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Reproduction Sélection Races



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Le croisement de races ne s'improvise pas
Caroline MILLEVILLE, AuteurDans les systèmes herbagers, les éleveurs qui pratiquent le croisement de races recherchent principalement trois effets : 1) réintroduire dans le troupeau des gènes ou des caractéristiques manquantes (améliorer les taux cellulaires, avoir de meilleurs aplombs ), 2) recréer de la diversité génétique dans le troupeau, 3) bénéficier du phénomène dhétérosis (vigueur hybride). Néanmoins, le croisement de races ne simprovise pas et il est très dépendant des objectifs de léleveur (capacité de pâturage, critères fonctionnels ). Loptimum serait de croiser 3 races entre elles. Chaque race a ses avantages et inconvénients (la Jersiaise est une bonne laitière qui pâture bien mais ses veaux se valorisent mal, les races de montagne croisées à la Normande lui font plus ressortir le type viande ).
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Dossier : La filière bio accélère son développement
Sophie BOURGEOIS, Auteur ; Virginie QUARTIER, Auteur ; François D'ALTEROCHE, AuteurLélevage bovin a vu, et voit encore aujourdhui, une importante vague de conversions en AB, en bovin allaitant dès 2014 et en bovin lait surtout depuis fin 2015, en lien notamment avec la crise en conventionnel et des prix de vente en AB attractifs. Les filières sont donc en ordre de bataille pour accueillir et permettre une bonne valorisation des fruits de ces conversions, dautant plus que le marché est au vert avec une demande croissante en viande bio de la part du consommateur. Mais, pour poursuivre une bonne structuration des filières, permettant une bonne valorisation en AB de tous les bovins bio aujourdhui et à lavenir, il faut veiller à certains points. Ainsi, les agriculteurs ayant un projet de conversion doivent très vite réfléchir à la valorisation de leur viande bio et, de façon générale, les éleveurs doivent sinvestir dans le développement des filières. Ces dernières demandent un approvisionnement régulier en viande de qualité, doù limportance de la planification ou encore de la contractualisation. Autre enjeu majeur : la finition de la voie mâle. Il ny a pas de marché pour de la viande bio maigre. Les opérateurs travaillent donc à développer les marchés pour le veau rosé clair (par exemple, pour les GMS ou les boucheries), le veau rosé (en particulier pour la restauration collective) ou encore les bufs. Pour ces derniers, le défi est de gagner en précocité pour abaisser lâge dabattage à moins de 3 ans. De plus, le prix élevé des céréales en AB fait que la finition à lherbe est aussi un objectif important. Ceci amène à sinterroger sur les critères de sélection en race à viande ou encore sur lintérêt dintroduire des races précoces, valorisant mieux lherbe, comme lAngus.
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Dossier : Santé : Méthodes alternatives
Isabelle MATHY, Auteur ; Nadine SAVARY, Auteur ; Catherine EXPERTON, Auteur ; ET AL., AuteurDresser un panorama complet des multiples solutions alternatives de soin aux vaches, c'est ce que propose ce dossier. Il illustre le fait qu'il n'y a pas une seule, mais des vérités concernant la façon de traiter les problèmes de maladies. La santé animale, et celle des vaches en particulier, relève de nombreux paramètres. Les articles qui composent le dossier apportent, chacun à sa manière, un éclairage particulier sur les méthodes alternatives : - Compte-rendu du séminaire du Dr Paul Dettloff chez M. Teunis, Président de Natuurweide Pays-Bas ; - L'utilisation des produits à base de plantes est réglementée et leur utilisation est ainsi freinée en élevage (avec un rappel sur la réglementation) ; - Aromathérapie en élevage laitier : une médecine d'avenir... ou pas ; - Quels sont les principes de base pour qu'un animal soit en bonne santé ? Pour ne pas avoir à le traiter ? ; - Homéopathie ; - Places des "thérapeutiques" alternatives en élevage laitier ; - Guérir, mais aussi maintenir en bonne santé votre troupeau, rien qu'avec vos mains ; - Un système robuste pour prévenir plutôt que guérir ; - Vers une maîtrise sans antibiotique ; - Un produit miraculeux pour limiter les cellules ; - La prévention avant tout ; - Santé et chemins ? Ça n'est pas si loin ! ; - Les méthodes alternatives dans la "Voix Biolactée".
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Élevage bovin lait en agriculture biologique : Faire du lait bio avec la Simmental en profitant des atouts de la race
Michel WEBER, Auteur ; Dominique MAYANOBE, Auteur ; Marion LANSAMAN, Auteur ; ET AL., AuteurA Prades de Salars, dans l'Aveyron, le Gaec du Peyssi élève un troupeau de vaches de race Simmental, en agriculture conventionnelle. Cette race, rustique, à double finalité lait-viande, et permettant une bonne valorisation de l'herbe, pourrait s'avérer bien adaptée à une conversion à l'agriculture biologique. C'est ce qu'a voulu vérifier le syndicat Simmental de l'Aveyron, en commandant une étude à la mission Références de la Chambre d'agriculture du département. Le Gaec du Peyssi a ainsi servi de support pour une simulation technico-économique de conversion. Les principales conclusions, en termes de conduite et de résultats technico-économiques, sont présentées dans cet article. Concernant la conduite de l'élevage, les rotations seraient à revoir, pour permettre d'intégrer plus de prairies de longue durée, en diminuant les céréales et le maïs ; le nombre d'UGB, et donc le chargement, diminueraient en jouant sur le renouvellement. L'EBE pourrait se voir amélioré de 14 000 , hors aides bio.
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Elevage des futures laitières : Respecter la physiologie est primordial
Marie NAVAS, AuteurAvoir un troupeau laitier en bonne santé, produisant en valorisant au mieux lherbe et les fourrages, passe par une attention particulière donnée à lélevage des génisses. Respecter la physiologie et les besoins de ces dernières, de la naissance à leur premier vêlage, est gage davoir des laitières en bonne santé et productrices. Cet article reprend les principaux enseignements issus dune journée de formation sur lélevage des veaux et génisses. Ces conseils sont à avoir en tête pour appuyer lobservation de son troupeau et améliorer ses pratiques. Parmi ces conseils, on peut retenir le besoin de permettre au veau de téter en quantité suffisante le colostrum de sa mère dans les deux heures suivant sa naissance. De même, un sevrage à six mois (au lieu de trois, âge minimal fixé dans le cahier des charges bio) contribue à renforcer les performances de la future laitière. Les veaux doivent être, si possible, mis en contact danimaux adultes (ex : une femelle tarie), notamment pour développer leur comportement alimentaire. Ne pas donner, ou alors peu, de concentré ou densilage avant un an : les veaux doivent apprendre à devenir des ruminants et la flore de leur rumen doit se développer pour permettre la digestion des fourrages, doù le besoin important de fourrages grossiers à cet âge.
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Les intérêts multiples des légumineuses fourragères pour l'alimentation des ruminants
R. BAUMONT, Auteur ; D. BASTIEN, Auteur ; A. FÉRARD, Auteur ; ET AL., AuteurLes légumineuses fourragères et prairiales présentent de nombreux intérêts pour l'alimentation des ruminants. Cette synthèse bibliographique fait le point de façon approfondie sur les données récentes acquises pour la luzerne, le trèfle blanc, le trèfle violet et le sainfoin. Riches en azote et très ingestibles, les légumineuses permettent d'obtenir des performances animales élevées, tant au pâturage qu'avec des rations hivernales, et de faire des économies importantes d'aliments concentrés protéiques. Elles présentent également des effets intéressants par rapport à la santé des animaux, à leurs rejets dans l'environnement et à la qualité du lait et de la viande. Ces effets peuvent provenir des tannins condensés, présents dans le sainfoin par exemple, et de la polyphénol oxydase présente dans le trèfle violet, qui modifient le métabolisme des protéines et des lipides du fourrage dans le tube digestif. Les tannins condensés ont également des propriétés antihelminthiques et antiméthanogènes.
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Monotraite : Regards et pratiques déleveurs
Yann EVENAT, AuteurChoisir la monotraite, partielle ou totale, demande une réflexion à léchelle du système et une bonne approche technique. Des choix seront à faire en termes de sélection de races, de croisements, de pâturage, de réforme ou de gestion de vaches nourrices. Quatre éleveurs bio du Finistère présentent leurs pratiques autour de la monotraite, que certains dentre eux pratiquent depuis, parfois, une quinzaine dannées. Si la Holstein semble bien adaptée à cette pratique, ces éleveurs travaillent avec des croisements (ex : Jersiaise, Rouge Norvégien) ou avec dautres races (ex : Jersiaire danoise). La période de monotraite est réfléchie selon les choix du système : plutôt en été pour, selon les cas, faciliter la détection des chaleurs, dégager du temps pour la famille ou encore pouvoir accéder plus facilement à des parcelles de pâturage éloignées. La gestion des nourrices est aussi un enjeu important et les témoignages montrent diverses pratiques. Au final, ces éleveurs sont satisfaits de leur choix de faire de la monotraite et de ses résultats. Mais ces témoignages montrent aussi que ce choix sintègre dans une réflexion globale, à léchelle du système, englobant les objectifs de production et de vie de lagriculteur.
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Naturel ? Monte naturelle.
Franziska HÄMMERLI, AuteurCet article rapporte les résultats dune étude comparative menée par deux chercheuses du FiBL et de luniversité de Kassel entre deux groupes de vaches laitières biologiques, dont certaines étaient issues de monte naturelle (MN) et dautres dinsémination artificielle (IA). Ainsi, un total de 594 vaches en première lactation provenant de 29 élevages pratiquant aussi bien la MN que lIA ont été suivies sur divers critères (qualité du lait, intervêlage, rendement laitier). Les résultats montrent que les vaches engendrées par monte naturelle ont des laits contenant moins de cellules (-13 %) et des intervêlages en moyenne plus courts de 12.7 jours. Ces résultats peuvent notamment sexpliquer par le fait que les taureaux en monte naturelle sont en très forte majorité issus du même élevage ou de la même région que les mères et probablement ainsi plus adaptés au contexte local que les taureaux producteurs de semences pour l'IA. Par ailleurs, le stress lors de l'insémination et les traitements du sperme d'IA sont aussi des éléments à creuser.
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Quels taureaux holstein choisir en système herbager ?
Aurélie CHEVEAU, AuteurMême après leur passage en système herbager, et parfois à l'agriculture biologique, certains éleveurs laitiers continuent à travailler avec la race Prim'Holstein. Toutefois, leurs critères de choix des taureaux peuvent changer, comme en témoignent Philippe et Martine Camus, et Gabriel Lissilour, tous les trois éleveurs dans le Finistère. Le couple Camus, en agriculture biologique, a des vaches Prim'Holstein relativement atypiques : petites et trapues. Ils ne sélectionnent pas leurs taureaux sur l'index lait, mais privilégient plutôt la fertilité, la morphologie ou encore l'état corporel. Si les taureaux génomiques, pour lesquels les performances sont prévues en fonction de leurs gènes par manque de descendance, sont les plus nombreux dans les centres de sélection, les taureaux confirmés sont conseillés, avec une plus forte fiabilité sur leurs performances grâce à l'existence de filles en lactation. L'article présente une liste des taureaux conseillés par Prim'Holstein France pour des systèmes herbagers.
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La vache rouge polonaise : La race typique des montagnes Beskid Wyspowy
Tomasz SAKOWSKI, Auteur ; Rainer SUPAN, AuteurLa vache rouge polonaise descend du type sauvage "Bos brachyceros", qui vivait dans la partie Est de l'Europe centrale et en Scandinavie. Elle représentait, entre les deux guerres, plus de 25 % du troupeau polonais. En 1969, les autorités chargées de la gestion du troupeau polonais ont décidé de remplacer la vache rouge par des races plus productives, et le nombre de vaches rouges polonaises a considérablement diminué. Pourtant, la vache rouge polonaise est une race autochtone particulièrement adaptée aux conditions de vie et de production de ce pays : grande résistance, très bonne santé, longévité, excellente fertilité, vêlages faciles et, de plus, lait d'une valeur biologique supérieure. Elle présente, en outre, une aptitude pour des conditions environnementales difficiles, une tolérance dans la sélection des fourrages et une habileté à réduire la production pour mieux passer le cap de la saison difficile. Aujourd'hui, des éleveurs souhaitent préserver l'élevage de cette race, alors que beaucoup d'autres éleveurs polonais ont pour objectif de créer une nouvelle race par croisement de vaches rouges polonaises, danoises, suédoises et norvégiennes. La production biologique pourrait être une nouvelle voie pour les éleveurs de vaches rouges polonaises, qui multiplient les actions (création d'une coopérative, participation à un important concours agricole...) pour essayer de valoriser les vaches rouges polonaises locales.
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La viande bio pour la transformation est très recherchée. Deux possibilités.
Eric MEILI, Auteur ; Franz J. STEINER, AuteurEn Suisse, pour répondre à la demande en viande biologique importante, deux possibilités sont étudiées avec leurs plus et leurs moins : lengraissement de vaches de réforme ou encore la production de bufs issus des veaux mâles de vaches laitières. Lengraissement de vaches de réforme (toutes races) peut être un débouché pour les vaches issues de son élevage ou encore un éleveur peut se spécialiser dans la finition de tels animaux (avec alors achat danimaux à engraisser). Lengraissement de vieilles vaches demande du doigté et lanimal doit être en bonne santé. Mais les prix actuels sont bons et lengraissement peut se faire sans concentrés, à partir de fourrages de qualité. Lengraissement de bufs à partir de veaux mâles bio issus de races laitières (sauf les races laitières "extrêmes") est aussi en développement. Facile, les animaux étant peu exigeants côté alimentation, cela peut être un moyen de valoriser tous ses animaux en bio si on est en production laitière. Ceci peut être aussi intéressant pour des fermes en grandes cultures sans bétail, car cela permet de valoriser les fourrages produits dans les rotations, dapporter du fumier, de créer un nouveau produit à valoriser très demandé, voire dans certains cas, de bénéficier daides.
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Accompagner les éleveurs de races à petits effectifs ; Races à petits effectifs : un outil de diagnostic du collectif
Marion VANDENBULCKE, Auteur ; Denis OLLIVIER, AuteurSauvegarder des races anciennes est un besoin patrimonial, mais surtout de conservation de biodiversité. On recense aujourd'hui, en France, 65 races à très petits effectifs et de plus en plus d'éleveurs s'y intéressent. Des aides existent pour conserver ces races (MAE-PRM = mesure agro-environnementales de prime aux races menacées). Par ailleurs, lorsque les éleveurs veulent vendre les produits issus de ces animaux, ceux-ci étant nécessairement en faibles volumes, ils n'intéressent guère la grande distribution, ni même les bouchers : seules les filières de vente directe sont donc concernées dans un premier temps. Un projet Casdar intitulé Varape (valorisation des races à très petits effectifs) vient de produire un guide méthodologique à cet effet, plus de réflexions que de recettes. Un second article détaille le fonctionnement de ce guide, utile pour ne pas se perdre dans le dédale des points à aborder. Un animateur extérieur est souvent requis pour décliner ce guide avec les éleveurs. Pour plus d'informations : www.varape.idele.fr
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Adapter son troupeau à son système : le croisement 3 voies
Michel MAUGUIN, Auteur ; Marion MENEZ, AuteurLe croisement 3 voies des vaches laitières a été développé aux États-Unis dans l'objectif de profiter au maximum de l'effet d'hétérosis, selon lequel l'individu obtenu par croisement serait supérieur par rapport à ses deux parents de race pure. Concrètement, cela se traduit par des améliorations en termes de fertilité, de résistance aux maladies, de longévité..., comme en témoigne, dans cet article, Michel Mauguin, éleveur laitier en agriculture biologique dans le Morbihan.
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Augmenter la robustesse d'un troupeau de vaches laitières
LETTRE FILIÈRES FNAB - LAIT, AuteurLes vaches n'ont pas la même réaction face à des perturbations. Prendre en compte ce facteur peut augmenter la robustesse de son troupeau. Ainsi, l'INRA du Pin au Haras a étudié deux lots de neuf vaches laitières : l'un avec tous les animaux au même stade physiologique (lactations regroupées) et, dans le second, les vaches sont à des stades hétérogènes de lactation. En cas de perturbation, ce dernier lot montre globalement une meilleure production de lait. A partir de ce constat, l'INRA a étudié une conduite de troupeau basée sur la constitution de deux lots : l'un vêlant au printemps et l'autre à l'automne. Cette conduite présente, en plus d'une meilleure robustesse du troupeau, divers avantages : en périodes de moindre disponibilité alimentaire (été et hiver), une partie du troupeau est tarie ; les vaches vides en fin de période de reproduction peuvent intégrer l'autre lot ; plus de souplesse en termes d'âge à la première mise bas ; pas de pic de travail lié à une seule période de mises bas et étalement de la production.
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À chaque ferme son propre système de pâture
Markus SPUHLER, AuteurAdapter son système de pâture à son exploitation est un élément essentiel, comme le montre le cas de la ferme laitière biologique objet de cet article. Cette exploitation, située en Suisse (commune de Madiswil), compte un troupeau de 24 vaches Jersey sur une SAU de 18 ha, dont 6.5 de prairies permanentes sur les zones les plus en pente. Le choix a été fait de privilégier au maximum le pâturage intégral l'été, le but étant de réduire les coûts de production. La race Jersey a été choisie pour son petit gabarit (plus compatible avec le type de sol et les pentes des parcelles) et pour ses capacités à valoriser les fourrages grossiers tout en produisant un lait très riche. Prairies permanentes et temporaires sont pâturées, mais seules les secondes sont aussi fauchées. Un système de pâturage tournant sur gazon court a été mis en place, avec trois enclos pâturés jusqu'à douze fois par an, avec une mise à l'herbe la plus précoce possible au printemps, mais un arrêt assez tôt l'automne. Pour maintenir le potentiel de production des prairies permanentes, des sursemis réguliers sont réalisés (tous les trois à quatre ans). La fertilisation est faite avec du purin et un important travail est conduit pour limiter les espèces indésirables.