Cette Bio-Étagère est une recherche facilitée et non exhaustive. Elle moissonne, dans la Biobase, des références répondant à une équation de recherche élaborée par ABioDoc. Cette sélection s’actualise tous les mois.
Vous pouvez affiner cette sélection à l’aide des Mots-Clés, Auteurs et Année d’édition, présents sur la colonne de gauche ; et modifier l'ordre d'affichage à l'aide du menu déroulant (passer de « pertinence décroissante » à « années d'édition décroissante» par exemple)
Selon l'icône de la notice, le document est disponible : en PDF gratuit ; en PDF payant ; sur un autre site internet .
Les documents sont consultables à ABioDoc et bon nombre d'entre eux peuvent être commandés sous forme de photocopies ou empruntés (pour les ouvrages) selon la réglementation en vigueur (voir Services documentaires).
Fruits
Lutte contre la maladie de la suie des pommes : Lintérêt dun modèle de prévision dévolution
Jean-Michel NAVARRO, AuteurLa maladie de la suie, observée dans les vergers de pommes tardives, est une altération superficielle de lépiderme, sintensifiant au cours de la période de conservation. Comme elle ne sexprime réellement quen fin dété, les traitements sont délicats à positionner. Christophe Raucaz est arboriculteur bio à Verrens-Arvey, en Savoie. Pour mieux contrôler la maladie, il teste dans le cadre du programme DEPHY animé par l'ADABio - un modèle de prévision de lévolution de la maladie de la suie, nommé RIM pro. Ce dernier repère la première infestation, puis permet de faire le tri entre les périodes humides contaminatrices et celles qui ne le sont pas. Christophe Raucaz utilise également ce modèle pour positionner, en fonction de la prévision de production de spores, des traitements préventifs. Quant au coût, il faut compter 200 euros labonnement pour maximum 2 stations météo.
Peut-on se passer du cuivre en protection des cultures biologiques ? : Synthèse de l'expertise scientifique collective - Janvier 2018
Didier ANDRIVON, Auteur ; Marc BARDIN, Auteur ; Cédric BERTRAND, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 07 (147 Rue de l'Université, 75 338, FRANCE) : INRA (Institut National de la Recherche Agronomique) | 2018Ce document est le fruit dune expertise scientifique collective (ESCo) sur les leviers disponibles pour réduire lusage du cuivre en protection des cultures biologiques. Les usages actuels sont particulièrement importants dans les vignobles et les cultures de pommes de terre pour lutter contre le mildiou, et en vergers de pommiers pour contenir la tavelure. Or, des concentrations excédentaires en cuivre ont des effets néfastes sur la croissance et le développement de la plupart des plantes, sur les communautés microbiennes et sur la faune des sols. Plusieurs méthodes alternatives au cuivre existent, avec des effets souvent partiels (par exemple, la génétique et, notamment, la recherche de variétés résistantes). Il faut donc souvent les combiner pour protéger efficacement les cultures. Des produits naturels, à efficacité variable, font également partie des outils disponibles, ainsi que certaines mesures prophylactiques reposant sur lélimination de résidus de récolte contaminés ou le déploiement de bâches anti-pluie qui évitent la contamination par les spores pathogènes. Les connaissances rassemblées dans cette expertise montrent que des stratégies dévitement du cuivre, combinant ces différents leviers, sont envisageables en vergers de pommiers et en culture de pomme de terre. Lassemblage de ces leviers amène, dans ces deux cas, à des propositions (certes théoriques) de système de protection des cultures permettant denvisager la substitution complète et la reconception des systèmes. Pour la vigne, à court terme, le levier de la génétique nest pas encore applicable dans toutes les conditions : il faut faire évoluer les règlements dappellation et déployer progressivement les résistances pour éviter quelles ne soient contournées et définitivement perdues. Cependant, les doses de cuivre appliquées pourraient dés maintenant être réduites sans perte defficacité.
Les plantes pour mettre en uvre le principe phare en AB : soigner le sol pour soigner les plantes. Ou comment aller vers plus d'autonomie dans ses pratiques
Céline VENOT, AuteurUne journée technique sur l'utilisation des plantes en arboriculture a été organisée en Ardèche. Plusieurs ateliers ont permis d'aborder différentes techniques et différents usages : liens entre purins, micro-organismes et paramagnétisme (Eric Petiot), litières forestières (Valo Dantinne, de Terre et Humanisme), plantes bio-indicatrices (Miguel Neau, producteur de PPAM bio en Ardèche). Des producteurs ont partagé leur expérience d'utilisations des plantes pour soigner leur sol, renforcer les plantes et réguler les ravageurs.
Les producteurs de fruits auvergnats avancent vers « loptimisation de lutilisation des PNPP et des techniques de bio contrôle »
Coralie PIREYRE, AuteurEn 2017, en Auvergne, huit producteurs, arboriculteurs et producteurs de petits fruits, se sont réunis pour créer un groupe "Ecophyto 30 000". Leur objectif était de trouver des alternatives dites naturelles à lutilisation de produits de traitement, même bio (tels que le spinosad ou le cuivre). Ce groupe de producteurs a défini ensemble le planning des différentes rencontres : formation sur lélaboration et lutilisation des préparations, réunion pour constater leffet au champ Les échanges reposent essentiellement sur un transfert dexpériences entre producteurs expérimentés et novices. Lexemple dune journée chez Jacques Hugon, arboriculteur membre du groupe qui utilise des extraits de plantes depuis une dizaine dannées, est plus amplement détaillé. Ce qui a permis dévoquer les sujets suivants : à quoi sert cette plante ? Comment effectuer la préparation ? Comment lappliquer sur plusieurs hectares ? Quelles sont les erreurs à éviter ? Les « apprentis » ont également pu sessayer à la préparation dun extrait fermenté dorties. Des échanges ont aussi été organisés avec le groupe DEPHY dArdèche qui existe depuis plus longtemps et qui est plus expérimenté. Un bilan a fait ressortir que les producteurs, souvent débordés, narrivent pas à anticiper les préparations, et quil faut de la pratique pour que ces préparations soient de qualité. Les producteurs souhaitent continuer à en discuter et à se former pour que leur utilisation devienne un réflexe.
Les secrets d'un verger en permaculture
Fleur MOIROT, Auteur ; Céline VENOT, AuteurUne conférence sest tenue sur les vergers en permaculture à lINRA de Gotheron (Drôme), en novembre 2018. Stefan Sobkowiak, biologiste et arboriculteur québécois, est venu présenter les quatre grands principes de son verger en permaculture : 1/ respecter le trio N-Fr-Fr, soit un arbre fixateur dazote (Févier dAmérique, Olivier de bohème) pour deux arbres fruitiers sans jamais que des arbres de la même espèce ne se touchent ; 2/ cultiver des strates autour des arbres plantés (arbustive, vivace, grimpante) ; 3/ aménager le verger en allées par période de maturité pour faciliter la tâche au consommateur (vente directe) ; 4/ diversifier les espèces et les variétés. LINRA de Gotheron a aussi présenté le projet ALTO « verger zéro phyto ». La conception de ce verger expérimental devait répondre aux trois besoins suivants : gérer les bio-agresseurs, partager des ressources entre les arbres et pouvoir circuler aisément dans le système. Ce verger compte de nombreuses espèces et est implanté en cercle avec de nombreux éléments favorisant la biodiversité (ex : mare). Le GRAB a également exposé les résultats du projet SMART (Systèmes Maraîchers en Agroforesterie : création de Références Techniques et économiques) sur la biodiversité, sur les interactions entre les arbres et les cultures, ainsi que sur la faisabilité économique. Enfin, lOasis SérendiP a expliqué son système de production : cette exploitation de 6 ha sur terres très sableuses est conduite en permaculture. La nature des sols fait que la thématique de leau est le fil conducteur de ce système.
Travail du sol en arboriculture
Regroupement de 19 vidéos très courtes et démonstratives de plusieurs matériels de désherbage mécanique en travail interceps ou en travail sur le rang en arboriculture. Les techniques vont de l'outil à disques, lames ou dents, jusqu'à des outils animés à brosses ou encore un outil de désherbage à l'eau sous haute pression, sans oublier la tonte du couvert.
Auxiliaires en petits fruits rouges sous abris
Jean-Claude DUFFAUT, AuteurSur la station d'expérimentation ADIDA (Corrèze), où sont conduits des essais sur les framboises et autres petits fruits rouges, aucun produit chimique n'a été appliqué depuis une dizaine d'années. L'article présente les principaux moyens de lutte biologique qui ont été mis en uvre pour contrôler les ravageurs des framboisiers : pucerons, acariens jaunes, cécidomyies, thrips. Ceux-ci n'ont, depuis, jamais atteint des niveaux de population entraînant des pertes économiques importantes. Depuis 2014, cependant, le cas de la drosophile asiatique (Drosophila suzukii) constitue un problème majeur, car la lutte biologique est aujourd'hui inexistante. Il reste donc des difficultés à surmonter, mais en aucun cas la protection biologique sur petits fruits rouges ne peut être remise en question.
La Bio dans l'Union Européenne - Les carnets de l'Agence Bio - Edition 2016
L'Observatoire National de l'Agriculture Biologique a publié l'édition 2016 du carnet "La Bio dans l'Union européenne". La surface cultivée en bio (certifiée et en conversion) dans l'Union européenne a été estimée à plus de 11,2 millions dhectares fin 2015. Elle représentait environ 6,2 % de la SAU de l'UE. Plus de 268 000 exploitations agricoles certifiées bio ont été enregistrées en 2015. Le marché bio de l'Union européenne a été estimé à 25,5 milliards en 2014. Le carnet donne les statistiques sur la production et le marché bio dans l'Union européenne et présente des focus sur les marchés bio allemand, britannique et suédois, sur les produits bio en RHD, les productions végétales bio, l'élevage bio et les politiques publiques en faveur de l'AB.
Carpocapse de la châtaigne : La confusion sexuelle est possible en bio
Sébastien CAVAIGNAC, AuteurLa confusion sexuelle permet de faire diminuer les populations d'insectes ravageurs en interrompant leur cycle de reproduction. Le principe consiste à saturer l'air d'une phéromone de synthèse similaire à la phéromone utilisée par les insectes pour la fonction d'attirance sexuelle. Cela perturbe l'insecte mâle qui se trouve alors dans l'incapacité de s'orienter vers une femelle et, de fait, le nombre d'accouplements diminue. Encore faut-il d'abord trouver la phéromone ou le cocktail de phéromones de synthèse se rapprochant le plus des phéromones naturelles utilisées par les insectes femelles. Si l'utilisation de phéromones de synthèse existe depuis de nombreuses années pour la pomme, la prune ou la vigne, l'intégration des phéromones de synthèse dans des solutions de lutte contre le carpocapse de la châtaigne est actuellement freinée par le coût de développement et d'homologation, eu égard à la taille de la filière. Or, il semblerait que la confusion sexuelle contre le carpocapse du pommier peut avoir un effet également sur le carpocapse du châtaignier. Des résultats d'essais tendent à le prouver, puisquune expérimentation en ce sens a permis de constater 10 % de fruits plus sains. Restent des difficultés techniques à lever, notamment pour la pose des pièges.
Conservation des fruits et légumes adaptée aux circuits courts : Exemple de matériel
Brice LE MAIRE, AuteurL'article présente des modules de conservation en atmosphère contrôlée naturelle placés en chambre froide, proposés depuis une dizaine d'années par la société Janny MT. Ces modules permettent d'allonger la durée de vie des fruits. Le principe : un caisson étanche, à couvercle, équipé de membranes à perméabilité sélective aux gaz. Ce système permet de stocker et de conserver environ 300 kg par module. Un tableau "avantages" et "inconvénients" complète la description.
Edition 2017 : Le marché alimentaire bio en 2016 : Estimation de la consommation des ménages en produits alimentaires biologiques en 2016
C. RENAULT, Auteur ; T. CHEVER, Auteur ; V. ROMIEU, Auteur ; ET AL., Auteur | MONTREUIL-SOUS-BOIS (12 Rue Henri Rol-Tanguy, 93 100, FRANCE) : AGENCE BIO (Agence Française pour le Développement et la Promotion de l'Agriculture Biologique) | 2017Les principaux chiffres de la consommation en produits biologiques par les ménages français en 2016 de l'étude réalisée par AND-International pour l'Agence BIO sont présentés. Ils montrent une croissance importante. En effet, en 2016, la valeur des achats de produits alimentaires issus de lagriculture biologique a été estimée à 7,147 milliards deuros, soit : 6,736 milliards deuros TTC de consommation à domicile par les ménages (+21,7 % par rapport à 2015), 411 millions deuros HT dachats de produits bio servis en restauration hors domicile, dont 229 millions deuros HT en restauration collective (+5 % vs 2015) et 182 millions deuros HT en restauration commerciale (+10 % vs 2015). De nombreux tableaux détaillent cette croissance : chiffres d'affaires des produits bio par circuit de distribution, part de la progression des ventes bio dans la progression du marché alimentaire, circuits de distribution de la viande bio de 2014 à 2016, tableau récapitulatif des produits de la mer, chiffres d'affaires et parts de marché en fruits et légumes frais bio, estimation des achats de vins bio par les ménages en France en 2016, par circuit, en volume et valeur, synthèse des emplois agricoles liés à l'alimentation (hors agriculture), etc.
Lespace test en arboriculture : Un outil au service de linstallation
Tom VANEECKHOUTTE, AuteurLe verger-test "Les Cheires" (63) a vu le jour en 2016. Il est le premier espace test qui permet de sessayer au métier darboriculteur. Il est porté par le dispositif Îlots Paysans, un projet du CELAVAR (Comité détude et de liaisons des associations à vocation agricole et rurale) Auvergne. Lidée est de mettre au clair ses compétences techniques et de se projeter dans le métier de producteur en limitant les risques. Le dispositif assure différentes fonctions, comme la mise à disposition de foncier et de matériels, un accompagnement technique et économique, ainsi quun statut juridique. Les 6 hectares qui le composent ont été acquis par Terre de Liens en 2015. Le verger-test est issu dun partenariat réunissant Terre de Liens, Îlots Paysans, la communauté de communes Mont dArverne et la FRAB AuRA (Fédération régionale de lagriculture biologique d'Auvergne-Rhône-Alpes)). Amélie Armand et Cyrille Chevallier sont les deux premiers porteurs de projet à se tester sur cet outil. En août 2017, ils ont fait leur première récolte, après un an de travail. Dans son témoignage, Cyrille Chevallier décrit son parcours antérieur, évoque sa rencontre avec Îlots Paysans, présente le verger-test et parle de son projet dinstallation en arboriculture et petits fruits sur la ferme familiale.
Guide technique : Conduite du Pommier pommes à couteau et pommes transfo en agriculture biologique dans le sud-ouest
Sébastien CAVAIGNAC, Auteur ; Séverine CHASTAING, Auteur ; Magali COLOMBET, Auteur ; ET AL., Auteur | AGEN CEDEX (271 Rue de Péchabout, 47 008, FRANCE) : CHAMBRE D'AGRICULTURE DE LOT-ET-GARONNE | 2017Le développement des surfaces en agriculture biologique a relancé la sélection dun matériel végétal adapté aux conditions de production en agrobiologie. Le triptyque sol/porte-greffe/variété est déterminant en bio, et ce, notamment si lon soriente vers un verger dédié à la pomme bio pour la transformation. Le porte-greffe permet de gérer en particulier la vigueur de larbre, ce qui est essentiel en bio. Compte-tenu de la fertilisation organique, il ne faudra pas un porte-greffe trop faible sauf dans des cas très spécifiques de sol poussant ou de stratégies de fertilisation très soutenues. Le choix dune variété repose sur plusieurs critères : ladaptation au marché et au mode de commercialisation choisi, le système de verger envisagé, la régularité de production, la sensibilité aux ravageurs et aux maladies et, enfin, le potentiel de conservation. Deux éléments paraissent déterminants dans la réussite de la culture du pommier en agriculture biologique : le niveau de sensibilité de la variété vis-à-vis de la tavelure et du puceron cendré. Tout au long du guide, sont présentés des tableaux de synthèse reprenant les informations issues des observations réalisées sur lantenne d'Invenio à Prayssas (47), auprès de différents organismes régionaux français, ou européens, et complétées par les observations d'arboriculteurs en AB et de techniciens spécialisés. Au sommaire : - Le matériel végétal ; - Conversion, plantation, surgreffage ; - La nutrition organique ; - L'entretien de la ligne de plantation ; - Maîtrise de la charge ; - Gestion du carpocapse et autres tordeuses ; - Gestion des pucerons ; - Ravageurs secondaires : anthonome, hoplocampe, tigre du poirier ; - Gestion des maladies cryptogamiques ; - Les maladies de conservation ; - Modèle de verger pour de la pomme dédiée à la transformation ; - Marchés et filières en AB.
Les Osmies : abeilles solitaires pour polliniser les poiriers : Témoignage : Claude Vaudaine, arboriculteur à Bougé-Chambalud (38)
Jean-Michel NAVARRO, AuteurClaude Vaudaine est arboriculteur bio à Bougé-Chambalud (38). En 2017, il a souhaité implanter dans ses vergers des colonies dOsmies, abeilles particulièrement efficaces pour la pollinisation. Les Osmies ont une « brosse ventrale » qui amasse des milliers de grains de pollen. Sur cette brosse, le pollen reste sec et donc viable, contrairement à ce qui se passe chez les abeilles et les bourdons. De plus, les Osmies sont actives, même par mauvais temps. Claude Vaudaine a souhaité utiliser les services dune nouvelle société nommée Osmia qui commercialise des abris durables dOsmies et qui garantit un bon taux de pollinisation. Il explique quavant lintroduction des Osmies, la société est passée sur les différentes parcelles pour évaluer le nombre dinsectes nécessaires et pour le positionnement des futurs abris. Après installation des abris, lentreprise contrôle et suit, pour un bassin donné, les stades phénologiques des arbres et apporte des cocons en vrac doù les insectes vont émerger au moment précis de la floraison. Si cette technique est concluante chez lui, il espère que des collègues des Savoie ou de lAin pourront aussi tester les Osmies dans leurs vergers en 2018.
A la rencontre des référents de la biodynamie en arboriculture : Voyage détude : Aller plus loin en AB : découvrir larboriculture biodynamique en Vendée, Pays de Loire et Manche
Pauline BONHOMME, AuteurLors d'un voyage d'étude organisé par l'ARDAB début mars 2017, une vingtaine darboriculteurs bio d'Auvergne-Rhône-Alpes ont visité quatre fermes à des stades différents de leur expérience en bio et en biodynamie : Les Coteaux Nantais (44), l'EARL Fructidor (50), les Vergers de la Brunetière (85) et le GAEC Château Gaillard (49). Bien qu'ayant des pratiques communes (application de préparations biodynamiques, utilisation d'un dynamiseur, respect du calendrier lunaire...), les arboriculteurs rencontrés ont aussi développé des spécificités dans l'organisation de leur travail, dans la mutualisation de matériel, etc. Trois des arboriculteurs rencontrés ont introduit des animaux dans leur verger pour entretenir l'enherbement (moutons, oies et poules). Les participants ont tiré de nombreux enseignements de ces visites et, convaincus, envisagent d'en mettre certains en application rapidement.