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Accélérer la transition climatique avec un système alimentaire bas carbone, résilient et juste
Le Haut conseil pour le climat a réalisé, dans le cadre de ses missions, un examen de l’empreinte carbone alimentaire et une analyse des politiques alimentaires et agricoles en regard des enjeux climatiques. Il s’agit d'évaluer la mise en œuvre et l’efficacité de l'action publique pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, pour développer les puits de carbone, pour réduire l’empreinte carbone et pour adapter au changement climatique le système alimentaire. Cette analyse vise également à aborder les impacts socio-économiques, environnementaux, y compris pour la biodiversité, de ces différentes politiques publiques. Les recommandations ciblant l’alimentation et l’agriculture, formulées dans le rapport annuel 2023 du Haut conseil pour le climat, dans le cadre de l’analyse de l’action climatique, sont actualisées et complétées dans ce document.
Cap Nature et Biodiversité : Une alimentation saine et une production durable ne se feront pas sans la biodiversité
Ce document, publié par un ensemble d’associations nationales de conservation de la nature, réunies au sein de Cap Nature et Biodiversité, met en avant que la préservation de la biodiversité constitue un atout essentiel, et non un handicap, pour élaborer des pratiques agricoles plus économes et plus résilientes tout en maintenant notre capacité de production. Les associations expriment, dans ce document, une vision positive de l'agriculture, en s'appuyant sur 8 aspects spécifiques.
Dossier de presse : Passage en gestion directe de la restauration collective : L'expertise du réseau FNAB au service des collectivités locales
Ce dossier de presse présente les témoignages de trois cuisines collectives, en Loire-Atlantique, dans l'Hérault et dans le Morbihan, qui sont passées en gestion directe. Accompagnées par le réseau FNAB, les collectivités en charge de ces cuisines ont mis en place des plans d'action, en coopération avec des producteurs, qui leur ont permis de reprendre la maîtrise des approvisionnements, sans pour autant augmenter les tarifs, et d'offrir aux convives une alimentation de qualité, bio et locale, en privilégiant les fournisseurs du territoire.
Le portage foncier agricole, levier pour une agriculture en transition ? : L'état des terres agricoles en France n° 3 - 2024
Coline SOVRAN, Auteur ; Fabrice RUFFIER, Auteur ; Amélie DE MONES DE PUJOL, Auteur ; ET AL., Auteur | CREST (25 Quai André Reynier, 26 400, FRANCE) : TERRE DE LIENS | 2024Le troisième rapport de Terre de Liens sur L'état des terres agricoles en France rappelle que, d'ici 2030, un quart des agriculteurs et des agricultrices partiront à la retraite. Pour compenser ces départs et assurer la relève agricole, il faudrait que 20 000 à 25 000 personnes s'installent, chaque année. Si les personnes candidates existent, l'accès aux terres est un tel parcours du combattant que seules 10 000 à 15 000 d'entre elles s'installent. Une solution se développe pour faciliter l’accès aux terres : le portage foncier, un dispositif à travers lequel une personne morale achète des terres pour les mettre à disposition d'agriculteurs et d’agricultrices. Des initiatives citoyennes aux sociétés de gestion de portefeuille, des foncières régionales aux contrats de coopération, tour d’horizon de ces dispositifs et de leurs impacts sur l’agriculture. Insuffisamment présentes dans les politiques publiques, les terres agricoles sont le support de l’agriculture et de notre alimentation. Leur santé, leur accès et leur partage exigent un plan d’envergure et le portage foncier peut être un véritable levier pour transformer l’agriculture : restructurer les fermes, rendre plus attractif le métier et adapter les pratiques. Comme il l’a été sur le logement social, Terre de Liens estime que c’est aujourd’hui sur les terres agricoles que l’État doit se montrer ambitieux. Le portage foncier d’intérêt général est ainsi une avancée sociale à conquérir d’urgence par notre société.
Quantification des externalités de l’Agriculture Biologique : Climat : Résumé
En 2016, l’ITAB, en collaboration avec des chercheurs d’INRAE, a réalisé une analyse inédite, commanditée par le ministère de l’Agriculture, sur les externalités de l’agriculture biologique au regard de la littérature scientifique. Huit ans plus tard, face aux crises écologiques et à la montée des préoccupations environnementales et sanitaires, le MTECT (Ministère de la Transition Écologique et de la Cohésion des Territoires) a confié à l’ITAB, avec l’appui de chercheurs (INRAE, INSERM...), l’actualisation de cet état de l’art par la prise en compte de nouvelles publications scientifiques portant sur de plusieurs dimensions (santé humaine, climat, biodiversité, sol). Ce document est un résumé du chapitre “Quantification des externalités de l’Agriculture Biologique : Atténuation du changement climatique”, rédigé par Bastien Dallaporta, agronome, sous la direction de Natacha Sautereau, agronome. La rédaction de ce chapitre a bénéficié, en particulier, de l’appui extérieur de chercheurs : Valentin Bellassen, Thomas Nesme, Sylvain Pellerin, Hayo van der Werf (INRAE). 125 références bibliographiques ont été mobilisées et figurent dans le chapitre “Atténuation du changement climatique”. Ce résumé de chapitre synthétise les principales externalités de l’agriculture biologique concernant le climat, en référence aux pratiques principalement mises en œuvre en agriculture conventionnelle. Il concerne les effets en termes d’atténuation vis-à-vis du changement climatique. De récents travaux montrent, par exemple, que les productions végétales présentent, à quelques exceptions près, de meilleures performances GES, quelle que soit l'unité fonctionnelle retenue (surface ou unité produite). Ce résumé du chapitre Climat s'accompagne d'une note synthétique de l'étude et des résumés des 3 autres thématiques (sol, biodiversité, santé), en ligne à l'adresse : https://itab.bio/thematique-en-details/quantification-des-externalites-de-lagriculture-biologique.
Sauvons notre alimentation : À table, citoyens !
L’humanité fait face à un défi crucial, aussi grave que le réchauffement climatique : la dégradation silencieuse de notre alimentation. Alors que l’espérance de vie en bonne santé recule pour la première fois en France et ailleurs, ce livre révèle la réalité de la malnutrition moderne, marquée par l’omniprésence des produits transformés, mal adaptés aux besoins nutritionnels. Il montre comment la volonté de produire et de transformer sans limites des denrées agricoles à des fins économiques a conduit à une exploitation effrénée de l’environnement et à un dévoiement de la nutrition humaine. Pour rétablir le lien entre la terre, la table et notre santé, Christian Rémésy propose des solutions concrètes : sanctuariser les surfaces agricoles destinées à la vente directe, taxer les produits ultra-transformés, diviser par deux notre consommation de produits animaux, valoriser les aliments bruts... Manger nous engage et c’est par nos choix alimentaires que nous parviendrons à donner les moyens de vivre aux paysans qui nous nourrissent, à reconnecter l’agriculture aux besoins humains et à ceux de notre planète, à réorienter les pratiques de l’industrie agroalimentaire et, in fine, à réduire nos dépenses de santé.
Affichage Environnemental : Recommandations pour un dispositif global d’affichage environnemental producteur de sens, fédérateur, et apte à accélérer la transition écologique
Quentin CHANCE, Auteur ; Marc BENOIT, Auteur ; Agnès TERRIEUX, Auteur ; ET AL., Auteur | FRANCE : CESIAe (Comité d’Expertise Scientifique Interdisciplinaire sur l’Affichage Environnemental) | 2023En 2023, le CESIAe (Comité d’Expertise Scientifique Interdisciplinaire sur l’Affichage Environnemental) a été créé dans le but d’analyser, de manière indépendante, la méthodologie d’affichage environnemental actuellement développée par le gouvernement français. Cette méthodologie s'appuie sur l'outil EcoBalyse. Cet outil calcule des scores environnementaux suivant le modèle européen PEF (Product Environmental Footprint), soit une méthode dite « d’Analyse de Cycle de Vie » (ACV). Le groupe de chercheurs analyse l’adéquation de cette méthode par rapport à l’affichage agricole et alimentaire. Leur bilan démontre que la méthode ACV-PEF n’est pas adaptée, pour plusieurs raisons détaillées, dont 4 principales : 1. Une approche ACV ne prend pas en compte les interactions entre les différents biotopes agricoles (fertilité des sols, biodiversité...) ; 2. L’unité « par kg » n'est pas adaptée et comporte des risques ; 3. Les spécificités du secteur agricole sont mal prises en compte dans la pondération des impacts de l’ACV ; 4. Il est impossible de dépasser les limites imposées par la méthode ACV. Le comité d’expertise donne ensuite plusieurs recommandations. L’usage de la méthode ACV-PEF doit être fortement réduit, en faveur d’autres méthodes plus systémiques développées par les communautés scientifiques spécialisées. Les méthodes doivent être pondérées en fonction des enjeux spécifiques à chaque segment évalué. Le score affiché ne devrait pas être dans une unité fonctionnelle (par kilogramme), mais devrait représenter un impact global, qui reflète les enjeux environnementaux et sociétaux actuels. L’affichage environnemental nécessite la mise en place d’une gouvernance et d’un contrôle adaptés. Pour finir, le comité effectue un focus sur les spécificités de l’enjeu biodiversité dans l’affichage environnemental.
Bien manger pour vivre mieux : Manifeste pour un monde plus bio et plus juste
Alors que la désinformation autour de la bio, l’inflation et le greenwashing brouillent les pistes et menacent le développement d'un système agro-alimentaire durable, Pierrick de Ronne, à Biocoop depuis 2009, montre, dans cet ouvrage, que les enseignes ont un rôle à jouer dans la transition alimentaire. D'après lui, de la même manière que, après la Seconde Guerre mondiale, des moyens gigantesques et des législations hors norme ont été mobilisés pour développer l’agriculture intensive et garantir la souveraineté alimentaire, il est temps, à l’heure de la crise écologique, de mettre les sociétés et les institutions en action pour réussir une nouvelle transition alimentaire.
C'Durable ? : Transparence maximale dans les pratiques agricoles
Dominique PARIZEL, Auteur ; Julie VAN DAMME, AuteurC'Durable ? est un nouveau score, mis en place par la Région Wallonne (Belgique), permettant d'évaluer les performances agri-environnementales des fermes d'élevage. Il s'appuie sur quatre indicateurs : - l'impact climatique de la ferme (dégagement de gaz à effet de serre, consommation d'énergie...) ; - son rôle en termes de sauvegarde de la biodiversité ; - le bien-être animal ; - l'importance socio-économique de son action (bien-être au travail, équité dans les prix, rentabilité, pérennité du projet...). Cette initiative, présentée dans cet article, a pour objectifs, d'une part, d'informer le consommateur sur l'impact environnemental de ce qu'il achète et, d'autre part, de relocaliser l'alimentation en soutenant et en maintenant des fermes à taille humaine, engagées dans des pratiques durables.
Élevage bovin : comment sortir de l'impasse ? : Préserver la planète et les éleveurs : L'urgence d'une feuille de route de la fourche à la fourchette
Elyne ETIENNE, Auteur ; Louise LE PROVOST, Auteur ; Thomas UTHAYAKUMAR, Auteur ; ET AL., Auteur | BOULOGNE-BILLANCOURT (6 Rue de l'Est, 92 100, FRANCE) : FONDATION POUR LA NATURE ET L'HOMME (FNH) | 2023Dans ce document, la Fondation pour la Nature et l'Homme (FNH) apporte sa contribution au débat concernant l'avenir de l'élevage bovin. Elle dresse un état des lieux de la filière bovine et propose différents axes de travail pour accompagner la transition agroécologique de l'élevage bovin. Face à la double difficulté environnementale et socio-économique dans laquelle se trouve la filière, la FNH formule six recommandations pour améliorer les politiques publiques existantes : 1 - Adopter une gouvernance interministérielle de la transition agroécologique et alimentaire ; 2 - Faire évoluer l'environnement alimentaire afin d'inciter à consommer moins et mieux de produits animaux et plus de végétaux ; 3 - Mettre un terme aux tendances d'agrandissement-concentration, de spécialisation et d'intensification des pratiques ; 4 - Lancer une réflexion pour réguler les volumes, les prix, et le partage de la valeur au sein des filières ; 5 - Réguler les échanges commerciaux pour réduire la concurrence internationale déloyale que subissent les éleveurs bovins ; 6 - Refondre les enveloppes financières existantes en modulant les soutiens à l'élevage pour l'orienter vers une baisse des volumes de production et une amélioration des pratiques.
Les Français et l'affichage environnemental des produits alimentaires
COLLECTIF EN VÉRITÉ, Auteur ; BVA, Auteur | PARIS (27 Rue du Colonel Pierre Avia, 75 015, FRANCE) : BVA | 2023Afin d'alimenter les débats sur le projet d’affichage environnemental, le Collectif En Vérité, qui réunit 60 marques alimentaires demandant la transparence sur les emballages, a décidé d’interroger les Français pour comprendre ce qu’ils souhaitent vraiment savoir et voir, à-même le packaging, concernant la valeur environnementale de leur alimentation. Cette étude, menée avec BVA, vise à s’assurer que l’affichage qui sera retenu par les pouvoirs publics réponde aux attentes des Français et qu'il soit un levier efficace pour encourager la transition alimentaire. En effet, si pour 86 % des Français, un score environnemental est essentiel, il doit, avant tout, se référer à des indicateurs précis : l’utilisation de pesticides, le mode d’élevage et l’origine géographique des produits. Ce document présente, de manière synthétique, les résultats de cette enquête.
Guide méthodologique pour le diagnostic des freins et leviers sociotechniques aux processus d'innovation dans des systèmes agri-alimentaires
Marion CASAGRANDE, Auteur ; Raphaël BELMIN, Auteur ; Yann BOULESTREAU, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 07 (147 Rue de l'Université, 75 338, FRANCE) : INRAE (Institut National de Recherche pour l'Agriculture, l'Alimentation et l'Environnement) | 2023La transition vers des systèmes agri-alimentaires durables demeure un défi majeur ; elle implique des changements techniques, organisationnels, ou encore technologiques, qui peuvent constituer un frein pour la transformation des pratiques. C'est pourquoi, afin de lever les blocages et de favoriser les innovations, il est important de comprendre les facteurs complexes qui influencent la mise en œuvre de ces pratiques, au-delà du seul domaine des exploitations agricoles, pour englober l'organisation des chaînes de valeur, les territoires et les stratégies des acteurs dans les systèmes agroalimentaires. Sur la base de recherches antérieures, une démarche de diagnostic a été élaborée, par un collectif de chercheurs, dans le cadre du projet Interlude, pour analyser les réseaux d'acteurs influençant le processus d'innovation. Ce guide méthodologique décrit les cinq étapes de cette démarche : 1 - Délimitation du périmètre d'investigation (territoire et filière(s) concernés, problèmes à traiter) ; 2 - Cartographie des acteurs et des technologies existantes impliqués dans la résolution du problème ou son verrouillage ; 3 - Exploration des déterminants des pratiques des acteurs en relation avec les technologies existantes ; 4 - Caractérisation des freins et leviers du processus d'innovation ; 5 - Partage des résultats avec les acteurs concernés. Le guide méthodologique offre une approche structurée aux acteurs de la recherche engagés avec leurs partenaires de terrain dans des processus d’innovation.
Une légumerie bio alimente les cantines de Dijon Métropole
Christophe LESCHIERA, AuteurEn 2020, afin de répondre aux besoins de la restauration collective du territoire, Dijon Métropole a voté en faveur d'un projet de création de légumerie. Ce projet, appelé « ProDij, mieux manger, mieux produire », organise l'approvisionnement de la restauration collective en privilégiant les produits locaux de qualité, issus des circuits courts, qui garantissent des débouchés et une juste rémunération aux agriculteurs locaux. La légumerie est labellisée Agriculture biologique, tandis que la cuisine centrale de Dijon a reçu le label « En cuisine » (label dédié à la restauration collective bio)...
Livre blanc : Atténuation et adaptation de l'agriculture face au changement climatique : Principaux enseignements et recommandations issus du groupe d'échange
Porté par AgroParisTech et par la Fondation Daniel & Nina Carasso, le programme TETRAA a pour objectif d'accompagner neuf territoires pilotes, en France, dans leur démarche agricole et alimentaire, dans l'objectif d'en faire des démonstrateurs de la faisabilité et de l'intérêt d'une transition vers des systèmes agroécologiques. Les Groupes d’Échange, de Coopération et de Capitalisation (GECC) constitués dans ce cadre ont permis d’explorer quatre thématiques que les territoires pilotes ont choisi d’approfondir : - Démocratie alimentaire, gouvernance et mobilisation ; - Opérateurs économiques et circuits alimentaires de proximité ; - Cohésion et justice sociale ; - Atténuation et adaptation face au changement climatique. Solagro a animé le GECC "Atténuation et adaptation face au changement climatique", entre juillet 2021 et décembre 2022. Ce livre blanc résume les enseignements (les bonnes pratiques et les pièges à éviter) qui ont émergé durant les ateliers de collaboration et de capitalisation.
Paradigmes et scénarios de transition des systèmes alimentaires pour la neutralité carbone
Michel DURU, Auteur ; Olivier THEROND, AuteurLe développement de scénarios prospectifs est une approche qui peut aider à concevoir et à évaluer des stratégies agricoles et alimentaires durables. Dans cet article, sept scénarios sont analysés, issus de différents groupes de recherche, qui ont en commun l’objectif de neutralité carbone en 2050. Les scénarios sont caractérisés selon les types de leviers mis en avant pour atteindre la neutralité carbone. A un extrême, on retrouve des scénarios qui reposent sur une réduction forte des intrants, des rendements et de la place des protéines animales dans l’alimentation, accompagnée d’une séquestration forte sans afforestation, d’une augmentation des protéines végétales et une part d’AB de 50 à 100% de la SAU (scénarios Billen, TYFA et Afterres). Ces scénarios visent une transformation systémique, prenant en compte des enjeux de santé et de biodiversité, mais nécessitent une adhésion forte des consommateurs qui doivent changer leurs pratiques. A l’opposé, les deux scénarios LTS Life et LTS Tech de la Commission Européenne misent sur une augmentation des rendements et de la biomasse pour la filière énergie, et sur une plus légère réduction de la consommation de protéines animales, sans mentionner l’AB. Ces scénarios n’exigent pas de transformation sociétale forte, mais sont basés sur des paris technologiques (hausse des rendements, réduction de l’impact des engrais azotés) et omettent les sujets de santé et de biodiversité. Confrontée aux compromis et aux synergies mis en avant dans les scénarios, l'étude expose des synergies particulières, notamment celles permises par les services écosystémiques ou par la méthanisation des déjections animales, et se termine par des recommandations pour les politiques publiques.