Cette Bio-Étagère est une recherche facilitée et non exhaustive. Elle moissonne, dans la Biobase, des références répondant à une équation de recherche élaborée par ABioDoc. Cette sélection s’actualise tous les mois.
Vous pouvez affiner cette sélection à l’aide des Mots-Clés, Auteurs et Année d’édition, présents sur la colonne de gauche ; et modifier l'ordre d'affichage à l'aide du menu déroulant (passer de « pertinence décroissante » à « années d'édition décroissante» par exemple)
Selon l'icône de la notice, le document est disponible : en PDF gratuit ; en PDF payant ; sur un autre site internet .
Les documents sont consultables à ABioDoc et bon nombre d'entre eux peuvent être commandés sous forme de photocopies ou empruntés (pour les ouvrages) selon la réglementation en vigueur (voir Services documentaires).
Technico-économique
Coût des fourrages : des méthodes et des usages variés
Stéphanie GUIBERT, Auteur ; Patrice PIERRE, Auteur ; Bénédicte BLIN, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (Maison Nationale des Éleveurs, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : INSTITUT DE L'ÉLEVAGE | 2016Les fourrages représentent dans les systèmes dalimentation des herbivores environ 20 % des coûts de production du lait ou de la viande (Inosys réseaux délevage). Selon l'objectif de l'éleveur (ex. vendre des fourrages), des méthodes existent pour déterminer un coût de ces fourrages. Ce document de synthèse, produit par le RMT Prairies Demain, présente quatre méthodes, avec leurs principes et usages, ainsi que des outils, type feuille de calcul sous tableur, permettant de mobiliser certaines dentre elles. La méthode analytique, première présentée ici, est à mobiliser pour déterminer un prix de vente de fourrages ou baisser les coûts de production de ces derniers. La méthode "Prix déquivalence" permet de calculer le prix d'équivalence à valeur alimentaire égale de différents aliments achetés pour introduire un nouveau fourrage, la méthode "budget partiel" permet den estimer lintérêt économique. Enfin, la méthode "Coût de production" peut aider si on souhaite baisser le coût de production à léchelle de latelier délevage.
Le dossier du mois : Anne Le Brigant : Elle élève ses moutons guidée par lexpérience déleveurs bio et non bio ; Agneaux Bio : Une production en quête de références
Antoine BESNARD, Auteur ; Vincent BELLET, AuteurAnne Le Brigant, éleveuse bretonne qui sest installée en ovins viande bio en 2015, a dû faire face à un manque de références technico-économiques en ovins biologiques. Cela la gênée dans son projet (difficulté accrue à se projeter), même si elle a pu, et peut encore, sappuyer sur dautres éleveurs, bio ou non. En plus de lexpérience de ces derniers, elle lit beaucoup ou fait de nombreuses recherches sur Internet. Le projet CasDar « Agneaux Bio Développement concerté et durable de la production dagneaux biologiques » a travaillé à répondre à ce manque, notamment en constituant un réseau délevages sur dix régions en production allaitante (Lorraine, Centre, Auvergne, Limousin, Pays de la Loire, Poitou-Charentes, Midi-Pyrénées, Rhône-Alpes, PACA) et deux bassins laitiers (Roquefort et Pyrénées Atlantiques). Les références issues de ce réseau portent sur les résultats techniques, socio-économiques et environnementaux (ces derniers non présentés dans l'article). Les résultats ont été exposés en septembre dernier au salon La terre est notre métier. En premier lieu, il existe une forte variabilité (entre territoires, entre systèmes et entre systèmes comparables). Cependant, globalement, on peut noter des performances techniques et économiques légèrement moindres en ovins allaitants biologiques quen conventionnel, mais un temps disponible semblant plus élevé. En ovins lait, les résultats technico-économiques sont plus en faveur de la bio.
Les exploitations ovines allaitantes en agriculture biologique du Massif Central : Résultats de la campagne 2014
Cette synthèse présente les premiers résultats du projet BioRéférences, porté par le Pôle Agriculture Biologique Massif Central, issus du suivi de fermes ovins viande bio sur le Massif Central. Les résultats structurels, techniques et économiques de la campagne 2014 sont présentés. Une comparaison est faite avec les systèmes conventionnels, et les composantes de la marge brute par brebis ou du résultat courant sont détaillées.
Liste bibliographique Ovins : Réalisée à partir de la base de données documentaire Biobase d'ABioDoc : 2016
Cette bibliographie qui porte sur l'élevage ovin biologique (références de 2016) a été réalisée à partir de la base de données documentaire Biobase, seule base de données documentaire francophone spécialisée en agriculture biologique, gérée par ABioDoc et accessible à ladresse suivante : http://abiodoc.docressources.fr/. ABioDoc, le Centre National de Ressources en Agriculture Biologique, service de VetAgro Sup et missionné par le ministère de lAgriculture, a effectué ce travail dans le cadre du projet de recherche BioRéférences, financé dans le cadre de la convention de Massif-Massif Central (CGET) et porté par le Pôle Agriculture Biologique Massif Central.
Le milieu biophysique dans la production de références technico-économiques au sein des élevages ruminants biologiques du Massif Central à léchelle de lexploitation agricole : intérêts et méthodes dacquisition
Ce mémoire de fin détudes dIngénieur de lInstitut Supérieur des Sciences agronomiques, agroalimentaires, horticoles et du paysage a été soutenu à Agrocampus Ouest, à Rennes, le 15 septembre 2016, et a été réalisé au cours d'un stage effectué à VetAgro Sup, dans le cadre du projet BioRéférences piloté par le Pôle Agriculture Biologique Massif Central. Pour la production de références technico-économiques, il semble important de prendre en compte le milieu naturel biophysique car il influence certains choix de lexploitation, ainsi que son fonctionnement. A léchelle de lexploitation agricole et pour une résolution parcellaire, il ny a pas de réelle méthode de caractérisation du milieu biophysique qui soit utilisable facilement, rapidement et à moindre coût. Létude présentée ici vise donc à mettre au point un outil de caractérisation du milieu biophysique des exploitations agricoles en sappuyant sur lexemple de la production d'ovins allaitants biologiques du réseau de fermes du projet BioRéférences sur le Massif Central. La démarche mise en place a consisté à sélectionner des indicateurs du milieu biophysique influençant la production, à cartographier des parcellaires dexploitations avec des données en accès libre et à réaliser des enquêtes auprès des agriculteurs. Les résultats montrent quà léchelle de létude, les sources de données sont souvent limitantes. Cependant, quatre indicateurs majeurs semblent distinguer les élevages les uns des autres : la géologie ; la pente ; laltitude en lien avec le climat et le potentiel agronomique (profondeur du sol, PH, texture). Loutil mis au point permet de catégoriser les parcelles et les exploitations selon ces quatre critères hiérarchisés. Loutil est applicable aux exploitations en projet dinstallation en agriculture biologique et aux exploitations en conversion. Cependant, il nécessite dêtre validé, complété et approfondi.
Ovin viande bio : Maîtriser les charges et la conduite pour dégager un revenu
Jean-Marie MAZENC, AuteurLe programme Casdar AgneauxBio, conduit entre 2012 et 2016, a eu pour objectif de réaliser des études sur la filière ovine bio. Dans cet article, des résultats techniques et économiques, issus de deux de ces études, sont présentés, ainsi que des données sur le marché ovin bio. Des graphiques montrent les coûts de production et les prix de revient qui ont pu être calculés. Grâce aux travaux de l'Inra de Theix (63) qui a réalisé un suivi de fermes conventionnelles et de fermes bio (ces dernières faisant partie du réseau de fermes du programme Casdar AgneauxBio), des comparaisons entre les résultats économiques de ces deux types de fermes ont pu être établies. Un des défis des éleveurs ovins bio consiste à utiliser au mieux l'herbe et les fourrages et à maîtriser la consommation de concentrés.
"Des périodes d'agnelage pour profiter de la pousse de l'herbe et des dérobées..."
Cette fiche, réalisée dans le cadre du projet AUTOSYSEL (dont le but est dinnover pour lautonomie alimentaire et protéique), présente un témoignage de Rachel HANDLEY à La Roche Chalais, en Dordogne, installée sur une exploitation en ovins viande conduite en agriculture biologique. Sur la ferme, cohabitent deux périodes dagnelage aux moments de la pousse de lherbe : mars et septembre. La conduite du troupeau et du parcellaire est détaillée, en termes technique, économique, environnemental et de travail.
"Plus d'herbe et moins de brebis : un préalable à la conversion en Agriculture Biologique"
Cette fiche, réalisée dans le cadre du projet AUTOSYSEL (dont le but est dinnover pour lautonomie alimentaire et protéique), repose sur un témoignage de lEARL de la HOQUEROSSE à Rechicourt-Le-Château, en Moselle, élevage d'ovins viande biologiques. Le choix du passage à un système tout herbe et dagneaux dherbe plutôt que dagneaux de bergerie (meilleur revenu, limiter le concentré ) est expliqué, ainsi que les points de vigilance permettant de réaliser sereinement du pâturage. La conduite du troupeau et du parcellaire est présentée, en termes technique, économique, environnemental et de travail.
Production de références sur les systèmes d'élevage en AB diversifiés : Etat des lieux et proposition de méthodologie
Ce mémoire a été réalisé dans le cadre de la dominante d'approfondissement EDEN (Élevages et filières Durables et innovants) pour l'obtention du Diplôme d'Ingénieur AgroParisTech et dans le cadre d'un stage effectué au Pôle Agriculture Biologique Massif Central et à VetAgro Sup. Les systèmes diversifiés, c'est-à-dire avec plusieurs ateliers de production, sont particulièrement peu étudiés et référencés alors même qu'ils sont supposés être nombreux en agriculture biologique. Ce document de stage dresse un état des lieux des systèmes d'élevage ruminants diversifiés en AB, dans la zone Massif Central, et propose une adaptation de la méthode de production de références afin qu'elle soit appropriée aux systèmes diversifiés. Ce travail a été réalisé par le biais dune étude bibliographique, par le traitement de données de l'Agence Bio et la mise en place d'un dispositif d'enquêtes auprès d'une dizaine d'exploitations du Massif Central. Il ressort de ce travail que les systèmes d'élevage ruminants diversifiés sont assez fréquents en agriculture biologique dans la zone considérée puisqu'ils représentent 20% des agriculteurs en AB du Massif Central. Les ateliers les plus rencontrés parmi ces éleveurs diversifiés sont les ateliers bovins viande, ovins viande et bovins lait, productions les plus répandues dans la zone étudiée. La présence fréquente d'un atelier légumes ou fruits est également constatée, résultat qui n'était pas attendu initialement. Le questionnaire d'enquête s'est focalisé sur les interactions entre ateliers au sein du système. Ainsi, les enquêtes montrent que le travail et le mode de commercialisation sont des thématiques importantes à aborder pour comprendre les systèmes diversifiés et rendre compte de leur fonctionnement. Ce travail demeure exploratoire et la méthodologie présentée reste à affiner.
Des références pour lélevage ovin bio
Amélie VILLETTE, AuteurLe projet CasDar Agneaux bio, conduit par lITAB, a présenté ses résultats le 23 juin dernier, à Paris. Ce projet a notamment permis, grâce au suivi dune soixantaine dexploitations sur deux ans dans les principaux bassins de production de viande ovine biologique, dacquérir des références technico-économiques. Les deux-tiers des élevages suivis étaient mixtes, avec présence dautres ateliers (cultures, granivores ou bovins). Globalement, dans ces élevages, la productivité autonome est le principal levier de rentabilité. Ces élevages présentent, en effet, une moindre productivité des brebis par rapport aux conventionnels. Ceci est compensé par une consommation plus faible dintrants et une meilleure autonomie alimentaire. Le surcoût de production des agneaux en bio est compris entre 6 et 11 euros selon les systèmes herbagers ou pastoraux. Dernier résultat pouvant être noté : les éleveurs bio ont plutôt plus de temps libre quen conventionnel, en lien avec des exploitations plus petites, globalement moins de travaux de saison (traitements, éponges ) et un recours plus important au salariat.
Les systèmes ovins biologiques sont-ils plus durables que les conventionnels ?
V. BELLET, Auteur ; C. EXPERTON, Auteur ; A. GAC, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (Secrétariat 3R - MNE, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : RENCONTRES RECHERCHES RUMINANTS | 2016Ce texte est issu des Journées 3R (Rencontres Recherches Ruminants) de 2016 (Thème : Systèmes). Des premières références nationales ont été établies en matière de production ovine biologique, viande et lait : performances techniques et économiques, impacts environnementaux et temps de travail. Un réseau de 60 fermes (50 en viande, 10 en lait) a été suivi pendant 2 années (campagnes 2012 et 2013). Par rapport à leurs homologues conventionnels, la moindre intensification des systèmes biologiques étudiés se traduit par moins de productivité des brebis, ainsi quune moindre consommation de concentrés. Les résultats économiques sont, pour les élevages allaitants, légèrement inférieurs à ceux des systèmes conventionnels, alors quils sont comparables pour les élevages laitiers. Les impacts environnementaux évalués (changement climatique, consommations dénergie, qualité de leau), exprimés par ha ou par kg produit, sont généralement équivalents ou plus faibles pour les systèmes ovins biologiques allaitants, comparativement aux conventionnels, malgré la moindre productivité. Les systèmes pastoraux biologiques compensent en totalité leurs émissions de gaz à effet de serre grâce au stockage de carbone des sols. En élevage ovin allaitant biologique, malgré un temps de travail dastreinte par brebis plus élevé, les éleveurs disposent globalement de plus de temps libre quen élevage conventionnel.
Cahier technique "Produire des Agneaux en AB" en 9 fiches complémentaires
Claire TOURET, Auteur ; Vincent BELLET, Auteur ; Gabriel LAIGNEL, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut de l'agriculture et de l'alimentation biologiques) | 2015En vue de conforter les conversions, les installations et le développement des exploitations en agrobiologie, un projet de recherche action (Casdar) multi-partenariale, coordonné par l'ITAB, le Projet Casdar AgneauxBio, vise à acquérir des références concertées et durables sur l'ensemble de la filière d'agneaux biologiques. Dans ce cadre, un Cahier Technique "Produire des Agneaux en AB" a été réalisé en 9 fiches complémentaires (2 de ces fiches étant en cours de rédaction) : Fiche 1 - Principes et cahier des charges de l'élevage biologique ; Fiche 2 - Les systèmes de production ovins viandes ; Fiche 3 - Optimiser l'autonomie alimentaire est essentiel ; Fiche 4 - Méthode de gestion de la reproduction / désaisonnement ; Fiche 5 - Gérer le parasitisme en ovin bio : toujours le même challenge (en cours) ; Fiche 6 - Les coûts de production en ovins viande biologiques ; Fiche 7 - La vente directe d'agneaux en agriculture biologique ; Fiche 8 - État des lieux de la filière ovins bio ; Fiche 9 - Impact environnemental et services rendus (en cours).
Élevage ovin viande : Plus d'autonomie pour optimiser
Frédéric RIPOCHE, AuteurLes conversions en ovins viande augmentent : plus 14 % au niveau national entre 2013 et 2014. Pour un résultat économique viable, l'éleveur bio doit être vigilant sur certains points majeurs : l'optimisation du coût alimentaire, la gestion du parasitisme ou encore la reproduction (avec désaisonnement ou non, selon notamment sa stratégie de commercialisation). Ce dossier, qui regroupe les interviews d'un ingénieur de l'INRA et d'un vétérinaire, ainsi que deux témoignages d'éleveurs, donne des repères clés sur ces éléments. Par exemple, il est important d'optimiser le niveau de concentrés consommés par couple mère/agneau. S'il est inférieur au niveau de productivité numérique (ex : pour une productivité de 110 agneaux produits pour 100 mères, l'idéal est de consommer moins de 110 kg par couple mère/agneau), cela contribue à dégager de meilleures marges. Ainsi, en AB, la solution n'est pas la recherche d'un haut niveau de productivité numérique, mais d'avoir un système économe (par exemple avec un agnelage par brebis et par an). La gestion de la ressource fourragère est aussi déterminante, aussi bien pour des questions de parasitisme (ex : éviter le surpâturage, 80 % de la population parasitaire se trouvant dans les 5 premiers cm d'herbe) que d'autonomie alimentaire. Valoriser au mieux les ressources fourragères est essentiel pour limiter la consommation de concentrés. Cela est rendu possible par des mises à l'herbe réfléchies pour profiter des pics de pousse, l'usage de prairies avec légumineuses ou encore la récolte de foins de qualité.
Fermoscopies bio haut-normandes : Repères technico-économiques pour le passage en bio
La valorisation de références technico-économiques régionales en agriculture biologique est un enjeu pour le développement de la bio sur le territoire. A cet effet, le Groupement Régional des Agriculteurs Bio de Haute-Normandie publie les références technico-économiques de 18 exploitations agricoles haut-normandes conduites en agriculture biologique afin de donner des repères aux agriculteurs envisageant le passage en bio. 18 fermoscopies sont ainsi proposées, sous forme de fiches. Chacune présente une exploitation agricole, conduite, partiellement ou totalement, en agriculture biologique. La diversité des productions biologiques de Haute-Normandie est représentée : élevages bovin, caprin, ovin, mais aussi maraîchage, arboriculture ou encore grandes cultures. Toutes les fermes présentées peuvent être visitées par les agriculteurs et porteurs de projet à l'installation agricole. Elles s'inscrivent dans le réseau de fermes biologiques haut-normandes.
En Haute-Vienne : Des agneaux engraissés uniquement à l'herbe
Damien HARDY, AuteurInstallé en 1987, Laurent Pénicaud, éleveur ovin en Haute-Vienne, nourrissait ses 330 brebis en bergerie un tiers de l'année et ses agneaux étaient finis à l'aide de compléments achetés dans le commerce, en conventionnel. Il a décidé de passer à l'engraissement à l'herbe, en partie à cause de l'augmentation du prix des aliments, mais aussi parce qu'il ressentait le besoin de changer de modèle. Il a réduit son cheptel à 250 brebis pour s'adapter au potentiel de ses terres limoneuses et a gardé entre 10 et 20 ha cultivés en blé ou en sarrasin. Depuis, il n'a plus acheté un seul kg d'aliment. Il a ensuite passé sa production ovine en bio, en 2006. Laure Chazelas, éleveuse de 120 brebis bio, a aussi misé sur une alimentation exclusivement à l'herbe, afin d'être le plus autonome possible et de limiter ses charges. Les surfaces en prairies permanentes font l'objet de tous les soins et d'un travail d'observation attentif qui, selon elle, n'est pas du temps perdu. En Haute-Vienne, le CIVAM accompagne ces éleveurs qui décident de faire confiance uniquement à l'herbe pour l'engraissement.