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Observatoire national de la restauration collective bio et durable : Rapport 2018
Cette brochure présente les principaux résultats de l'enquête 2018 réalisée par Un Plus Bio auprès de 239 collectivités, soit 3 400 cantines et plus de 500 000 convives. Trois grands thèmes ressortent : (1) Manger bio à la cantine ne coûte pas plus cher (les principaux leviers pour équilibrer le budget sont donnés) ; (2) Le bio des cantines est majoritairement local ; (3) La protéine végétale sinstalle dans les menus. L'enquête a permis également de confirmer qu'en matière de politique publique, la question de l'alimentation est souvent intégrée dans une dynamique de projet transversale sur le territoire, où elle s'articule à d'autres politiques locales, par exemple, à celle de la gestion des déchets ou à celle de la protection des zones de captage d'eau. Les projets de cantine bio, en général, sont des occasions pour dynamiser la démocratie locale.
L'Observatoire technico-économique des systèmes bovins laitiers : Evolution sur 10 ans - Exercices comptables de 2008 à 2017
L'Observatoire technico-économique du réseau Civam compare chaque année les performances des exploitations d'élevage herbivore en Agriculture Durable (AD) avec celles du RICA, dans le Grand Ouest. 127 fermes laitières AD ont été observées, 59 non bio et 68 bio. Les résultats sont présentés pour les différents groupes (RICA, AD non bio, AD bio). Sur la période 2008-2017, les fermes laitières du Grand Ouest se sont agrandies. Elles produisent de plus en plus, sans pour autant améliorer leurs résultats. Leur revenu est très dépendant du prix du lait, tandis quaugmentent les risques techniques, financiers et humains. Néanmoins, avec moins de terres, danimaux et dinvestissement, les systèmes herbagers dégagent autant de revenu, si ce nest plus, font vivre plus de monde sur les fermes et préservent lenvironnement. Recherchant la création de richesse plus que les quantités produites, ils résistent mieux aux aléas économiques. Tel est le constat de l'étude 2018 de lObservatoire technico-économique du Réseau CIVAM sur 10 ans.
Rapport d'étude : Observatoire des prix des fruits et légumes - Été 2018
Le Plan National Nutrition Santé (PNNS), porté par le gouvernement, met laccent sur limportance de manger au moins « 5 fruits et légumes par jour ». Afin de guider les familles dans leurs achats de fruits et légumes, Familles Rurales a mené, en juin et juillet 2018, une étude de prix sur un panel de 8 fruits et 8 légumes, issus de l'agriculture conventionnelle et de l'agriculture biologique, et une enquête d'opinion sur les pratiques dachat des familles. Sont présentés : l'évolution du prix des fruits et légumes en 2018 et depuis 2007 en bio et en conventionnel, avec une comparaison entre les deux et en lien avec les évolutions de salaires ; l'évolution du prix selon l'origine des produits (France et étranger) et selon la surface de vente. De plus, quatre profils de familles ont été établis (à l'affût des prix bas, consommatrice de produits conventionnels, adepte du "cultivé en France", adepte du bio). Les comportements des consommateurs sont analysés. En complément du rapport, le dossier de presse synthétise les principaux chiffres.
Dossier de presse : Observatoire des prix des fruits et légumes : Été 2017
Familles Rurales publie les résultats de son Observatoire des prix des fruits et légumes 2017 portant sur deux relevés effectués durant lété 2017. Les résultats mettent en évidence une baisse du prix des fruits de 8 % et de celui des légumes de 7 % entre 2016 et 2017, après une forte augmentation en 2016. En moyenne, un kilo de fruits coûte 3,76 et un kilo de légumes 2,14 . Sur 10 ans, le prix du panier de fruits a augmenté de + 18,6 %, soit plus vite que linflation (12,2 % sur la même période) et le panier de légumes de + 7 %. Les hard-discounts restent toujours moins chers en termes de prix, suivis de près par les supermarchés, mais la plus forte baisse de prix en 2017 est à observer sur les marchés, avec 10 %. Le prix des fruits et légumes bio est stable en 2017, les fruits augmentent de + 0,1 % et les légumes de + 3 %. Ils restent globalement plus chers que les fruits et légumes conventionnels.
Face à la crise laitière, le changement de système, plus rentable que l'agrandissement
CIVAM, AuteurMême si la chute du prix du lait impacte tous les producteurs, d'après les constats de l'Observatoire technico-économique du Réseau Civam, les éleveurs laitiers de l'Ouest auraient plus d'avantages à développer un système pâturant économe qu'à s'agrandir. L'observatoire du réseau CIVAM compare depuis 2000 les performances des systèmes herbagers bovin lait du Grand Ouest (bio et non bio) avec les exploitations laitières du RICA (réseau d'information comptable agricole). En 2015, alors que 28 % des fermes Rica présentent un résultat négatif, les fermes herbagères ont mieux résisté et créé plus de richesse par actif (+24 % de valeur ajoutée par UTH). Ces dernières sont également plus économes (-42 % du coût alimentaire par 1000L produits pour les systèmes en bio). Le nouvel indicateur de gestion du réseau, le résultat social, montre qu'elles ont une meilleure capacité à maintenir et à développer l'emploi sur le territoire, notamment en AB. L'analyse complète des résultats économiques est disponible à l'adresse : http://www.agriculture-durable.org/lagriculture-durable/lobservatoire-technico-economique/.
L'Observatoire de la restauration collective bio et durable
Après une année dexistence, lObservatoire de la restauration collective bio et durable, mis en place par lassociation Un Plus Bio, en partenariat avec Ecocert, livre une première synthèse, dont les 3 principaux enseignements à tirer sont : 1. Un repas à 20 % de bio nest pas plus cher quun repas conventionnel ; 2. Plus de bio nentraîne pas une dérive des budgets des collectivités ; 3. Laugmentation du bio ne repose pas sur les importations. Présentation de ce nouvel outil au service des politiques de lalimentation et explications en détails de ces premiers résultats.
L'Observatoire technico-économique des systèmes bovins laitiers du réseau Civam : Exercice comptable 2016
Depuis 2000, l'Observatoire technico-économique du Réseau Civam compare, chaque année, les performances des exploitations délevage herbivore en Agriculture Durable (AD) bio et non bio avec celles du RICA (Réseau dinformation comptable agricole). Les synthèses annuelles proposent des références pour les agriculteurs et futurs agriculteurs, les accompagnants et les décideurs. Cette synthèse présente des résultats moyens comparés sur l'exercice comptable 2016 d'échantillons AD et du RICA de fermes laitières spécialisées du Grand Ouest. Elle distingue les systèmes herbagers non bio et herbagers bio. Lun des constats est que les systèmes de production herbagers créent plus de richesse et permettent de mieux rémunérer le travail. Un des enjeux majeurs dans ce territoire, la transmission des fermes laitières, fait lobjet dune étude complémentaire.
Développer un réseau d'estives sentinelles dans les Pyrénées méditerranéennes : Méthodologie du volet pastoral
Maëva ANTHEME, AuteurAu cur des Pyrénées méditerranéennes, sur les départements des Pyrénées-Orientales et de l'Aude, le projet Estives sentinelles vise à « mener une réflexion sur les pistes et les marges d'adaptation des exploitations et des estives face aux changements qui les impactent (climatiques, politiques publiques, concurrence avec la faune sauvage...) ». Pour ce faire, différents protocoles de suivi ont été construits. Ils concernent les pratiques pastorales, les performances zootechniques, les ressources, et une tournée de fin d'estive. Explications dans cet article.
Dossier de presse : Observatoire des prix "fruits et légumes" - Été 2016 : Présentation, résultats et analyse
LObservatoire des prix des fruits et légumes 2016, publié par la Fédération nationale des Familles Rurales, porte sur deux relevés effectués durant lété 2016. Ces résultats mettent en évidence une année aux prix records. Entre 2015 et 2016, les fruits ont augmenté de 18 % (en particulier la fraise, le melon et la cerise) et les légumes de 10 % (pomme de terre et courgette). Les fruits et légumes bio restent globalement plus chers que les fruits et légumes conventionnels, avec un écart qui saccentue par rapport à 2015 : pour les fruits (+ 2.85 ) et les légumes (+ 1.80 ). Parmi les conclusions : Manger des fruits et légumes de saison à maturité reste globalement moins cher. Acheter des fruits et légumes français nest pas forcément plus cher.
Poules avec parcours : le bio tire son épingle du jeu
Rozenn MAIRET, AuteurUne enquête sur les résultats 2014 de 34 lots de poules pondeuses, issus de 27 élevages de Bretagne, des Pays-de-la-Loire et des Deux-Sèvres, a été réalisée autour de trois filières : label rouge, plein air et agriculture biologique. Dans chacune de ces filières, les poules ont accès à des parcours extérieurs. Les principaux résultats technico-économiques sont présentés dans cet article. Dans un contexte où les ufs issus de ces filières sont recherchés par les consommateurs, les systèmes bio maintiennent de bons résultats, mais les filières label rouge et plein air connaissent plus de difficultés, notamment d'un point de vue économique (augmentation des charges).
Des références pour lélevage ovin bio
Amélie VILLETTE, AuteurLe projet CasDar Agneaux bio, conduit par lITAB, a présenté ses résultats le 23 juin dernier, à Paris. Ce projet a notamment permis, grâce au suivi dune soixantaine dexploitations sur deux ans dans les principaux bassins de production de viande ovine biologique, dacquérir des références technico-économiques. Les deux-tiers des élevages suivis étaient mixtes, avec présence dautres ateliers (cultures, granivores ou bovins). Globalement, dans ces élevages, la productivité autonome est le principal levier de rentabilité. Ces élevages présentent, en effet, une moindre productivité des brebis par rapport aux conventionnels. Ceci est compensé par une consommation plus faible dintrants et une meilleure autonomie alimentaire. Le surcoût de production des agneaux en bio est compris entre 6 et 11 euros selon les systèmes herbagers ou pastoraux. Dernier résultat pouvant être noté : les éleveurs bio ont plutôt plus de temps libre quen conventionnel, en lien avec des exploitations plus petites, globalement moins de travaux de saison (traitements, éponges ) et un recours plus important au salariat.
bonplanbio.fr : Bon démarrage pour la carte interactive
Michaël DESPEGHEL, AuteurMise en ligne en septembre 2014, la carte interactive bonplanbio.fr répertorie plus de 900 points de vente de produits biologiques en Bretagne. Le bilan de ces trois premiers mois d'existence est positif, avec 3600 visites pour 6500 recherches. Ces dernières portent principalement sur la vente à la ferme et les légumes frais.
État des énergies renouvelables en Europe : Édition 2014 : 14ème bilan EurObserv'ER
OBSERV'ER, Auteur ; RENAC, Auteur ; INSTITUTE FOR RENEWABLE ENERGY, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (146 Rue de l'Université, 75 007, FRANCE) : OBSERV'ER | 2015Soutenu par la Commission Européenne, l'Ademe et la Caisse des Dépôts, l'Observatoire des énergies renouvelables réalise et publie le baromètre EurObserv'ER. Il présente un focus détaillé sur l'état de la production d'une filière (éolien, solaire thermique, solaire photovoltaïque, petite hydraulique, biogaz, biomasse solide, biocarburant, géothermie et pompes à chaleur) pour chaque pays de l'Union européenne : chiffres clefs, indicateurs, avancées technologiques, emplois, détail des programmes et des aides publiques 5 cas pratiques de mécanismes de financement innovants sont présentés.
L'état des énergies renouvelables en Europe : Édition 2015 : 15ème bilan EurObserv'ER
OBSERV'ER, Auteur ; RENAC, Auteur ; INSTITUTE FOR RENEWABLE ENERGY, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (146 Rue de l'Université, 75 007, FRANCE) : OBSERV'ER | 2015Soutenu par la Commission Européenne, lAdeme et la Caisse des Dépôts, lObservatoire des énergies renouvelables réalise et publie, sur CD-Rom, le 15ème baromètre EurObservER. Il présente un tour d'horizon complet de l'ensemble des filières renouvelables en Europe (éolien, solaire thermique, solaire photovoltaïque, petite hydraulique, biogaz, biomasse solide, biocarburant, géothermie et pompes à chaleur) à travers des indicateurs énergétiques, industriels et socio-économiques : chiffres clefs, indicateurs, avancées technologiques, emplois, détail des programmes et des aides publiques 4 cas pratiques de mécanismes de financement innovants sont présentés. En supplément, 6 baromètres thématiques (éolien, photovoltaïque, solaire, biocarburant, pompes à chaleur, biomasse solide) peuvent être consultés indépendamment.
Biodiversité fonctionnelle : Observer les vers de terre, protocole et résultats de l'observatoire agricole de la biodiversité
Marc SITTER, AuteurL'Observatoire Agricole de la Biodiversité (OAB) a été mis en place en 2009. Son but : développer des indicateurs de suivi de l'état de la biodiversité en milieu agricole et sensibiliser les professionnels à des pratiques plus respectueuses de cette biodiversité. Cet observatoire a permis l'élaboration d'un protocole d'observation des vers de terre, pouvant être mis à disposition d'observateurs volontaires. Il consiste à épandre une solution d'eau et de moutarde sur le sol, solution qui fait sortir les vers de terre de leurs galeries. Il est alors possible de les compter et de les identifier. Ainsi, le lien entre pratiques agricoles et abondance des vers de terre peut être étudié, comme cela a été fait pour les différentes pratiques de travail du sol.