Cette Bio-Étagère est une recherche facilitée et non exhaustive. Elle moissonne, dans la Biobase, des références répondant à une équation de recherche élaborée par ABioDoc. Cette sélection s’actualise tous les mois.
Vous pouvez affiner cette sélection à l’aide des Mots-Clés, Auteurs et Année d’édition, présents sur la colonne de gauche ; et modifier l'ordre d'affichage à l'aide du menu déroulant (passer de « pertinence décroissante » à « années d'édition décroissante» par exemple)
Selon l'icône de la notice, le document est disponible : en PDF gratuit ; en PDF payant
; sur un autre site internet
.
Les documents sont consultables à ABioDoc et bon nombre d'entre eux peuvent être commandés sous forme de photocopies ou empruntés (pour les ouvrages) selon la réglementation en vigueur (voir Services documentaires).
Fruits



![]()
![]()
Le 7e salon Tech&Bio : Le rendez-vous des techniques bio et alternatives
Muriel MILLAN, Auteur ; Prisca PIERRE, AuteurLa septième édition du salon Tech&Bio sest tenue, les 18 et 19 septembre 2019, sur le site du lycée du Valentin, à Bourg-lès-Valence. Ce salon est dédié à lagriculture biologique et aux techniques alternatives. Il est organisé tous les deux ans par la Chambre dagriculture de la Drôme. Lédition 2019 a rassemblé 20 500 visiteurs (60 % sont des agriculteurs conventionnels), 375 exposants, 20 délégations internationales et 60 partenaires. Plus de 120 conférences ont été organisées, ainsi que des tables-rondes, des ateliers sur des méthodes de production et de commercialisation et des démonstrations en plein champ. Parmi le large éventail de sujets évoqués lors de ce salon, cet article se focalise sur des conférences ou sur des présentations de projets de recherche en lien avec larboriculture et le maraîchage bio. Il aborde les thèmes suivants : la sélection variétale dabricots en Suisse, lamélioration de la conservation des fruits, les intrants alternatifs pour la santé des plantes, la gestion des punaises phytophages en cultures légumières et la régulation des populations de pucerons en culture daubergines.
![]()
![]()
2018 : Stagnation des importations bio en France
BIO-LINEAIRES, AuteurSelon l'Agence BIO, en 2018, 69 % des produits bio consommés dans l'Hexagone ont été produits en France. 31 % de ces produits ont donc été importés, contre 29 % en 2016. Un tableau présente l'origine des approvisionnements selon les produits bio, en 2018.
![]()
![]()
Lettre Filières FNAB - Fruits n° 13
Antoine BESNARD, Auteur ; Nathalie FERNANDES, Auteur ; François WARLOP, Auteur ; ET AL., AuteurLa Lettre Filières FNAB - Fruits n° 13 est composée des articles suivants : - Elsa Cotton et Claude Daniel - Céréales et arboriculture - Ille-et-Vilaine ; - Recueil des savoir-faire en arboriculture biologique en région Centre-Val-de-Loire ; - Campagne de commercialisation des pommes et poires bio (2019-2020) ; - Des plants fruitiers certifiés AB d'ici 2035 ? Facile à dire... ; - FRUINOV, un projet participatif sur les variétés fruitières de la région PACA ; - Comment savoir si une variété est dans le domaine public ? ; - Comment transformer les produits bio de ma ferme ? ; - La Terre est Notre Métier 2020 : proposez votre conférence !
![]()
![]()
Note de conjoncture et d'actualités sur les produits biologiques : Mars 2019
Au sommaire de la note de conjoncture et d'actualités sur les produits biologiques (mars 2019) : - Synthèse ; - Filières animales : Secteur laitier ; Secteur des viandes bovines, ovines et porcines ; Secteur avicole ; - Filières végétales : Secteur des céréales, oléagineux et protéagineux ; Secteur des fruits et légumes ; Secteur viticole ; Secteur du sucre ; - Évolution du marché français ; - Échos du monde.
![]()
![]()
BIO CENTRE MAG Hors-série n° 12 - Les chiffres de la bio en région Centre-Val de Loire en 2017
Ce hors-série présente les chiffres 2017 de l'agriculture biologique en région Centre-Val de Loire, un état des lieux et l'évolution des principales filières animales et végétales, et la progression des opérateurs de l'aval (transformateurs, distributeurs).
![]()
![]()
Conservation des pommes : Limiter les pertes
Frédérique ROSE, AuteurLaurent Jamar, chercheur au Centre Wallon de Recherches Agronomiques, est intervenu lors des Journées Techniques Fruits et Légumes Biologiques de lItab des 24 et 25 janvier 2018. Les pertes de pommes après récolte peuvent être importantes et atteindre 15 à 30 %. En bio, la prophylaxie permet de limiter les dégâts mais nest pas suffisante. Le traitement à leau chaude est efficace mais demande de lourds investissements, tout comme les chambres froides à atmosphère contrôlée qui ne conviennent quaux gros volumes de production. Pour optimiser leur conservation, le CRA-W a testé des modules à atmosphère contrôlée de Janny MT pouvant contenir 300 kg de fruits et les a comparés à des palox ouverts. Plusieurs variétés de pommes ont été testées selon plusieurs critères, liés au développement de maladies et aux qualités organoleptiques. Les analyses sensorielles montrent que les pommes contenues dans les modules semblent plus fermes et donc plus appréciées. Les gloeosporioses (mélange complexe de champignons) semblent moins se développer sur certaines variétés issues des modules Janny MT. Des essais ont également été menés sur deux traitements contre les gloeosporioses en verger : Myco-Sin (non homologué en France) et Vacciplant (homologué en France). Leurs effets sont plus ou moins significatifs suivant les conditions dessai.
![]()
![]()
Fertilisation organique en verger bio : Les paramètres à connaître
Séverine CHASTAING, AuteurRaisonner sa fertilisation organique demande dintégrer un grand nombre de paramètres. Cet article pose les grands principes de la fertilisation organique en verger bio. Il convient dabord destimer les besoins des arbres fruitiers (liés à la croissance de larbre et aux exportations de fruits produits). Ensuite, il faut réfléchir son apport de fertilisants (principalement des engrais de ferme) en fonction du type dengrais organique (teneur variable en N, P2O2 et K2O) et de son coefficient déquivalence (Keq permettant détablir la fraction dN, P2O2, K2O potentiellement disponibles pour la plante). Les propos sont illustrés de tableaux de valeurs et de schémas explicatifs et sont accompagnés dun exemple concret de raisonnement des apports en verger de pommiers bio.
![]()
![]()
Lettre Filières FNAB - Fruits n° 12
Jean-Michel NAVARRO, Auteur ; Diane PELLEQUER, Auteur ; Claude-Eric PARVEAUD, Auteur ; ET AL., AuteurLa Lettre Filières FNAB - Fruits n° 12 est composée des articles suivants : - Campagne de commercialisation des pommes et poires bio (2018-2019) ; - Lutte contre la suie des pommes : L'intérêt d'un modèle de prévision d'évolution ; - Développer des variétés adaptées pour les fruitiers bio (Épisode 2 : Les pommes) ; - "Mélanges utiles aux systèmes de culture et auxiliaires pour favoriser une réduction des intrants" ; - Des pomiculteurs du pays de Gap se convertissent à la bio ; - Un site dédié aux substances de base.
![]()
![]()
Lutte contre les chenilles foreuses en prune d'Ente AB : Influence de l'environnement des parcelles
Sophie POUZENC, Auteur ; Sébastien CAVAIGNAC, AuteurEn agriculture biologique, la confusion sexuelle est le moyen de lutte contre les chenilles foreuses. Cependant, les producteurs peuvent observer certaines années une recrudescence des dégâts sur des parcelles protégées par la confusion sexuelle. Une étude regroupant 50 parcelles chez 21 pruniculteurs bio montre, outre lefficacité de la confusion sexuelle, que lenvironnement des parcelles et les pratiques culturales influencent également les attaques de ces chenilles foreuses (carpocapse des prunes et petite tordeuse des fruits). En effet, si les dégâts de la petite tordeuse sont plus importants que ceux du carpocapse, la confusion est plus efficace contre la petite tordeuse, et ce, pour des parcelles supérieures à 2 hectares. Autre résultat de létude : plus la surface de vignes environnantes est grande, plus la pression des ravageurs est importante. Le travail du sol est aussi un facteur de variabilité des dégâts (lentretien régulier du rang et de linter-rang limiterait les dégâts). Ce travail, déjà réalisé sur les saisons 2016 et 2017, se poursuivra en 2018.
![]()
![]()
Lutte contre la maladie de la suie des pommes : Lintérêt dun modèle de prévision dévolution
Jean-Michel NAVARRO, AuteurLa maladie de la suie, observée dans les vergers de pommes tardives, est une altération superficielle de lépiderme, sintensifiant au cours de la période de conservation. Comme elle ne sexprime réellement quen fin dété, les traitements sont délicats à positionner. Christophe Raucaz est arboriculteur bio à Verrens-Arvey, en Savoie. Pour mieux contrôler la maladie, il teste dans le cadre du programme DEPHY animé par l'ADABio - un modèle de prévision de lévolution de la maladie de la suie, nommé RIM pro. Ce dernier repère la première infestation, puis permet de faire le tri entre les périodes humides contaminatrices et celles qui ne le sont pas. Christophe Raucaz utilise également ce modèle pour positionner, en fonction de la prévision de production de spores, des traitements préventifs. Quant au coût, il faut compter 200 euros labonnement pour maximum 2 stations météo.
![]()
![]()
Des fruitiers à la bonne distance
Jérôme JULLIEN, AuteurUne trop forte densité d'arbres au verger peut générer toutes sortes de problèmes, gênant la floraison, créant les conditions d'apparition de maladies cryptogamiques (confinement de la végétation) ou des pathogènes du sol (enchevêtrement racinaire). C'est pourquoi il est essentiel de ménager de l'espace entre les fruitiers dès la conception et la plantation. Cet article indique les éléments indispensables à avoir en tête pour planter "équilibré", en fonction des variétés et de la structure du verger, afin de permettre l'épanouissement des arbres, l'ensoleillement optimal de leurs fruits et le contrôle des maladies.
![]()
![]()
La note de conjoncture « fruits à pépins bio »
Diane PELLEQUER, AuteurCette lettre dinformations fait le point sur le marché et la consommation des fruits bio en France et sur lévolution des surfaces de vergers bio, notamment pour les pommes et les poires. Les ventes les plus dynamiques en bio sont celles du rayon fruits et légumes (+33 % entre 2015 et 2016). Tous les circuits de commercialisation sont concernés. Les surfaces en arboriculture bio progressent rapidement également et représentent, aujourdhui, 17.4 % des surfaces arboricoles. Pour les vergers de pommes bio, le développement des surfaces se poursuit de manière constante et importante (+14 % en 2016). Pour les poires, le développement est encore plus soutenu (+ 26 % en 2016). Ce document présente également un résumé de la campagne passée (conditions météo, calibres, volumes ) et un zoom sur le début de campagne 2017 en pommes de table et poires bio : conditions climatiques, production, qualité des fruits, calibres, vente et prix.
![]()
![]()
Arboriculture : Diversifier sa production
Joannes BOULON, AuteurGérard Roch est arboriculteur bio à Châteauneuf-sur-Isère (26). Dans cette interview, il partage les choix stratégiques qu'il a faits en termes d'espèces fruitières et de modes de commercialisation. Jusqu'au début des années 2000, il produisait de la pêche sur 45 ha. Suite à un épisode de sharka, il a dû arracher tous ses arbres. Il est ensuite reparti de zéro, sur des vergers multi-espèces. Sa production fruitière est aujourd'hui très diversifiée : noix, châtaignes, poires, pommes, noisettes, figues, petits fruits, amandes, nèfles, kakis, grenades, raisin de table..., qu'il vend sur les marchés, dans les Amap, et à la ferme. A la demande de ses clients, il s'est même mis à cultiver quelques légumes. Pour lui, cette diversification des productions, à laquelle s'ajoutent des activités de transformation et d'accueil (gîtes, ferme pédagogique et de découverte) est un vrai gage de sécurité économique, notamment face aux aléas du marché des fruits. La gestion technique des productions et la gestion de la main-duvre constituent cependant les grosses difficultés.
![]()
![]()
Un arbuste à (re)découvrir : Le feijoa
Patrice CHAPON, AuteurAcca sellowania ou Feijoa sellowana pour le nom scientifique, le goyavier de Montevideo, ou goyavier du Brésil, ou encore goyave-ananas, est un arbuste connu en Amérique du Sud depuis le XIXème siècle. Ses fruits, à la peau verdâtre, épaisse et pruineuse, ont une chair à pulpe blanchâtre et granuleuse, qui devient translucide à maturité. Apprécié pour son goût exotique prononcé et sa teneur en vitamine C, entre autres, ce fruit a fait l'objet d'essais de production en France. La maturité des fruits s'y étale de mi-octobre à mi-novembre. Les fruits tombent alors au sol, ce qui peut provoquer des meurtrissures et favoriser le développement de moisissures. C'est une des difficultés de cette production, qui impose également une récolte quotidienne pendant la période. De plus, la conservation des feijoas reste limitée. L'arbuste a tout de même sa place dans les vergers car il présente de nombreux atouts : il s'adapte à tous les sols, même les plus ingrats, présente une tolérance à la sécheresse et aux gelées et est indemne de tout parasitisme. Il a, de plus, toute sa place dans les jardins d'ornement, avec son feuillage persistant et sa magnifique floraison. Des conseils de culture sont donnés : choix de variétés, méthodes de multiplication, récolte...
![]()
![]()
Calendrier lunaire 2017
Le Calendrier Lunaire permet de jardiner avec la Lune, afin de rechercher des plantes pleines de vitalité et des récoltes plus abondantes : légumes, fruits, fleurs, arbres, mais aussi agriculture, animaux, abeilles, vin, bière, bois, gazon... Les cycles lunaires influencent aussi nos états de santé, et le calendrier lunaire peut constituer un guide précieux pour planifier un ensemble de gestes quotidiens : pour obtenir des cheveux plus beaux, des ongles plus forts, une peau plus saine... Édité depuis 1978, le Calendrier Lunaire est le fruit de plus de 35 années de recherches et d'expérimentations sur les influences cosmiques. Synthèse d'un savoir astronomique et d'un savoir ancestral, cet ouvrage propose une analyse détaillée de toutes les influences lunaires et planétaires.