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Pastoralisme



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Conférence : Usages du numérique en agriculture biologique : Une diversité doutils au service des producteurs, de la communication digitale à la robotique
Noémie BERNARD LE GALL, Auteur ; Jean-Marc GAUTIER, Auteur ; Régis HELIAS, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ACTA - LES INSTITUTS TECHNIQUES AGRICOLES | 2021A loccasion de lédition 2021 du salon Tech&Bio, lACTA a organisé une conférence sur les usages du numérique en agriculture biologique. Pour cela, lACTA sest appuyé sur les travaux du RMT NAEXUS (Réseau Numérique Agricole pour lEnseignement, leXpérimentation et les USages de lagriculture numérique), dont l'association assure la coordination. Après avoir présenté ce RMT, trois intervenants ont été invités à apporter leurs connaissances : 1 - Régis Hélias, dArvalis-Institut du végétal, a présenté les apports du numérique en grandes cultures bio en fournissant un panorama de technologies ; 2 - Jean-Marc Gautier, de lIdele-Institut de lélevage, a apporté des informations sur lutilisation des nouvelles technologies dans les élevages bio ; 3 Laetitia Fourrié, de lITAB-Institut de lagriculture et de lalimentation biologiques, a détaillé les contributions des médias sociaux à la transition agroécologique.
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Dossier : Les chèvres suivies par GPS
Bérenger MOREL, Auteur ; Damien HARDY, AuteurDepuis quelques années, certains éleveurs équipent leurs chèvres de GPS afin de les géolocaliser au pâturage. Ce dossier fait le point sur cette pratique : - témoignages déleveurs qui gagnent du temps en pouvant sabsenter un peu et retrouver facilement leur troupeau ; - présentation des différentes balises GPS et les critères à favoriser ; - présentation de colliers GPS utilisés comme clôtures virtuelles (sur ovins et bovins) : lorsquun animal franchit la clôture virtuelle, il est prévenu par une mélodie, puis par un stimulus électrique. Léleveur est également averti au-delà de trois séquences dalerte ; - présentation du projet Clochète, porté par lInstitut de lElevage. Ce projet a permis de développer une balise combinant GPS et accéléromètre, afin de caractériser le comportement des chèvres au pâturage (immobile, pâture, rumine ou se déplace). Cet outil permet de signaler à léleveur un déséquilibre éventuel de pâturage (lié à une ressource herbagère non suffisante, par exemple, ou à un stress) ou encore de distinguer les zones de fort passage, les zones délaissées et ainsi daider à la prévision du calendrier pastoral.
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Dossier : Les systèmes fourragers s'adaptent au changement climatique
Aurélie MADRID, Auteur ; Jean-Christophe MOREAU, Auteur ; Émilie SKOWRON, Auteur ; ET AL., AuteurLes éleveurs caprins doivent faire face à des aléas climatiques de plus en plus intenses et récurrents qui impactent fortement les systèmes fourragers. Dans ce dossier, après un exposé des évolutions climatiques à attendre pour les années à venir et de leurs impacts sur la production fourragère, des résultats de recherche et des témoignages d'acteurs de la filière caprine viennent proposer des pistes d'adaptation : sélection variétale et mélanges prairiaux ; résilience des systèmes caprins (projet REDCap) ; diversification des surfaces fourragères, y compris par l'implantation de cultures dérobées et d'arbres fourragers ; ou encore systèmes basés sur le pastoralisme.
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Drôme : Du chevreau sous la mère en système pastoral méditerranéen
Annabelle WÜRBEL, AuteurLa ferme Farigoule et Cie est basée dans le sud de la Drôme. Elle repose entièrement sur un système pastoral, avec une centaine de chèvres de race Rove conduites en agriculture biologique. Les associés de la ferme ont fait le choix délever les chevreaux sur place et de produire ainsi une viande de qualité. Les chèvres mettent bas fin février et restent dans les bâtiments durant cette période. Une fois les mises bas terminées, elles sortent dehors pour pâturer. Les chevreaux sont triés chaque jour afin que les plus âgés sortent avec le troupeau, et que les plus jeunes restent en bâtiment (ils sont trop petits pour suivre le troupeau). Une fois le poids de 10 kg atteint, vers lâge dun mois et demi ou de deux mois, les chevreaux sont amenés à labattoir, pour être vendus à lexport ou dans certaines grandes surfaces au moment de Pâques, en tant que chevreaux de lait. La viande nest toutefois pas rémunérée à sa juste valeur : 3,20 /kg vif. Dans une moindre proportion, la ferme valorise aussi quelques chevreaux lourds en vente directe (3 mois), en pré-commande via une Amap. Il serait possible de développer cette vente directe, mais le facteur limitant est labattoir, situé à plus d1h30 de route. Une fois les chevreaux élevés, la saison fromagère peut démarrer.
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Etre « de la nature » ? Quels liens entre humains et non humains ?
Goulven LE BAHERS, Auteur ; Didier GOMES, AuteurLes éleveurs et éleveuses du Civam Empreinte (Occitanie) font pâturer leur troupeau dans des espaces peu anthropisés. En composant avec la végétation offerte par les parcours, ils ont limpression de faire partie de la nature. Ces éleveurs ont décidé dengager une réflexion afin de comprendre les liens quils tissent au quotidien avec leurs animaux, ainsi quavec les autres espèces vivantes. Lobjectif est ainsi de mieux appréhender ces liens, de pouvoir les expliquer et les partager, mais aussi de comprendre les points de vue des citoyens sur leur métier et de leur faire découvrir la réalité. Leur projet est financé sur trois ans par la Fondation de France et dans le cadre d'un GIEE nommé « Consolider les pratiques économes et autonomes et leur acceptabilité sociale vis-à-vis du travail des éleveurs et des demandes sociétales ». Ce lien éleveur-nature sera abordé sous un angle technique (fonctionnement des systèmes), anthropologique, psychologique et philosophique. Ce travail devrait aboutir à la création doutils pratiques, à des rencontres éleveurs-citoyens et à un film retraçant cette réflexion.
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Fourrages et pastoralisme
M-O. NOZIERES-PETIT, Auteur ; L. ETIENNE, Auteur ; F. LAUNAY, Auteur ; ET AL., AuteurCe numéro de la revue « Fourrages » est dédié au pastoralisme. Il commence par un éditorial intitulé « 5 ans de travaux au sein de lUMT Élevages Pastoraux en territoires méditerranéens ». Il apporte des informations sur : 1 - les grands traits de lélevage pastoral aujourdhui en France ; 2 - la reconnexion élevage pastoral agriculture dans les territoires méditerranéens ; 3 - les liens entre élevages pastoraux et territoires (enjeux et regards croisés) ; 4 les nouvelles pratiques agroforestières pour les élevages allaitants du piémont pyrénéen ; 5 - des outils numériques centrés sur le comportement des animaux pour assister la conduite du pâturage sur parcours ; 6 - des outils et des méthodes pour enseigner et accompagner lutilisation des parcours ; 7 la diversité des installations en élevage et des trajectoires dentrée dans le métier déleveur dans les territoires pastoraux.
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Loire : La ferme de la Loge de printemps
Lucie VERDIER, AuteurEn 2016, le Conservatoire despaces naturels (CEN) Rhône-Alpes avait lancé un appel à projet pour réhabiliter les terres des Hautes Chaumes. Ces estives, situées au cur des Monts du Forez, sur les hauteurs de Montbrison, ont été abandonnées, il y a une cinquantaine dannées, au profit de terres plus faciles à travailler. Guillaume Vialette et Stéphanie Moulin ont répondu à cet appel à projet en proposant de faire revivre les loges, de petits bâtiments en pierre où étaient traditionnellement effectuées la traite et la transformation laitière au milieu de ce plateau montagnard. Leur projet bio a été retenu : 100 ha leur ont été attribués pour faire pâturer des vaches et des chèvres durant lété. Le travail en estive est intense. Ils ont décidé d'embaucher un salarié, Tristan Dupuis, jeune fromager dans le Beaufortin. Ce dernier a rejoint la ferme en 2019. Tout le lait produit est alors transformé. Parallèlement, Annaëlle Barbe et Jérôme Prévieux se sont installés à proximité. Les deux fermes ont fusionné en 2021, pour créer un nouveau GAEC, ce qui a permis de réorganiser le travail : plus dhumain, plus de flexibilité et plus de repos. Actuellement, les associés se rémunèrent chacun 1 200 par mois après le paiement des cotisations MSA, avec un EBE de 55 000 . Leur objectif est de dégager 1 500 par mois, avec un EBE de 175 000 .
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Nouvelles pratiques agroforestières pour les élevages allaitants du piémont pyrénéen en Ariège
C-H. MOULIN, AuteurLobjectif du projet Agrosyl est de favoriser les associations entre larbre et lélevage allaitant. Un diagnostic a permis didentifier 34 solutions impliquant larbre pour répondre aux besoins des éleveurs. Deux solutions ont été testées chez quatre agriculteurs : une banque darbres fourragers et une éclaircie sylvopastorale. La banque de fourrage de mûriers blancs, testée chez un éleveur sur une parcelle pilote de 0,25 ha, a donné un fourrage avec une bonne qualité nutritionnelle, disponible durant lété, et qui a bien été accepté par les animaux. Les tests déclaircies sylvopastorales ont été réalisés, chez trois éleveurs, sur différents peuplements, avec taillis, futaies et accrus, à base de chênes pubescents, robiniers faux acacia et frênes communs. Le suivi sur quatre ans a montré limportance de la maîtrise du pâturage après éclaircie pour prévenir un développement trop rapide des broussailles, tout en favorisant la pousse des herbacées en sous-bois.
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De la plaine à lalpage, « La Festuca »
Elia STAMPANONI, AuteurVincenzo Bortolotti était électromécanicien en Suisse. Il a commencé à élever trois vaches en 1973, durant une période de chômage. Il a alors décidé de continuer dans le secteur agricole et a acquis de lexpérience en alpage, tout en suivant une formation de fromager. Il a augmenté son nombre danimaux en élevant ses propres veaux. Sa ferme a été certifiée bio dès 1986. Vincenzo Bortolotti a toujours transformé le lait à la ferme, à la fois par passion et par nécessité puisquil nexistait pas de filière lait bio (le lait serait sinon parti en conventionnel). Au départ, ses enfants avaient dautres intérêts que lagriculture mais, à partir de 2009, ils ont commencé à sinvestir dans la ferme et ils sont actuellement à la tête de lexploitation. Outre les alpages, la ferme dispose maintenant de 40 ha, dont 4,5 ha de châtaigneraies et une culture de kakis. La vente de fromages, de caissettes de viande et de fruits se fait en direct ou par le biais dune coopérative (ConProbio). En 2020, avec le confinement, la demande en produits locaux a explosé, à tel point que les stocks en fromages de la ferme étaient déjà épuisés au printemps.
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Le problème des plantes problématiques
René SCHULTE, AuteurEn Suisse, trouver une estive bio nest pas facile ; or, en conventionnel, on observe, depuis quelques années, une augmentation de lutilisation des herbicides sur les alpages. Ceci est lié à lODP (Ordonnance sur les Paiements Directs) qui prescrit quil faut lutter contre les plantes problématiques (séneçon, rumex, chardon, fougère...) et qui peut entraîner un moindre paiement en cas de non réalisation. Franz Steiner, conseiller bio au FiBL, donne les clés dune maîtrise de ces plantes sans utiliser dherbicides (pâturage précoce, pression de pâture suffisante, bonne gestion du pâturage et fertilisation réfléchie, arrachage, coupe avec le matériel adapté ). Le témoignage dun couple déleveurs bio détaillant leur lutte contre les plantes problématiques complète cet article. Couper trois fois par an pendant trois ans permet de réduire de nombreuses adventices. Pour le conseiller, il est également important de sensibiliser les acteurs aux bénéfices écologiques de nombreuses plantes problématiques (sites de reproduction pour les oiseaux, source de nourriture pour les chenilles ) et il ne comprend pas pourquoi lortie est classée ainsi.
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La reconnexion élevage pastoral - agriculture : retour aux sources ou voyage vers le futur, pour lagriculture et les territoires méditerranéens ?
M. NAPOLEONE, Auteur ; M. CRESTEY, Auteur ; P. THAVAUD, Auteur ; ET AL., AuteurEn zone méditerranéenne, lélevage pastoral est impliqué dans des projets de reconnexion avec les cultures pérennes (viticulture ou arboriculture), les grandes cultures (céréales) et la valorisation de friches agricoles. Appuyé par des études de cas en zone méditerranéenne française, cet article discute trois aspects particulièrement prégnants à la réussite des projets de reconnexion agriculture-élevage pastoral : 1 - lintérêt de mobiliser une diversité de ressources dans lespace et dans le temps ; 2 - la coordination entre de multiples acteurs ; 3 - lapprentissage en condition dincertitude.
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Systèmes pastoraux : Faire pâturer ce quon a
Alexis MEYER, AuteurLAssociation pastorale de la montagne limousine (APML) a accueilli, les 2 et 3 février 2021, des animateurs, des éleveurs et des porteurs de projets venant de plusieurs régions (Finistère, Pays Basque et Hérault) pour échanger sur le pâturage de végétations semi-naturelles. Ces journées, riches en discussions, ont été ponctuées par deux visites de fermes et par la présentation des premiers résultats de la thèse de Nathan Morel. Cette thèse porte sur les systèmes agropastoraux du plateau de Millevaches. Par ailleurs, cet article présente les systèmes fourragers de trois fermes pastorales, dont deux en bio. Léo et Namik, installés en Corrèze depuis dix ans, ont développé leur troupeau pour atteindre 200 brebis et 6 vaches Highlands. Leur ferme compte 100 ha de SAU : 25 ha de prairies mécanisables, 20 ha de tourbières, 20 ha de prairies pentues sur fond humide et 35 ha de friches forestières. Johanna, éleveuse d'ovins dans la Creuse, fait principalement pâturer des tourbières plus ou moins envahies de ligneux. Les années sèches, lorsque ses brebis nont plus rien à pâturer, elle tronçonne des saules, des bouleaux et des bourdaines pour nourrir son troupeau.
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André Leroy, berger d'alpage
Etienne LANDAIS, Auteur ; Jean-Pierre DEFFONTAINES, Auteur | AVIGNON (19 Rue Agricol Perdiguier, 84 000, FRANCE) : CARDÈRE ÉDITEUR | 2020
André Leroy est berger. Originaire des Flandres, il a fait ses études secondaires en banlieue parisienne avant d'entreprendre des études de sociologie, puis de se former finalement à la menuiserie. En 1974, après quelques années à l'usine, il a décidé, à 25 ans, de devenir berger. Les auteurs de cet ouvrage, docteur vétérinaire spécialisé dans l'étude des systèmes d'élevage pastoraux et agropastoraux des zones tropicales et tempérées pour le premier, géographe et agronome, chercheur à l'Inrae pour le deuxième, ont rencontré André Leroy à plusieurs reprises. Leurs échanges ont abouti à un projet de recherche qui a donné lieu à un rapport, publié en 1988, et dont est issu, pour partie, cet ouvrage. Sa diffusion a changé le regard sur l'alpage et sur le métier de berger, en révélant toute sa complexité. André Leroy a décrit son métier avec passion, rigueur et précision et a fourni d'innombrables détails et réflexions sur sa manière d'envisager les relations avec la nature. Sa façon d'exercer son métier de berger s'inscrit dans un cadre large et exigeant, celui d'un projet profondément moderne d'une autre gestion possible de la nature qui plonge ses racines dans le sens commun. Ce projet interpelle profondément nos contemporains et explique en grande partie le profond écho que soulève la lecture de ses propos chez la plupart des lecteurs. Aujourd'hui, André Leroy a plus de 70 ans et continue de garder l'estive. Avec une conception peu commune de son métier d'animalier, il est considéré par ses pairs comme une référence, un des meilleurs bergers du monde.
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Laptitude de la chèvre de race pyrénéenne à valoriser la broussaille : une opportunité pour les éleveurs... et pour le territoire !
Ce recueil de témoignages est issu du travail réalisé par Solène Le Goff, en 2019, lors de son stage à lassociation La Chèvre de race pyrénéenne. A travers onze témoignages déleveurs, ce recueil explore les atouts de la chèvre pyrénéenne, et notamment son aptitude à valoriser la broussaille. Les objectifs des éleveurs interrogés sont variés : faire manger les ronces et créer de lherbe pour les brebis, rouvrir le paysage, être autosuffisant, entretenir un site (site ERDF, zone Natura 2000), produire des savons, produire de la viande (transformation en produits charcutiers)
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Construire les transitions en COMMUN(S)
Patrick GRIMAULT, Auteur ; Antoine CARRET, Auteur ; Elsa EBRARD, AuteurCap Rural (Réseau Rural Auvergne-Rhône-Alpes) a organisé, en septembre 2019, la 8ème journée annuelle InnovRural. Lobjectif de cette journée était déclairer les enjeux liés aux transitions des territoires ruraux sous le prisme des communs. Les communs, ou biens communs, sont des ressources gérées collectivement par une communauté. Cette communauté établit des règles et une gouvernance dans le but de préserver et de pérenniser cette ressource. Il peut aussi bien sagir de ressources matérielles (ex : une ressource naturelle), quimmatérielles (ex : un savoir-faire). Alors que, dans notre société, les enjeux et les tensions autour de lappropriation des ressources et des biens sont de plus en plus importants, Cap Rural a proposé cette journée afin de décrire comment les communs peuvent réinterroger les enjeux des territoires ruraux. Trois exemples de gestion de communs sont détaillés : le premier est une gestion commune dalpages en Savoie par des éleveurs ; le second est un verger espace-test (Les Cheires), près de Clermont-Ferrand ; le troisième est une marque de territoire, « Terre de Source », qui promeut les produits agricoles issus de fermes qui se sont engagées à réduire leurs impacts sur la qualité des eaux du Bassin Rennais.