Cette Bio-Étagère est une recherche facilitée et non exhaustive. Elle moissonne, dans la Biobase, des références répondant à une équation de recherche élaborée par ABioDoc. Cette sélection s’actualise tous les mois.
Vous pouvez affiner cette sélection à l’aide des Mots-Clés, Auteurs et Année d’édition, présents sur la colonne de gauche ; et modifier l'ordre d'affichage à l'aide du menu déroulant (passer de « pertinence décroissante » à « années d'édition décroissante» par exemple)
Selon l'icône de la notice, le document est disponible : en PDF gratuit ; en PDF payant
; sur un autre site internet
.
Les documents sont consultables à ABioDoc et bon nombre d'entre eux peuvent être commandés sous forme de photocopies ou empruntés (pour les ouvrages) selon la réglementation en vigueur (voir Services documentaires).
Viticulture



![]()
![]()
Note de conjoncture et d'actualités sur les produits biologiques : Mars 2019
Au sommaire de la note de conjoncture et d'actualités sur les produits biologiques (mars 2019) : - Synthèse ; - Filières animales : Secteur laitier ; Secteur des viandes bovines, ovines et porcines ; Secteur avicole ; - Filières végétales : Secteur des céréales, oléagineux et protéagineux ; Secteur des fruits et légumes ; Secteur viticole ; Secteur du sucre ; - Évolution du marché français ; - Échos du monde.
![]()
![]()
BIO CENTRE MAG Hors-série n° 12 - Les chiffres de la bio en région Centre-Val de Loire en 2017
Ce hors-série présente les chiffres 2017 de l'agriculture biologique en région Centre-Val de Loire, un état des lieux et l'évolution des principales filières animales et végétales, et la progression des opérateurs de l'aval (transformateurs, distributeurs).
![]()
![]()
Boucher avec des levures inactivées
Clara DE NADAILLAC, AuteurAfin de réduire le sulfitage des vins, l'ajout de levures sèches inactivées (LSI) dans les capsules à vis des bouteilles va être testé. Ces expérimentations seront réalisées par l'Inra de Pech Rouge et chez des vignerons dans le cadre du projet Bio-LSI, porté par SudVinBio. Les LSI utilisées sont capables de consommer l'oxygène, et donc d'améliorer la conservation des vins. Ce projet fait suite à des essais réalisés par l'entreprise Biocork, qui a obtenu des premiers résultats concluants sur BIB (bag-in-box).
![]()
![]()
Les cépages résistants
Arnaud FURET, AuteurSi la crise phylloxérique a fait émerger de nouveaux cépages résistants aux maladies (mildiou et oïdium en plus du phylloxéra), la règlementation française est encore très restrictive quant à leur utilisation, bien que la recherche devienne de plus en plus pointue sur le sujet et que nos voisins allemands et suisses les intègrent avec beaucoup de souplesse. La Suisse autorise, en effet, depuis 2015, la multiplication du cépage Divico et lAllemagne va jusquà autoriser certains de ces cépages en AOP. Francis Rousset, vigneron en Suisse, raconte comment les cépages résistants interspécifiques du Domaine des 3 Lacs en conversion vers la bio - dans lequel il travaille nont reçu, depuis plusieurs années, aucun traitement fongique et insecticide aérien, lobjectif à terme étant daboutir à des vins « zéro phyto ».
![]()
![]()
Dossier spécial Viticulture
Stéphane BECQUET, AuteurOn voit aujourdhui la vinification biologique sorienter, dun côté, vers la diminution, voire la non-utilisation des intrants (la grande tendance est aux fermentations indigènes et, plus précisément, aux fermentations spontanées plutôt que la mise en uvre de pieds de cuve) et, de lautre côté, employer des méthodes pour élaborer des vins sans soufre. Ce dossier consacré à la viticulture biologique rappelle, dans un premier temps, les intrants disponibles en bio et leurs intérêts dans lapport dazote pour garantir la croissance des levures. Puis, un article est dédié aux résultats du CASDAR Levain bio et du projet WILDWINE, deux programmes de recherche visant à une meilleure maîtrise et une sécurisation de la fermentation indigène. Les bons résultats des essais (sur vin rouge et liquoreux) de WILDWINE consacrés à la sélection et au développement de levains originaux issus dexploitations ont permis détablir des références et des fiches techniques. Le dernier article technique du dossier aborde la vinification sans dioxyde de soufre S02 au travers des résultats du projet BIOCONTROL, porté par Vignerons Bio Nouvelle-Aquitaine, qui étudie leffet de la « BioProtection » (ajout dun mélange de levures non-Saccharomyces) sur les caractéristiques des vins. La suite est assurée par un nouveau projet nommé RESPECT.
![]()
![]()
Grands crus de Bordeaux : Les pesticides toujours là, mais
Morgan BOURVEN, Auteur ; Eric BONNEFF, Auteur38 grands crus de Bordeaux et deux vins non classés, tous de 2014 sauf un de 2015, ont été analysés par l'UFC-Que Choisir pour rechercher des résidus de pesticides. La plupart des bouteilles testées étaient contaminées, sauf trois. Onze différents composés ont été retrouvés, de 1 à 6 par bouteille, mais parfois avec des taux trop faibles pour être mesurés. On n'observe aucun dépassement des limites maximales de résidus autorisées. Toutefois, il faut noter que les concentrations mesurées sont en moyenne 3 fois moins élevées que lors de tests menés il y a 4 ans à léchelle de la France. Suite à ces premiers tests, très négatifs, ainsi que suite à des décès de vignerons ou encore des cas dintoxication, la profession viticole a lancé un important mouvement pour améliorer les choses, qui se concrétise par les baisses de contaminations observées. Ainsi, certains viticulteurs sont passés en bio, voire en biodynamie ; mais, si ce mouvement se développe en France, il reste encore très marginal dans le Bordelais. Globalement, conscients des enjeux, les vignerons bordelais, en général, veulent aller plus loin dans la réduction de pesticides et, pour eux, lobjectif est la sélection de cépages résistants aux maladies et au changement climatique, tout en permettant lexpression du terroir de Bordeaux.
![]()
![]()
Ondes, vigne et vin : Good vibrations
Xavier DELBECQUE, Auteur ; Clara DE NADAILLAC, AuteurCe dossier dresse un état des lieux des connaissances actuelles sur l'utilisation des ondes dans le domaine des productions végétales, et plus spécifiquement en viticulture. En effet, de récentes recherches ont permis de mettre en évidence l'émission d'ondes sonores, mais aussi électriques ou lumineuses, par les plantes. Leur réception et leur analyse par des appareils spécifiques, dont certains sont déjà en test, pourraient permettre d'identifier précocement l'occurrence de certains stress : sécheresse, présence d'un ravageur, etc. Par ailleurs, les recherches avancent également sur l'utilisation d'ondes comme méthode de lutte. Cela concerne notamment la confusion sexuelle : l'émission de vibrations spécifiques peut limiter les capacités de reproduction des cicadelles, mâles et femelles communiquant via l'émission de telles vibrations. Des expérimentations sont aussi menées sur le passage du moût au micro-ondes avant la vinification, ou encore sur le traitement des vignes ou du vin par des UV, ces techniques n'étant pas autorisées en agriculture biologique actuellement, ni même en agriculture conventionnelle en ce qui concerne l'utilisation des micro-ondes.
![]()
Règlement (UE) 2018/848 du Parlement Européen et du Conseil du 30 mai 2018 relatif à la production biologique et à létiquetage des produits biologiques, et abrogeant le règlement (CE) n° 834/2007 du Conseil
Le Règlement (UE) 2018/848 du Parlement Européen et du Conseil du 30 mai 2018 relatif à la production biologique et à létiquetage des produits biologiques, et abrogeant le règlement (CE) n° 834/2007 du Conseil est paru au Journal Officiel de l'Union Européenne du 14 juin 2018.
![]()
Semoir viticole à engrais verts (GEST)
Ce semoir viticole pour les engrais verts, adapté au tracteur enjambeur et aux vignes étroites de Bourgogne, a été développé lors d'un partenariat entre l'Atelier Paysan et lassociation le GEST. Le GEST(Groupement d'Études et de Suivi des Terroirs) est une association regroupant des vignerons et vigneronnes travaillant sur la compréhension et la préservation des terroirs de Bourgogne. À leur initiative, une démarche de conception participative avec un groupe de viticulteurs bourguignons est lancée au début de lannée 2017, visant à répondre à un manque dans les offres présentes sur le marché : un outil pour réaliser un semis efficace, parfois en semis direct, adapté aux tracteurs enjambeurs et à des terrains en dévers. Après un premier prototype réalisé fin 2017, basé sur un autre semoir viticole à engrais verts diffusé par lAtelier Paysan, une nouvelle version est répliquée début 2018 en plusieurs exemplaires, testés auprès de plusieurs viticulteurs. Loutil évolue encore aujourdhui selon leurs retours. En plus des éléments classiques dun semoir (disques-ouvreurs, dents et socs pour ouvrir et refermer le sillon), le châssis se doit de répondre à une contrainte particulière : un système de suivi du dévers, conçu pour sadapter à un type de tracteur-enjambeur très répandu sur les exploitations. La page du tutoriel revient en détails sur le développement de ce semoir viticole pour vignes étroites : cahier des charges, caractéristiques techniques, évolutions des différentes versions, pistes daméliorations. Les documents suivants sont par ailleurs accessibles sur cette page : les plans de l'outil (adaptable en 2 largeurs différentes) et de ses réglages, les plans du rouleau à atteler derrière le semoir, ainsi que des schémas explicatifs (fonctionnement global de loutil et éléments spécifiques). Tous ces documents sont placés sous licence libre (CC by NC SA) et accessibles gratuitement.
![]()
![]()
La Bio dans l'Union Européenne - Les carnets de l'Agence Bio - Edition 2016
L'Observatoire National de l'Agriculture Biologique a publié l'édition 2016 du carnet "La Bio dans l'Union européenne". La surface cultivée en bio (certifiée et en conversion) dans l'Union européenne a été estimée à plus de 11,2 millions dhectares fin 2015. Elle représentait environ 6,2 % de la SAU de l'UE. Plus de 268 000 exploitations agricoles certifiées bio ont été enregistrées en 2015. Le marché bio de l'Union européenne a été estimé à 25,5 milliards en 2014. Le carnet donne les statistiques sur la production et le marché bio dans l'Union européenne et présente des focus sur les marchés bio allemand, britannique et suédois, sur les produits bio en RHD, les productions végétales bio, l'élevage bio et les politiques publiques en faveur de l'AB.
![]()
![]()
Provence-Alpes-Côte d'Azur : La biodynamie entre en cave coopérative
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurDans le Vaucluse, la coopérative viticole Terra Ventoux regroupe 120 adhérents (soit 600 hectares), dont six en agriculture biologique (soit 25 ha). Certains d'entre eux sont sensibilisés à la biodynamie, ou appliquent déjà le cahier des charges Demeter. Ainsi, la coopérative a fait le choix de s'engager vers plus de biodynamie. Pour ce faire, une stratégie complète a été élaborée : accompagnement des producteurs et notamment parrainage des nouveaux adhérents, conseils, formations, facilité d'accès aux terres, garanties auprès des banques pour l'investissement dans le matériel spécifique Un chai dédié aux raisins issus des parcelles conduites en biodynamie va aussi prendre place à la coopérative, avec la possibilité pour les viticulteurs de participer aux opérations de vinification. Derrière ce changement en profondeur, transparaît le choix d'une agriculture plus respectueuse de l'homme et de l'environnement, dans une démarche collective.
![]()
![]()
L'AerWay favorise la vie du sol
Clara DE NADAILLAC, AuteurLes outils AerWay et Aairsol sont équipés d'un ou deux rotors horizontaux animés, sur lesquels sont placées des séries de quatre couteaux. Utilisés dans les inter-rangs enherbés des vignes, ils permettent d'aérer le sol et de faciliter la pénétration de l'eau sans détruire la végétation en place. Plusieurs viticulteurs, qui utilisent l'un ou l'autre de ces outils depuis plusieurs années, témoignent dans cet article.
![]()
![]()
L'agroforesterie appliquée à la viticulture
Arnaud FURET, Auteur ; Mickaël OLIVON, AuteurCet article se compose de trois parties. La première, "L'agroforesterie... ou mixité culturale : une obligation en zone de montagne ou de forte pente", revient sur les spécificités de ces zones accidentées où la culture de la vigne se prête à la création d'un second étage de culture (maraîchage). La deuxième partie, "Retour sur la formation proposée par Grappe avec Agroof (coopérative participative et solidaire spécialisée en agroforesterie)", présente un compte-rendu d'une formation de décembre 2015, au cours de laquelle les synergies et complémentarités entre la culture, et notamment celle de la vigne, l'arbre et l'animal ont été explorées. La formation a aussi permis de découvrir la parcelle de Christian Vigne, qui accueille les moutons d'un éleveur qui pâturent en période non végétative dans les vignes, ainsi qu'une haie diversifiée. La troisième partie, "Témoignage : Bernard Vallette, vigneron bio dans le Beaujolais (69)", apporte une illustration concrète de projet de mixité culturale.
![]()
![]()
Agroforesterie, les pièges à éviter
Xavier DELBECQUE, AuteurLes premières parcelles en agroforesterie viticole ont vu le jour il y a une vingtaine d'années. Cela donne aujourd'hui un recul suffisant pour dégager certains enseignements sur cette pratique et ainsi la perfectionner. Dans cet article, chercheurs et agriculteurs ayant travaillé sur l'implantation d'arbres dans les vignes témoignent. Les principales observations ont permis de mettre en avant : - la nécessité de laisser un certain espace entre les rangs de vignes et les rangs d'arbres, afin d'éviter une concurrence pour l'azote ; - les bénéfices de l'ombre apportée par les arbres sur les vignes, en particulier dans les régions du Sud ; - les objectifs de cette cohabitation d'espèces avant les plantations (ombrage, double production, en fruits ou en bois...).
![]()
![]()
Alternatives au cuivre : Quelles perspectives ? ; Cuivre : Toujours au cur des préoccupations
Frédérique ROSE, AuteurLe cuivre, utilisé pour les cultures spécialisées (viticulture, maraîchage, arboriculture...), notamment en agriculture biologique, encourt le risque de ne pas voir son autorisation renouvelée par l'Europe en 2018. Ainsi, structures de développement, de recherche et entreprises travaillent de concert pour trouver des alternatives, comme dans le projet européen Co-Free, qui a duré quatre ans. Une vingtaine de produits alternatifs ont été testés. Si certains ont montré une efficacité proche de celle du cuivre, leur coût reste bien supérieur, ou alors ils ne sont pas encore homologués. L'utilisation combinée de tels produits avec d'autres leviers variétés résistantes, outils daide à la décision... semble être la solution la plus prometteuse pour, a minima, réduire les doses de cuivre utilisées. Une matinée des Rendez-vous Tech&Bio Viticulture, à Montagne, en Gironde, les 6 et 7 juillet 2016, était consacrée à la thématique du cuivre. Les risques de toxicité et les modalités d'application (dose autorisée, nombre de passages...) ont fait débat.
![]()
![]()
Ampelomyces : un agent de biocontrôle pour réduire les dégâts liés aux épidémies d'oïdium ?
LUniversité de Piacenza, en Italie, étudie depuis plusieurs années, dans le cadre du projet européen Innovine, lintérêt dagents de biocontrôle dont Ampelomyces, un groupe de champignons hyperparasites, pour lutter contre loïdium de la vigne. Les premiers résultats sont encourageants. En France, lIFV Val de Loire étudie, depuis 2015, linoculation in vitro de ce parasite sur trèfle violet implanté dans linterrang.
![]()
![]()
La bio dans le monde - Les carnets de l'Agence Bio - Edition 2016
La surface mondiale cultivée en bio (certifiée et en conversion) a été estimée à près de 43,7 millions dhectares fin 2014 (estimation réalisée daprès les données de FiBL/IFOAM et dautres organismes). Elle représentait 0,99 % de lensemble du territoire agricole des 172 pays enquêtés. Près de 2,3 millions dexploitations agricoles certifiées bio ont été enregistrées en 2014 (sans compter celles se situant dans des pays pour lesquels il n'y a pas de statistiques accessibles). 87 pays sétaient dotés dune réglementation pour lagriculture biologique en 2015. Le marché alimentaire bio mondial est estimé à 68 milliards deuros en 2014. Ce document rassemble l'ensemble des statistiques générales sur la production et le marché bio dans le monde. Il présente également un focus sur le pourtour méditerranéen et les États-Unis, ainsi quun focus sur certaines filières (grandes cultures, coton, café, cacao, banane, lait, aquaculture bio...). Un tableau présente les différents chiffres par pays.
![]()
![]()
La biodiversité sur l'exploitation agricole : Guide pratique
Roman GRAF, Auteur ; Markus JENNY, Auteur ; Véronique CHEVILLAT, Auteur ; ET AL., Auteur | SEMPACH (Seerose 1, CH-6204, SUISSE) : STATION ORNITHOLOGIQUE SUISSE | 2016
Ce guide pratique présente, en 9 parties, les mesures qui permettent dencourager la biodiversité dans les exploitations agricoles. De nombreuses informations pratiques indiquent comment les planifier et les mettre en uvre, dans les prairies extensives, les cours des fermes, les champs de blé, les lisières de forêts et les bords de ruisseaux. Des exemples et des portraits dexploitations innovantes montrent quil est possible de combiner écologie et agriculture et comment communiquer cette plus-value aux consommateurs.
![]()
![]()
Calendrier lunaire 2017
Le Calendrier Lunaire permet de jardiner avec la Lune, afin de rechercher des plantes pleines de vitalité et des récoltes plus abondantes : légumes, fruits, fleurs, arbres, mais aussi agriculture, animaux, abeilles, vin, bière, bois, gazon... Les cycles lunaires influencent aussi nos états de santé, et le calendrier lunaire peut constituer un guide précieux pour planifier un ensemble de gestes quotidiens : pour obtenir des cheveux plus beaux, des ongles plus forts, une peau plus saine... Édité depuis 1978, le Calendrier Lunaire est le fruit de plus de 35 années de recherches et d'expérimentations sur les influences cosmiques. Synthèse d'un savoir astronomique et d'un savoir ancestral, cet ouvrage propose une analyse détaillée de toutes les influences lunaires et planétaires.
![]()
![]()
Calendrier des Semis Biodynamique 2017
Gauthier BAUDOIN, Auteur ; Guy DAVID, Auteur ; Laurent DREYFUS, Auteur ; ET AL., Auteur | COLMAR (5 Place de la Gare, 68 000, FRANCE) : MOUVEMENT DE L'AGRICULTURE BIODYNAMIQUE | 2016
Produire des fruits, des légumes et des céréales de qualité, riches en éléments nutritifs, en goût et en forces vitales, tel est l'objectif du jardinier et du paysan en biodynamie. Pour atteindre cet objectif, il convient de respecter les processus naturels et de travailler avec les rythmes cosmiques. Ce Calendrier, qui est le fruit de plus de 50 années de recherche de l'Institut de Maria Thun, est un guide pour y parvenir. Ses concepts sont aujourd'hui reconnus et utilisés pour les travaux d'agriculture, de jardinage, d'apiculture, de sylviculture et de viticulture. Ce Calendrier n'est pas seulement lunaire ; il prend aussi en compte les rythmes des autres planètes du système solaire. Ce Calendrier propose : - Des indications pratiques pour les travaux de la terre au jour le jour ; - Des conseils pratiques pour appliquer la biodynamie au jardin ou sur la ferme ; - Une présentation détaillée des rythmes cosmiques avec des tableaux et cartes astronomiques permettant de connaître et visualiser exactement les positions de la Lune et des planètes ; - Des tendances météorologiques mois par mois ; - Une bibliographie et des contacts pour s'informer et se former en biodynamie ; - Une méthodologie pour faire ses propres expériences au jardin.
![]()
![]()
Les Carnets de l'Agence BIO : La bio dans les territoires : Fiches régionales et de production : Edition 2016
Lédition 2016 du Carnet de lAgence BIO sur la bio dans les territoires comporte les chiffres clés de lagriculture biologique, en 2015, en France. Les fiches retracent l'évolution des surfaces et cheptels certifiés par région, puis par filière : - Les grandes cultures ; - Les fruits et légumes ; - La viticulture ; - Les plantes à parfum, aromatiques et médicinales ; - Les surfaces fourragères ; - Les bovins ; - Les ovins ; - Les caprins ; - Les porcins ; - L'aviculture ; L'apiculture.
![]()
![]()
Château Larchère : la passion du vin, au naturel !
NATURE & PROGRES, AuteurThierry et Muriel Baudry sont viticulteurs bio en Dordogne. Thierry a grandi au milieu des vignes de ses parents qui lui ont fait partager très tôt leur amour de la terre. C'est au cours de son BEP agricole option nologie à Sauternes qu'il a découvert que sa propre conception du travail de la vigne, héritée de l'observation et des heures passées auprès de son père, n'était pas en accord avec le dogme scolaire. Pour Thierry, "un paysan vigneron ne fait pas le vin, il l'accompagne, l'élève, le révèle". En 1989, il a décidé de reprendre le domaine en s'installant en GAEC avec ses parents qui ont de suite approuvé son projet de convertir l'activité en bio. Les trois premières années ont été difficiles, mais sa forte détermination et le soutien paternel ont eu raison des obstacles. Thierry et Muriel ont développé Château Larchère. Ils ont mené des essais pour limiter l'apport en cuivre dont les résultats sont largement diffusés dans la profession. En tout, 20 ha de raisin rouge et 6 ha de blanc sont cultivés sans amendements, pour un rendement de 30 hl à l'ha pour le vin rouge et 19 hl pour les blancs secs et les liquoreux. Pour Thierry, le meilleur signe de bonne santé de sa vigne, c'est la trentaine de plantes différentes présentes au m2. Développer l'autonomie sur la ferme fait partie de leurs projets (eau, électricité), tout comme favoriser encore plus la vente directe. Les Baudry sont par ailleurs impliqués dans la vie de leur territoire : conseil municipal, comité d'organisation d'une foire bio annuelle, ouverture de l'exploitation aux visites, organisation de dégustations...
![]()
![]()
Cinq clés pour réaliser des vins nature
Mathilde LECLERCQ, AuteurDans cet article, trois vignerons expliquent les pratiques qu'ils mettent en uvre pour réaliser des vins nature : Michel Bedouet, en bio, dans le Muscadet (44), Michel Issaly, en bio, dans le Tarn, et Nicolas Despagne, en Gironde. Parmi les points clés discutés, figurent : la qualité de la matière première, l'hygiène irréprochable, un départ en fermentation rapide, le contrôle des températures et l'utilisation du soufre seulement en cas de besoin.
![]()
![]()
Dossier : Economie collaborative : Du collaboratif pour tous
INFORMATION AGRICOLE (L'), Auteur ; Eddy FOUGIER, Auteur ; Claire NIONCEL, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier consacré à l'économie collaborative, au niveau du secteur agricole, comporte les articles suivants : - Tendances : Plusieurs "nouvelles" pratiques ; - Florian Breton, Fondateur de MiiMOSA : Notre plateforme est en pleine explosion ; - Ulule : Derrière chaque projet, une histoire ; - Fondation Terre de Liens : Préserver le patrimoine foncier agricole ; - WeFarmUp : Le Blablacar du tracteur ? ; - Initiative : Une dynamique locale récompensée ; - Plateforme : Réconcilier économie et écologie (présentation de Lendosphère) ; - Vin et net-économie : La filière viticole entrée dans l'univers du financement participatif (présentation de Fundovino) ; - Paysans d'avenir : Un voyage photographique pour découvrir la diversité agricole.
![]()
![]()
Dossier Fertilité des sols : Gérer la fertilité : Des sols vivants et productifs
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLe maintien, voire l'amélioration, d'une bonne fertilité des sols est un élément essentiel à la production biologique. Cela reste toutefois un sujet complexe : de nombreuses pratiques et techniques peuvent être mobilisées, avec des effets divers et à plus ou moins long terme. Pour accompagner les agriculteurs face à cet enjeu, des outils se développent. Par exemple, dans le cadre du projet Agrinnov, porté par l'Observatoire français des sols vivants (OFSV), des bio-indicateurs ont été identifiés, apportant des éléments de réflexion complémentaires aux analyses classiques. Dans une interview, Jean-François Vian, enseignant-chercheur à l'Isara de Lyon et spécialiste de la qualité des sols et de leur biologie en AB, aborde les effets de diverses pratiques culturales, à partir de certains résultats du projet Agrinnov. Enfin, trois agriculteurs bio témoignent dans ce dossier, dont Henri Sergent, qui cultive 188 hectares, dans l'Essonne, et ce, sans labour.