la diversité des pratiques des agricultures qui les ont adoptées. Les préparations biodynamiques sont le cur de la pratique biodynamique et elles sont ce qui différencie la biodynamie de toute autre méthode. De la bouse de corne à la silice de corne, dynamisées une heure, en passant par les fleurs de pissenlit, de camomille, ces substances créées par lhomme régénèrent les corps physique, éthérique, astral et le moi du lieu et créent un lien particulier avec la terre, la nature, les oiseaux, les insectes, et avec tout lécosystème. Au sommaire : Les plantes des préparations biodynamiques dans lorganisme agricole tripartite ; - Considérations sur la préparation 506, pissenlit/mésentère ; - La préparation 505 écorce de chêne/crâne ; - Réflexions sur la préparation 501 silice de corne ; - Les recherches de Jürgen Fritz ; - Leffet des préparations biodynamiques ; - Quelques résultats de recherches récentes ; - Vivre les préparations biodynamiques en Amérique du Sud ; - Christoph Willer, expert en préparations biodynamiques en Allemagne ; - Les préparations dans le désert, à Sekem en Egypte ; - En pépinières dans les Cévennes ; - En élevage bovin dans les Vosges ; - Dynamiser les préparations dans des vasques vives ; - Les préparations biodynamiques et les plantes médicinales ; - Le domaine viticole Cazes en biodynamie depuis 20 ans ; - Devon Strong, les préparations en Amérique du Nord ; - Liberté et diversité ; - Le MABD pour le développement local de lélaboration des préparations biodynamiques ; - En maraîchage, gérer les préparations sur lensemble des cultures et sur lannée.
De la connaissance de la biologie des sols et de ses fonctions, à son pilotage : Quels enjeux sont associés à la biodiversité des sols ?
S. HÄTTENSCHWILLER, Auteur ; S. BARANTAL, Auteur ; P. GANAULT, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 07 (147 Rue de l'Université, 75 338, FRANCE) : INRA (Institut National de la Recherche Agronomique) | 2018La biodiversité des sols reste encore mal connue alors que sa diversité fonctionnelle affecte son fonctionnement. Ce diaporama a été réalisé dans le cadre dun carrefour de linnovation agronomique, qui s'est tenu en 2018, sur la biologie du sol et son pilotage. Dans un premier temps, cette présentation illustre limportance de la biodiversité dans le fonctionnement dun écosystème avant de se focaliser sur celle du sol. Les différents services écosystémiques rendus par les organismes et microorganismes vivant dans ce milieu sont ensuite expliqués, ainsi que le poids de la diversité fonctionnelle.
Les déchets verts ont de la ressource
Denis PEPIN, AuteurL'auteur explique comment il utilise les déchets verts de son jardin d'ornement pour pailler le sol de son potager. Tonte de la pelouse, feuilles mortes, brindilles broyées, restes de fleurs sèches..., toutes ces ressources végétales se décomposent rapidement et rendent la terre plus facile à préparer en fin d'hiver. Il conseille de changer l'emplacement de certains déchets verts au jardin, par exemple les rameaux et aiguilles de thuya, et de les mélanger à des feuilles mortes, afin d'éviter qu'ils n'acidifient trop le sol. L'auteur considère même, après 20 ans d'expérience, que l'ensemble des déchets du jardin, recyclés sur place en paillis, sont plus performants pour nourrir la vie du sol et transformer une terre limoneuse et compacte en terre grumeleuse, que le compost...
Dossier : Parcours techniques
Cécile MARCUS, Auteur ; Frédérique ROSE, Auteur ; Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurComme l'illustrent ces 4 témoignages, les viticulteurs bio ajustent en permanence leurs pratiques pour obtenir un raisin de qualité, que ce soit dans l'attention portée à la vie du sol, dans la lutte contre les maladies et les ravageurs ou dans la maîtrise de l'herbe : - Château-Ferrière : Gérard Fenouillet, directeur de production : l'excellence affirme sa différence ; Le domaine, situé en Gironde, est devenu l'un des leaders du mouvement de la bio et de la biodynamie et produit des grands crus classés ; Gérard Fenouillet en est l'actuel directeur de production, mais il est aussi la mémoire vivante de l'histoire du domaine et raconte son évolution ; - Château Beauregard Mirouze : Karine et Nicolas Mirouze : priorité au sol ! ; Au cur des Corbières, dans l'Aude, Karine et Nicolas Mirouze ont entrepris un travail de restructuration du vignoble du domaine familial avec pour premier objectif de redonner vie au sol ; - Domaine Réaut : Alain Réaut et son fils Alexandre : 30 ans de biodynamie ! ; Alain Réaut, dans l'Aube, a converti son vignoble de 9 ha en biodynamie, en pionnier, en 1992, dans une démarche partagée avec ses deux voisins ; - Domeniul Bogdan, Bogdan Mihalcea : "La biodynamie, c'est l'avenir !" ; En 2011, Bogdan Mihalcea, issu du monde des énergies renouvelables, a décidé de créer, au sud-est de la Roumanie, un vignoble en biodynamie, composé principalement de cépages français.
Dossier : Le sol vivant n'est pas une option
Fabrice DE BELLEFROID, AuteurLe sol n'est pas une matière minérale inerte et interchangeable. C'est dans la forêt que l'on observe le mieux la richesse du sol, car c'est là qu'il est le moins perturbé. Le sol est la couche intermédiaire, faite de terre, qui sépare la roche-mère, en-dessous, de la litière, faite de feuilles, de morceaux de bois décomposés..., au-dessus. Ce sol peut aller de quelques centimètres d'épaisseur seulement à beaucoup plus, en fonction de son histoire et surtout de l'intensité de son activité. Le sol travaille en permanence la matière minérale, il digère la matière organique, mélange les deux en présence de l'eau et élabore cette "terre" qui va nourrir les plantes. L'auteur explique très clairement le processus de minéralisation de la matière organique et comment la matière organique nourrit le sol qui va nourrir la plante à son tour... L'article s'attache à montrer ce qu'est un sol vivant, quelles sont les bonnes pratiques agricoles qui en respectent la vie et l'équilibre, quelles sont les clés pour maintenir une bonne fertilité des sols, etc.
Estimer l'état du sol en un clin d'oeil
Xavier DELBECQUE, AuteurLors du salon Tech&Bio de 2017, Eric Navarro a présenté le kit AB Sol qu'il a développé. Celui-ci donne rapidement et simplement une indication sur la stabilité biologique des sols. Pour ce faire, il suffit de mettre des mottes de terre dans deux petits casiers perforés en plexiglas, de tremper ensuite le tout dans un bac d'eau claire, et de mesurer le temps de décomposition des mottes. En effet, les différents éléments d'un sol sont reliés les uns aux autres par une glycoprotéine produite par les organismes vivants dans le sol. Plus il y a d'activité biologique, et donc plus la structure est stable. Pierre Guérin, consultant au Cabinet d'agronomie provençale, utilise le kit AB Sol avec ses clients. Pour lui, cet outil très visuel permet de comprendre aisément l'impact d'une forte pluie sur le sol. Il permet aussi de voir des différences après certaines interventions techniques (apports d'amendements par exemple).
Fertilité biologique des sols : Des microorganismes utiles à la croissance des plantes
Les microorganismes telluriques jouent un rôle fondamental dans la fertilité biologique des sols. Ce diaporama, qui leur est consacré, a été réalisé par la société Agrène dans le cadre dun carrefour de linnovation agronomique, qui s'est tenu en 2018, sur la biologie du sol et son pilotage. Cette présentation commence par redéfinir ce quest la fertilité biologique des sols avant de se concentrer sur la rhizosphère et la diversité microbienne quelle contient. Elle sattache ensuite à décrire les deux moyens pour favoriser cette fertilité biologique : soit par stimulation, soit par introduction de microorganismes via des biostimulants. De plus amples informations sont alors apportées sur ces produits (leurs différentes catégories, leurs interactions avec la plante, ainsi que leur efficacité).
La framboise va à l'essentiel
Guy DUBON, AuteurEn Haute-Loire et en Ardèche, un groupe Dephy Ferme Framboise s'est constitué en 2017. Il réunit une dizaine de producteurs de framboises, en bio, en conventionnel ou en conversion. Accompagnés par Agri Bio Ardèche, ils échangent sur leurs pratiques de protection des cultures. Parmi les points abordés, sont cités dans cet article : - l'utilisation de préparations naturelles non préoccupantes (décoction de prêle et de tanaisie, purin d'ortie, macérat d'ail) ; - le piégeage massif de Drosophila suzukii ; - l'apport de BRF ou de laine de mouton sur le rang ; - la mise en place d'engrais verts dans l'entre-rang (luzerne-trèfle-avoine, phacélie-moutarde) ; - l'amélioration de la vie du sol (mesure du pH et du potentiel d'oxydo-réduction, étude du paramagnétisme du sol).
Je cultive en lasagnes partout et toute l'année
Brigitte LAPOUGE-DEJEAN, Auteur ; Franck DAVID, Auteur ; Serge LAPOUGE, Auteur | MENS (Domaine de Raud, 38 710, FRANCE) : ÉDITIONS TERRE VIVANTE | 2018Jardiner en lasagnes, c'est imiter la forêt qui fabrique en continu un sol vivant, grâce à une biomasse constamment renouvelée (déchets organiques, feuilles, brindilles, écorces, etc.) qui nourrit des dizaines d'organismes de toutes tailles, capables de transformer ces résidus en précieux humus. Cet ouvrage donne des explications détaillées qui permettront de mettre en uvre, au jardin, la culture en lasagnes et dobtenir un sol fertile, parfumé et souple. La culture en lasagnes, issue de la permaculture, peut se pratiquer partout, même dans des conditions de jardinage compliquées, et toute l'année. Elle est accessible à tous, débutants ou jardiniers confirmés, adultes et enfants, en ville comme à la campagne. Le principe est simple : amonceler des couches de matières organiques sur lesquelles on pourra produire des légumes, tout en valorisant ses déchets. La lasagne peut accueillir des légumes, bien sûr, mais aussi des aromatiques, des fruits, des fleurs, une haie...
Portrait du mois : L'envie du sol
Antoine BESNARD, AuteurAprès avoir été gestionnaire de projets associatifs dans l'économie sociale et solidaire, Aude Ouvrard s'est installée en maraîchage bio, en 2015. Les terres qu'elle a trouvées à Loperhet (29), à côté de Brest, étaient compactées sur 30 cm par 15 années de production de fraises hors sol, et elle a immédiatement décidé de les convertir. En alternant à plusieurs reprises un travail de décompactage avec de l'arrosage, Aude est parvenue à réactiver son sol. Dès le début, elle a mis en place un système de planches permanentes, qui lui convient bien. Elle avait déjà eu l'occasion, pendant ses stages de BPREA, de s'intéresser au travail de l'Atelier Paysan. Afin de retravailler son sol une fois décompacté, elle s'est lancée dans la construction de ses propres outils à dents. Avec l'aide de l'Atelier Paysan, elle a réussi à maîtriser ses outils, au bout d'une année. A terme, elle aimerait ne plus travailler le sol. C'est pourquoi elle a rejoint un groupe de maraîchers finistériens dont le projet consiste à adapter des outils aux techniques du maraîchage sur sol vivant. Engagé sur 3 ans, le projet Buzuk est financé par la Région Bretagne. Cette année, le groupe de maraîchers travaille à la conception et à la fabrication d'un semoir à engrais verts. Pour Aude, la force du collectif permet d'avancer et de garder cette envie de faire, de découvrir et d'explorer...
Projet Mycoagra : Un couvert actif pour assurer la mycorhization
Frédéric THOMAS, Auteur ; François HIRISSOU, Auteur ; Violette AURELLE, Auteur ; ET AL., AuteurLe projet de recherche Mycoagra, porté par la Chambre dagriculture de la Dordogne, vise à étudier les phénomènes de mycorhization dans le temps pour des cultures de noyers et de maïs. Des analyses ont été effectuées, en 2017, sur des parcelles dagriculteurs de manière à obtenir quatre répétitions pour chacune des conditions suivantes : des parcelles de noyers en conventionnel avec et sans couvert végétal (avec de la féverole en couvert principal), des parcelles de noyers en AB avec et sans couvert végétal, des parcelles en agroforesterie (parcelles de noyers avec en interrang, du maïs en semis direct sous couvert de légumineuses), avec ou sans traitement fongique des semences. Les résultats des analyses moléculaires sont actuellement uniquement disponibles pour les noyers. Ils montrent que 543 Unités taxonomiques opérationnelles (OTU) ont été identifiées. Parmi elles, 265 ont été retrouvées dans toutes les parcelles malgré des sols hétérogènes, ce qui laisse supposer que ces OTU sont assez universelles. Le genre Glomus est majoritaire (43 % des espèces) tandis que dautres se trouvent en proportion très faible mais ils jouent tous un rôle dans la nutrition des plantes. Leur diversité est dailleurs favorisée par la présence de couverts : en hiver, les noyers ralentissent leur métabolisme, ce qui freine les échanges de substances carbonées mais les espèces de champignons capables de sassocier à la fois avec les noyers et les espèces du couvert végétal profiteraient de la fourniture du couvert durant cette période. Cependant, létude qui est actuellement en cours précise quil reste beaucoup de mécanismes à expliquer.