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RELATION PRODUCTEUR CONSOMMATEUR |
Documents disponibles dans cette catégorie (152)
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« En collectif, lincertitude devient une ressource pour laction » ; « Les groupes de discussion ont donné du sens au projet territorial »
Elsa EBRARD, AuteurCes deux articles expliquent en quoi les collectifs peuvent être une aide dans les changements de pratiques et dans linnovation. Le premier retranscrit une interview de Jean-Pierre Del Corso, un ancien animateur Jeunes Agriculteurs et professeur de lenseignement agricole qui est actuellement chercheur et dirigeant du LEREPS (Laboratoire dÉtude et de Recherche sur lÉconomie, les Politiques et les Systèmes Sociaux). En 2013, avec dautres chercheurs, il a publié une étude intitulée « Pratiques agricoles pour la réduction des produits phytosanitaires, le rôle de lapprentissage collectif ». Cette étude sappuyait sur le cas de la coopérative Qualisol, basée dans le Tarn-et-Garonne, qui a travaillé sur les possibilités daccompagnement de ses adhérents vers des pratiques plus économes en intrants. Jean-Pierre Del Corso revient ainsi sur les principaux enseignements de cette étude, tout en expliquant le rôle du collectif et des leaders dans les changements de pratiques. Le second article retranscrit une interview de Catherine Milou. Cette dernière effectue une thèse CIFRE auprès de la coopérative Qualisol. Dans ce cadre, elle a animé et étudié trois GIEE portés par Qualisol (dont un en bio) et qui ont tous les trois un objectif de création de filières territorialisées « légumes secs ». Catherine Milou explique en quoi ces collectifs ont permis de penser des actions communes au profit des agriculteurs et des consommateurs.
Une coopérative alimentaire autogérée à Amiens
ÉQUIPE DU PEUPLIÉ, AuteurEn 2018, à Amiens, une vingtaine de consommateurs se sont réunis pour faire des commandes groupées de produits bio, avec pour objectif douvrir une épicerie solidaire autogérée. Les membres du groupe commencent alors à contacter des fournisseurs (des producteurs locaux et des grossistes), à organiser des commandes et à les reconditionner. Ils souhaitent alors étendre cette possibilité à un plus grand nombre de consommateurs. Ils contactent plus de producteurs et décident dappliquer une marge de 10 % sur les produits afin de constituer une réserve en prévision des dépenses à venir. Le Peuplié prend alors la forme dune coopérative et rassemble très vite une cinquantaine de coopérateurs. Pour continuer à sagrandir, la coopérative applique les principes de fonctionnement de Diony Coop (coopérative similaire basée à Saint-Denis). Les membres trouvent un local de 80 m2 quils aménagent. Les trois premiers mois de loyer sont payés grâce à la réserve des 10 % de marge. Mi-janvier 2019, la coopérative ouvre ses portes et fait le pari de réunir 200 coopérateurs dici la fin de lannée. Les 6 000 de frais sont couverts par une adhésion de 30 . Fin 2019, le Peuplié regroupe 185 coopérateurs, propose près de 900 références, et son bilan comptable est positif.
Crise sanitaire : Quels outils pour accueillir du public sur sa ferme ?
Anaïs GUYOT-MONTET, AuteurEn Bretagne, de plus en plus de fermes adhérentes au réseau GAB organisent des évènements ponctuels : fermes ouvertes, concerts, animations Accueillir du public sur sa ferme implique néanmoins quelques démarches administratives et de la logistique, notamment en temps de crise sanitaire. Ce type dévènement (gratuit ou payant) nest pas soumis à la réglementation sur laccueil du public (communément appelée ERP). En période de Covid-19, lorganisation dévènements en plein air reste possible tant que la commune ou le territoire ninterdit pas les rassemblements. Il faut toutefois respecter la réglementation : distanciation sociale, masque, gel hydroalcoolique, etc. Les sites internet des préfectures aident à connaître les jauges possibles, les documents à afficher, ainsi que les autres règles plus locales. Concernant la sensibilisation à la bio sur de tels évènements, les GAB et les MAB (Maisons de l'Agriculture Bio) Bretagne peuvent fournir gratuitement un ensemble doutils et de supports destinés au grand public. La MAB 22 organise également une formation intitulée « Accueillir et sensibiliser à lagriculture bio sur sa ferme ». Cette formation a dailleurs été jugée très utile, même par les fermes qui avaient lhabitude dorganiser des évènements.
Dossier : Zoom sur les ruralités dans lépidémie de Covid-19
Jade LEMAIRE, Auteur ; Fabrice BUGNOT, Auteur ; Jean-Sébastien PIEL, Auteur ; ET AL., AuteurLépidémie de Covid-19 a entraîné de nombreux changements dans notre société. Ce dossier sintéresse plus particulièrement aux changements engendrés dans les territoires ruraux. Il donne la parole à différents acteurs (agriculteurs, habitants, responsables associatifs ) afin quils partagent des initiatives ou des réflexions soulevées par cette crise, notamment sur lapprovisionnement local et la souveraineté alimentaire. Certaines incohérences de notre système alimentaire ont en effet été mises en évidence durant le printemps 2020 : alors que les filières étaient désorganisées et que certaines dentre elles étaient en surproduction, la pauvreté et les distributions sociales de produits alimentaires ont augmenté en France. Une tribune, publiée le 12 mai par un collectif dassociations et de syndicats (dont la Confédération paysanne, le Réseau Civam ), questionnait la souveraineté alimentaire et démontrait limportance du rôle des paysans dans celle-ci. Pour les Civam, cette épidémie a en effet mis en avant la nécessité de mettre en place des systèmes de production autonomes et économes. Elle a aussi souligné limportance des collectifs dagriculteurs. Par ailleurs, pour faire face à la fermeture des marchés et autres débouchés, des agriculteurs se sont mobilisés pour pouvoir continuer à vendre en circuits courts. Les AMAP ont été très résilientes grâce à la pertinence de leur modèle basé sur la solidarité entre les producteurs et les consommateurs. Plusieurs autres initiatives en lien avec les circuits courts sont décrites : vente à la ferme, épicerie paysanne, groupement dachat de produits locaux, possibilité doffrir des paniers de produits locaux à des personnes dans le besoin, plantation de pommes de terre et de courges dans des tiers-lieux pour éviter les fins de mois difficiles Dautres initiatives et réflexions, moins en lien avec le secteur agricole, sont également abordées dans ce dossier.
Innovation dans les circuits courts et la vente directe
BIO-LINEAIRES, AuteurUne étude, réalisée par Ecozept dans le cadre du projet INNOdirekt, a porté sur les différentes formes de commercialisation directe des produits agricoles, en se penchant plus particulièrement sur 10 projets phares de vente directe (bio et conventionnelle) en Allemagne, en France et en Autriche : drives fermiers, AMAP, magasins de producteurs, initiatives de type "La Ruche qui dit oui", etc. Si les démarches collectives sont plus fréquentes en France quen Allemagne, en revanche, les petits magasins qui deviennent de véritables magasins spécialisés bio sont plus présents en Allemagne. Létude a aussi permis d'identifier les motivations des consommateurs, au premier rang desquelles les valeurs écologiques et éthiques, le goût et la fraîcheur des produits, la transparence sur leur origine, etc.
L'interview du mois : Michel Reynaud : Recréer des liens entre citoyens et agriculteurs
Cécile PRALY, AuteurMichel Reynaud est cofondateur et vice-président dEcocert. Interviewé, il donne son analyse vis-à-vis de la crise agricole française actuelle, quil associe notamment à un problème de liens à recréer entre les citoyens et les agriculteurs. Pour en sortir, Michel Reynaud définit un ensemble de leviers possibles, allant de la définition dobjectifs ambitieux pour répondre aux enjeux contemporains, avec un fort engagement des opérateurs privés et des filières à la reconnaissance politique de lacte dachat du consommateur, en passant par un partage des coûts liés au changement de système. Michel Reynaud insiste sur les labels de commerce équitable, qui proposent déjà une méthode permettant de réunir les parties prenantes et de fixer des prix justes.
Le marché associatif bio entre dans la cour des grands
Sylvie COLAS, Auteur ; Benoît DUCASSE, AuteurUne nouvelle halle a été construite à Billère (banlieue de Pau) pour accueillir un marché bio. Ce bâtiment résulte dune démarche citoyenne cohérente : bois des forêts du Béarn et artisans locaux (scierie, charpentier et architecte). Il est aussi multi-usage : quand il ny a pas de marché (qui est organisé deux fois par semaine), cette halle sert de site de distribution à une Amap et dhébergement pour les activités associatives de la commune. Le maire de Billère, Jean-Yves Lalanne, est dailleurs très fier de cette synergie qui permet d'enrichir le patrimoine de la ville. Une association, ouverte à lensemble de la société et déjà existante, gère ce marché. Elle regroupe actuellement 200 membres, dont 40 paysans et artisans. Un conseil dadministration et une coprésidence, mixtes et paritaires, garantissent lexpression et le partage. Ce système favorise aussi lémergence de solidarités : un chantier solidaire a, par exemple, été organisé lorsquune tempête a détruit les tunnels dun maraîcher. Il permet également dorganiser des actions déducation populaire et culturelles.
Passer à laction : Les Tiers-Lieux Nourriciers engagés pour la transition agroécologique et alimentaire
Yuna CHIFFOLEAU, Auteur ; Julie DECHANCE, Auteur ; Juliette PERES, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 07 (147 Rue de l'Université, 75 338, FRANCE) : INRAE (Institut National de Recherche pour l'Agriculture, l'Alimentation et l'Environnement) | 2020Comment repenser nos systèmes alimentaires, mobiliser les citoyens dans les transitions agroécologiques, créer des ponts entre les consommateurs et les producteurs, initier des partenariats entre acteurs de la recherche, associations de territoire et institutions ? Les tiers-lieux nourriciers, jusqualors peu connus, peuvent apporter des solutions à ces différentes questions. Cest le sujet de cet ouvrage qui est le fruit dune exploration menée entre 2019 et 2020 par FABLIM, INRAE Montpellier UMR Innovation et InCitu, en partenariat avec la Chaire AgroSYS Institut Agro et la DRAAF Occitanie. L'ouvrage sappuie sur un recensement de 125 tiers-lieux nourriciers en France et une vingtaine dentretiens auprès de fondateurs, de gestionnaires et d'usagers de ces lieux. Il a été pensé comme un outil au service des porteurs de projets de tiers-lieux nourriciers. Il compile six fiches défis permettant de sinscrire, étape par étape, dans un processus de transition : 1 - Sensibiliser et autonomiser les usagers autour de la transition agroécologique du territoire ; 2 - Participer à linstallation dagriculteurs hors cadre familial ; 3 - Changer le système agricole local ; 4 - Changer les pratiques alimentaires ; 5 - Faire vivre une communauté apprenante ; 6 - Agir pour la résilience alimentaire de son territoire.
Programme national pour l'alimentation : Présentation des projets lauréats 2014-2018
MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE ET DE L'ALIMENTATION, Auteur | PARIS 07 SP (Direction générale de la performance économique et environnementale des entreprises - Service Gouvernance et gestion de la PAC - Sous-direction Gestion des aides de la PAC, Bureau Aides aux zones défavorisées et à l'agro-environnement - 3 Rue Barbet de Jouy, 75 349, FRANCE) : MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE ET DE L'ALIMENTATION | 2020Le Programme national pour le développement agricole et rural est un programme du ministère en charge de lAgriculture ayant pour but principal de préparer l'avenir de l'agriculture française. Depuis 2014, un appel à projets national est lancé chaque année, à linitiative du ministère de lAgriculture et de lAlimentation, afin de développer des projets fédérateurs, démultipliables ou exemplaires sinscrivant dans les objectifs du PNA (Programme national pour l'Alimentation) : justice sociale ; éducation alimentaire de la jeunesse ; lutte contre le gaspillage alimentaire ; ancrage territorial et mise en valeur du patrimoine alimentaire. Une catégorie spécifique aux projets alimentaires territoriaux (PAT) a été créée, à partir de lédition 2016, pour soutenir et accompagner des PAT émergents. Ce document présente les 120 projets lauréats lors des quatre premières éditions de lappel à projets (2014-2018). Chaque projet fait lobjet dune fiche didentité (région dorigine, porteur de projet, partenaires, coût global, financement ), qui présente le contexte, les objectifs et les actions menées.
Regards croisés sur la biodiversité, avec les visites "Diagnostic Partagé Biodiversité" en Pays de la Loire
Aurélie RINGARD, Auteur ; Christian BASTARD, Auteur ; Valérie CHAILLOU-FÉVRIER, AuteurBiolait, en lien avec sa démarche qualité, et la LPO (Ligue de protection des oiseaux) Pays de la Loire, dans le cadre de son programme « Paysans de nature », ont signé, fin 2019, un partenariat afin de collaborer autour de la question des pratiques agricoles et de la biodiversité. En 2020 et 2021, ce partenariat conduit à la réalisation de visites « Diagnostic Partagé Biodiversité » sur 30 fermes Biolait, en Pays de Loire. Ce sont des visites collectives, animées par un naturaliste de la LPO, en présence de léleveur Biolait mais aussi dun consommateur. Dans cet article, deux producteurs de Loire-Atlantique et une productrice de la Vienne reviennent sur leur expérience de ce « Diagnostic Partagé Biodiversité », et sur ce que cela leur a apporté : une mise en avant de leurs pratiques en faveur de la biodiversité, mais aussi des pistes pour les améliorer, ou encore, une opportunité pour senrichir, toucher et échanger avec dautres acteurs de la société civile. Cette collaboration avec la LPO en Pays de la Loire est un test qui permettra de développer de nouvelles méthodes daccompagnement pour Biolait, avec le but de les étendre au niveau national.
Utiliser les circuits courts : Organisation et mode d'emploi ; Avantages et inconvénients ; Adresses et liens utiles ; Témoignages et cas pratiques
Ce guide pratique est destiné aux producteurs qui souhaitent se lancer dans la vente de leurs produits alimentaires par le biais des circuits courts ou d'en étendre la pratique via de nouvelles formes. Chaque modèle de circuit court a été étudié : fonctionnement, statut juridique, avantages et inconvénients, étapes pour vendre par le biais de ce circuit court... L'ensemble des possibilités de vente directe et les principaux circuits courts sont présentés : boutiques à la ferme, magasins de producteurs, distributeurs automatiques, marchés alimentaires, salons et foires, AMAP, paniers, cueillette, coopératives alimentaires, Jardins de Cocagne, boutiques et épiceries en direct des producteurs, boutiques des lycées agricoles, artisanat monastique, plateformes internet (« La Ruche qui dit oui ! »), drives... Des témoignages de producteurs et de consommateurs illustrent l'intérêt ou le fonctionnement de ces différents circuits-courts.
Amap, du lien dans les paniers
Elsa JIROU, Auteur ; Thibault DUPONT, AuteurElsa Jirou et Thibault Dupont ont quitté Paris et le journalisme pour créer une microferme en maraîchage biologique dans l'Eure. Dans cet article, ils racontent comment ils ont aussi créé l'Amap Les Gobettes, grâce à laquelle ils commercialisent leurs productions. Expliquer les principes clés du fonctionnement d'une Amap, sensibiliser, rassurer... la confiance et le soutien des adhérents ont beaucoup compté dans l'aventure. Après une première année d'existence, les retours des adhérents sont positifs. Elsa et Thibault sont également fiers d'avoir créé, grâce à cette Amap, une émulation dans le village autour de leurs légumes.
Circuits courts : Quand la conversion redéfinit la commercialisation
Agathe PERRIN, AuteurDans cet article, les liens entre mode de commercialisation des produits d'une exploitation, plus particulièrement en circuits courts, et conversion en bio sont explorés, au travers des stratégies de commercialisation de 5 fermes : le GAEC Les Quatre Chemins, à Mellé (35), qui transforme et commercialise des fromages (depuis 20 ans) et des glaces ; la ferme Ty Lipous, à Moustéru (22), qui transforme et commercialise des produits laitiers depuis 2017 ; la ferme de Kermoel, à Plouguernevel (22), passée en bio il y a 10 ans après 13 ans de transformation et de commercialisation sur les marchés ; l'EARL Darley, à Ruca (22), qui a entamé sa conversion en 2016 après presque 30 ans de production et de commercialisation de ses fromages ; la Ferme du Champ des Vents, à Argentré du Plessis (35), en arboriculture et grandes cultures, qui s'est engagée en bio en 2016 au moment de sa transmission, du fait de la volonté des repreneurs... Chaque ferme a connu des situations différentes et les agriculteurs expliquent, parfois avec beaucoup de recul et d'expérience, comment le passage en bio, mais aussi la façon de communiquer auprès de la clientèle, ont impacté les ventes des produits en circuits courts et comment cette conversion a été accueillie par les clients.
Dossier : Le Made in local
Laura DUPONCHEL, Auteur ; Sauveur FERNANDEZ, AuteurCe dossier analyse l'essor de la demande en produits locaux de la part des consommateurs et se penche sur la façon dont les professionnels s'organisent, dans les territoires, pour y répondre. De nombreux exemples d'initiatives illustrent le rôle des différents acteurs dans le développement du local. Leurs relations, leurs valeurs et leurs projets annoncent, peut-être, un système économique et sociétal d'avenir : - La relocalisation gagne du terrain ; - Logistique : le défi de la mutualisation ; - L'attrait du "fait près de chez moi" ; - Le rôle à jouer des magasins spécialisés ; - Les attentes des magasins bio de l'offre régionale ; - Des marques pour allier bio et local ; - Consommation locale et société ; - Enquête Biopanel : Le local a toujours le moral.
Faire le choix des circuits courts alimentaires
Pourquoi et comment s'approvisionner en circuits courts et soutenir une agriculture paysanne respectueuse de l'environnement et des hommes ? C'est la question à laquelle répond cette vidéo qui présente différents modèles de circuits courts. Les AMAP consistent en un contrat d'engagement réciproque entre un agriculteur et des consommateurs qui s'engagent à venir chercher, chaque semaine, un panier de légumes à un prix fixé à l'avance, par accord mutuel. D'autres modèles, comme les groupements d'achat et les boutiques de producteurs en ligne, sont présentés. Dans tous les cas, l'impact environnemental et la rémunération des agriculteurs sont les enjeux centraux qui guident le développement des circuits courts. Les avantages communs à ces différents exemples sont : un prix stable et juste pour les producteurs, des produits locaux, frais et de saison à un prix abordable pour les consommateurs. Un modèle gagnant-gagnant dans lequel, en plus de l'achat, existent du lien social et du partage de moments conviviaux.