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Fruits



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La stabilisation par la chaleur des produits alimentaires acides transformés destinés à la vente
Pascal DONAT, Auteur ; Romain PREVOST, AuteurLes produits à base de fruits et légumes transformés et acides peuvent bénéficier d'un traitement thermique de conservation dont la durée et/ou la température est réduite. L'EPL de Limoges réalise des tests de conservation selon le pH des produits. Lorsque le pH est inférieur à 4,5, les pathogènes de l'humain thermorésistants ne peuvent se développer. La température de traitement peut donc être inférieure à 100°C, ce qui permet une meilleure conservation de la qualité organoleptique du produit. Deux méthodes sont brièvement décrites : l'auto-pasteurisation par empotage à chaud, traditionnellement utilisée pour les confitures, et la pasteurisation post-conditionnement.
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La Vie Claire : La proximité, une volonté au quotidien
TERROIRS BIO RHONE-ALPES, AuteurLa Vie Claire est acteur engagé dans la distribution de produits biologiques en France depuis 1948. Chaque mois, ce sont 500 tonnes de fruits et légumes bio qui transitent par sa centrale, située à Montagny, dans le Rhône. Sébastien Bas, responsable du secteur fruits et légumes de cette enseigne, souhaite développer l'approvisionnement par les produits de la région Rhône-Alpes. Pour cela, il va à la rencontre des producteurs, à qui il propose un accompagnement et un soutien dans la durée.
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La fertilisation du noyer en agriculture biologique
Raphaël RAPP, AuteurL'essentiel des besoins nutritionnels du noyer se concentre entre mai et juillet. Cet article propose des programmes de fertilisation en agriculture biologique et indique les besoins totaux par unité de surface. Pour l'utilisation des sous-produits animaux (de 7 à 15 % d'azote) et des autres engrais phospho-potassiques à minéralisation rapide, c'est le climat qui détermine la date d'apport, sachant qu'environ 45 % de l'azote organique se minéralise en deux semaines à 28 °C. Des coûts indicatifs sont donnés pour trois types d'engrais. L'autre stratégie présentée consiste à utiliser les effluents d'élevage, par exemple du fumier ovin ou bovin dont la minéralisation est plus lente, mais qui sont humifères et apportent des micro-éléments. Les fumiers trop pailleux peuvent créer une faim d'azote. L'auteur propose une séquence d'apports qui combine fumier et engrais organique.
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La filière biologique en région Centre : Une évolution constante
Eric BELIARD, Auteur ; Annie DESAILLY, Auteur ; Jean-Christophe GRANDIN, Auteur ; ET AL., AuteurEn France, l'agriculture biologique vient de franchir un nouveau cap dans sa dynamique de croissance... En 2011, le nombre total d'opérateurs bio a enregistré une hausse de 14 % tandis que le nombre d'exploitations bio a augmenté de 12,3 % et les surfaces bio ont augmenté de 15,3 % pour atteindre 1 million d'hectares au cours du premier semestre 2012. La région Centre, toujours un peu en retard par rapport à la plupart des autres régions françaises, continue néanmoins à progresser. En 2012, dans la région Centre, les surfaces certifiées en bio ont augmenté de 12 % (après un pic exceptionnel de + 20 % en 2010). En 2011, la part de la surface agricole utile (SAU) bio a encore progressé, atteignant les 1,5 %. Mais l'évolution de la part de la SAU bio par départements de la région est disparate : de 2,7 % à 0,5 % pour une SAU bio moyenne en France de 3,5 %. La différence entre les départements s'explique par les types de productions agricoles, avec un taux de pénétration de la bio plus important en viticulture et cultures fourragères qu'en grandes cultures. Ce Hors-série présente plusieurs aspects statistiques de l'évolution de l'agriculture biologique dans cette région : - Filières végétales : une filière légumes en circuits longs en demi-teinte ; arboriculture : une production encore limitée ; la filière viticole : une dynamique du Val de Loire ; - Filières animales : bovin lait : une filière toujours en pleine expansion ; "Porc Bio Cur de France" : une action pour structurer la filière porcine ; - Aval : accompagnement de la boulangerie artisanale bio.
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Nouvelle réglementation pour la restauration commerciale biologique : Un accueil en demi-teinte
BIO CENTRE, AuteurL'INAO (Institut national de l'origine et de la qualité), après 5 ans de réflexion et de concertation, a élaboré le cahier des charges de la restauration commerciale biologique, qui est entré en application le 1er octobre 2012. Les opérateurs concernés par cette nouvelle réglementation sont les restaurateurs (sédentaires ou mobiles) et les traiteurs (vente à consommer sur place ou « dans la rue ») qui font référence à l'agriculture biologique. Le cahier des charges est organisé autour de trois situations : « cas 1 » : est proposé un ingrédient bio ; « cas 2 » : sont proposés à la fois des plats ou menus bio et des plats ou menus conventionnels ; « cas 3 » : sont proposés des menus 100 % bio. Selon Thierry Stoedzel, directeur commercial Ecocert, les premiers à être favorables à cette nouvelle réglementation sont les restaurateurs 100 % bio. Les restaurateurs « mixtes » ont notamment l'obligation de tenir une comptabilité matière très pointue. Certains opérateurs de la région Centre ont des interrogations sur la saisonnalité et la composition des menus... Concernant cette nouvelle réglementation, Patrick Rosset (responsable du service AB chez Certipaq) et T. Stoedzel s'entendent pour dire que la certification bio est le seul moyen de clarifier le marché. L'objectif étant, selon le directeur commercial d'Ecocert, que la bio progresse. Des encarts sont réservés à des entretiens : Guy Reynard notamment responsable du groupe de travail « Restauration commerciale » à l'INAO ; des témoignages : Alain Lemirre, restaurateur à Montargis (45) ; Fabrice Chauveau, artisan boucher (Touraine) ; Pascal Lamotte et Mathieu Lesage, restaurateurs 100 % bio, à Tours (37) Deux initiatives sont également présentées : l'entreprise Fruitfood, spécialisée dans la déshydratation à température douce des fruits ; le boulanger de Vennecy (45) 100 % bio.