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2050 : Sauve qui peut la Terre !
Dans la lignée du film d'Al Gore, "Une vérité qui dérange", Michel Tarrier revient sur les raisons qui expliquent le saccage et l'épuisement des ressources perpétrés par l'activité humaine. Il décrit avec précision les conséquences du mode de vie de l'homme sur le climat à l'horizon 2050 et met l'accent sur la désertification programmée de la planète. Michel Tarrier explique que si la tendance actuelle n'est pas inversée, un monde littéralement invivable sera légué aux générations futures. Cet ouvrage fait donc le point sur les risques qu'encourt le globe et impose la réflexion, à une époque où l'écologie apparaît comme l'une des préoccupations majeures des Français.
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Agriculture and Nature
Lors des 400 années de développement des sciences et de la technologie et en particulier de leur application en agriculture, on a assisté à une séparation progressive des notions "d'agriculture" et de "nature". La première est considérée comme la partie aménagée de l'environnement, la seconde étant la partie non-aménagée. Mais de cette séparation découlent de nombreux problèmes : de la compréhension et du développement des systèmes agricoles aux questions philosophiques de la relation de l'homme avec la nature.
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Agriculture et biodiversité : Comment améliorer la biodiversité sur votre exploitation ? : Guide technique et recueil d'expériences
Ce dossier s'inscrit dans le programme expérimental "Agriculture & Biodiversité : Comment les agriculteurs peuvent-ils améliorer la biodiversité sur leur exploitation ?", initié par la LPO (Ligue pour la protection des oiseaux), en 2004, qui s'est associée avec les réseaux d'agriculteurs de : l'agriculture raisonnée avec le Forum de l'agriculture raisonnée respectueuse de l'environnement (FARRE), l'agriculture biologique avec la Fédération nationale d'agriculture biologique (FNAB), l'agriculture durable avec la Fédération nationale des centres d'initiatives pour valoriser l'agriculture en milieu rural (FNCIVAM). Le programme, engagé sur cinq ans (2004-2009), vise à améliorer la biodiversité sur environ 130 exploitations, réparties sur 18 départements. L'objectif est autant l'adaptation de bonnes pratiques que leur diffusion à large échelle. Le dossier comporte un livret de témoignages (Marc Caillé, agriculteur à Haims, dans la Vienne ; Gaby Gely, agriculteur retraité à Saint-André-de-Vézines, en Aveyron ; Catherine Godin, agricultrice à Avenay-Val-d'Or, dans la Marne, dont l'exploitation d'environ 270 ha est consacrée, pour l'essentiel, à la polyculture et sur laquelle l'agriculture biologique couvre environ 60 ha) ; Bernard Mallent, viticulteur à Saint-Laurent de la Cabrerisse, dans l'Aude ; Isabelle Néron et Laurent Fraisse, agriculteurs à Voingt, dans le Puy-de-Dôme, dont l'exploitation est orientée vers la production laitière en bio et sur laquelle l'essentiel de leurs 90 ha de SAU est constitué de prairies) ; Sophie et Jean-Paul Pichaud, agriculteurs à Saint Clément de la Place, dans le Maine-et-Loire). Le dossier comprend également 14 fiches : - Où se trouve la biodiversité sur une exploitation ? (4 p.) ; - Le plan de gestion (2 p.) ; - Le diagnostic des éléments naturels et paysagers (5 p.) ; - Le suivi des peuplements d'oiseaux (4 p.) ; - Les grandes cultures (6 p.) ; - Les bandes enherbées (4 p.) ; - Les jachères (5 p.) ; - Les vignes et vergers (5 p.) ; - Les prairies fauchées et pâturées (6 p.) ; - Les pelouses sèches calcicoles (6 p.) ; - Les haies (6 p.) ; - Les fossés et cours d'eau (4 p.) ; - Les mares (5 p.) ; - Le patrimoine bâti (5 p.).
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L'agriculture biologique, facteur de survie
Plaidoyer pour des pratiques plus respectueuses de la nature, des animaux et des écosystèmes.
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Agriculture naturelle : Répondre aux nouveaux défis
Nourrir une population plus nombreuse, consommer moins d'énergie fossile, ne plus polluer : voilà le triple défi, apparemment insurmontable, auquel est confrontée l'agriculture mondiale... L'auteur propose de s'inspirer d'une observation attentive de la nature qui "sait" depuis bien longtemps "produire" de manière parfaitement durable. Son raisonnement original et novateur, audacieux et parfois décapant, s'appuie à la fois sur une sensibilité à la nature, un humanisme constant, l'alliance trop rare entre expérience paysanne et connaissance scientifique rigoureuse. Dans cet ouvrage, il donne d'abord sa vision de la "responsabilité" de l'agriculteur, puis résume les principes agronomiques de base auxquels il est attaché et les techniques culturales qui en découlent. Après s'être attardé sur la culture du blé et celle des plantes énergétiques, il n'oublie pas le petit domaine de l'amateur. Il poursuit par une étude sans concessions sur la capacité nourricière, à l'échelle nationale, puis planétaire, des techniques qu'il préconise. Il termine par une réflexion sur les modes de vie actuels et leurs implications sur la nature et l'agriculture. Ce livre est un véritable traité universel et intemporel d'agriculture "naturelle". Il s'adresse au professionnel comme au non spécialiste.
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Agricultures, territoires et société
Jean-François LE CLANCHE, Auteur ; Jean-Claude GUILLONNEAU, Auteur ; Armelle LAINE-PENEL, Auteur ; ET AL., Auteur | DIJON CEDEX (26 Boulevard Docteur Petitjean, BP 87999, 21 079, FRANCE) : EDUCAGRI ÉDITIONS | CIBLE | 2010
Pour le siècle à venir, les nouveaux enjeux de l'agriculture seront de mettre en place des liens nouveaux entre l'exploitation et le territoire naturel et humain, entre l'exploitant et les acteurs locaux, afin de s'insérer dans les dynamiques de développement local. Cet ouvrage d'autoformation accompagne l'apprenant pour qu'il s'approprie ces nouveaux enjeux : la première partie analyse les liens entre agriculture et société ; la seconde partie, construite autour d'une situation fictive - celle d'une jeune agricultrice qui souhaite s'installer sur une ferme du pays de Fouesnant -, traite de la prise en compte des dynamiques sociales et professionnelles des territoires. L'objectif est de donner des outils, des méthodes et des repères afin que l'apprenant puisse penser son projet d'installation en fonction des enjeux locaux existants, tout en réfléchissant au système d'exploitation qu'il compte mettre en place.
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Anne Ribes, jardinière aux petits soins
Frédérique BASSET, AuteurAnne Ribes a créé l'association Belles Plantes, en 1997, afin de proposer des activités de jardinage en milieu hospitalier et au sein de maisons de retraite. Son expérience est relatée : se soigner en soignant les plantes, transmettre le goût de la nature, faire du jardin un lieu intergénérationnel, y créer un atelier (notamment avec de jeunes autistes). Des encarts sont réservés à la façon de créer un potager-fleur, aux lieux d'implantation d'ateliers potagers fleurs d'Anne Ribes.
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Antimanuel d'écologie
Yves Cochet a été ministre de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement dans le gouvernement de Lionel Jospin. Docteur en mathématiques et militant écologiste depuis trente ans, il est aujourd'hui député vert de Paris. Face aux problématiques environnementales actuelles (Le dérèglement climatique est-il inéluctable ? Quelle est la responsabilité de l'être humain dans la disparition des espèces ? Doit-on craindre la raréfaction du pétrole et des matières premières ? Quelles conséquences aurait la relance du nucléaire dans le monde ?), Yves Cochet dresse un portrait inquiet de la planète. Précurseur dans la pensée écologiste, il défend la notion de "décroissance". Pour lui, le XXIème siècle sera écologique ou ne sera pas. L'ouvrage se penche sur les nouveaux enjeux environnementaux (ressources terrestres, agriculture productiviste et agriculture biologique, pêche, transport...) ; le rôle de l'homme (résolutions politiques, positionnement des décideurs, productivisme...) ; la portée de l'action politique (économie politique, démographie, nouvelle économie, décroissance...) et s'ouvre sur les perspectives du monde, à l'horizon 2022.
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L'avenir est à la campagne : Solidarité. Proximité. Autosuffisance. Alternative
Face aux complexités du monde contemporain, l'idée d'une autre vie s'impose à l'homme. Il a besoin de tranquillité, d'équilibre, de dépouillement et de vivre en autonomie. La campagne, parce qu'elle contient en germe les expériences humaines passées - solidarité, débrouille, prévoyance, patrimoine -, parce qu'elle est un laboratoire - greffe de population et de culture -, parce qu'elle est le refuge de l'ultime naturel, autorise l'utopie. Face à la mondialisation, à l'explosion du prix de l'énergie, aux grands risques géopolitiques, pour l'auteur, la réponse économique est bien dans la relocalisation des échanges, dans la redécouverte des circuits courts, dans le terroir renouvelé. Le paysan, homme du pays, pluriactif, "polyculteur", a vocation à exister de nouveau pour nourrir les hommes. Par ailleurs, le rêve du petit domaine, partagé par tant d'individus et de communautés, n'est-il pas en train de reprendre corps ? Il autorise un modèle alternatif, l'autonomie, voire l'autosubsistance en cas de crise aiguë.
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Bel & bio : Nature et chimie douce
Le « bio » est à l'ordre du jour. La prise de conscience récente d'une possible catastrophe écologique planétaire incite à réviser ses modes de vie et de consommation. Ce retour au naturel peut s'appuyer sur les connaissances scientifiques les plus récentes. Car, depuis un demi-siècle, les chercheurs en sciences de la nature expérimentent eux-mêmes et proposent des alternatives réalistes. L'étude de la chimie permet de comprendre et de justifier le succès de certaines méthodes ancestrales, de les améliorer et d'en inventer de meilleures, tout en observant un cahier des charges exigeant et respectueux de l'environnement. Ce livre est un outil pour donner au citoyen le moyen de réfléchir et d'interpeller les experts et les décideurs... L'ouvrage est composé comme suit : - La vie en germe (suivie de l'aventure végétale avec le regard du chimiste) ; - Nourrir la terre (éclairage sur la relation entre la plante et le sol) ; - Le pommier, le chat et le népéta (enquête biochimique qui conduit sur les traces des pesticides naturels) ; - Inspiration nature (molécules naturelles, chimie fine, fibres : lin, chanvre et bambou, chimie verte) ; - Nous n'irons plus au puits (traitement de la pollution des sols et des eaux avec des méthodes bio, chimiques et douces) ; - Bel et bio (réflexion sur les raisons qui poussent consommateurs et agriculteurs à faire le choix du bio).
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Biodiversité : Entre nature et culture
Le discours sur la biodiversité révèle les contradictions du modèle de développement dit durable dans le cadre d'une économie libérale. Après un rappel critique de généralités sur les discours, les structures et les politiques de gestion de la biodiversité, l'auteure développe deux exemples très différents et significatifs : l'histoire du castor européen et celle de la carpe et de la tanche. Ces exemples montrent ce qu'il convient de faire pour commencer à comprendre des situations écologiques complexes avant de prendre des décisions dont les conséquences sont souvent difficiles à évaluer avec certitude. La conception d'espèces autochtones et allochtones, sauvages et domestiques, utiles et nuisibles, et la place de l'homme par rapport au reste du monde vivant sont déterminées par des configurations sociales et identitaires de l'homme. Cela implique des attitudes écologiques qui ne sont pas forcément en adéquation avec l'évolution du vivant. Bien que les changements affectant le paysage animal soient devenus une préoccupation majeure des pays occidentaux, la situation n'est pas simple à envisager. Cet ouvrage remet en question notre regard sur la biodiversité
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La biodiversité au quotidien : Le développement durable à l'épreuve des faits
La biodiversité, cotoyée en permanence dans la vie quotidienne, est un sujet pour le moins d'actualité. Le discours trop souvent entendu est sans nuances : la biodiversité est bonne a priori, et sa conservation est indispensable à l'avenir de l'humanité. L'homme, que certains assimilent à une espèce invasive et nuisible, est accusé d'être le principal responsable de la destruction de la nature. Il faut donc tout mettre en oeuvre pour préserver cet héritage biologique. Mais la réalité est bien plus complexe que ce discours quelque peu réducteur. Tous les hommes perçoivent-ils la nature de la même manière ? Toute la biodiversité est-elle nécessaire au fonctionnement de la biosphère ? Est-elle immuable ou le produit du changement ? L'homme n'est-il pas, lui aussi, créateur de biodiversité ? Souhaite-t-il réellement protéger toute la diversité des espèces ? Comment, et à quel prix ? Et d'ailleurs, quelle nature veut-il ? Est-il capable de répondre à la question ? A partir du constat de situations réellement inquiétantes, conséquences de la pauvreté des pays du Sud et de la course au profit des pays du Nord, l'auteur, directeur de recherche émérite à l'IRD (Institut de Recherche pour le Développement) et spécialiste des écosystèmes aquatiques, tord le cou à certaines idées reçues. En s'appuyant sur de nombreux exemples, il explore des pistes pour un avenir dans lequel l'homme a toute sa place au sein de la nature.
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Biodynamie
L'objectif de la biodynamie est de redonner de la vitalité au sol et à la plante à l'aide de préparations biodynamiques pour leur permettre de s'exprimer pleinement. Plusieurs articles composent le dossier : - Recherche : pour être certain de ne pas trouver (bien que les effets de la biodynamie soient constatés par les agriculteurs ou les viticulteurs, personne ne semble vouloir les mesurer de façon scientifique) ; - Présentation : vitalité au sol et aux plantes (l'objectif de la biodynamie est de proscrire les produits chimiques et de travailler sur les énergies) ; - La biodynamie en pratique : "la seule limite, c'est d'y croire !" (les produits issus de la biodynamie sont remarquables par leur qualité et cette pratique de l'agriculture respecte le vivant, préserve les ressources naturelles) ; - Jardiniers de France : la biodynamie au potager (elle est utilisée aussi à petite échelle, par les jardiniers).
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Des céréales bio dans la montagne
Marc TOURRETTE, AuteurLe projet Céréalpage, porté par l'association des bergers franco-suisse, a pour objectif de relancer la culture de céréales biologiques dans la montagne jurassienne, entre 840 et 1 150 m d'altitude. Les agriculteurs engagés dans le projet sont confrontés à la façon de préparer la terre, au choix des variétés, aux dates de semis A la ferme de la Batailleuse, à Rochejean (Doubs), Ludovic Orain veut gagner de l'autonomie dans l'alimentation de son bétail (vaches laitières et chèvres dont la ration sera complétée avec de l'orge issue de l'agriculture biologique), et envisage de semer un hectare de céréales fourragères, puis dans une seconde phase, des céréales panifiables. Norbert Bournez, qui possède l'alpage de la Petite Echelle sur les flancs du Mont d'Or, élève des génisses montbéliardes et propose notamment de la restauration. Son idée est d'augmenter la diversité du travail et de créer un emploi saisonnier. Il souhaite cultiver des céréales pour l'alimentation humaine. La ferme du Montrinsans, de Gérard Vionnet, bénéficie d'une gestion écologique avec des suivis de la flore et de la faune. Bien que la Politique agricole commune (Pac) impose certaines règles comme le ratio national de prairies permanentes, le collectif d'agriculteurs a entamé plusieurs démarches pour obtenir des dérogations à cette réglementation. Au printemps, la ferme de Montrinsans doit ensemencer un hectare de céréales fourragères.
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Claude Chautard : "S'impliquer dans les réseaux, pour bien produire"
Claude Chautard, passionné par les plantes et intéressé tôt par la distillation, a commencé son activité en 1998 et s'est installé à son compte, en 2000. Il est implanté à Gras (07). Il commence par cultiver du lavandin, puis il élargit la gamme petit à petit avec la récolte de plantes sauvages de garrigue. Dès le début, la vente directe fait entièrement partie de son projet. Il a toujours travaillé selon la méthode bio et se certifie en 2005, notamment pour développer la gamme de cosmétiques bio. Avec son activité, Claude Chautard a un rôle d'observateur de la nature, notamment sur la zone Natura 2000 de la dent de la Resse. Il est impliqué dans le réseau CIVAM (Centre d'initiatives pour valoriser l'agriculture en milieu rural), et dans l'opération "de ferme en ferme" depuis le début de son activité. La surface cultivée ne représente que 2,5 ha, dont 2 ha de lavandin et quelques ares de romarin officinal. La récolte sauvage se fait sur les parcours, landes et bois qui appartiennent à divers propriétaires à qui Claude demande une autorisation de récolte. Il récolte aussi du thym pour satisfaire la demande des clients. La récolte de la fleur se fait au moment optimal d'émission de l'huile, après pollinisation et avant formation de la graine (de ce moment de récolte dépend la survie de la plante et de l'insecte). Les fleurs récoltées sont séchées à l'air libre, puis le végétal est distillé. La vente en direct (fermes, marchés, salons) représente la majeure partie du temps de travail de l'agriculteur.