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Documents disponibles dans cette catégorie (45)


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Consommation des produits bio et enjeux : La crise sanitaire accentue les tendances alimentaires émergentes
Flavie TIRET, AuteurUne étude, menée par le CREDOC (Centre de Recherche pour létude et lobservation des conditions de vie), sur les comportements et les consommations alimentaires en France a montré que les consommateurs formulent de nouvelles attentes : lattente « santé » est repartie à la hausse depuis 2016 et la préoccupation environnementale grimpe depuis 2018. Concernant les risques liés à la consommation daliments, différents facteurs de préoccupation ont été identifiés : les antibiotiques et le bien-être animal pour les viandes, les conservateurs et les additifs pour les produits industriels, et les pesticides pour les fruits et légumes. Ces résultats expliquent lengouement des consommateurs pour les produits bio. Et cet engouement a été renforcé par la crise Covid-19 : gain de 20 % de chiffre daffaires et de 8 % dacheteurs. Du côté des points de vente spécialisés en bio, 90 % souhaitent prioriser les produits en vrac ou « zéro déchet », et 32 % les produits locaux (durant le premier confinement, 83 % des magasins spécialisés bio ont effectué des changements de fournisseurs, en faveur dopérateurs locaux et de filières courtes). La grande distribution continue à développer son chiffre daffaires en bio : si lécart sétait stabilisé entre les grandes surfaces et les magasins spécialisés, il se creuse de nouveau au profit de la grande distribution.
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Face à la crise sanitaire : Le vin bio tire son épingle du jeu
VITISBIO, AuteurAlors que le contexte mondial est assez morose pour le secteur du vin en raison de la crise sanitaire Covid-19, une projection réalisée par le cabinet IWSR montre que le vin bio sera sûrement de plus en plus plébiscité dans le monde. La bio continuerait ainsi sa progression et gagnerait des parts de marché dans les années à venir, pour atteindre 4 % du marché mondial du vin en 2024 (contre 1,5 % en 2013 et 2,75 % en 2019). Entre 2014 et 2019, les volumes de vins bio vendus dans le monde ont augmenté de près de 9 %. La France et lAllemagne sont les deux premiers pays consommateurs de vins bio. LItalie est le plus gros producteur et exportateur au niveau mondial. Parmi les principaux pays producteurs de vins bio, deux typologies de vignobles se démarquent : certains sont avant tout destinés à lexport (cas de lItalie et de lEspagne), tandis que dautres sont majoritairement tournés vers une consommation nationale (France, Allemagne, États-Unis).
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LSA Bio - Dossier : En quête dun nouveau souffle
Camille HAREL, Auteur ; Mirabelle BELLOIR, Auteur ; Morgan LECLERC, AuteurCe dossier, composé de quatre articles, est consacré à lévolution du marché bio durant le premier semestre 2021. Le premier article porte sur le ralentissement de ce marché : après plusieurs années de croissance, il a commencé à ralentir fin 2020. Cet essoufflement se confirme en 2021 ; il est toutefois plus marqué dans les GMS que dans les magasins spécialisés. Le deuxième article traite de la mobilisation générale de la filière autour du bio « augmenté » : les industriels et les distributeurs cherchent à ajouter de nouvelles promesses à la bio (en lien avec la santé, lenvironnement ou lapprovisionnement local), afin de renouer avec la croissance en satisfaisant les nouvelles attentes des consommateurs. Larticle suivant est dédié aux cosmétiques bio : leurs ventes connaissent une forte croissance depuis plusieurs années, notamment en GMS. Les marques prennent également des engagements qui vont au-delà des conditions de production des matières premières biologiques. Le dernier article porte sur le vrac : celui-ci avait marqué un coup darrêt pendant la pandémie, mais il se développe de nouveau et présente une piste intéressante pour dynamiser les ventes de produits bio. Cependant, de nombreux chantiers restent à mener pour rendre le vrac encore plus accessible et attractif.
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RSE et BIO, où en est-on ? Bilan et tendances 2022
Sauveur FERNANDEZ, AuteurEn plein développement, la RSE (responsabilité sociétale des entreprises) permet aux marques et aux enseignes de valoriser les produits en mettant en avant l'engagement de l'entreprise. L'article analyse les tendances RSE dans le domaine de la bio. Les points suivants sont abordés : 1 - Un client bio de plus en plus averti ; 2 - Les tendances RSE BIO 2022 ; 3 - La RSE fait vendre ; 4 - Les entreprises engagées en vedette ; 5 - Rapports annuels pour tous ; 6 - Quels labels pour les magasins et marques bio spécialisés ?
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Supplément Cosmébio : Changer de cosmétique, pour changer le monde !
Manon PARRET, Auteur ; Nicolas BERTRAND, Auteur ; Romain RUTH, Auteur ; ET AL., AuteurCréée en 2002, l'association Cosmébio est née dans un contexte où aucune réglementation n'existait pour encadrer la cosmétique bio et naturelle. Aujourd'hui, Cosmébio est la première référence mondiale pour les produits cosmétiques labellisés bio. Dans ce dossier, réalisé en collaboration avec Bio Linéaires, Cosmébio présente l'historique de l'association, de sa fondation jusqu'à la labellisation Cosmébio ; son évolution sur le marché bio ; et les événements grand public qu'elle propose pour guider les consommateurs, à travers la série d'articles suivants : 1 - Cosmébio, l'association professionnelle de la cosmétique bio et naturelle ; 2 - La certification Cosmos, préalable à la labellisation Cosmébio ; 3 - Les consommateurs de cosmétiques bio en quelques chiffres ; 4 - Les Trophées Cosmébio ; 5 - La Semaine de la cosmétique bio by Cosmébio ; 6 - In & Out : la tendance qui envahit la cosmétique bio ; 7 - Les allergènes dans les cosmétiques bio : l'exemple des huiles essentielles.
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Collecte de céréales bio : Une croissance record !
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurEn grandes cultures, lheure est au bilan de la campagne 2019-2020. En agriculture biologique, France Agrimer décompte près de 600 000 tonnes de céréales bio ou en C2, ce qui correspond à un bond de 70 % par rapport à lannée précédente. Cette tendance est le reflet de la hausse du nombre de conversions depuis deux années. Le blé tendre (dont la collecte a augmenté de 82 %), le maïs (+ 42 %), le triticale (+ 104 %) et lorge (+ 118 %) représentent plus de 90 % des volumes récoltés. De lavis de la filière, lépisode Covid-19 modifie peu les estimations de croissance du marché : les ventes en restauration hors domicile se sont effondrées, mais elles ont été compensées par laugmentation des ventes de pains et de farines en sachets (boostées durant le confinement). Les GMS se sont également recentrées sur des approvisionnements français et de proximité. Concernant lalimentation animale, la crise semble avoir dopé les utilisations de céréales (+ 17 % en orge et + 19 % en maïs). Cette tendance est en partie expliquée par le dynamisme des filières ufs et viande bio durant cette période.
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Conversions 2019 : Une dynamique qui perdure pour la 3ème année consécutive ; Demandes daide bio en 2020
Patrick LEMARIE, Auteur ; Philippe CAILLAUD, Auteur ; François VRIGNAUD, AuteurLe premier article est dédié aux nouvelles conversions BIO en Pays de la Loire durant lannée 2019. Des chiffres-clés ont été estimés par la CAB à partir des notifications publiées par lAgence Bio et ont été complétés par une expertise locale. Globalement, la dynamique de conversion perdure au même niveau que lannée précédente, et ce, pour la troisième année consécutive, suite au pic de 2016. Des éléments explicatifs sont apportés pour chaque filière : bovins lait, bovins viande, monogastriques, viticulture, légumes, PPAM, arboriculture et petits fruits. En complément, deux référents de la CAB (Philippe Caillaud et François Vrignaud) apportent leur analyse sur le développement de la bio en Pays de la Loire. Le second article fournit des informations sur les aides bio. Depuis cette année (2020), il nest plus possible de demander des aides au maintien car le Conseil régional a arrêté de les financer. Il est toutefois possible de solliciter un crédit dimpôt bio de 3 500 (avec transparence pour les GAEC). En revanche, les aides à la conversion (engagement sur cinq ans) peuvent toujours être demandées.
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Les filières laitières, dont le lait bio, toujours dans la tourmente du Covid-19
Tendances Lait Viande est une lettre mensuelle éditée par lInstitut de lÉlevage (Idele) et la Confédération Nationale de lÉlevage (CNE). Elle explique la conjoncture des marchés de la viande et du lait. Durant la crise de la Covid-19, des numéros hors-série ont été réalisés chaque semaine afin danalyser limpact de cette crise sur les marchés français et européens. Ce numéro spécial, datant du 14 mai 2020 et sous forme de diaporama, est dédié à lévolution des marchés laitiers durant cette période avec une partie consacrée au lait bio. Il a été réalisé par Gérard You et Benoît Baron, respectivement responsable du service Économie des filières et chef de projet Conjoncture Lait à lIdele. Après une première partie consacrée à la filière conventionnelle (marché des produits laitiers, prix, collecte, débouchés, exportations ), la seconde partie est dédiée à la filière bio. Durant le confinement, la consommation de lait bio a été boostée même si le marché a été chahuté. Des données plus précises sont apportées sur lévolution de la collecte, des prix, les produits transformés, le lait déclassé, les débouchés et la consommation française. Des focus sont ensuite réalisés sur les filières lait bio de pays voisins : Allemagne, Autriche, Danemark, Pays-Bas. Il est également possible de visionner le webinaire (séminaire en ligne) lié à ce diaporama, afin de bénéficier des explications et commentaires de Gérard You et de Benoît Baron (http://idele.fr/no_cache/recherche/publication/idelesolr/recommends/les-filieres-laitieres-dont-le-lait-bio-toujours-dans-la-tourmente-du-covid-19.html).
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Les nouveaux magasins de la GMS : E-commerce & digital, Services, Shop in shop, Bio (suite 2/2)
Sauveur FERNANDEZ, Auteur4 tendances de la grande distribution sont présentées : - Le E-commerce et les nouveaux modèles économiques digitaux, avec un développement des services connectés qui ne feront pas disparaître l'expérience magasin, mais la complèteront ; - Les services relationnels, contrepoids au tout numérique, viendront renforcer le contact humain physique en proposant des services comme, par exemple, la vente de tickets de transport, un coin cuisine, la mise à disposition de pompes à vélo... ; - le Shop in shop, soit un espace réservé, au sein de la grande surface, à une autre enseigne (boutique dans la boutique), pour créer une ambiance de proximité et de commerce vivant ; - Les produits bio en GMS, en expansion, avec des marques qui affinent leurs stratégies ; - Les magasins bio pourront, en connaissance de cause, anticiper leur évolution tout en évitant certains pièges (robotisation logistique, etc.) et en se réinventant (semences rustiques, permaculture, ressources partagées, monnaie locale...).
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Poules pondeuses bio : Les références technico-économiques 2018
Gérard KERAVAL, AuteurTous les deux ans, les Chambres dagriculture du Grand-Ouest (Bretagne, Pays de la Loire, Normandie et, depuis 2018, Nouvelle-Aquitaine) réalisent des enquêtes auprès de producteurs de poules pondeuses avec parcours afin dobtenir des références technico-économiques. Ces dernières permettent de comparer des systèmes plein air conventionnels et des systèmes biologiques. De 2018 à mi-2019, 6 élevages conventionnels et 19 élevages bio ont été enquêtés. Un premier tableau récapitule les principales références techniques pour les producteurs bio et plein air : taille des lots, durée de présence, nombre dufs par poule, etc. Globalement, la consommation daliments reste le principal levier à surveiller en bio : ce poste représente les ¾ des charges variables. Un autre tableau décrit les charges fixes : elles sont légèrement moins élevées en bio quen conventionnel, et plus particulièrement en ce qui concerne les postes liés à la main duvre permanente et aux annuités. Ces différentes données ont permis de calculer le solde disponible par poule : il est de 6,02 /poule bio en 2018, contre 4,97 /poule bio en 2017. Toutefois, il ne faut pas se réjouir trop vite de cette augmentation car la conjoncture a évolué depuis 2018 (le marché de luf bio serait plutôt excédentaire fin 2019).
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Volailles bio filière longue : Les références technico-économiques 2018
Gérard KERAVAL, AuteurTous les ans, les Chambres dagriculture du Grand-Ouest (Bretagne, Pays de la Loire, Normandie et, depuis 2018, Nouvelle-Aquitaine) réalisent des enquêtes auprès de producteurs de volailles de chair pour obtenir des références technico-économiques. Les productions standards sont les plus représentées, mais la production biologique est également étudiée. Dailleurs, le nombre de lots bio pris en compte dans les enquêtes augmente chaque année, preuve du développement de cette filière. Comparée aux précédentes années, en 2018, la durée délevage en AB névolue guère (86,5 jours). En revanche, une baisse du poids moyen est observée (- 143 g par rapport à 2017) alors que lindice de consommation augmente (+ 0,33 point). Cette évolution est à surveiller car le poste alimentation représente les ¾ des charges variables en bio et cette tendance impacte directement la marge Poussin Aliment (- 0,50 /m2/lot). Les postes de dépenses « chauffage » et « santé » ont baissé, mais les autres charges variables ont augmenté (litière, électricité, main duvre temporaire ). Quant aux charges fixes, elles évoluent peu depuis trois ans. Depuis la réalisation de ces enquêtes, la conjoncture a évolué : fin 2019, en bio, la tendance était plutôt à laugmentation de la durée des vides sanitaires et à larrêt des nouveaux projets.
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Le bio, un marché mondial
Julie BUTLER, AuteurLes enjeux et lavenir du marché mondial du bio ont fait lobjet dun débat lors du 2ème Biofruit Congress, au salon Fruit Attraction (octobre 2019), à Madrid. Selon Pierre Escodo, rédacteur en chef dEurofresh Distribution, le marché mondial de la bio représente 92 milliards deuros. Toutefois, la croissance de la demande en produits bio est en train de ralentir et passe en dessous des 10 % par an. Par ailleurs, les consommateurs sont déconcertés face à la multiplicité des messages. Pour Pierre Escodo, il est ainsi nécessaire dinnover sur les produits bio et sur les manières de promouvoir leur consommation. Pour cela, il est important de prendre en compte certaines typicités liées aux différentes régions du monde : l'importance de la transparence sur les aliments pour les consommateurs en Chine et en Russie ; l'impact environnemental et la réduction des plastiques en Amérique du nord ; le goût en Europe. Actuellement, lEurope de lEst est un marché en croissance rapide : les volumes de produits bio sont encore faibles mais ils augmentent chaque année. La demande croît également en Amérique latine et en Asie.
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Climat : Pourquoi et comment changer notre alimentation ?
Éloïse DESCAMPS, Auteur ; Cyrielle DENHARTIGH, Auteur | TOULOUSE CEDEX 3 (75 Voie du TOEC, CS 27608, 31 076, FRANCE) : SOLAGRO | 2019Ce rapport analyse les interactions entre notre alimentation, le dérèglement climatique et la santé humaine. Il effectue une synthèse des publications les plus récentes. Quelques mesures ou expérimentations déjà mises en uvre dans certains pays sont également évoquées. Ce rapport commence par contextualiser les enjeux environnementaux et de santé publique liés à lalimentation. Il propose ensuite des axes dévolution alimentaire afin de répondre à ces différents enjeux : réduire les surconsommations, diminuer la consommation globale de protéines, réduire le gaspillage, manger moins de protéines animales et plus de protéines végétales, manger plus de produits issus de lagriculture biologique. Ce document apporte également des informations sur les tendances actuelles en matière dhabitudes alimentaires (notamment concernant la consommation de produits animaux) et sur les limites des politiques alimentaires publiques mises en place à ce jour. Enfin, il sintéresse aux déterminants des comportements alimentaires. Il analyse, dans un premier temps, comment léclairage du choix du consommateur peut laider à avoir une alimentation plus équilibrée et plus durable (ex : recommandations nutritionnelles, labels, engagement collectif dans un processus de changement alimentaire). Dans un second temps, il analyse comment lamélioration de lenvironnement alimentaire peut aider le consommateur dans cette démarche (disponibilité des produits, accessibilité économique, accessibilité des commerces, commodité, désirabilité).
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Filières longues : De létable à lassiette, des attentes et des contraintes difficiles à concilier
Marie REDON, AuteurDurant lannée 2019, plusieurs journées ont été organisées en Auvergne-Rhône-Alpes sur la thématique des filières longues en viande biologique (visites doutils dabattage, rencontres avec des opérateurs de la filière). Ces journées ont aussi été loccasion dévaluer les besoins du marché en viande biologique et les perspectives de développement. Alors que la consommation de viande est globalement en baisse, la consommation de viande bio est en hausse : + 20,6 % entre 2017 et 2018 selon lAgence BIO. Plusieurs études montrent également que les consommateurs souhaitent consommer plus de viande bio, même si les metteurs en marché soulignent que ces déclarations ne sont pas toujours corrélées à un acte dachat effectif. Les bouchers sont en revanche assez réticents à acheter et à vendre de la viande bio : contraintes techniques et administratives liées à la certification bio, difficultés à vendre à la fois des produits bio et conventionnels, plus grande hétérogénéité des produits, image négative de la viande bio sur le plan gustatif. Pour les filières longues, notamment en viande bovine, seuls les animaux bio engraissés sont recherchés. Les besoins du marché sont assez linéaires, mais la production est irrégulière. Les opérateurs de la filière insistent sur la nécessité détaler la production et de planifier les sorties danimaux. En parallèle de cet article, un encart présente sur le marché de la viande de veau bio.
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Anticiper les comportements alimentaires de demain : un outil de sensibilisation destiné aux acteurs de la filière alimentaire
Bertrand OUDIN, Auteur ; Julia GASSIE, AuteurCet article rapporte les principaux résultats de létude "Comportements alimentaires de demain", menée dans le cadre du Contrat de filière alimentaire signé en 2013. Cette étude prospective visait notamment à fournir aux entreprises du secteur agroalimentaire un outil de lecture et d'anticipation des tendances de consommation alimentaire. En effet, ces entreprises, surtout celles de petite taille, soit la majorité, disposent de peu de moyens pour recueillir de telles informations. Les principales tendances de consommation alimentaire à l'horizon 2025, au nombre de 16, ont donc été identifiées : - alimentation durable ; - alimentations particulières et communautés ; - alimentation santé-bien-être ; - baisse de la consommation de protéines animales ; - consommateur stratège ; - digital et alimentation ; - faire soi-même ; - individualisation ; - moins de gaspillage alimentaire ; - nostalgie et authenticité ; - nouvelles expériences liées à la mondialisation ; - proximité ; - plus de transparence ; - prêt à manger ; - recherche de naturalité ; - recherche de nouvelles occasions de consommation. Les impacts potentiels sur les acteurs de la filière ont aussi été réfléchis. Une banque de 16 fiches Tendances-Impacts a été construite.