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Marché



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Répondre à la demande du marché de la viande bovine bio par la production d'animaux finis
Florence CHANUT, AuteurLe nombre de vaches allaitantes certifiées bio a augmenté de 17 % dans le Limousin entre 2009 et 2012. Quant au marché national, il augmente d'environ 10 % par an. Or la filière a des difficultés pour répondre à la croissance de la demande. En Limousin, 55 % des ventes sont des broutards ; or 88 % d'entre eux sont commercialisés en conventionnel car l'écart de prix bio/conventionnel est faible, voire inexistant, depuis 2012 pour les animaux non engraissés. Produire des animaux finis permet d'améliorer la valorisation. Un éleveur corrézien bio (EARL Sardenne-Vigroux) en autonomie alimentaire témoigne de ses ventes d'animaux gras, avec des prix indicatifs et des poids de carcasse. L'article indique les coordonnées des organisations de producteurs et des abattoirs certifiés en Limousin.
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SARL La Petite Châtaigne : La châtaigne bio transformée, un marché porteur
TERROIRS BIO RHONE-ALPES, AuteurCette petite entreprise se trouve dans le Parc Naturel régional des Monts d'Ardèche. Contrairement à beaucoup d'acteurs de la filière qui recherchent des grosses châtaignes, elle répond à la faible valorisation des petits calibres. L'entreprise réalise le séchage et la mouture. Identifiés à l'Ardèche grâce à l'AOP Châtaigne d'Ardèche, tous leurs fournisseurs sont certifiés biologiques. De la vente à des boulangers du secteur, ils ont progressivement diversifié leurs débouchés, avec des marchés de plein vent, jusqu'à un contrat avec Markal, ce dernier est désormais leur premier client.
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La Vie Claire : La proximité, une volonté au quotidien
TERROIRS BIO RHONE-ALPES, AuteurLa Vie Claire est acteur engagé dans la distribution de produits biologiques en France depuis 1948. Chaque mois, ce sont 500 tonnes de fruits et légumes bio qui transitent par sa centrale, située à Montagny, dans le Rhône. Sébastien Bas, responsable du secteur fruits et légumes de cette enseigne, souhaite développer l'approvisionnement par les produits de la région Rhône-Alpes. Pour cela, il va à la rencontre des producteurs, à qui il propose un accompagnement et un soutien dans la durée.
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Dossier : L'apiculture rhônalpine butine en bio
ALTERNATIVES BIO, AuteurAlors que la consommation nationale de miel est estimée à 40 000 tonnes, la production française diminue chaque année au bénéfice des importations et au détriment des miels de qualité. Ceci n'est pas sans lien avec la disparition importante, depuis une quinzaine d'années, des cheptels d'abeilles L'apiculture biologique garantit le respect des abeilles et de l'environnement qui les accueille. Rhône-Alpes est la première région apicole française en nombre de ruches certifiées AB (13 500 ruches bio rhônalpines sur les 81 000 ruches bio françaises) et son nombre d'apiculteurs bio a triplé entre 2007 et 2010. Ce dossier, consacré à l'apiculture bio en Rhône-Alpes, aborde plusieurs aspects de l'activité : Miel bio : 2 % du marché européen ; 81 000 ruches certifiées bio chez 414 apiculteurs en France ; Rhône-Alpes : 1ère région française avec 13 500 ruches certifiées AB ; Le marché du miel : des importations croissantes ; Les pratiques de commercialisation des apiculteurs bio en Rhône-Alpes ; Les consommateurs (re)découvrent les richesses du miel bio local ; Le miel bio rhônalpin valorisé en local. Des encarts présentent : La règlementation bio en apiculture ; Un contrat régional d'objectif et de filière pour l'apiculture ; PEP (Pôle d'Expérimentation et de Progrès) Rhône-Alpes apicole ; Miel en ligne ; Abeilles et pesticides ; Gelée royale. Par ailleurs, le témoignage de Bruno Laurent, apiculteur bio à Ardoix, en Ardèche, est présenté.
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Dossier : La grande distribution à l'heure de la bio
ALTERNATIVES BIO, AuteurLes grandes surfaces ont vu leurs ventes de produits biologiques doubler en trois ans. Les GMS représentaient ainsi 49 % du marché bio en 2011. La grande distribution est donc un lieu de vente en croissance pour l'AB, leader même pour les produits laitiers, les ufs ou l'épicerie. Par ailleurs, les grands groupes de GMS, face à une certaine crise de la grande distribution, font évoluer leurs regards vis-à-vis de l'AB, perçue maintenant de plus en plus comme incontournable. Cependant, la demande des consommateurs de produits bio locaux ou encore l'existence d'une concurrence certaine à travers d'autres circuits de vente bio (magasins spécialisés, vente directe) font évoluer les stratégies des GMS qui favorisent l'approvisionnement français, voire local, notamment pour la gamme sous leur marque (ex : Casino avec leur gamme bio 100% origine France). Ceci a amené la création de partenariats avec des producteurs et d'autres acteurs de la bio en France, comme celui des Magasins U avec Porcs Bio de France ou Biolait. Cette volonté des GMS de faire du bio local est aussi une opportunité pour des producteurs voulant livrer ces distributeurs en direct. Par ailleurs, les grossistes et transformateurs s'adaptent pour répondre aux demandes de la grande distribution, avec des stratégies diverses. L'ensemble des témoignages d'acteurs présentés ici montre non seulement l'importance croissante de la GMS pour la production AB française, mais illustre aussi le dynamisme actuel du marché bio.
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Freins et incitations au développement de l'agriculture biologique en France : une analyse à plusieurs niveaux
Laure LATRUFFE, Auteur ; Gilles ALLAIRE, Auteur ; Céline NAUGES, Auteur ; ET AL., Auteur | RENNES (4 Allée Bobierre, CS 61103, 35 011, FRANCE) : INRA, UMR SMART (Structures et Marchés Agricoles, Ressources, Territoires) | 2013En France, en 2011, l'agriculture biologique (AB) couvrait seulement 3,5 % de la surface agricole utile. D'après les chiffres de 2008, seulement 2,3 % du marché alimentaire français était issu de l'AB. Le Grenelle de l'Environnement a décidé de multiplier la surface agricole cultivée en AB par trois en 5 ans. Pour y parvenir, des études sont menées, dans le cadre du projet de recherche PEPP « Rôle de la Performance Économique des exploitations et des filières, et des Politiques Publiques, dans le développement de l'AB », afin de mieux comprendre les facteurs freinant la conversion des exploitations vers l'AB (structure de l'exploitation, pratiques, accès au marché, développement de la filière...). Les analyses réalisées mettent en évidence le lien entre performance économique et décision de conversion, notamment le risque de perte de rentabilité, mais aussi l'importance de la valorisation économique des produits bio, par une filière biologique bien structurée, aux échelles locales et nationales.
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Innovations dans les circuits courts - Facteurs de réussite et points de vigilance
Le document est issu d'une large étude réalisée dans le cadre d'un projet Casdar (2010-2013) : « Élaboration d'un référentiel pour évaluer la performance technique, économique, sociale et environnementale et favoriser le développement des circuits courts de commercialisation ». Ce projet a réuni 61 partenaires. 99 initiatives originales et nouvelles dans les circuits courts ont tout d'abord été repérées. Dans ces exemples, les agriculteurs ont su exploiter des idées, des opportunités, et développer des concepts originaux de vente en circuits courts. Les expériences ont été analysées et classées. 60 fiches sont organisées en 8 chapitres : - Mettre en place des modes de commercialisation en circuits courts qui répondent aux attentes des consommateurs ; - Proposer des activités culturelles, d'information, de sensibilisation des clients pour renforcer et modifier les liens producteurs consommateurs ; - Développer de nouveaux produits et marchés, de nouvelles recettes, pour attirer, surprendre et séduire le consommateur ; - Les circuits courts qui font vivre le territoire, le valorisent, s'en inspirent, mobilisent les acteurs et construisent de nouveaux partenariats s'appuyant sur les personnes et les ressources locales ; - Utiliser les Nouvelles Technologies d'Information et de Communication (NTIC) pour communiquer sur son activité, créer du lien et vendre des produits fermiers ; - Mobiliser les clients sur une éthique de consommation solidaire ; - S'appuyer sur la technologie et les nouveaux procédés pour renforcer la traçabilité, la conservation des aliments et faciliter la logistique de distribution ; - Maîtriser la transformation, la distribution de produits fermiers grâce à des démarches collectives.
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Le pain biologique
ALTERNATIVES BIO, AuteurA l'échelle nationale, les ventes de pains et de farines sont réalisées pour 42 % en magasins spécialisés, 40 % en grande surface, 12 % en boulangerie artisanale, et 6 % en vente directe. Côté consommation, parmi les 62 % de Français consommant des produits biologiques, 42 % d'entre eux consomment du pain biologique. Bioconvergence et les Chambres des métiers et de l'artisanat de la région Rhône-Alpes accompagnent les artisans qui souhaitent développer une gamme de pains biologiques. Au sommaire de ce dossier : Le pain bio plébiscité par les consommateurs ; Le nombre de boulangers bio en Rhône-Alpes a triplé ; Côté recherche ; Sensibiliser les boulangeries à la bio ; Pain bio en restauration scolaire et chasse au gaspillage. Des encarts : Des ingrédients bien choisis ; Une fabrication organisée ; Une communication claire pour le consommateur ; Entretien avec Christian Rémésy, nutritionniste, directeur de recherche à l'Inra ; Paysan boulanger. Des témoignages : Marché de la restauration collective chez Pain de Belledonne ; Le point de vue d'un minotier ; Une boulangerie traditionnelle qui vient au bio.
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Dossier : Aviculture biologique
ALTERNATIVES BIO, AuteurLa France est le 1er pays européen producteur d'ufs biologiques et également le 1er producteur de volailles de chair biologiques. En France, entre 2008 et 2011, le nombre de poules pondeuses biologiques a augmenté de 140 %, avec une forte progression en 2011 (1 poule sur 15 est certifiée AB), et le nombre de poulets de chair biologiques a augmenté de 60 % (1 % du cheptel certifié AB). La région Rhône-Alpes se trouve en 2ème position en nombre d'élevages de poules pondeuses bio et en 5ème position pour le nombre d'élevages de poulets de chair bio et l'effectif de ces élevages a doublé en quatre ans. Actuellement, en Rhône-Alpes, près de 822 000 volailles biologiques - poules pondeuses et volailles de chair confondues - sont élevées par 190 exploitations agricoles. Plusieurs articles composent le dossier : - Les filières organisées représentent les plus gros volumes ; - Une installation réussie avec un atelier poules pondeuses (Rémi Segond, installé depuis 2 ans à Barnave, dans la Drôme, élève 5 000 poules pondeuses bio et cultive 3 ha de vigne et 5 000 m² de sauge médicinale et thym en bio) ; - Sanders à la recherche d'éleveurs de poules pondeuses bio ; - Val d'Eurre, l'uf bio de Rhône-Alpes. Des encarts font le point : Réglementation AB et Label rouge : quelles différences ? ; Les fermiers de l'Ardèche, 1er abattoir pour la volaille bio ; Les AMAP (Association pour le maintien d'une agriculture paysanne), de véritables partenaires ; Satoriz : des partenariats de confiance ; L'uf bio, un produit plébiscité.
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Dossier : La viticulture bio : Un secteur en pleine expansion
ALTERNATIVES BIO, AuteurAvec un fort développement des surfaces en conversion au cours des années 2009/2010, le vignoble cultivé en agriculture biologique a atteint 10 % des surfaces viticoles de Rhône-Alpes et concerne toutes les appellations... Le dossier revient, d'un point de vue statistiques, sur le triplement des surfaces des vignobles en agriculture biologique, en 4 ans, en France (7,4 % des vignobles), sur le marché du vin bio (progression de 11 % de 2010 à 2011), ainsi que sur la production en Rhône-Alpes, dans la Drôme, sur le vignoble ardéchois, en Beaujolais et en Savoie-Bugey-Dauphiné. Jean-Louis Dutravie, viticulteur bio en Beaujolais (converti en 2005), installé depuis 1980 et qui cultive 10,7 ha dont 9,5 ha de Fleurie et 1,2 ha de Brouilly, avec deux ouvriers à plein temps, témoigne de son activité. "Cellier des Dauphins", grand groupe coopératif, fondé en 1965, rassemblant des caves coopératives du Sud de la Vallée du Rhône (Drôme et Vaucluse), est la première marque à proposer, depuis 2009, une AOC issue de vignes conduites en agriculture biologique. Le Cur en bouche, restaurant bio lyonnais dans le 6ème arrondissement, a lancé un concept original : offrir aux clients la possibilité d'acheter le vin qu'ils ont dégusté pendant leur repas et des produits d'épicerie fine. Des encarts présentent : la répartition des ventes de vins issus de raisins bio en 2011 (34 % à l'export) ; le salon professionnel Millésime Bio ; le premier règlement bio européen pour la vinification biologique, adopté le 8 février 2012 ; Ubifrance (appui à l'export) ; la proposition de formation, depuis 2010, de Bioconvergence Rhône-Alpes, en partenariat avec les groupements d'agriculteurs bio, destinée aux magasins spécialisés, aux cavistes et aux restaurateurs régionaux ; le guide des vignerons bio de Rhône-Alpes.