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Bien-être
Bien réussir la manipulation des bovins : Percevoir, comprendre, communiquer
Les élevages extensifs destinés à la production de viande de pâturage sont considérés comme particulièrement respectueux des bovins. Cependant, en raison du peu de contact avec les humains, les animaux deviennent souvent craintifs à leur égard. Cela rend les interactions avec ces derniers plus difficiles et, lorsque celles-ci deviennent inévitables, cela engendre du stress, tant chez l’humain que chez le bovin. Bien comprendre le comportement des bovins et respecter certaines règles de base peuvent faciliter et détendre cette interaction. Cette fiche technique, éditée par le FiBL (Suisse), transmet les bases des perceptions sensorielles et de l’apprentissage des bovins domestiques et montre comment les éleveurs d’un cheptel peuvent créer une relation positive avec leurs bovins.
Les bovins Wagyu de l'Albulatal
Anna PEARSON, AuteurFlavius Laim est agriculteur biologique dans la région de l'Albula, en Suisse. Sur la ferme familiale, reprise en 1988, il a d'abord élevé des cochons, rejoints par la suite par des chèvres, des agneaux et des bovins de la race Wagyu. Originaire du Japon, cette race est plus connue sous le nom de Bœuf de Kobe, dont la viande est très prisée pour son important persillage. Soucieux du bien-être animal, Flavius Laim laisse un accès à l'extérieur toute l'année pour ses 33 bovins, pratique qui se démarque de l'élevage traditionnel au Japon, où la liberté de mouvement des animaux est limitée en hiver afin de maximiser la teneur en gras de la viande. Les bœufs sont abattus à la ferme, à plus de 36 mois, et la viande est vendue dans des restaurants, hôtels ou auprès de clients particuliers.
Comment on parle avec des bovins
Eva FÖLLER, AuteurLa méthode Low Stress Stockmanship (LSS) a été inventée par Bud Williams (US). Il s’agit d’une méthode de communication avec le troupeau bovin, basée sur la collaboration avec l’animal. L’éleveur doit être attentif aux comportements et aux besoins des bovins pour mettre en place une relation de confiance et de respect. Cette méthode permet de diminuer le stress de l’animal, et aussi celui de l’éleveur. En Suisse, Philippe Wenz anime des formations à la LSS. Il conseille notamment d’éviter de crier, et de communiquer avec le troupeau en priorité avec l'attitude corporelle et la position par rapport aux bovins. Par exemple, marcher en zig-zag derrière le troupeau le fait avancer, alors que marcher sur le côté du troupeau le fera ralentir.
En direct de l’Inao : Ebourgeonnage-écornage en élevage : quoi de neuf ?
Léa ROUZEYROL, AuteurL’INAO a diffusé, en juillet 2023, une note de lecture intitulée « Ablation des bourgeons de corne – ébourgeonnage – et écornage en agriculture biologique ». L’ébourgeonnage (destruction du bourgeon cornual avant sa soudure à la boîte crânienne, qui se fait vers 2 mois chez les bovins et 2 semaines chez les caprins) et l’écornage (destruction de la corne développée) ne sont pas autorisés en bio, sauf en cas de dérogation, du fait de la souffrance que ces opérations engendrent. La demande de dérogation doit être motivée et faite auprès de l’INAO et c’est seulement après son acceptation que l’opération peut être réalisée. L’épointage (coupe de l’extrémité de la corne en sa partie non vascularisée) n’est pas considéré comme un écornage et, donc, n’est pas soumis à dérogation. Par ailleurs, tout écornage ou ébourgeonnage doit être réalisé par un personnel qualifié (vétérinaire, exploitant ou salarié formé), avec un protocole de prise en charge de la douleur (stress, douleur pendant et post opératoire). En AB, l’utilisation d’un anti-inflammatoire non stéroïdien est obligatoire dans tous les cas. Sur des bovins de plus de 4 semaines et des caprins de plus de 2 semaines, l’usage d’un anesthésiant local doit s'ajouter. Restant des pratiques à dérogation, l’enjeu est de voir comment s’en passer, par le biais de l’épointage, de l’élevage d’animaux naturellement sans cornes ou par l’évolution des conditions d’élevage (ex. réduire le nombre d’animaux dans les bâtiments en hiver).
Améliorer la santé des veaux et des porcelets grâce aux plantes médicinales : Potentiel de la phytothérapie d'un point de vue scientifique
Hannah AYRLE-STAUSS, Auteur ; Michael WALKENHORST, Auteur ; Sonja WOPFNER, Traducteur ; ET AL., Auteur | FRICK (Ackerstrasse 113, Case Postale 219, CH-5070, SUISSE) : FIBL (Institut de recherche de l'agriculture biologique) | 2023L’utilisation de plantes médicinales peut contribuer à la prévention et au traitement des maladies affectant les jeunes animaux, notamment les veaux et les porcelets. En complément des traitements vétérinaires, elle permet, en outre, de soutenir le rétablissement des animaux. Ce document présente les plantes médicinales les plus utilisées traditionnellement et les plus prometteuses d’un point de vue scientifique, et explique comment les utiliser dans la pratique. Il inclut des mesures simples, qui permettent souvent de neutraliser les agents pathogènes à un stade précoce et de réduire la vulnérabilité des animaux aux maladies.
La biodiversité domestique : Vers de nouveaux liens entre élevage, territoires et société
Anne LAUVIE, Coordinateur ; Annick AUDIOT, Coordinateur ; Etienne VERRIER, Coordinateur | VERSAILLES CEDEX (RD 10, 78 026, FRANCE) : ÉDITIONS QUAE | 2023À l’heure où la diversité des populations animales est présentée comme un élément-clé du développement de l’agroécologie, la notion de « biodiversité domestique » devient capitale. Elle se distingue de celle de « ressources génétiques » en mettant davantage en avant la diversité du vivant, sa dynamique et ses interrelations. Cet ouvrage réinterroge la diversité des populations animales utilisées en élevage, ainsi que la place des races locales. La question de la diversité des animaux d’élevage est abordée en tenant compte de la pluralité des pratiques humaines pour la gérer, l’utiliser et la valoriser. Elle est aussi appréhendée au travers de ses relations avec le reste du vivant, la biodiversité sauvage notamment, que ce soit la diversité de la faune et de la flore dans les territoires d’élevage ou les pathogènes présents dans les milieux d’élevage. Ce livre établit aussi un panorama des nouvelles connaissances produites et des méthodologies de gestion (avancées récentes en génétique, nouveaux questionnements autour des services écosystémiques, résilience des systèmes d’élevage). Il propose, pour finir, une vision prospective qui interroge la place de cette biodiversité au regard des grands enjeux actuels (enjeux environnementaux et érosion de la biodiversité, alimentation (souveraineté et qualité), santé globale, développement des territoires, bien-être animal, relations entre humains et animaux, etc.). Des fiches "espèces" présentent des races, pour différentes espèces (ânes, chevaux, bovins, ovins, caprins, porcins, poules, palmipèdes).
Un climat en plein bouleversement : Rapport d'activité 2021/2022 du FiBL
Jannick SCHERRER, Auteur ; Sofia BARTSCH, Auteur ; Deborah BIERI, Auteur ; ET AL., Auteur | FRICK (Ackerstrasse 113, Case Postale 219, CH-5070, SUISSE) : FIBL (Institut de recherche de l'agriculture biologique) | 2023Dans son rapport d’activité 2021/2022, le FiBL offre un aperçu des travaux menés sur l’ensemble de ses 6 sites (Suisse, Allemagne, France, Autriche, Hongrie et Europe). Un large éventail de projets sont présentés, de la promotion de la biodiversité dans les grandes cultures au potentiel des lentilles d’eau et à la durée de vie productive des vaches laitières suisses, en passant par un projet éducatif sur l’alimentation durable en coopération avec un établissement scolaire, ainsi que des mesures pour améliorer l’agriculture et l’élevage dans la région du Sahel. Les projets abordent aussi le changement climatique, le sol, le microbiome, les alternatives au cuivre, les bandes fleuries, les semences, le pâturage des vergers, la réduction des produits vétérinaires, la sélection d’une nouvelle race de porc bio suisse…
En direct de l’Inao : Vivre d’amour et d’herbe fraîche : la recette du bonheur ?
Léa ROUZEYROL, AuteurEn élevage bio, les animaux doivent bénéficier d’un accès permanent à un espace de plein air dès que les conditions le permettent, et, de préférence, à des pâturages. Suite au Cnab (Comité national de l’agriculture biologique) du 7 mars 2023, une note de lecture est parue pour expliquer cette obligation. Les bovins, ovins, caprins, équins, cervidés et lapins doivent avoir accès à des pâtures et l’éleveur doit maximiser le pâturage. Il convient donc de privilégier les pâtures à une aire d’exercice extérieure (cette aire doit être ouverte sur trois côtés et être découverte sur au moins la moitié de sa surface). Les herbivores doivent aussi pâturer le plus tôt possible. Toutefois, comme les veaux, les chevreaux et les agneaux ne sont pas considérés comme des herbivores, ils ne sont pas soumis à cette obligation. La note de lecture fixe des âges d’accès aux aires d’exercice extérieures et au pâturage pour les veaux, mais pas encore pour les chevreaux et les agneaux. Par ailleurs, pour tous les herbivores, l’obligation d’accès à l’extérieur n’est effective que lorsque les conditions météorologiques, l’état du sol et la santé des animaux permettent leur sortie. En cas de fortes chaleurs, de froid humide, de pousse d’herbe insuffisante, de soins vétérinaires, etc., il n’est pas obligatoire de donner aux animaux un accès à un espace de plein air. Cet article est accompagné d’une interview de Philippe Sellier, président de la Commission bio d’Interbev et éleveur de bovins bio. Il répond aux trois questions suivantes : Quels sont les impacts de ces règles sur les systèmes d’élevage ? Vers quoi va tendre l’élevage bio ? Est-ce que le nouveau règlement bio améliore le bien-être des animaux ?
Dossier : Allier sécurité et praticité avec la contention mobile
Lucie POUCHARD, Auteur ; Sophie BOURGEOIS, AuteurEn élevage de bovins allaitants, investir dans du matériel de contention mobile, et donc utilisable sur différentes parcelles ou différents sites de l'exploitation, peut être un réel atout pour faciliter les soins et les interventions sur les animaux. Dans ce dossier, plusieurs éleveurs présentent leurs matériels et l'usage qu'ils en font. Dans le Maine-et-Loire, Benoît Poitou élève un troupeau allaitant de Salers en agriculture biologique. Le couloir de contention, déjà présent sur l'exploitation lorsqu'il a repris celle-ci deux ans auparavant, lui sert pour toutes les interventions sur son troupeau : pesée, tonte, traitements... Jérémie Cheptou, lui aussi éleveur bio dans le Maine-et-Loire, a investi dans un parc mobile qui lui permet de gérer seul l'embarquement de ses Rouges des prés dans la bétaillère. Dans deux autres témoignages, en agriculture conventionnelle cette fois, dans les Deux-Sèvres et dans la Creuse, sont présentés : du matériel de contention mobile qui permet d'intervenir sur plusieurs sites d'élevage et une cloche mobile conçue sur mesure pour boucler les veaux nouveaux-nés directement au champ.
Dossier attentes sociétales
Alexia BARRIER, Auteur ; Soizick ROUGER, Auteur ; Florence MAUPERTUIS, Auteur ; ET AL., AuteurL’agriculture biologique est un système agricole qui répond à des enjeux sociétaux, notamment de préservation de l’environnement (biodiversité, sol, eau, etc.), de préservation de la santé humaine et de respect des animaux et de leur bien-être. Ce dossier de Technibio présente plusieurs projets et outils illustrant ces enjeux. Dans le cadre du projet COBRA (Concevoir des Outils Biodiversité pour Renforcer l’accompagnement et la formation des Agriculteurs) et du projet OCAAPI (Outils de Conseil Agricole en faveur des Abeilles et de l’APIculture), une boîte à outils sur la biodiversité a été mise en ligne. Le projet RELACS, piloté par le FiBL, étudie les alternatives aux intrants controversés utilisés en bio ; l’ITAB a piloté l’axe dédié aux alternatives aux antibiotiques, dont les huiles essentielles en traitement des mammites. Le projet CASDAR Farinelli, piloté par la FNAB, l’ITAB et Forebio, vise à améliorer le bien-être des porcs en étudiant des alternatives à la castration chirurgicale. La Ferme expérimentale de Thorigné d’Anjou a analysé la qualité organoleptique de la viande de jeunes bœufs, comparée à celle de vaches de réforme, dans l’objectif de mieux valoriser les veaux bio.
Dossiers de la biodynamie : Élevage 1 : La place de l'animal dans l'organisme agricole
Marion LEBRUN, Auteur ; Martin QUANTIN, Auteur | COLMAR (5 Place de la Gare, 68 000, FRANCE) : MOUVEMENT DE L'AGRICULTURE BIODYNAMIQUE | 2023Dans ce premier dossier consacré à l'élevage en biodynamie, Biodynamie Recherche et le Mouvement de l'agriculture biodynamique (MABD) définissent les différentes formes d’autonomie que l’organisme agricole à la fois suscite et implique. La notion de présence animale dans les fermes est explorée, en s'intéressant au rôle agricole de chaque animal et à l’intérêt de travailler en collaboration avec différentes espèces. Ensuite, la problématique du devenir des mâles dans la ferme est abordée. Pour terminer, ce dossier interroge l’évolution du rapport de l'humain au vivant, en lien avec la pratique de la biodynamie.
Dossiers de la biodynamie : Élevage 2 : Accompagner l'animal tout au long de sa vie
Marion LEBRUN, Auteur ; Martin QUANTIN, Auteur | COLMAR (5 Place de la Gare, 68 000, FRANCE) : MOUVEMENT DE L'AGRICULTURE BIODYNAMIQUE | 2023Dans ce second dossier consacré à l'élevage en biodynamie, Biodynamie Recherche et le Mouvement de l'agriculture biodynamique explorent les liens imbriqués entre les animaux d’élevage, les éleveurs et la société. La première partie de ce dossier s'intéresse à la conduite du troupeau et à la conciliation des besoins de l’éleveur avec ceux des animaux, en respectant leur intégrité, ainsi que leurs besoins comportementaux. Dans une seconde partie, c’est la question de la santé et du bien-être qui est traitée, à travers les pratiques de soins et d’alimentation. La troisième partie est consacrée à la question de la sélection de races adaptées à l’agriculture biodynamique : Comment concilier les impératifs de production avec les spécificités des systèmes de production et du territoire, tout en préservant la biodiversité des races ?
Dossiers de la biodynamie : Élevage 3 : Animal, éleveur et société
Marion LEBRUN, Auteur ; Martin QUANTIN, Auteur | COLMAR (5 Place de la Gare, 68 000, FRANCE) : MOUVEMENT DE L'AGRICULTURE BIODYNAMIQUE | 2023Dans ce troisième dossier consacré à l'élevage en biodynamie, Biodynamie Recherche et le Mouvement de l'agriculture biodynamique explorent les questions liées à la mort des animaux d’élevage. La première partie de ce dossier traite de l'insatisfaction des éleveurs concernant les conditions de mise à mort des animaux (interdiction d'abattage des animaux à la ferme...), au travers des questions du respect de l'animal et de son bien-être (stress lors du transport...), et de la responsabilité de l'éleveur. Avec la remise en cause de l'existence de l'élevage par, notamment, le mouvement végane, les éleveurs et les éleveuses en biodynamie se sont interrogés sur la place que l'élevage paysan pouvait occuper, entre les deux extrêmes que sont l'élevage industriel et l'abolition de l'élevage, et ont formulé, dans une deuxième partie, 6 propositions, en réponse à ces préoccupations (relation réciproquement bénéfique entre l'animal et l'homme ; être reconnaissant de ce que l'animal nous donne ; ne pas (se) cacher la mort ; etc.). La troisième partie s'intéresse à différents aspects du bien-être de l'éleveur, en lien étroit avec la présence animale, mais également en lien avec ses pairs et avec le monde extérieur.
Des écorces de bois comme alternative à la paille
François D'ALTEROCHE, AuteurSur la Ferme expérimentale des Bordes, dans l'Indre, et en bio, une expérimentation a permis d'évaluer l'intérêt d'une litière à base d'écorces de bois broyées comparativement à la paille classiquement utilisée. Le prix de cette dernière étant de plus en plus élevé, les agriculteurs sont, en effet, à la recherche d'alternatives. Cet essai a été conduit sur deux lots de taurillons limousins en cours de finition. Les principaux résultats, rapportés dans cet article, concernent les performances zootechniques, le bien-être animal, la facilité de curage des cases et les caractéristiques fertilisantes des différents fumiers ainsi obtenus. Ils permettent de conclure sur l'intérêt d'une litière à base d'écorces de bois.
Élevage bovin : comment sortir de l'impasse ? : Préserver la planète et les éleveurs : L'urgence d'une feuille de route de la fourche à la fourchette
Elyne ETIENNE, Auteur ; Louise LE PROVOST, Auteur ; Thomas UTHAYAKUMAR, Auteur ; ET AL., Auteur | BOULOGNE-BILLANCOURT (6 Rue de l'Est, 92 100, FRANCE) : FONDATION POUR LA NATURE ET L'HOMME (FNH) | 2023Dans ce document, la Fondation pour la Nature et l'Homme (FNH) apporte sa contribution au débat concernant l'avenir de l'élevage bovin. Elle dresse un état des lieux de la filière bovine et propose différents axes de travail pour accompagner la transition agroécologique de l'élevage bovin. Face à la double difficulté environnementale et socio-économique dans laquelle se trouve la filière, la FNH formule six recommandations pour améliorer les politiques publiques existantes : 1 - Adopter une gouvernance interministérielle de la transition agroécologique et alimentaire ; 2 - Faire évoluer l'environnement alimentaire afin d'inciter à consommer moins et mieux de produits animaux et plus de végétaux ; 3 - Mettre un terme aux tendances d'agrandissement-concentration, de spécialisation et d'intensification des pratiques ; 4 - Lancer une réflexion pour réguler les volumes, les prix, et le partage de la valeur au sein des filières ; 5 - Réguler les échanges commerciaux pour réduire la concurrence internationale déloyale que subissent les éleveurs bovins ; 6 - Refondre les enveloppes financières existantes en modulant les soutiens à l'élevage pour l'orienter vers une baisse des volumes de production et une amélioration des pratiques.