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1999 Organic Farm Management Handbook
Depuis la première édition du guide en 1994, l'agriculture biologique s'est considérablement développée au Royaume-Uni. Les contraintes de production ont été révisées et renforcées, tandis que les aides à la conversion ont été augmentées ; cela, dans un contexte où la demande très forte a tiré les prix vers le haut, permettant des plus-values intéressantes par rapport à l'agriculture conventionnelle. Dans cette troisième édition, la volonté des auteurs reste de recenser le maximum d'informations. Un important travail de collecte de données et de résultats de recherche en agriculture biologique a été effectué et a permis la publication d'informations pratiques, techniques et économiques qui contribueront à une meilleure estimation des possibilités de production et de marché dans le secteur de la bio pour toutes les entreprises agricoles.
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En Afrique, le système « push-pull » protège le maïs des insectes foreurs et des adventices
TRAVAUX ET INNOVATIONS, AuteurEn Afrique, les agriculteurs cultivant du maïs doivent faire face à deux ravageurs d'envergure : la pyrale, un insecte foreur dont les larves se nourrissent des tiges de maïs, et la Striga, une adventice parasite. A partir de 1993, plusieurs centres et instituts de recherche se sont associés pour trouver une solution abordable et respectueuse de l'environnement. C'est la méthode de protection intégrée dite « push-pull » qui est ressortie du lot. Elle consiste à associer deux autres plantes à la culture de maïs : le Desmodium (légumineuse) comme culture intercalaire, et l'herbe à éléphant (ou miscanthus, une graminée) en bordure de parcelle. Le Desmodium produit des substances chimiques qui, d'une part, attirent les prédateurs de la pyrale, et qui, d'autre part, s'apparentent à un faux signal de détresse qui repousse les femelles du ravageur. L'herbe à éléphant, quant à elle, produit des substances chimiques qui attirent les pyrales, ainsi qu'une substance collante qui va les piéger. Par ailleurs, le Desmodium se comporte comme une « fausse plante hôte » pour la Striga : les substances chimiques qu'il produit vont entraîner la germination des graines de l'adventice mais vont ensuite inhiber la croissance de ses racines.
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Des agdal et des mouflons
Protection des ressources et (ou) développement rural dans le parc naturel du Haut Atlas Oriental (Maroc). . Un parc dans une montagne densément peuplée et fortement exploitée . La gestion du parc et les problèmes actuels.
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Agriculture et activités nouvelles, facteur de dynamisme du monde rural
Ce rapport présente les espaces ruraux, les expériences des différents acteurs ruraux, que ce soit dans le domaine de la production agricole ou dans la mise en oeuvre des services visant à rendre le milieu accueillant, et tient compte de l'existence de la pluriactivité qui, il faut le reconnaitre, s'exerce parfois sans encadrement réglementaire suffisamment identifié.
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L'agriculture biologique du Bas-Rhin : une dynamique sociale interne et/ou externe ?
L'agriculture biologique du Bas-Rhin bénéficie d'une véritable dynamique sociale interne et externe, par l'intermédiaire de ses producteurs et de ses consommateurs. Elle donne la preuve qu'actuellement de nouveaux critères et aspirations en matière de consommation et de production agricole sont réalisables lorsque les hommes se donnent les moyens de les entreprendre...L'agriculteur et le consommateur démontrent qu'une agriculture de durabilité est possible et viable. (Mémoire présenté en 1994 à l'Université des Sciences Humaines de Strasbourg, par Serge Baraniecki, pour l'obtention du diplôme de maîtrise de sociologie).
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Agriculture biologique : forte progression en Bretagne en 1998
Quelques données économiques sur la production bio en Bretagne : productions animales, surfaces légumières bio, transformation (chiffre d'affaire de 261,8 millions de francs en 1998 toutes filières confondues, soit une hausse de 40%),... Selon les chiffres diffusés par l'interprofession agrobiologique bretonne Interbio Bretagne, la filière d'agriculture biologique en Bretagne a connu un développement important en 1998, tant pour les productions agricoles que pour les produits transformés. De 1994 à 1998, le nombre d'exploitations bio et en conversion est passé de 255 à 655 et la Bretagne est la seconde région française en nombre de fermes bio après le Rhône-Alpes.
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Agroforesterie : Investir pour l'avenir
Mareike JAGER, AuteurCombiner arbres et grandes cultures a des effets positifs sur les deux types de cultures et d'importants avantages écologiques. Agridea, en Suisse, a calculé quelle pouvait être la rentabilité d'un système agroforestier en comparant un hectare de cultures bio en rotation avec arbres (50 arbres haute-tige), et sans arbres. Cet essai ainsi que les résultats sont décrits.
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Agrumes biologiques de Sicile : résultats économiques
Les indices économiques de 15 fermes de la plaine orientale sicilienne ont été suivis pendant 3 ans. Malgré des prix à la vente de 20 à 30% plus cher qu'en conventionnel, les clémentines et mandarines restent à des prix très inférieurs à ceux pratiqués en Corse. Qu'on en juge uniquement par les prix payés aux producteurs : 2,26 F/kg pour les clémentines, 1,61 F/kg pour les mandarines... Quelques autres données dans cet article.
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Alimentation : La luzerne cherche sa voie en porc
Dominique POILVET, AuteurLa luzerne, de par sa teneur en protéines deux fois plus élevée que le soja, pourrait constituer une alternative à ce dernier dans le cadre dune production non OGM de porcs (notamment charcutiers). Cependant, sa teneur en fibres pose problème. Or, la mise au point, par une entreprise, dune technique permettant de récolter seulement la partie aérienne riche en protéines (ou parèp) de la plante relance la question. Cette fraction contient 90 % de feuilles, 10 % de tiges et 23 % de MAT, et ce, de façon stable dans le temps, quel que soit le stade physiologique de la plante. Comment alors lincorporer dans lalimentation ou encore comment la conserver ? Il est difficile de répondre, du fait du manque de connaissances sur la valorisation, par les porcs, de ces protéines. De plus, la teneur en fibres encore élevée de la parèp limite sa valeur énergétique et son incorporation dans les aliments. Divers essais sont en cours et diverses pistes explorées. La déshydratation, peut-être idéale pour la conservation, reste coûteuse. La parèp pourrait être mélangée à une autre matière première, comme du blé ou du maïs broyé, et conservée en silo. Néanmoins, sa reprise reste problématique. La piste de la distribution de ce type de mélange sous forme de soupe est aussi à envisager. Dans tous les cas, les questions restent nombreuses et, parmi elles, la question du coût. La rentabilité semblerait meilleure en AB, à condition davoir du matériel de manutention de fourrages pour ruminants.
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Allemagne : le bio s'organise pour commercialiser
Le marché des produits biologiques se développe en Allemagne. Reste à trouver des solutions pour surmonter les insuffisances des circuits de commercialisation.
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Analyse du coût de production des fourrages
Compte-rendu du stage réalisé durant l'hiver 94/95 avec des agriculteurs du Nord Isère.
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Arboriculture : la fin du glyphosate aura un coût
Adrien LASNIER, AuteurEn France, le glyphosate fait lobjet dun plan de sortie pour ses principaux usages dès 2021. Cest dans ce contexte que lInrae a évalué les différences de coûts entre un désherbage chimique et des pratiques de désherbage alternatives. Après la parution dun premier rapport en juillet 2019 sur la viticulture, celui sur larboriculture est paru en janvier 2020. Les techniques alternatives (désherbage mécanique sur le rang, enherbement total et couverture du sol sur le rang) entraînent des temps de travaux supplémentaires : elles prennent 2 à 4 fois plus de temps, le désherbage mécanique présente les temps les plus élevés. Ces techniques entraînent également un surcoût : il est estimé entre 9 et 42 % du résultat courant (RCAI), soit 6 à 20 % de lexcédent brute dexploitation (EBE) selon les années et les différentes hypothèses testées. Cependant, le surcoût induit par ces techniques alternatives peut être réduit (les agriculteurs qui construisent ou adaptent eux-mêmes leurs matériels, temps de travail réduit avec l'expérience).
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Arboriculture fruitière avec moins d'intrants - Sa réalité, ses avantages, ses difficultés, son avenir
Les objectifs de cette étude étaient de mieux cerner les caractéristiques des différentes catégories d'arboriculteurs, ainsi que les contraintes et les avantages qu'impose la réduction d'intrants dans la conduite du verger.
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Association "Paniers solidaires"
Une structure de maraîchage mutualiste et biologique qui associe les adhérents-consommateurs et des maraîchers bios. Leur vocation : une structure de remobilisation sociale et professionnelle. Reportage.
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Un atelier coopératif de transformation
Compte-rendu de la visite à but formatif - sous l'égide du Civam-Bio de l'Hérault - de l'atelier coopératif "Les Jardins de la Haute Vallée" à Couiza, dans l'Aude. Dans une zone où le maintien d'un tissu rural actif reste un objectif prioritaire, la création de l'atelier relais a un impact dans plusieurs domaines : - Le développement de la filière fruits et légumes - La revitalisation de l'agriculture locale - La création d'un pôle d'activité - La création d'emploi - Une contribution à la promotion de la région. Description et fonctionnement de l'atelier de transformation artisanale de fruits et légumes.