Thésaurus
Documents disponibles dans cette catégorie (88)


Etendre la recherche sur niveau(x) vers le bas
![]()
![]()
Agence BIO : Rapport d'activité 2021
L'Agence BIO, créée en 2001, a pour mission d'expliquer et de promouvoir l'agriculture et l'alimentation biologiques. L'Agence BIO met en place des actions d'information à destination des consommateurs. Elle collecte, analyse et partage les données sur la consommation et la production bio, soutient des projets de filières visant à structurer l'offre alimentaire bio française, accompagne l'objectif de 20 % de produits bio en restauration collective et facilite le dialogue des acteurs du secteur bio en France. Ce rapport présente les activités 2021 de l'Agence BIO.
![]()
![]()
Communiqué de presse : Observatoire des viandes bio 2021
En France, le marché des viandes bio 2021 (bovins, ovins et porcs) sinscrit dans un contexte de défis à relever. Cette année a vu une augmentation de 10 % des volumes dabattage en AB, plus marquée en porcs. Parallèlement, pour les trois filières, les cheptels se sont peu développés en 2021 et, pour les ruminants, la concurrence du conventionnel a été significative. Par ailleurs, la filière des viandes bio a continué sa croissance, mais à un rythme moindre que précédemment, avec un second semestre plus difficile. Les évolutions sont différentes selon les circuits de commercialisation : les ventes ont progressé en magasins spécialisés (+4 %), en boucherie (+7 %), en vente directe (+10 %) ou encore en restauration hors domicile (+21 %), alors que les GMS ont vu un recul de 9 % de leurs ventes de viandes bio. Ceci montre une évolution dans les habitudes dachat des consommateurs qui privilégient de plus en plus le local. Si, en ovins, ladéquation entre offre et demande sest renforcée, on note, en 2021, des problèmes importants déquilibre carcasse en bovins (difficulté à vendre les morceaux nobles) et en porcs (forte demande en certains produits comme les lardons). Face à cette situation, les opérateurs cherchent à sadapter (export, déclassement, stockage...), mais le contexte reste incertain avec la flambée du prix des aliments et des autres charges, comme lénergie, le transport, les emballages, avec la hausse exceptionnelle des prix dachat en conventionnel (gros bovins et agneaux) et avec les changements dhabitudes des consommateurs.
![]()
![]()
Dossier de presse Familles Rurales : Observatoire des prix 2021
Début 2022, pour la quinzième année consécutive, l'association Familles Rurales a publié son observatoire des prix, opérant ainsi une veille sur le coût du panier alimentaire des Français. L'étude présentée ici est issue de relevés réalisés en février, avril, juin et octobre 2021, dans 148 magasins (hypermarchés, supermarchés, enseignes à dominante marques propres et magasins spécialisés bio), et autour de trois grandes gammes de produits : les marques nationales, les premiers prix et les produits issus de l'agriculture biologique. Ce sont ainsi les prix de 97 produits de consommation courante, et référencés dans le Plan National Nutrition Santé (PNNS), qui ont été étudiés à la loupe. L'inflation a été relativement contenue en 2021 (+2 % en deux ans) à l'exception des fruits et légumes (+ 9 %). Pour autant, pour s'alimenter selon les préconisations du PNNS, une famille devait dépenser, chaque mois, en moyenne, de 450 pour un panier peu varié de produits de premiers prix à 1148 pour un panier varié de produits bio, soit entre 36 % et 93 % d'un SMIC net mensuel avant impôt. Face à ce constat, l'association réitère ses appels aux pouvoirs publics pour la mise en place de mesures facilitant l'accès pour tous à une alimentation saine et de qualité.
![]()
![]()
Dossier de presse Familles Rurales : Observatoire des prix des fruits et légumes 2022
Familles Rurales présente les résultats de son Observatoire des prix des fruits et légumes, pour aider les ménages à consommer de manière éclairée, particulièrement en cette période d'inflation, et pour sensibiliser les décideurs à l'urgence de déployer un plan permettant aux familles d'accéder à une alimentation de qualité. Létude des prix 2022 porte sur un panier de 9 fruits et 10 légumes frais, conventionnels et bio, sur 4 surfaces de vente. Cette année, le niveau des prix atteint un record : le panier en conventionnel a augmenté de 11 % en un an, soit deux fois plus que l'inflation, s'élevant déjà à 5 %. Les fruits et les légumes bio semblent moins impactés par l'inflation que les produits conventionnels, mais ils demeurent chers et, pour certains, peu accessibles à toutes les bourses. Respecter le PNNS (Plan National Nutrition Santé) représente entre 5 % et 16 % d'un SMIC net mensuel, pour une famille de 4 personnes, selon la composition du panier (16 % correspondant à du tout bio).
![]()
![]()
Observatoire du commerce équitable 2021
En France, la vente de produits issus du commerce équitable continue de progresser, avec une hausse de 11 % entre 2020 et 2021, dépassant ainsi les 2 milliards d'euros. Pour mémoire, 88 % des produits du commerce équitable sont également bio. Depuis l'ouverture du commerce équitable aux filières françaises en 2014, la vente des produits équitables (filières françaises et internationales), en France, a quadruplé. Cet Observatoire du commerce équitable 2021 compile et présente des données sur les thèmes suivants : 1 - Évolution des ventes ; 2 - Focus sur les familles de produits ; 3 - Commerce équitable et bio ; 4 - Distribution et lieux de vente. De plus, une section est consacrée à la vente des "ingrédients" de commerce équitable (produits dont un seul ingrédient est issu du commerce équitable).
![]()
![]()
Observatoire RSE 2022 : Bioentreprisedurable ® : Le label RSE des entreprises bio qui agissent pour un modèle alimentaire durable !
Créé en 2017, BioED (Bioentreprisedurable) est un label RSE qui permet, aux entreprises de l'agroalimentaire bio, de s'engager à intégrer le développement durable au cur de leur mission et à contribuer positivement à la transformation de la société. En 2022, dans le cadre de la 2ème édition de l'Observatoire du label BioED, le Synabio met en avant la performance des entreprises sur les indicateurs RSE attendus : gouvernance, ressources humaines, environnement, achats et ventes responsables, santé, sécurité, naturalité et ancrage territorial, d'après les données 2021. Par rapport à l'année précédente, les chiffres sont en hausse : le label concernait, en 2021, 59 entreprises (contre 46 en 2020). Ces entreprises ont, notamment, effectué 46 % de leurs achats en matières premières en commerce équitable, contre 21,5 % l'année précédente. Chaque année, elles indiqueront la mesure des indicateurs de performance RSE de l'année précédente, ce qui permettra d'établir un suivi de progression.
![]()
![]()
Soutien et développement de la filière tournesol biologique en Champagne-Ardenne : Projet TEauBio
Aurélie PARANT-SONGY, AuteurLa culture du tournesol présente de nombreux intérêts pour les producteurs bio du Grand Est : au-delà de l'augmentation de la demande en huile et en tourteaux, le tournesol s'intègre bien dans les rotations et il s'accommode du manque d'eau, ce qui n'est pas négligeable face aux enjeux du changement climatique. De ce fait, Bio en Grand Est s'est associé à l'institut technique Terres Inovia pour s'investir dans le projet TEauBio, aux côtés de Cérèsia et de la Chambre d'agriculture de la Marne. Ce projet, TEauBio, lancé en 2022 par l'Agence de l'Eau Seine-Normandie et la Région Grand Est, vise à développer les surfaces de tournesol biologique, en particulier sur les aires d'alimentation de captage. Pour cela, différentes actions sont menées afin de soutenir et de développer la filière tournesol biologique, notamment avec la mise en place d'un observatoire qui permettra d'obtenir des références technico-économiques pour la Champagne-Ardenne et de mieux comprendre les performances du tournesol et les difficultés rencontrées par les agriculteurs.
![]()
![]()
Bioentreprisedurable : Observatoire RSE 2021
Initiative portée par le Synabio, Bioentreprisedurable (BioED) est un label RSE indépendant, créé en 2014 par et pour les entreprises de la bio. 46 entreprises labellisées BioED sont engagées dans une démarche d'amélioration de leurs pratiques pour contribuer à la construction d'un modèle alimentaire durable. Plusieurs indicateurs-clés de la RSE constituent la boussole des entreprises BioED sur le long terme (gouvernance, ressources humaines, environnement, achats et ventes, santé, ancrage territorial...). Ce document présente, pour la première fois, les chiffres-clés de la performance RSE des entreprises BioED. Chaque année, l'ensemble de ces entreprises indiqueront la mesure des indicateurs de performance RSE de l'année précédente, ce qui permettra d'établir un suivi de progression.
![]()
Evolution de la consommation de vin bio en Europe
SUDVINBIO, Auteur ; IPSOS, Auteur | MONTPELLIER (Bât. A8, ZAC Tournezy, 2 Rue Simone Signoret, 34 070, France) : SUDVINBIO | 2021Cette étude, réalisée pour Sudvinbio dans le cadre du salon Millésime Bio 2022, fournit des éléments relatifs à la consommation de vins biologiques sur trois marchés en Europe : la France, l'Allemagne et le Royaume-Uni. Globalement, les consommateurs sont de plus en plus préoccupés par les questions environnementales (81 % des Européens en 2021, contre 73 % en 2015), et cela impacte leurs habitudes de consommation. Si la consommation totale de vin est en baisse, celle du vin bio augmente. Ce dernier est un produit de consommation habituel pour 29 % des Européens (contre 17 % en 2015) et 36 % des Français. Cela concerne des consommateurs plutôt jeunes, à la recherche de produits respectueux de l'environnement et équitables, et prêts à payer un peu plus pour cela. Le marché de la bière bio est, lui aussi, en pleine évolution. Pour Nicolas Richarme, président de Sudvinbio, "on est passé d'une consommation de curiosité à une consommation structurelle".
![]()
![]()
Guide T&B par Biofil
BIOFIL, Auteur ; Sébastien WINDSOR, AuteurTech&Bio - le salon agricole international des techniques bio et alternatives est organisé tous les deux ans par les Chambres dagriculture. Sa 8ème édition, du 21 au 23 septembre 2021 sur le Lycée agricole du Valentin, a pour fil conducteur le biocontrôle. Ce guide, consacré à ce salon, compile : 1 le programme des conférences ; 2 - les Avant-premières Tech&Bio (des constructeurs et fournisseurs de matériel décrivent leurs produits, équipements et matériels innovants ; 3 différents cahiers techniques des Chambres dagriculture : un sur l'élevage (sur la production de références technico-économiques en bio), un sur le maraîchage (sur des pistes pour réduire la pénibilité du travail, sur la gestion des pucerons via des plantes de services et sur les engrais verts), un sur Biodiversité & Agroforesterie (sur lobservatoire agricole de la biodiversité, sur la gestion des bords des champs pour favoriser la biodiversité, sur la plateforme TAB techniques alternatives et biologiques, sur un partenariat entre agriculteurs et apiculteurs, et sur les outils interactifs Auxilhaie et Auxilherbe), et un cahier technique Grandes cultures (sur ladaptation des systèmes en grandes cultures face à la raréfaction des matières organiques) ; 4 le plan du salon.
![]()
![]()
Lobservatoire des exploitations fruitières en 2019 : Un léger mieux sauf kiwi et pomme
Nasser SEYNI, AuteurLobservatoire de la production fruitière rassemble les résultats comptables de 396 exploitations représentatives de la diversité des systèmes de culture et des bassins de production. Le CTIFL, FranceAgriMer et la FNPF ont développé cet outil pour pouvoir analyser la santé financière des exploitations fruitières et fournir des éléments dinterprétation. Bien que la majorité des résultats présentés dans cet article concernent des fermes conventionnelles, un focus est réalisé sur le sous-échantillon de producteurs bio. Ce dernier est constitué de 35 exploitations, dont sept spécialisées en pommes, quatre en pêches et une en cerises. Elles ont enregistré des résultats positifs et largement supérieurs à la moyenne de lensemble des exploitations.
![]()
![]()
L'Observatoire des exploitations légumières en 2019 : Une performance économique et financière positive et en amélioration
Nasser SEYNI, AuteurAfin de mieux connaître les résultats économiques et financiers des exploitations légumières, le CTIFL, FranceAgriMer, Légumes de France et le CNIPT ont repris lObservatoire des exploitations légumières, interrompu depuis 2013. Les résultats de 453 exploitations, représentatives de la diversité des systèmes de production, ont été rassemblés pour lannée 2019. Globalement, le résultat courant est positif et a largement progressé par rapport à 2018. La situation financière est saine et en amélioration pour tous les types dexploitations légumières. Les exploitants ont ainsi pu investir ou renforcer leur trésorerie, tout en se rémunérant. Le sous-échantillon de producteurs bio (96 exploitations) a enregistré un résultat positif, mais inférieur à la moyenne de lensemble des exploitations. Par ailleurs, les systèmes bio se caractérisent par une part plus importante du poste « main duvre », comparés aux autres exploitations.
![]()
![]()
Lobservatoire technico-économique des systèmes bovins laitiers : Exercice comptable 2019
Romain DIEULOT, Auteur ; Mickaël LEPAGE, Auteur ; Guy CORMERAIS, Auteur ; ET AL., Auteur | CESSON-SEVIGNÉ CEDEX (17 Rue du Bas Village, CS 37725, 35 577, FRANCE) : RÉSEAU CIVAM - PÔLE AD GRAND OUEST | 2021Le Réseau CIVAM compare, chaque année, les performances des exploitations délevage bovins lait en Agriculture Durable (AD), biologiques ou non, avec celles du RICA dans le Grand Ouest. Les fermes en AD ont plutôt une stratégie « valeur ajoutée » (avec plus de résultat pour moins de produit), par rapport aux fermes du RICA qui ont plutôt une stratégie « volume de production ». Il y a notamment des charges inférieures sur la plupart des postes en AD (alimentation, cultures, amortissements matériel et bâtiments). Aujourdhui, la reprise des fermes laitières est cruciale pour lavenir de lagriculture du Grand Ouest. Le document présente également des portraits déleveurs et déleveuses qui se sont installé.e.s en systèmes pâturants et qui montrent que cest une voie davenir (accessibilité économique, temps libre, simplification du système ).
![]()
![]()
Observatoire des viandes bio 2020
Cet observatoire montre que le marché des viandes bio a poursuivi sa belle progression et a atteint son objectif : doublement de la production en 5 ans. Cest une réussite pour cette année 2020 très particulière avec la crise Covid qui a bouleversé les habitudes des consommateurs et contraint la filière viande à sadapter, notamment pour trouver le juste équilibre entre loffre et la demande. Le document souligne dailleurs le travail des différents professionnels de la filière. Le point est fait sur les différentes filières (bovine, ovine, porcine) et sur les différents circuits de commercialisation (GMS, boucheries, magasins spécialisés, RHD, vente directe). Les efforts doivent être poursuivis pour réduire le déséquilibre matière en gros bovins et stabiliser le marché en porcins.
![]()
![]()
Rentabilité des vins bio en Gironde : « Repenser sa stratégie commerciale est primordial »
Frédérique ROSE, AuteurDepuis 2014, le Cerfrance Gironde mène un observatoire auprès de vignerons bio. Léchantillon est composé dune quarantaine de producteurs qui cultivent, en moyenne, une vingtaine dhectares. Ces vignerons peuvent être répartis en trois groupes selon les circuits de commercialisation quils utilisent : les vignerons qui livrent à une coopérative (une petite dizaine) ; ceux qui vendent en vrac-négoce (une douzaine) ; ceux qui commercialisent en bouteilles (une bonne vingtaine). Globalement, le cabinet de conseil et dexpertise comptable met en évidence que, même si la bio est bien valorisée (selon les marchés, le cours des vins bio peut atteindre le double de celui du vin conventionnel), elle nest pas toujours garante de meilleurs revenus. Les vignerons bio tournent, en général, autour dun SMIC. Par rapport au conventionnel, les charges en bio sont lourdes (particulièrement en main duvre) et les rendements souvent inférieurs. Les vignerons coopérateurs sen sortent globalement bien, au vu des prix payés par les caves coopératives qui couvrent bien leur coût de production. Cependant, avoir des rendements élevés reste déterminant. Les vignerons vendant en bouteilles sen sortent mieux si le prix de leurs bouteilles est dau moins 6,80 TTC. Pour les vendeurs en vrac, les marges de manuvre ne sont pas très importantes et le cours du vin bio en vrac couvre tout juste les coûts de revient.