Thésaurus
![]() RELATION PRODUCTEUR CONSOMMATEUR |
Documents disponibles dans cette catégorie (187)


Etendre la recherche sur niveau(x) vers le bas
![]()
![]()
Circuits courts : Sur la piste du produit local
Florence HUMBERT, Auteur ; Elsa CASALEGNO, Auteur ; Marine PERIER-DULHOSTE, AuteurComme outils de valorisation des productions locales, les circuits courts bénéficient d'une image favorable auprès des consommateurs. En effet, la dimension plus durable, plus responsable et plus en lien avec la terre de ces canaux de vente attire les consommateurs à la recherche dune offre différente de celle de la grande distribution (denrées non traitées, de saison ). Face à lampleur de ce phénomène, Que Choisir propose un décryptage de ce mode de commercialisation, autour des questions suivantes : - Quest-ce quun circuit court ? ; - Est-ce un gage de qualité ? ; - Pratique ancienne ou innovation ? ; - La rencontre avec la clientèle a-t-elle lieu ? ; - Ces canaux de vente sont-ils plus chers ? ; - Est-ce conciliable avec la grande distribution ? ; - Lenvironnement est-il mieux respecté ? Pour terminer, lUFC-Que Choisir présente sa carte interactive qui permet de trouver les points de vente en circuits courts.
![]()
![]()
Comment la mention Nature & Progrès est-elle attribuée ?
Zoé EBELLA, AuteurDans cette interview, Samuel Souchay, pépiniériste en Aveyron, raconte comment s'est déroulé le processus d'obtention de la mention Nature & Progrès pour son exploitation. Il explique qu'il est, tout d'abord, devenu adhérent à l'association locale Nature & Progrès, ce qui lui a permis d'adresser, à la COMAC (Commission Mixte d'Agrément et de Contrôle) locale, sa demande d'obtention de la mention en tant que producteur. Ensuite, le producteur a fixé un rendez-vous avec les enquêteurs pour la visite de son exploitation et a préparé les documents nécessaires (déclarations, parcellaire, factures, listes de fournisseurs). Samuel explique comment s'est déroulée la visite : le producteur est questionné sur ses pratiques, la gestion des cultures, son calendrier, la liste de ses fournisseurs, les solutions qu'il met en uvre pour répondre aux différents enjeux et aux exigences du cahier des charges (biodiversité, préservation des sols, saisonnalité, etc.)... Être producteur sous mention Nature & Progrès est un engagement qui demande un investissement, tant pour le temps de l'enquête que pour remplir des tâches à l'association. Samuel, pour sa part, a été secrétaire de la COMAC, mais aussi enquêteur. Fort de sa connaissance des deux versants de l'enquête de la COMAC, Samuel témoigne d'une expérience riche en partage entre enquêteurs et enquêtés ; il fournit également des informations sur les critères qui construisent la fiabilité de la mention.
![]()
![]()
Les dossiers d'Agropolis International n° 26 : Transformations agroécologiques pour des systèmes alimentaires durables
K. ATTA-KRAH, Auteur ; J.-L. CHOTTE, Auteur ; C. GASCUEL, Auteur ; ET AL., Auteur | MONTPELLIER (Avenue Agropolis, 34 394, FRANCE) : AGROPOLIS INTERNATIONAL | 2022Les questions urgentes de la transformation agroécologique allant vers des systèmes agroalimentaires durables ont conduit plus de 500 scientifiques (Cirad, CGIAR, INRAE et IRD), français et étrangers, à collaborer pour réaliser cette publication. Les auteurs mettent ainsi leur expertise au service des décisionnaires politiques, des services de vulgarisation, des ONG et des associations agricoles engagés dans la promotion de la transition agroécologique. Ce document présente des approches systémiques et transdisciplinaires de la recherche agricole, tenant compte de la multitude de liens qui existent entre l'agriculture, les systèmes alimentaires, les systèmes terrestres et aquatiques. Les actions publiques nécessaires sont aussi variées que la diversité des contextes et des besoins des systèmes alimentaires. La transition devra donc être coordonnée pour améliorer lenvironnement, construire un système alimentaire équitable, participatif et juste. Ce document se décline en trois parties : 1 - Agroécosystèmes ; 2 - Systèmes alimentaires ; - Processus-clés, méthodes et outils pour l'agroécologie.
![]()
![]()
Filières territoriales : Autonomie de la fourche à la fourchette
Pascal AUBREE, Auteur ; Stéphanie PRESTAVOINE, Auteur ; Aurore PUEL, AuteurFace à l'intensification des systèmes agricoles, certains agriculteurs, estimant avoir perdu la maîtrise de leur production, ont cherché des alternatives pour répondre aux attentes des consommateurs. Ils ont, depuis plusieurs années, développé les circuits courts (vente à la ferme, magasins de producteurs, AMAP), limitant ainsi le nombre d'intermédiaires et assurant une relation producteur consommateur renforcée, ainsi qu'une meilleure rémunération des producteurs. Cette démarche a conduit à l'émergence de filières territoriales, une nouvelle forme d'organisation collective qui permet de relocaliser l'alimentation à son territoire, par le biais d'intermédiaires opérant à l'échelle locale. Les réseaux CIVAM partagent, dans cet article, des points de repère et de vigilance pour structurer une filière de proximité.
![]()
![]()
MAPPI : Guide pratique : Pour des magasins de producteurs ouverts à tous
En avril 2021, Trame, l'AFIPaR et le Pôle Circuits courts Terre denvies-CEGAR ont lancé le projet expérimental MAPPI (Magasins de producteurs Accessibles aux Publics Précaires et Isolés). L'objectif était d'aider au développement d'initiatives locales de magasins de producteurs, visant à rendre accessible une offre d'alimentation locale et de qualité aux publics précaires et isolés. Ce guide méthodologique est le fruit de cette étude-action. Il se décline en 4 fiches, répondant aux questions suivantes : - Comment faciliter la rencontre entre magasins de producteurs et publics éloignés des circuits courts ? Enjeux dune communication adaptée (fiche 1) ; - Comment adapter loffre des magasins de producteurs aux publics éloignés des circuits courts ? (fiche 2) ; - Comment rendre accessibles financièrement les magasins de producteurs ? (fiche 3) ; - Comment faciliter le rapprochement entre des publics éloignés des circuits courts et des magasins de producteurs ? Pertinence des outils numériques (fiche 4).
![]()
![]()
Paniers étudiants : Des produits bio accessibles quand on n'a pas un radis
Julien BASTIDE, AuteurDepuis 2016, l'Université de Bretagne sud (UBS) a mis en place un projet, accompagné par le GAB du Morbihan (56), pour permettre aux étudiants de bénéficier de paniers de légumes bio et locaux à prix réduit. Chaque semaine, les étudiants peuvent commander, en ligne, leur panier aux producteurs partenaires, qui viennent livrer sur le campus. De nouveaux débouchés pour les producteurs, une meilleure qualité de vie pour les étudiants, cette initiative s'est, depuis, étendue à d'autres campus et à d'autres établissements qui soutiennent le projet, particulièrement pendant la pandémie qui a accentué la précarité étudiante. Pour finir, Delphine Le Gall, responsable du service culture et vie des campus à l'UBS, partage son témoignage.
![]()
![]()
Lalimentation durable, un enjeu démocratique : Synthèse du projet Accessible
J-C. BALBOT, Auteur ; M. THEODORE, Auteur ; M. DALMAIS, Auteur ; ET AL., AuteurLaccès à une alimentation durable pour tous, notamment pour les personnes les plus démunies, représente un enjeu agricole, alimentaire et de justice sociale. En France, de plus en plus de personnes se déclarent insatisfaites de leur alimentation. Pour les plus précaires dentre elles, laide alimentaire est devenue la seule solution envisageable. Cette solution, initialement provisoire, finit par sinstaller dans la durée, ce qui met à mal les fonctions sociales, conviviales et citoyennes de lalimentation. Parallèlement, le système agricole actuel ne parvient pas à faire vivre tous ses producteurs dignement. Il a également tendance à surproduire et à générer un gaspillage alimentaire, dont une partie fournit laide alimentaire. Comment est-il possible quun système de production nourrisse mal un nombre croissant de consommateurs et ne permette pas à une partie de ses producteurs de vivre ? Le projet « Accessible » (2015-2019) a tenté de répondre à cette question. Il est le premier projet Casdar à associer des partenaires du secteur social. Il a permis de dresser un état des lieux de la précarité alimentaire en France et den comprendre les causes structurelles. Il a, pour cela, réalisé une analyse sur lensemble du contexte agricole et alimentaire. Il a également conduit au déploiement et à létude de plusieurs dispositifs daccès à lalimentation à léchelle locale. La synthèse de ces différents travaux propose une réflexion structurée sur les conditions permettant un accès à tous à une alimentation durable, des exemples et des outils de travail pour les acteurs locaux, ainsi que des ressources pour animer le débat public.
![]()
![]()
As veyou l'poré et tous les beaux légumes de Mélanie et Benoit ?
Mathilde RODA, AuteurMembres de Nature & Progrès Belgique, Mélanie et Benoit se sont installés en maraîchage bio en 2011. Leur projet dinstallation sur leur ferme « As veyou lporé » correspond également à un projet de vie, dans le respect de lenvironnement, avec des constructions écologiques. Au départ, ils proposaient des paniers de légumes bio ; puis, ils ont travaillé sur commandes et sur les marchés, ainsi quen vente directe à la ferme depuis la crise sanitaire, afin de continuer à fournir leur clientèle. Ils développent leur autonomie à travers la production de leurs propres plants maraîchers et font des essais de substrat pour se passer de la fibre de coco et de la tourbe. Leur cheval de trait est aussi un précieux collègue de travail : son fumier composté participe à la fertilisation du sol, et le travail par traction animale (pour remplacer le tracteur) permet de biner sans consommer de carburant. Le couple, porteur des valeurs de Nature & Progrès, sinvestit auprès des consommateurs : le marché est loccasion de partager leur passion et leurs savoirs.
![]()
![]()
Bio Centre : Rapport annuel d'activité 2020 : La bio qui sème l'avenir : écologique, solidaire, innovante
Le Réseau Bio Centre-Val de Loire regroupe et représente les acteurs économiques de lagriculture biologique de cette région et il accompagne le développement économique de la filière bio. En 2020, malgré l'épidémie de coronavirus et les différentes contraintes liées à la gestion de la crise, le Réseau Bio Centre-Val de Loire a poursuivi ses actions dans plusieurs directions : 1/ Accompagner les porteurs de projets d'installation en AB ou de conversion, ainsi que les entreprises bio, dans leur développement, et accompagner la structuration de la filière bio ; 2/ Accompagner les collectivités territoriales pour faciliter le développement de l'AB sur leur territoire ou pour développer des débouchés ; 3/ Sensibiliser les consommateurs, notamment en organisant des événements et en créant des outils de communication ; 4/ Animer et coordonner le Réseau Bio Centre-Val de Loire.
![]()
![]()
Le commerce équitable à la loupe !
Le commerce équitable représente 1,827 milliard d'euros de ventes en 2020, avec des ventes qui ont triplé en valeur entre 2014 et 2020. À l'échelle internationale, 90 % des produits de commerce équitable sont également bio (59 % à l'échelle française). Cette infographie, publiée par lassociation Commerce Équitable France, présente les informations suivantes : 1 - Les 7 principes du commerce équitable, ses labels et ses systèmes de garanties sur le marché français, ainsi que les évolutions de son cadre légal ; 2 Le commerce équitable, en quelques chiffres : un marché économique qui se structure, avec une croissance forte de la vente de produits labellisés, de plus en plus diversifiés, et un impact sur les producteurs ; 3 Les politiques publiques encadrent le commerce équitable, afin de lutter contre le fairwashing et de soutenir linvestissement des acteurs de la transition écologique et sociale.
![]()
![]()
Commercialisation des vins de Bordeaux : Se rapprocher des consommateurs
Tanguy DHELIN, AuteurLes attentes des consommateurs en matière de vins, et notamment de vins bio, ont été abordées lors dune conférence virtuelle Vinitech, organisée le 2 décembre 2020, par Vignerons Bio Nouvelle-Aquitaine. Selon Jean-Marie Cardebat, directeur de la chaire vins et spiritueux Inseec U, « Bio rime avec proximité, local et circuits courts ». Il est donc important de repenser la proximité avec le consommateur, que ce soit dun point de vue géographique ou relationnel. Selon lui, il est nécessaire de se doter dune culture danimation de communauté et dune structure technique tournée vers le consommateur afin daccroître la valeur perçue. Il est également important de prendre en compte la nouvelle donne sociétale sur le plan environnemental et sanitaire : en 2017, une étude sur des vins blancs a montré que les consommateurs pouvaient accorder plus de poids aux caractéristiques sanitaires et environnementales quaux qualités sensorielles des vins. Dans cette étude, le vin bio et celui issu de cépages résistants ont vu le CAP (consentement à payer) des consommateurs augmenter après la dégustation. Les viticulteurs bio ont donc tout intérêt à communiquer sur leurs pratiques vertueuses.
![]()
![]()
Dossier : Atouts des élevages
Eric ZINS, Auteur ; Jacques CAPLAT, Auteur ; Katja KLUMPP, Auteur ; ET AL., AuteurMalgré la mise en place de quelques politiques publiques pour limiter le changement climatique, ce dernier ne fait quempirer. La population peut toutefois agir, notamment par le biais de ses actes dachats, en soutenant des filières respectueuses de lenvironnement. Le système de production biologique et le label AB garantissent justement le respect de lenvironnement : préservation des sols, de la qualité de leau, de la biodiversité Ces externalités positives sont encore peu connues par le grand public. Ce dossier vise justement à les mettre en avant, et plus particulièrement dans le cadre de lélevage laitier biologique. Dans un contexte où la place de lélevage est de plus en plus questionnée par la société, Jacques Caplat (agronome et ethnologue) rappelle les bienfaits de lélevage bio, des prairies et du pâturage. Des ingénieurs de recherche dINRAE reviennent ensuite sur les avantages offerts par le pâturage sur le stockage de carbone et la fertilité des sols, ainsi que sur lesthétisme des espaces ouverts permis avec les prairies. Un naturaliste, Jean-Pierre Laffont, détaille les atouts des élevages laitiers bio en matière de biodiversité. Plusieurs associations environnementalistes ou de consommateurs (Greenpeace France, WWF France, Basic et UFC-Que Choisir) reviennent ensuite sur une étude quelles ont menée sur différents labels et expliquent pourquoi le bio reste lunique valeur sûre en matière de préservation de lenvironnement. Plusieurs articles sont également consacrés à limportance de la communication pour valoriser lélevage laitier bio : ils apportent des conseils aux éleveurs pour savoir se présenter et expliquer leurs pratiques ; des témoignages déleveurs qui ouvrent régulièrement leurs portes au grand public ; des arguments et des paroles déleveurs permettant de déconstruire des idées reçues ; des propositions pour réconcilier le monde agricole et la société civile. Les aides à la communication mises en place par Biolait sont aussi présentées.
![]()
![]()
Dossier : Le Réseau RADiS : pour des filières bio et solidaires à l'échelle des territoires !
Sylvie LA SPINA, Auteur ; Dominique PARIZEL, AuteurEn Wallonie, Nature & Progrès s'est associé avec la Fondation Cyrys pour créer, dans la région de Dinant, le Réseau RADiS (Réseau Alimentaire Dinant Solidaire). Le projet a pour objectif de travailler sur 3 dimensions essentielles pour faire évoluer les systèmes alimentaires : la relocalisation de l'alimentation, le développement de l'agriculture biologique et l'accessibilité de l'alimentation bio et locale pour tous. Les 2 partenaires se sont d'abord concentrés sur un premier territoire, celui de Dinant, et espèrent que ce premier projet inspirera toute la Wallonie. Dans ce dossier, les auteurs présentent le Réseau RADiS, ses principes et ses valeurs, ainsi que son fonctionnement.
![]()
![]()
Dossier : Le Salon à la ferme, près de chez vous !
Isabelle BOUVIER, Auteur ; Paul MAUGUIN, Auteur ; Patrick HAMELIN, Auteur ; ET AL., AuteurEn raison de la situation sanitaire, lédition 2021 du Salon de lAgriculture ne pouvait pas se tenir. Pour compenser, la Confédération paysanne a proposé damener le Salon dans les fermes en organisant des portes ouvertes, les 27 et 28 février. Ces moments de rencontres sont loccasion de montrer la réalité du travail de paysan et dengager le débat avec des citoyens et des élus. Ce dossier présente huit fermes paysannes biologiques participant à cet évènement : 1 - Dans le Morbihan, les deux associés de la ferme des prés de Trégréhen produisent, chaque année, 230 000 litres de lait, tout en alliant autonomie de la ferme, revenu et qualité de vie ; 2 - Dans le Calvados, lEARL La Boîte à Fromages emploie cinq travailleurs sur seulement 55 hectares, avec 30 vaches et 90 chèvres ; 3 - Dans les Deux-Sèvres, la ferme de la Vacherie assure à la fois la production, la transformation et la vente de porcins et de bovins ; 4 - En Ile-de-France, Alice Fumagalli sest installée, en 2015, sur deux hectares et produit des légumes et du pain bio quelle vend en Amap et à la ferme ; 5 - Dans les Monts du Lyonnais, quatre fermes laitières se sont associées pour lancer une fromagerie collective 100 % bio, locale et paysanne ; 6 En Ardèche, sur la ferme maraîchère Labeille et la blette, Marine Mazel et François Chauvin travaillent sur lautonomie de leur exploitation et favorisent la biodiversité ; 7 Dans le Minervois, entre lAude et lHérault, Irène Prioton conduit seule son domaine viticole de 6 ha et assure la vinification ; 8 Dans les Bouches-du-Rhône, la ferme de la Jacourelle a remis des terres et des terrasses en culture, élève des chèvres de race autochtone et est à lorigine de la plus petite AOP fromagère dEurope.
![]()
![]()
« Je suis passé des vaches aux ovins en vente directe »
Bérenger MOREL, AuteurEn Isère, Didier Allibe a complètement changé son système de production : il est passé de lélevage de vaches laitières (dont le lait était vendu en circuit long), à lélevage dovins allaitants valorisés en circuit court. A la cinquantaine, cet éleveur a, en effet, souhaité changer de production pour gagner en confort de travail et rendre sa ferme plus attractive pour une éventuelle transmission. Vue la configuration de sa ferme, il a opté pour lélevage ovin qui nécessite globalement moins dinvestissement et qui permet un retour économique assez rapide. Avant deffectuer cette transition, léleveur a bien réfléchi son projet. Il souhaitait alors simplifier au maximum le travail, avec deux périodes dagnelages et en commercialisant ses agneaux à une coopérative. Cependant, une expérience imprévue lui a fait changer davis : un collègue lui a une fois proposé de vendre ses produits dans un magasin de producteurs. Didier Allibe sest alors rendu compte quil appréciait beaucoup le contact avec les clients. Il a ainsi décidé de vendre des agneaux toute lannée en vente directe, avec trois périodes dagnelages (février, août et novembre). Ceci lui permet également de lisser son revenu sur lannée. Il a misé sur une transformation à la ferme en aménageant un laboratoire dans un camion frigo. Pour répondre aux attentes de sa clientèle, il est également passé en bio.