Cette Bio-Étagère est une recherche facilitée et non exhaustive. Elle moissonne, dans la Biobase, des références répondant à une équation de recherche élaborée par ABioDoc. Cette sélection s’actualise tous les mois.
Vous pouvez affiner cette sélection à l’aide des Mots-Clés, Auteurs et Année d’édition, présents sur la colonne de gauche ; et modifier l'ordre d'affichage à l'aide du menu déroulant (passer de « pertinence décroissante » à « années d'édition décroissante» par exemple)
Selon l'icône de la notice, le document est disponible : en PDF gratuit ; en PDF payant ; sur un autre site internet .
Les documents sont consultables à ABioDoc et bon nombre d'entre eux peuvent être commandés sous forme de photocopies ou empruntés (pour les ouvrages) selon la réglementation en vigueur (voir Services documentaires).
Reproduction Sélection Races
Vêlages précoces : Des croissances modérées l'hiver pour optimiser les performances au pâturage
Cyrielle DELISLE, AuteurDes essais ont été menés sur la ferme expérimentale de Thorigné d'Anjou, pendant les hivers 2011-2012, 2012-2013 et 2013-2014, sur des lots de génisses limousines (génisses nées au printemps âgées de 8 à 12 mois ou génisses nées à l'automne âgées de 14-18 mois) pour suivre l'impact d'une croissance classique (650-700 g/j) et d'une croissance modérée (450-550 g/j). Les résultats ont montré que les génisses alimentées pour obtenir une croissance hivernale modérée, quelle que soit leur période de naissance, compensaient leur poids plus faible en fin d'hiver par une meilleure croissance à la mise au pâturage. En effet, on observe une faible différence de poids entre les lots à la mise à la reproduction et les femelles sont assez lourdes pour un premier vêlage à 30 mois. Ainsi, en s'appuyant sur la croissance compensatrice des animaux, on peut réduire les coûts d'alimentation l'hiver, optimiser l'utilisation du pâturage au printemps, tout en obtenant des femelles pouvant se reproduire dès 30 mois. Cette pratique est aussi employée, depuis 2013, dans un GAEC comptant un troupeau de 110 mères charolaises, ce qui a permis de réduire, voire de supprimer les concentrés dans la ration d'hiver des génisses.
L'Earl Le Métrot à Aigurande dans l'Indre : De meilleurs résultats après la conversion
Annie RIGAULT, AuteurL'exploitation faisant l'objet de cet article est certifiée bio depuis 2013. Elle compte un troupeau de 70 limousines et leur suite, inscrites au Herd-Book, sur 179 hectares. Le troupeau a été réduit d'une dizaine de mères à la conversion. Le choix a été fait d'engraisser surtout des femelles, le buf étant jugé trop long à produire et pas assez valorisé. Les broutards sont vendus en conventionnel. Le système fourrager, dominé par les prairies permanentes, dont certaines en zones humides, a été revu pour intégrer la culture de protéagineux, dont du soja. L'exploitation cultive également de la luzerne, du ray-grass/trèfle violet et d'autres prairies temporaires sur 20 hectares. Avec la conversion, les charges ont baissé et les produits ont augmenté, d'où l'amélioration des résultats économiques.
L'élevage biologique des bovins
Comment convertir un élevage conventionnel de bovins lait et viande en un système d'élevage biologique ? Quels sont les éléments indispensables à connaître et les conseils à suivre pour mener à bien cette conversion ? Ce guide pratique s'adresse principalement aux éleveurs conventionnels déjà installés qui possèdent une expérience de l'élevage des bovins lait et/ou viande. Il présente le contexte actuel de l'élevage biologique des bovins laitiers et allaitants, en France et dans la Communauté européenne, détaille la situation du marché biologique des produits laitiers et de la viande bovine ainsi que l'organisation des filières et offre de nouvelles perspectives. Il met également en évidence la singularité des techniques biologiques, comparées aux pratiques conventionnelles, en insistant sur les aspects qui différencient et en précisant pour chacune d'entre elles, les exigences réglementaires, les résultats technico-économiques, mesurés sur un échantillon d'exploitations biologiques représentatives du territoire national, permettant d'appréhender les changements à attendre d'une conversion en agriculture biologique. Enfin, il indique les différentes étapes pour suivre un plan de conversion, basé sur différentes aides dont l'éleveur peut bénéficier, propose des cas concrets et restitue les témoignages de différents acteurs des filières "lait" et "viande" (éleveurs, chercheurs des fermes expérimentales, responsables d'organismes d'aval) pour apporter un éclairage réaliste sur la problématique de conversion et les perspectives du marché biologique des produits laitiers et de la viande bovine. L'auteur, Dominique Antoine, a été responsable du service Agriculture biologique de la coopérative céréalière LIGEA, président de l'ACAB (Association de conseillers indépendants en agriculture biologique) mais aussi président de l'ITAB (Institut technique de l'agriculture biologique). Il est aujourd'hui consultant en agriculture biologique.
Elevage : Les vêlages groupés
Pascal BISSON, AuteurDeux études, réalisées en Deux-Sèvres en vaches allaitantes, se sont penchées sur l'impact des vêlages groupés ou dispersés, d'une part sur la reproduction et le nombre de veaux produits, et d'autre part sur la production de viande et le temps de travail demandé à l'éleveur. La première montre que, en race charolaise, des vêlages groupés sur une période de trois mois permettent d'obtenir 11 % de veaux en plus par rapport aux vêlages étalés. Cela se traduit par différents facteurs : - un âge au premier vêlage inférieur de 1,6 mois ; - un intervalle vêlage-vêlage (IVV) inférieur de 24 jours ; - une moindre mortalité ; - une période de vêlage en été, plus favorable. Pour les races parthenaise, limousine et blonde d'Aquitaine, les différences entre vêlages groupés et dispersés sont moins marquées. La seconde étude a consisté à modéliser le passage d'un système de vêlages dispersés à un système de vêlages groupés. L'incidence de l'IVV et du pourcentage de veaux vivants à 90 jours a été mesurée sur la production de viande. Celle-ci augmente de 10 t, pour un cheptel de 100 vaches, et la production de viande vive par UGB est supérieure de 13 %. A noter que le système en vêlages groupés compte 6 UGB supplémentaires. Par ailleurs, le temps de travail d'astreinte en système de vêlages groupés est moindre, en lien avec un temps réduit en stabulation et une surveillance facilitée. Dans une troisième partie, l'auteur explique comment il est possible de grouper les vêlages. Cela passe par trois éléments essentiels : l'alimentation, la conduite du troupeau et la génétique.
Exemple d'un élevage bio charolais
A l'occasion d'une journée technique organisée par l'OPABA (Organisation Professionnelle de l'Agriculture Biologique en Alsace), un élevage de bovins charolais biologiques du Haut-Rhin a été visité. Sébastien Better a présenté sa ferme de Gutenburg à Aspach-le-Haut : 200 ha, 80 vaches allaitantes, dont une partie en céréales conventionnelles (45 ha) et le reste en AB (principalement pour l'alimentation des animaux). La filière viande, notamment en Alsace, est abordée.
Fermoscopie : Transformation totale vers l'autonomie
Aude COULOMBEL, AuteurJean-Baptiste Drouin a repris, en 2005, dans le Loiret, la ferme de son père, qu'il a convertie en bio. Avec sa compagne et deux salariés à temps plein, ils exploitent 180 ha, transforment et commercialisent les produits de leur troupeau de 80 vaches Aberdeen-Angus et de 180 chèvres. La réduction des charges de mécanisation et d'intrants, l'arrêt de la course aux rendements et la transformation à la ferme leur permettent de multiplier le résultat net par huit. Le pâturage est optimisé sur un modèle intensif : l'ensemble du troupeau pâture sur 1 hectare pendant 24 heures avant de changer de paddock. L'alimentation des vaches est simplifiée, la race Angus est légère et n'a pas besoin de concentrés pour la finition, ce qui permet à la ferme d'être autonome sur cet atelier. Jamais à court d'idées, l'éleveur souhaite implanter des arbres dans les pâtures et les champs afin de gagner du temps pour clôturer les parcelles et de profiter des atouts agronomiques de l'agroforesterie.
Un guide pour accompagner les démarches collectives de valorisation des produits des races à petits effectifs
C. COUZY, Auteur ; L. MARKEY, Auteur ; A. LAUVIE, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (Secrétariat 3R - MNE, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : RENCONTRES RECHERCHES RUMINANTS | 2014Ce texte est issu des Journées 3R (Rencontres Recherches Ruminants) de 2014 (Thème : Qualité des produits). Quand le souci de la pure sauvegarde d'une race à petits effectifs est écarté, apparaît celui de la commercialisation de ses produits, qui sont souvent loin des standards et toujours en faibles volumes. L'analyse de 29 démarches observées a confirmé et étoffé la connaissance des opportunités ou des verrous liés à la valorisation des races à petits effectifs (RPE). Elle a montré que les collectifs d'éleveurs peuvent tirer parti des caractéristiques de leurs races en transformant en atouts ce qui, au départ, pouvait paraître comme des contraintes. Mais, certains restent plus difficiles à dépasser. L'analyse des expériences a également nourri le guide « Varape » (VAlorisation des RAces à Petits Effectifs) en identifiant les bonnes questions à se poser, et les conditions de réussite des différentes options (marque, AOP ). Ce guide est un outil à destination des groupes d'éleveurs désirant mettre en place une filière collective de valorisation d'une race à petits effectifs. Il permet de diagnostiquer où en sont la race, ses produits et le collectif qui la porte afin d'aider ce dernier à se fixer des objectifs et un plan d'actions réaliste. De plus, il offre des ressources diverses (par exemple sur les signes officiels de qualité, les circuits courts, les analyses d'expériences ), pour nourrir les réflexions.
Intérêt technico-économique de l'engraissement des mâles à l'aide de simulations dans le contexte de la nouvelle PAC - Sommet de l'élevage Septembre 2014
Matthieu COUFFIGNAL, Auteur ; Christèle PINEAU, Auteur ; Jérôme PAVIE, Auteur | PARIS CEDEX 12 (Maison Nationale des Éleveurs, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : INSTITUT DE L'ÉLEVAGE | 2014Une simulation a permis d'étudier, en élevage bovin allaitant bio, différentes possibilités d'engraisser les animaux mâles, dans le contexte de la nouvelle PAC. Deux systèmes étaient visés : polyculture-élevage et tout herbe. Les simulations du système initial intègrent une modulation de la taille du troupeau, la réduction des ventes en maigre et l'engraissement des mâles dans des proportions variables (en veaux, barons, bufs). En système de polyculture-élevage, les hypothèses qui maximisent la surface en culture de vente sont souvent les plus intéressantes, mais celles qui valorisent le broutard en veau sous la mère sont économiquement plus favorables. En système tout herbe, l'engraissement est économiquement favorable (veaux sous la mère, bufs), mais principalement en conservant le même nombre de vaches.
Journée filière bovin viande en région Centre : Comment allier engraissement et autonomie alimentaire ?
Annie RIGAULT, AuteurEn avril 2014, une journée filière bovins viande biologiques a été organisée dans l'Indre sur le thème de l'autonomie et de l'engraissement. A cette occasion, les résultats de la ferme expérimentale des Bordes ont été présentés. Cette exploitation produit notamment des bufs limousins depuis de nombreuses années. L'autonomie alimentaire maximale est la clé des bons résultats obtenus (autonomie fourragère à 100 % et autonomie en concentrés à 85 %). Les bufs produits, de bonne qualité, valorisent au maximum l'herbe, les deux tiers de leur poids étant obtenus à partir de cette ressource alimentaire grâce à un itinéraire technique bien maîtrisé. En 2014, la ferme expérimentale des Bordes a lancé une nouvelle expérimentation : produire les bufs en AB de 30 mois et non de 36 mois, tout en diminuant le chargement. Cela demande un itinéraire technique exigeant et une croissance sous la mère élevée. Les premiers résultats sont conformes aux prévisions.
Journées Techniques : Sélection animale en AB : 5 & 6 novembre 2014 à Châteauroux
Etienne LEGRAND, Auteur ; Etienne VERRIER, Auteur ; Didier BOICHARD, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut de l'agriculture et de l'alimentation biologiques) | 2014Les 5 & 6 novembre 2014, se sont tenues, à Châteauroux, des Journées Techniques sur la Sélection Animale, la Diversité Génétique et l'Agriculture Biologique. Organisées par l'ITAB avec l'aide de Bio Centre, ces journées étaient destinées à la réflexion sur la façon dont les schémas de sélection actuels peuvent répondre aux besoins de l'élevage biologique, chez les ruminants et les volailles. Les bases, les enjeux et les outils de la sélection génétique ont été présentés, ainsi qu'un panorama de l'état actuel des connaissances dans le domaine : - L'amélioration génétique des animaux : aperçu historique, principes et application à des productions sous cahier des charges ; - Sélection, systèmes de production et qualité des produits des vaches laitières ; - Sélection des ruminants et agriculture biologique : quelques possibilités et pistes à partir des dispositifs de sélection actuels ; - Les schémas de sélection génétique répondent-ils aux besoins des productions biologiques dans les filières avicoles ? ; - Adéquation de l'élevage aux conditions locales ; - Évaluation quantitative de la robustesse des vaches et du troupeau laitier : quels principes retenir ? ; - La sélection participative en semences paysannes : Raisonnement et enjeux ; - Une démarche de sélection en Brune d'Origine pour une adaptation locale ; - La biodiversité animale à la ferme : pratiques et points de vue d'éleveurs et éleveuses sur la gestion des troupeaux ; - Synthèse de l'état actuel des connaissances en épigénétique : ouvertures vers des questionnements ; - Gérer les races animales locales en biens communs : dispositifs, crises et leviers de la coopération.
Luzerne enrubannée en complément du blé pour l'engraissement des jeunes bovins
Alain GUILLAUME, Auteur ; Daniel LE PICHON, Auteur ; Didier BASTIEN, Auteur | PARIS CEDEX 12 (Secrétariat 3R - MNE, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : RENCONTRES RECHERCHES RUMINANTS | 2014Ce texte est issu des Journées 3R (Rencontres Recherches Ruminants) de 2014 (Thème : Autonomie alimentaire). L'autonomie protéique est un enjeu de la pérennité des élevages bovins viande en production de jeunes bovins. Trois essais ont été réalisés en Bretagne, qui ont permis d'évaluer l'intérêt de l'apport de luzerne enrubannée comme seul complément azoté dans une ration à base de blé. Pour les races Limousine et Charolaise, les rations avec luzerne ou soja sont comparées grâce aux critères techniques classiques tels que le Gain moyen quotidien, le poids vif en fin d'engraissement, les critères de qualité de carcasse, la consommation journalière d'aliments, ainsi que leurs caractéristiques nutritionnelles. Les résultats montrent que les performances d'engraissement issues des rations à base de luzerne et de tourteau de soja sont comparables, avec des caractéristiques de carcasses identiques.
Les nouveaux enjeux du couple vache-prairie à la lumière de l'agroécologie
A. PFLIMLIN, Auteur ; P. FAVERDIN, AuteurLes crises agricoles mondiales ne sont pas des soubresauts conjoncturels, mais la conséquence de la spécialisation et de l'industrialisation des élevages. Le modèle intensif mettant en concurrence les ruminants et les humains pour la consommation de grains est donc remis en cause. Les systèmes herbagers sont posés comme des alternatives dont les progrès reposent essentiellement sur la génétique : les bovins doivent être adaptés au système de production, et non l'inverse. De plus, l'innovation fourragère consiste à inventer des systèmes économes en intrants, mais associés à une moindre consommation humaine de viande. L'article décrit des exemples français et étasunien où la spécialisation des élevages a conduit à leur industrialisation. Par exemple, un troupeau moyen californien compte 900 vaches laitières produisant 10 000 kg de lait par an. Les troupeaux indiens jouent le rôle de contre-modèle : 80 millions d'éleveurs possèdent une à deux vaches. En dépit de cette extrême atomisation de l'offre, le pays est autosuffisant en lait. L'article esquisse des définitions de l'agroécologie et de son application aux systèmes bovins herbagers européens. La pertinence des indicateurs techniques et économiques classiques est à revoir (remplacer par exemple la production laitière par vache par le nombre d'emplois créés par million de litres produits).
Un plan pour les races de Bretagne
Hélène BUSTOS, AuteurLa Fédération des races locales de Bretagne vient d'éditer une série de fiches techniques sur les systèmes d'élevage de races locales (vaches Armoricaine, Froment du Léon, Bretonne Pie Noire, porc Blanc de l'Ouest, chèvre des fossés...). La Fédération regroupe 10 associations de races locales et mille éleveurs. L'image de ces races change, elles sortent des écomusées et sont en phase avec les demandes des consommateurs.
Recherches concernant la production de viande bovine biologique sur la Ferme expérimentale de Thorigné d'Anjou ; Produire et utiliser de la luzerne en production de viande bovine biologique
Jean-Paul COUTARD, Auteur ; Julien FORTIN, AuteurCet article présente la ferme expérimentale et les principaux résultats des recherches récentes : - L'évaluation économique des barons (mâles non castrés abattus à 13 ou 15 mois) jusqu'au calcul du résultat courant ; - Des essais sur la croissance compensatrice ; - Les performances des rations contenant de l'ensilage d'associations céréales+protéagineux pour la finition des femelles ; - L'utilisation de la luzerne sur sols acides (pH 5,4) qui doit s'accompagner d'inoculation et de chaulage. Les programmes de recherche en cours sont également présentés.
Réseau Charolais campagne 2013 : 57 exploitations conventionnelles, 11 exploitations biologiques : Principales évolutions par rapport à 2012 et 2011
Patrick VEYSSET, Auteur ; Didier BEBIN, Auteur ; Michel LHERM, Auteur | SAINT-GENES-CHAMPANELLE (63 122, FRANCE) : INRA CLERMONT - THEIX | 2014Les résultats technico-économiques synthétiques 2013 des exploitations du Réseau Charolais sont décrits à l'aide des catégories suivantes : taille des exploitations et productivité du travail, marge brute sans aides, charges de structure, revenu moyen du travail et des capitaux. On observe une baisse de marge brute bovine dans les élevages biologiques et conventionnels. Son origine diffère selon le type d'exploitations : en agriculture biologique, elle est due à la baisse de la productivité numérique et à la baisse du nombre d'animaux valorisés en bio ; tandis que dans les élevages conventionnels, elle est causée par une hausse du coût des concentrés et des fourrages. Dans les deux cas, le revenu moyen des éleveurs chute, mais les systèmes biologiques restent plus rémunérateurs de 7 300 /UTH en 2013.