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Maïs



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« Avec la bio, nous vivons bien avec 60 vaches »
Bernard GRIFFOUL, AuteurLe GAEC des Gauds, géré par Bénédicte et Philippe Chausse, est basé dans les Monts du Pilat (Loire), entre 900 et 1 000 mètres daltitude. En 2015, malgré une bonne production de lait, les résultats économiques de la ferme nétaient pas satisfaisants en raison des fortes variations du prix du lait conventionnel et des coûts élevés engendrés par leur système laitier intensif en zone de montagne. Les éleveurs ont alors entamé une conversion à lagriculture biologique avec laide de Jean-Pierre Monier, référent bovin lait bio à la Chambre dagriculture dAuvergne-Rhône-Alpes. Cette conversion sest bien déroulée, sans baisse de productivité (8 500 L/vache). Elle a toutefois nécessité une forte réorganisation des rotations de cultures (pour sortir du système maïs sur maïs), avec une introduction massive de légumineuses. Bénédicte et Philippe Chausse arrivent ainsi à avoir de faibles coûts alimentaires. Leur coût de concentrés (51 /1 000 L) est dailleurs équivalent, voire inférieur, à celui des éleveurs conventionnels, alors quen bio, laliment coûte deux fois plus cher. Cet article explique plus amplement le système fourrager mis en place sur cette ferme depuis sa conversion à la bio. Il détaille également les résultats technico-économiques (année 2020), et apporte des données sur les principaux produits et charges (ramenés aux mille litres pour pouvoir les comparer avec d'autres fermes laitières). Les résultats technico-économiques sont comparés à un cas-type bio AuRA (2019).
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Choisir & décider Maïs : variétés et fertilisation en agriculture biologique Synthèse nationale 2020
Cette synthèse nationale, dédiée aux variétés et à la fertilisation organique du maïs en agriculture biologique, rassemble les résultats de différents réseaux dessais coordonnés par Arvalis Institut du végétal, en collaboration avec de nombreux partenaires. Dans la première partie, les principales caractéristiques de différentes variétés sont récapitulées dans des tableaux synthétiques (rendement, précocité, PMG, humidité de la récolte ). Les résultats sont présentés en fonction de la zone géographique des essais avec, dune part, les résultats du réseau Nord et Centre (12 variétés testées, appartenant aux groupes de précocité G0, G1 et G2) et, dautre part, les résultats du réseau Sud et Alsace (14 variétés testées, appartenant aux groupes de précocité G4 et G5). Concernant la fertilisation organique, abordée dans la deuxième partie, plusieurs points sont évoqués : le rôle des rotations dans la gestion de lazote, la comparaison de différents engrais azotés organiques, lorigine des matières premières et la disponibilité de lazote des engrais à base de sous-produits animaux, la comparaison de différentes stratégies dapports, les effets de la fertilisation starter en AB, la rentabilité économique des apports dengrais, puis des préconisations de fertilisation du maïs en AB (récapitulées sous la forme dun schéma).
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Cultivons une biodiversité innovante et collective en Nouvelle-Aquitaine
Adrien AME, Auteur ; Elsa BERTHET, Auteur ; Doette BRUNET, Auteur ; ET AL., Auteur | COURSAC (7 Impasse de la Truffe, 24 430, FRANCE) : AGROBIO PÉRIGORD | 2021Le projet CUBIC Nouvelle-Aquitaine (2018-2020) a réuni 13 partenaires, avec pour objectif de développer des dynamiques collectives de sélection participative de variétés paysannes, dans une démarche agro-écologique. Le travail sur la biodiversité cultivée et les semences paysannes a démarré il y a près de 20 ans en Aquitaine et a fait de cette région une pionnière dans ce domaine, avec une reconnaissance aux niveaux national et international. De très nombreuses initiatives ont émergé de lessaimage porté par les structures de "Cultivons la Biodiversité en Nouvelle-Aquitaine", qui participent aujourdhui activement au développement des semences paysannes, en plein essor en France et en Europe. Parallèlement, la recherche participative se développe également et la thématique de la biodiversité cultivée est lune des premières à être traitée dans ce champ de recherche. Cette publication, réalisée dans le cadre du projet CUBIC, présente le fonctionnement des structures impliquées et les expériences de sélection pour : le maïs population, les céréales à paille, les potagères, ainsi que leur valorisation en alimentation humaine. La sélection des fourragères est aussi abordée.
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Dérobées estivales à la Ferme expérimentale des Bordes : Des espèces en test contre la sécheresse
Frédéric RIPOCHE, AuteurDes essais ont été mis en place à la Ferme expérimentale des Bordes, dans l'Indre, depuis 2019, pour tester une douzaine despèces fourragères en dérobées estivales, afin de renforcer lautonomie alimentaire en bovins allaitants dans un contexte de changement climatique. Les capacités de production entre juin et septembre et les valeurs alimentaires ont été mesurées. L'appétence des différentes espèces a été évaluée. En 2019, année très chaude et très sèche, les productions ont été faibles. Le sorgho et le millet perlé ont donné les meilleurs résultats. 2020 a été plus favorable : le blé égyptien, le maïs, le sorgho, le millet perlé, le moha et le teff grass sont ressortis.
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Étude sur les Grandes Cultures Biologiques en UE et dans les principaux pays tiers
Afin de compléter une étude menée en 2019 par lObservatoire de lAgence BIO, lAgence BIO, Intercéréales et Terres Univia ont lancé une étude approfondie sur les grandes cultures bio dans lUnion européenne et dans certains pays tiers. La réalisation de cette étude, confiée à Ecozept et AND International, avait pour objectifs de : 1 - recenser les volumes produits au cours des cinq dernières campagnes et établir une prospective pour les cinq prochaines campagnes ; 2 - recenser les prix sur les cinq dernières années dans les différents pays étudiés ; 3 - analyser les échanges de produits issus des grandes cultures intra-Union européenne et avec les principaux pays tiers ; 4 - exposer lenvironnement politique et règlementaire, ainsi que le soutien apporté au secteur bio dans les différents pays étudiés ; 5 - établir un carnet dadresses dexperts des grandes cultures biologiques pour les pays étudiés (hors France). Elle a porté sur 18 pays, dont douze États membres de lUE (Allemagne, Autriche, Danemark, Espagne, France, Italie, Lituanie, Pays-Bas, Pologne, Roumanie, Royaume-Uni et Suède) et six États tiers (Chine, États-Unis, Inde, Russie, Togo et Ukraine). Ce document en présente les principaux résultats.
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Fiche technique : Agriculture biologique : Le maïs fourrage : du champ à lauge
Le maïs fourrage possède plusieurs avantages : il est très riche en énergie, peut donner un rendement conséquent en une seule coupe et valorise bien les reliquats azotés. En revanche, il est pauvre en MAT et est très sensible au déficit hydrique durant lété. Cette fiche technique présente son itinéraire technique en agriculture biologique : place du maïs fourrage dans la rotation, choix de la variété (indice de précocité, vigueur au départ, port des feuilles, date de semis, semences populations ), implantation, fertilisation (azote, phosphore et potassium) et désherbage mécanique. Elle décrit également comment ce fourrage peut être valorisé dans les rations des animaux aux besoins importants (vaches laitières en lactation, vaches ou bufs en finition, chèvres en lactation et agneaux), sachant quil peut être récolté sous différentes formes (maïs ensilage, maïs épi ou maïs grain humide).
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Fourrages et prairies 2.0
C. ALLAIN, Auteur ; Jérôme PAVIE, Auteur ; P. GAUTIER, Auteur ; ET AL., AuteurCe numéro de la revue « Fourrages » est consacré à lutilisation de nouveaux outils, notamment des nouvelles technologies (objets connectés) et des jeux sérieux, pour optimiser la gestion des fourrages et des prairies. Les différents articles regroupés dans cette revue portent ainsi sur : 1 lintérêt des objets connectés appliqués aux fourrages, à la conduite des prairies et à la surveillance des animaux ; 2 lutilisation de données satellites pour quantifier la production dherbe et de biomasse ; 3 le recours à la télédétection pour prédire la biomasse du maïs ; 4 la prévision de la croissance de lherbe en Irlande ; 5 la spectrométrie dans le proche infra-rouge pour évaluer la valeur alimentaire des fourrages ; 6 lutilisation de colliers de monitoring pour optimiser le pâturage des vaches laitières ; 7 la prise en main de clôtures virtuelles pour gérer le pâturage ; 8 la mise en réseau dacteurs de la prairie pour accélérer les échanges et les innovations ; 9 lappropriation, par des agriculteurs en Cuma, des stations météo connectées et des outils daide à la décision associés ; 10 - les jeux sérieux en élevage pour transférer les connaissances ; 11 lanimation de séances de diagnostic prairial en collectif pour favoriser le vieillissement des prairies temporaires (outil PERPET) ; 12 un jeu sérieux pour tout comprendre sur les prairies du Massif Central (AEOLE-le-jeu) ; 13 peu doutils numériques en élevage pâturant ; 14 la mesure de la hauteur despèces fourragères pérennes par photogrammétrie.
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Houe rotative : Un bon casse-croûte
Yann EVENAT, AuteurLe revue Symbiose a réalisé une série darticles sur des outils de désherbage mécanique (ces articles ont été écrits dans le cadre du projet Désherbméca). Ce deuxième volet est consacré à la houe rotative. Cette dernière est arrivée en France, il y a une trentaine dannées, et reste assez peu plébiscitée par les agriculteurs français, comparée à dautres matériels de désherbage mécanique. Elle a, néanmoins, des atouts à faire valoir, notamment sa robustesse et son débit de chantier important (il faut travailler au minimum à 16 km/h). Le désherbage se fait grâce à la projection de terre et au décollage des adventices au stade filament blanc (lefficacité diminue de 65 % dès que le stade cotylédon de ladventice est atteint). La houe rotative travaille en « plein » sur la culture et elle peut être passée à des stades de culture très jeunes. Sur maïs, elle peut sutiliser du semis au stade 3 feuilles. En général, deux passages sont effectués. Sur céréales, la houe rotative peut sutiliser du stade trois feuilles au stade début épiaison. Elle peut également être utilisée en hiver pour « écroûter » les céréales et relancer la minéralisation.
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Du @-learning sur le désherbage mécanique du maïs
Muriel ASTIER, AuteurDepuis 2005, AGROBIO 35 accompagne des agriculteurs bio et conventionnels sur la thématique du désherbage mécanique. En 2020, AGROBIO 35 a accompagné 29 fermes bio ou en conversion, ainsi que 89 fermes conventionnelles (570 ha). En bio, lobjectif est de viser un désherbage 100 % mécanique, tandis quen conventionnel, lobjectif est de réduire lutilisation de produits phytosanitaires en effectuant au moins le premier désherbage de pré-levée mécaniquement. Depuis mars 2021, AGROBIO 35 met à disposition une formation digitale de quatre heures sur cette thématique, qui peut être complétée par un module en présentiel. Cette formation aborde les points suivants : 1 Quattendre du désherbage mécanique ? ; 2 Fondamentaux pour la gestion des adventices ; 3 Se préparer au désherbage mécanique ; 4 Les outils du désherbage mécanique ; 5 Mise en place dune stratégie de désherbage adaptée (en bio et en conventionnel) ; 6 Quelle stratégie dinvestissement dans le matériel (en bio et en conventionnel) ?. Cette formation en ligne repose sur des vidéos, des témoignages dagriculteurs et dexperts, des graphiques, des supports pédagogiques, un espace documentaire, des auto-évaluations et un forum déchanges. Elle peut être complétée par un module en présentiel pour approfondir certains points. Lobjectif dAGROBIO 35, dici 5 ans, est de former plus de 8 000 agriculteurs et 200 techniciens/formateurs.
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Maïs bio : Une plante exigeante mais qui le rend bien
Yann EVENAT, AuteurLe maïs est une culture exigeante en eau, en azote et avec un coût de production important. Conduite en agriculture biologique, cette culture présente un niveau d'exigence à tous les stades et des contraintes à prendre en compte : coût de production élevé, technicité de la culture, dépendance annuelle pour la semence (sauf à travailler avec des maïs population). Malgré ces contraintes, en Bretagne, la culture du maïs en AB présente des avantages certains : très bonne valorisation de l'azote issu du retournement des prairies, culture sarclée intéressante dans la rotation, rendement assez élevé (grain et fourrage) et régulier. Cet article fait le point sur les étapes-clés et les bonnes pratiques pour ne pas rater cette culture.
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Maïs, tournesol, soja, sorgho Quelle offre variétale pour répondre aux besoins ?
Jean-Martial POUPEAU, AuteurLes cultures dété, telles que le maïs, le tournesol, le soja et le sorgho, sont très présentes dans les rotations des grandes cultures et participent à leur diversification. Dans cet article, plusieurs entreprises semencières expliquent les stratégies quelles mettent en place afin de répondre aux besoins des agriculteurs bio pour ces espèces. Dans un premier temps, Limagrain, RAGT Semences, Saatbau, Maïsadour, Euralis Semences, Caussade Semences et Semences de France répondent chacune à la question « Quels sont les principaux critères de sélection des variétés disponibles en bio, tant au niveau agronomique que celui du marché ? ». Dans un deuxième temps, certaines de ces entreprises expliquent « Dans quelles conditions seffectue la multiplication en bio » et répondent à la question « Faut-il sattendre cette année [2021] à des tensions sur la disponibilité de certaines espèces au vu des conditions climatiques difficiles pour la production de semences en 2020 ? ».
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Les mycorhizes : Des alliées dans l'alimentation et la protection des plantes
François HIRISSOU, AuteurEnviron 80 % des familles de plantes vasculaires sont mycorhizées, c'est-à-dire qu'elles vivent en symbiose avec des champignons - les mycorhizes - présents dans le sol. Les bénéfices sont mutuels, les champignons bénéficient de produits carbonés produits par la plante via la photosynthèse. En agriculture, certains services rendus par la mycorhization sont recherchés, comme la biofertilisation (amélioration de la nutrition des plantes), la protection contre le stress hydrique et les organismes pathogènes, mais aussi une meilleure biostabilisation des sols, ou encore une production végétale de meilleure qualité pour la santé humaine. Les champignons mycorhiziens entretiennent également des relations bénéfiques avec les rhizobactéries, bactéries présentes à proximité des racines des plantes, dont ces dernières bénéficient aussi. Plusieurs pratiques agricoles favorables à la mycorhization sont aujourd'hui connues, comme le non-retournement des sols, la fertilisation organique, etc. Le projet Mycoagra, porté par la Chambre d'agriculture de Dordogne, vise à étudier le statut mycorhizien du noyer et du maïs.
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Une question à un million
Tiphaine CHEVALLIER, Auteur ; Isabelle BERNOUX, Auteur ; Caroline GAUJOUR, Auteur | [S.l.] : GAUJOUR, Caroline | 2021Réalisée pour le compte de l'Institut de Recherche et de Développement, cette BD interactive a été conçue comme un outil pédagogique, pour illustrer la complexité des problèmes qui touchent les projets de recherche et de développement rural à Madagascar. L'histoire met en scène Thomas, jeune consultant international, qui reçoit une proposition d'un bailleur international souhaitant investir 1 million d'euros dans le développement rural. Il doit utiliser cet argent dans le cadre de laccord de Paris sur le climat, dans le secteur agricole et à Madagascar. La portée de ce projet et les conséquences sur les populations peuvent être importantes. Comment et avec qui définir de tels projets ? Quels sont les objectifs souhaitables ? Comment utiliser au mieux l'argent de la coopération ? Le lecteur est invité à aider Thomas à définir son projet de développement rural.
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Réduction du travail du sol : 15 producteurs bio se tirent labour
Robin GUILHOU, AuteurDepuis début 2020, Agrobio 35 anime un groupe départemental de 15 fermes bio, qui souhaitent réduire le travail du sol. Lobjectif de ces agriculteurs est de mettre en place du non labour sans impacter négativement le fonctionnement du sol, lenherbement des cultures ou le rendement. Ce travail est financé, pour une durée de trois ans, par la région Bretagne, dans le cadre dun projet Agriculture Écologiquement Performante (AEP). Cet article présente les résultats des premiers essais réalisés sur maïs et sarrasin. Trois modalités ont été comparées : un labour classique, un labour agronomique (charrue déchaumeuse), un non labour (cultivateur, rotavator et Dynadrive). Des profils de sols ont été réalisés en amont des semis, afin de caractériser létat des parcelles et un suivi a été effectué sur la culture (levée, vigueur, enherbement, taux de sucre, dynamique azotée sur lhorizon 0-30 cm, température du sol, rendement). Sur maïs, la réduction du travail du sol a engendré une petite diminution au niveau des levées, mais une vigueur légèrement plus importante. Lenherbement est plus marqué en non labour et les rendements en non labour sont très variables dune parcelle à lautre. En sarrasin, le non labour a également conduit à un enherbement plus important et à un rendement moindre. Le groupe va explorer plusieurs pistes pour améliorer les itinéraires techniques sans labour.
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Agroforesterie fruitière : Des céréales entre les minivergers
Cécile PRALY, AuteurDans la Drôme, une des parcelles de la plateforme TAB (techniques alternatives et biologiques) est dédiée à lexpérimentation dun système en agroforesterie fruitière bio. Ce système a été implanté en 2013, sur une parcelle de 3 ha. Il est constitué dune succession de bandes de minivergers de pêchers et de cultures céréalières : blé (sur 18 m de large), pêchers (trois rangs sur 60 m de large), soja (18 m), pêchers (trois rangs sur 60 m), maïs semence (18 m). Cette parcelle est également jalonnée de haies pour accueillir des insectes et des animaux auxiliaires des cultures. Ce projet est piloté par la Chambre dagriculture de la Drôme et il a pour objectif dexpérimenter une combinaison de cultures adaptées au territoire et aux filières locales en utilisant les principes de lagroécologie et de lagroforesterie. Fin 2018, seulement deux récoltes de pêches avaient pu être ramassées (entrée en production du verger en 2015, puis grêle en 2016 et 2018). Les récoltes atteignent toutefois lobjectif visé : 15 tonnes commercialisables par hectare. Les cultures de soja, blé tendre et colza montrent également des résultats positifs, avec des rendements moyens respectifs de 42 qx/ha, 43 qx/ha et 25 qx/ha. Le maïs semence et la féverole dhiver sont en revanche un peu en deçà des objectifs (15 qx/ha et 20 qx/ha). Dun point de vue environnemental, la parcelle accueille une biodiversité remarquable : 50 espèces de carabes et 35 espèces doiseaux nicheurs ont été dénombrées.