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Perspectives à l'export pour les produits biologiques français : Synthèse : Allemagne, Italie, Pologne, Royaume-Uni, Pays Nordiques
Ce document fait la synthèse d'une série d'études réalisées, en 2021, par Business France, en partenariat avec le ministère en charge de l'Agriculture, sur différents marchés européens porteurs pour les produits biologiques. L'objectif de ces études était de donner, aux entreprises françaises, les clés de compréhension, ainsi que des propositions concrètes, pour exporter leurs produits sur les marchés allemand, danois, finlandais, italien, norvégien, polonais, suédois et britannique. Ce document aborde les thématiques suivantes : 1) Évolution du marché des produits biologiques ; 2 - Impact du Covid-19 sur la consommation de produits biologiques ; 3) Spécificités des marchés européens matures ; 4 - Circuits de distribution des produits biologiques ; 5) Principaux importateurs/distributeurs de produits biologiques ; 6) Concurrents de l'offre française ; 7) Opportunités pour les produits bio français ; 8) Recommandations.
8e Salon Tech&Bio : Le plein en références techniques et économiques ; Pôle Élevage : Des repères dans toutes les filières ; Création de filières agroalimentaires : « Un long fleuve pas si tranquille »
Christine RIVRY-FOURNIER, Auteur ; Frédéric RIPOCHE, Auteur ; Jean-Martial POUPEAU, AuteurCes trois articles effectuent un retour sur la 8ème édition du salon Tech&Bio, qui sest tenue du 21 au 23 septembre 2021, sur le Lycée agricole du Valentin, à Bourg-lès-Valence (Drôme). Cette édition a regroupé 18 000 visiteurs. Le premier article revient sur ce rendez-vous incontournable qui permet de faire le plein en références techniques et économiques, et de voir les dernières innovations. Au total, 375 exposants de lamont et de laval étaient présents, une centaine de démonstrations de matériels innovants ont été organisées, ainsi que de nombreuses conférences, dont certaines ont été prises dassaut. Le fil vert de cette édition a été le Village du Biocontrôle (nouveauté 2021), qui a réuni plus de 16 entreprises. Le second article est consacré au Pôle Élevage. Divers ateliers et conférences ont abordé les principales préoccupations des éleveurs bio. Cet article revient plus précisément sur les conférences consacrées à lautonomie alimentaire des élevages bio, lactualisation des références en ovins lait bio, ladéquation entre loffre et la demande pour la filière ovins viande bio (projet Casdar ReVABio), ainsi qu'au nouveau bâtiment délevage de la ferme du Lycée agricole du Valentin, qui illustre comment réduire les conséquences des évolutions climatiques sur un troupeau laitier. Pour finir, le dernier article regroupe les témoignages de trois opérateurs qui ont participé à la création de filières agroalimentaires bio issues en grandes cultures : la coopérative agricole Duransia (filière légumes secs), le transformateur Ekibio (filière blé dur) et le distributeur Carrefour (filières blé dur et blé tendre).
En direct de l'Inao : Distribution des produits bio : les obligations
Serge JACQUET, AuteurTout comme pour les producteurs et les transformateurs, les distributeurs de produits biologiques sont soumis à des règles de contrôle et de certification. Des dispenses existent toutefois pour les distributeurs revendant directement des produits à l'utilisateur final, agriculteur ou consommateur. Ces dispenses sont variables selon qu'il s'agisse de produits préemballés (dispense de contrôle et de notification), ou de produits en vrac (dispense de contrôle si le montant annuel d'achat est inférieur à 10 000 euros HT). Il n'existe pas de dispense pour les produits ayant subi une activité de préparation, y compris un ré-étiquetage ou un reconditionnement. Les règles en vigueur à ce jour vont évoluer à partir du 1er janvier 2022 avec l'entrée en application du nouveau règlement bio (UE) n° 2018/848.
Le guide de la distribution de produits bio en Nouvelle-Aquitaine & en Occitanie
INTERBIO Nouvelle-Aquitaine et INTERBIO Occitanie se sont associés pour publier ce guide destiné aux entreprises de transformation, aux coopératives et aux producteurs bio de leurs deux régions. Bien plus quune simple présentation des principaux distributeurs implantés en Occitanie et en Nouvelle-Aquitaine, ce guide précise également les méthodes de référencement de chacun, afin de faciliter les partenariats commerciaux entre les acteurs de la filière bio. Cette première édition recense les réseaux bio spécialisés, les grossistes bio régionaux, les distributeurs de la GMS généralistes, ainsi que les acteurs du e-commerce. Chaque fiche présente les informations suivantes de manière synthétique : - La présentation du réseau, de lentreprise et de ses spécificités ; - La qualification de loffre ; - Lorganisation logistique du réseau ; - Le référencement : parcours de référencement, cahier des charges ... ; - Les contacts. Ce guide comprend aussi des informations sur le panorama de la distribution des produits bio en France et les tendances de marché, ainsi quune fiche thématique sur le vrac.
La bio équitable au salon Natexpo : Biopartenaire prend ses marques
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLes labels équitables fleurissent et sont de plus en plus présents sur les produits bio. Parmi ces labels, Biopartenaire est lun des seuls à conjuguer commerce équitable et bio dans un seul et même concept. Il affiche un chiffre daffaires de plus de 75 millions deuros et a connu une croissance de 38 % ces cinq dernières années. Ce label intègre tous les maillons de la filière (producteurs, organismes stockeurs, grossistes, transformateurs ). Des contrôles sont ainsi réalisés par un organisme tiers à tous les niveaux. Sur les 60 filières certifiées (soit 700 références), 16 dentre elles sont des filières nord-nord (300 références), et le tiers des ventes est issu de filières françaises. La dynamique saccélère dailleurs pour les projets de filières françaises puisque de nouvelles structures sont intéressées, notamment pour relocaliser leurs productions sur leur territoire. Cest le cas de Biodéal, un transformateur laitier de lEst de la France, dont lexemple est plus amplement détaillé dans larticle. Afin dêtre plus visible sur le marché, Biopartenaire a signé, en 2019, une convention avec Synadis Bio (le syndicat des distributeurs spécialisés) : elle les engage à travailler ensemble et elle permet de développer des contrats tripartites entre producteurs, transformateurs et distributeurs spécialisés engagés.
Derniers chiffres de lAgence Bio : Toujours en croissance
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLa bio française a poursuivi son essor en 2019 : 47 196 fermes bio sont enregistrées sur notre territoire (le nombre de fermes bio a augmenté de 13 % par rapport à 2018). Tous les maillons de la filière connaissent cette croissance dynamique : + 16 % de transformateurs, + 24 % de distributeurs, + 21 % dimportateurs. En matière demplois, la bio représente 179 500 équivalents temps plein (+ 15 %). Son chiffre daffaires de 11,9 milliards deuros place la France en tête des marchés européens, aux côtés de lAllemagne. Dun point de vue production, la bio couvre 8,3 % de la SAU française, avec 566 000 hectares en conversion (dont 266 970 en C1). Les productions végétales enregistrent la plus forte progression (des données chiffrées sont apportées sur la progression des surfaces bio en fourrages, vignes, légumes frais, grandes cultures, légumes secs, vergers et PPAM). Côté élevage, la croissance des conversions reste soutenue en monogastriques (porcs, volailles de chair et poules pondeuses), mais cette dynamique est plus faible chez les ruminants (bovins, ovins et caprins).
Filières Carrefour bio : Multiplier les partenariats
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLe géant Carrefour vise un chiffre daffaires liés à la vente de produits biologiques de 5 milliards deuros en 2022 (contre 2,3 milliards en 2019). Pour atteindre cet objectif, il développe des filières et cherche à sapprovisionner le plus possible en France, notamment pour fournir la marque Carrefour bio. Sa première filière boule bio (pain bio) a été créée en 1992. Depuis, le groupe Carrefour ne cesse de multiplier les filières bio et vient dailleurs den créer six nouvelles : pâtes, flocons davoine, farine de blé, quinoa, graines de lin et graines de chia (les filières blé dur/pâtes et avoine blanche sont plus amplement détaillées). Toutes ces filières reposent sur des contrats tripartites (producteur-transformateur-distributeur). Concernant les producteurs, en 2018 et 2019, 500 nouveaux partenariats ont été signés afin daccompagner des conversions ou d'encourager des producteurs à augmenter leurs surfaces contractualisées. Carrefour accompagne ainsi plus de 2 000 producteurs bio français. Par ailleurs, concernant les entreprises, le 21 septembre 2020, à loccasion du salon Natexpo, des contrats tripartites ont été signés avec six coopératives françaises (Fermes Bio, Agribio Union, Bio Sud, Union Bio Sud Est, Coop drômoise de céréales, Cavac) et trois industriels (Alpina Savoie pour le blé dur, Celnat pour lavoine et Cavac pour le pois chiche). Un encart décrit également le rachat de la chaîne Bio cBon par Carrefour.
Indicateurs de progrès en faveur de la biodiversité pour le secteur bio
La préservation et la régénération de la biodiversité représentent un enjeu majeur pour pouvoir assurer la sécurité alimentaire mondiale. Les chiffres relatifs à lérosion de la biodiversité sont alarmants : les populations dinsectes ont, par exemple, diminué de 80% en Europe en 30 ans. Cet effondrement nous prive peu à peu de services écosystémiques (pollinisation, lutte contre les ravageurs...) et remet en cause la pérennité de nos systèmes de production. Lagriculture biologique se présente comme une base solide pour préserver la biodiversité, car elle intègre le respect du vivant dans son cahier des charges. Les différents travaux comparant leffet des pratiques bio et conventionnelles sur la biodiversité montrent que les systèmes bio présentent davantage de biodiversité, tant en matière dabondance (nombre dindividus) que de diversité (nombre despèces). Néanmoins, face à lurgence de la situation, le Synabio (Syndicat des Entreprises Bio) a jugé quil était important de continuer à faire progresser les pratiques des producteurs bio au-delà des exigences du règlement bio européen. Lobjectif de ce document est de proposer un panel dindicateurs traduisant des pratiques favorables à la biodiversité. Dans un premier temps, il présente une série dindicateurs de progrès pour les productions agricoles biologiques (ex : infrastructures agro-écologiques, taille des parcelles, rotations et diversité des assolements ). Il propose ensuite une autre série dindicateurs de progrès à destination des transformateurs et des distributeurs bio (ex : formation des équipes, cartographie des filières à risque, intégration de critères de biodiversité dans les cahiers des charges filières ). En annexe, il détaille également dautres points de vigilance à prendre en compte en bio (pesticides, autonomie protéique et irrigation).
Partenariat Fnab et Picard : Nouveau label : Bio Français Équitable est né
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurUn nouveau label, nommé « Bio Français Équitable », a vu le jour en 2020. Il est porté par la Fnab et est le fruit de trois ans de réflexions et de travail. Depuis plusieurs années, la Fnab avait la volonté de pousser lagriculture et les industries agroalimentaires à développer une bio française et équitable. Comme aucun label ne regroupait toutes les valeurs défendues par la Fnab, elle a souhaité développer son propre label. Ce dernier devait prendre en compte certains critères essentiels : certification bio, origine française des ingrédients, transformation effectuée en France, application de la loi sur léconomie sociale et solidaire de 2014, reconnexion de lalimentation avec les territoires (en privilégiant notamment la proximité). La Fnab a alors profité dune demande de Picard (qui souhaitait développer une gamme bio et locale) pour mettre en place ce label. Un premier test est en cours dans le Sud-Ouest : il porte sur la production de carottes, courgettes, haricots verts et maïs bio et surgelés pour Picard. Un contrat tripartite (producteur, transformateur-surgélateur et distributeur) dune durée de trois ans a été signé pour établir les volumes et les prix dachat (qui reposent sur les coûts de production réels de la ferme). Le témoignage dAntoine Proffit, lun des producteurs de carottes bio impliqués dans cette démarche, est retranscrit dans un encart. Un deuxième encart est réservé à une autre démarche, celle de la marque régionale équitable « Bio Sud Ouest France », qui a été créée en 2013.
La responsabilité sociétale des entreprises de F&L : Des fondements théoriques aux mesures concrètes
Catherine GLEMOT, Auteur ; Cécile BERTRAND, AuteurLe développement de démarches de Responsabilité sociétale des entreprises (RSE) est une profonde attente des consommateurs. Cet article explique les grands fondements et principes de la RSE, ainsi que son contexte réglementaire et social. Il présente un ensemble dactions concrètes rentrant dans le champ de la RSE pour les différents stades de la filière fruits et légumes : producteurs, expéditeurs, stade de gros, distribution et commerce. Les entreprises peuvent choisir daller plus loin dans la RSE et de mettre en place un label ou une certification. Pour accompagner les entreprises, le CTIFL a développé et mis à disposition un outil de comparaison de différentes grilles de diagnostic.
La carte des bonnes adresses bio dans le Puy-de-Dôme : Edition 2019
Cette brochure fournit, pour le Puy-de-Dôme, une liste de producteurs bio en vente directe de fruits et légumes ; lait et produits laitiers ; viandes, ufs et poissons ; miels et produits dérivés de la ruche ; plantes à parfum, aromatiques et médicinales ; vins... Les artisans et magasins bio sont aussi indiqués, ainsi que les Amap, les événements, les marchés...
Productions alternatives : Forte hausse de la consommation de porc bio
Emmanuelle BORDON, AuteurEn porc, le bio représente 0,5 % de la consommation totale et, pourtant, la consommation de porc bio est en forte hausse. De 2005 à 2017, le chiffre daffaires total des ventes de porcs bio est passé de 34 M à 214 M. Daprès Kantar média, 15 % des consommateurs sont engagés et en quête de sens à leurs achats. Cependant, les profils des consommateurs évoluent, la tendance est à la démocratisation, puisque 90 % des consommateurs réalisent un achat bio au moins de temps en temps. Le problème est quen viande porcine bio, la consommation se positionne à 77 % sur le jambon cuit, les lardons et les saucisses. Pour les transformateurs, léquilibre concernant la valorisation des carcasses est difficile. Francis Delanghe, directeur de labattoir Holvia Porc à Laval, plaide pour une meilleure construction des gammes. Face à cela, pour répondre à la demande, la production se développe. Le nombre délevages de porc bio a doublé entre 2006 et aujourdhui. En parallèle aux structures historiques bio, les groupements de porcs conventionnels ont créé leur secteur bio. Des partenariats groupements-transformateurs-distributeurs se sont noués (Bio-direct avec SBV et Biocoop...). Certains distributeurs, quant à eux, créent leur propre filière bio (Leclerc, Intermarché, Système U, etc.).
En route vers la conversion !
Florence BRAY, Auteur ; Camille HAREL, Auteur ; Morgan LECLERC, Auteur ; ET AL., AuteurLes chiffres (2018) sont là et montrent la dynamique du bio en France : 6 200 conversions, près de 43 000 agriculteurs, près de 8 % de la SAU, portant la France au 3ème rang mondial en Europe. La demande en produits bio continue de progresser. En GMS, la part de marché du bio a atteint 4,8 % (1,16 milliard d'euros en mars 2019). La Journée bio, organisée en avril dernier par LSA, a rassemblé plus de 150 personnes, avec des déclarations fortes des acteurs de la distribution et de l'industrie agroalimentaire présents. Dans ce contexte, la conversion des exploitations est un enjeu majeur. Ce dossier présente des actions, privées et publiques, qui visent à accompagner la dynamique du bio et à lever les freins à la conversion, ainsi que des témoignages (producteurs, entreprises, responsables politiques).
TerraSana : partager le meilleur
BIO-LINEAIRES, AuteurL'entreprise TerraSana a été créée dans les années 1980 aux Pays-Bas, par Peter Jacobs, actuel directeur général, et Kees Barnhard. D'abord centrée sur la vente de produits biologiques, l'entreprise a diversifié ses activités au fil du temps. Aujourd'hui importateurs, conditionneurs et transformateurs, les responsables ont toujours le même credo depuis plus de 30 ans : le meilleur du bio, matières premières ou produits finis, partout dans le monde. L'entreprise transforme ou conditionne 43 % de ce qu'elle vend. Les purées d'oléagineux, par exemple, qui sont un des produits phares de la marque, sont fabriquées directement chez TerraSana. Dans l'assortiment, l'on trouve aussi 90 références de produits bio japonais de grande qualité, comme le tamari (fabrication traditionnelle, avec 18 mois de fermentation de soja), le furikake (condiment à base de sésame grillé), les nouilles japonaises... ; la gamme méditerranéenne, elle, compte 70 références (pestos, gaspacho...). Certains ingrédients sont importés dans le cadre de projets équitables.
Le bio fait recette
Jean HARZIG, AuteurLe 12 novembre 2018, en région parisienne, des relevés de prix ont été effectués dans deux magasins bio. Les magasins choisis correspondent à deux enseignes émergentes dans le secteur de lalimentation bio (Bio c Bon et Naturalia). Les prix et les provenances affichés pour plusieurs fruits et légumes bio sont synthétisés dans un tableau. Quelques informations sont également apportées sur les produits disponibles, sur lagencement des rayons et sur les choix marketing de ces deux enseignes.