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Autonomie alimentaire, Résilience, Changement climatique



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Aléas climatiques : Un système tous temps à lépreuve du temps
Mélissa DUMAS, AuteurEn Vendée, le GAEC Ursule (exploitation en AB, 8 UTH, 280 ha, 110 VL) travaille depuis longtemps sur ladaptation de son système de production aux aléas climatiques. Son système repose sur quatre grands principes : diversifier lassolement, cultiver des mélanges despèces et de variétés (dilution des risques), utiliser des espèces et des variétés qui tolèrent mieux la sécheresse, profiter un maximum des pousses de printemps et dautomne pour les ressources fourragères. Cependant, même si ces stratégies ont été efficaces durant une quinzaine dannées, de nouvelles adaptations sont nécessaires pour faire face à des aléas climatiques de plus en plus réguliers : printemps très humides, étés et automnes très secs. Pour sécuriser leur système, les associés ont tout dabord décidé daugmenter la part des cultures dhiver. Toutefois, ce choix a entraîné un déséquilibre dans les rotations et a causé des problèmes de gestion des adventices. Pour y remédier, ils envisagent dinvestir, dici un à deux ans, dans du matériel dirrigation et de rétablir leur ratio à 50 % de cultures dhiver et 50 % de cultures de printemps (les cultures de printemps seront ainsi sécurisées par le système dirrigation). En parallèle, ils maximisent la couverture du sol en implantant des dérobées afin davoir une ressource fourragère supplémentaire en automne.
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Climat : Quels enseignements tirer dune année 2018 compliquée ?
Elisa DUBOIS, Auteur2018 a été une année difficile au niveau météorologique avec un printemps pluvieux, un été sec et un automne peu arrosé. Quelles leçons tirer pour réagir à temps face à de tels aléas ? Le premier point est détablir un bilan fourrager tenant compte du potentiel de production de son système, en intégrant une marge de sécurité, et dadapter son chargement en conséquence (par exemple : en Bretagne, en AB, il est préférable de ne pas dépasser 1 à 1.3 UGB/ha de SFP selon le potentiel de production). Il est aussi particulièrement important de suivre lévolution de ses stocks, à chaque période de constitution des fourrages (notamment au printemps). Le but est de pouvoir anticiper au plus tôt face à un aléa type baisse des foins au printemps ou consommation de stocks en été face à une sécheresse. A partir de ces éléments de pilotage (bilan fourrager et suivi des stocks), léleveur peut alors plus facilement décider de ses actions et mettre en place des leviers pour réagir : réformer, réserver des fourrages, ensiler un méteil, semer une dérobée estivale Agir sera dautant plus facile que léleveur anticipe tôt et même sur le long terme pour prévoir les années plus difficiles. Veiller à la bonne valorisation de la ration par lanimal est aussi un levier dautonomie important.
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Lettre Filières FNAB - Lait n° 12
Lucille LUTUN, Auteur ; BIOLAIT, Auteur ; Philippe DESMAISON, Auteur ; ET AL., AuteurLa Lettre Filières FNAB - Lait n° 12 est composée des articles suivants : - Médecines alternatives : Des vaches laitières au naturel ; - Nos vaches et nous - 2 films de Biolait ; - Pâturages caprins : Bien appréhender les surfaces à prévoir ; - Autonomie en élevage bovin bio : Quels leviers ? ; - Séverine et Michel Gabriac - Polyculture-élevage laitier - Moselle ; - Marie Laflotte - Cheffe d'exploitation de la Ferme de la Marchande - Lycée agricole - Moselle.
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Lettre Filières FNAB - Lait n° 13
Niels BIZE, Auteur ; Maëlys BOUTTES, Auteur ; Ika DARNHOFER, Auteur ; ET AL., AuteurLa Lettre Filières FNAB - Lait n° 13 est composée des articles suivants : - Des producteurs bio solidaires face aux difficultés climatiques ; - La conversion à la bio pour améliorer sa situation ; - Phytothérapie : Quel contexte réglementaire en agriculture biologique ? ; - Vulnérabilité et stratégies adoptées par les fermes laitières en conversion ; - Nathalie Delahaye - Bovins lait - Val d'Oise ; - François Borel - Caprin lait et oléiculture - Bouches-du-Rhône ; - Bien-être animal en bio : Faire toujours mieux !
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Lettre Filières FNAB - Lait n° 14
GAB 85, Auteur ; Julia SICARD, Auteur ; Danaé GIRARD, Auteur ; ET AL., AuteurLa Lettre Filières FNAB - Lait n° 14 est composée des articles suivants : - Santé animale : Focus sur la méthode OBSALIM® ; - Le pâturage des chèvres sous toutes ses coutures ; - Didier Larnaudie et Alain Beyer - Bovins lait - Aveyron ; - L'agriculture biologique s'engage pour le climat - Tome 2 ; - Note de conjoncture du lait bio en France et en Europe - Premier semestre 2019 ; - Les freins à la conversion en élevage caprin ; - Favoriser l'usage des plantes en élevage ; - Quel foin pour quels objectifs ?
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Recherche collective de qualité de vie et d'autonomie au GAEC du Mûrier (Loire)
Carl WAROQUIERS, AuteurLe GAEC du Mûrier, situé dans la Loire, est né de la fusion de trois fermes qui avaient déjà lhabitude de travailler ensemble. Elles se sont associées lors de leur passage en bio. Le GAEC de cinq associés compte 263 ha et différentes productions : 100 vaches laitières, 30 vaches allaitantes et cinq bufs ou génisses de 36 mois, 3000 poules pondeuses plein air. Un schéma permet de décrire la ferme avec ses intrants, ses productions animales et son assolement (réfléchi pour viser lautonomie alimentaire des productions animales) et les productions commercialisées. Les différentes pratiques et démarches mises en uvre pour développer l'autonomie sont également décrites : participation à un collectif pour acheter un toasteur afin dincorporer les protéagineux de la ferme dans les rations, développement de retenues collinaires pour sécuriser les culture de soja et de maïs, utilisation de variétés population, vente en circuits courts Le GAEC est également en constante réflexion sur son organisation du travail et sur les différents engagements de ses membres. Une réunion hebdomadaire permet à ses derniers de se coordonner, ils ont par ailleurs un week-end sur deux et terminent deux fois par semaine à 17h.
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Agir sur son autonomie : des outils et des leviers à mobiliser
Lors de la Journée Technique des projets Mélibio et Optialibio du 24 mai 2018, au Lycée agricole de Tulle-Naves (Corrèze), Stanislas Lubac, de lInstitut Technique de lAgriculture Biologique, a dressé un panorama des outils créés dans le cadre des projets de recherche-développement Mélibio et Optialibio : le simulateur dautonomie AMIABLE (une formation à la maîtrise de cet outil sera organisée pour les conseillers) ; le panorama des leviers (Classement des leviers dautonomie) ; loutil daide à la décision pour les semences de prairies à flore variée, Capflor ; les outils didentification des leviers liés à des stratégies de groupe, le Rami fourrager et le jeu de cartes leviers ; et laccès à des références avec la synthèse des essais sur les prairies à flore variée et le guide technique CERPRO sur les mélanges céréales-protéagineux. Parmi les leviers cités, figurent : limplantation de prairies artificielles de sainfoin ou de sulla, mais aussi de cultures dappoint comme le moha, le soja, le fenugrec ; la réduction de la production animale, la mise en pension des animaux ; ladoption de races rustiques, ladaptation de la production laitière à la pousse de lherbe Les jeux du Rami fourrager (complexe à mettre en uvre, mais plus poussé) et des cartes leviers (facile à sapproprier), qui se pratiquent avec un conseiller et un groupe dagriculteurs, permettent dutiliser différents leviers et de simuler plusieurs stratégies pour améliorer lautonomie.
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Aléas climatiques et lait bio : Lautonomie alimentaire comme principale réponse
Guillaume MICHEL, Auteur ; Niels BIZE, AuteurLe changement climatique, avec une prévision dun réchauffement moyen de 1 à 3 °C en Bretagne à lhorizon 2070-2100, a et aura des incidences sur les principales cultures. Ainsi, sur cette région, daprès le projet Climalait, la courbe de croissance des prairies sera modifiée, avec une pousse de printemps plus précoce et des creux plus marqués en été. Les rendements moyens seront en hausse mais avec une forte variabilité (majorité de la matière sèche produite au printemps et une pousse automnale incertaine). Le maïs verra son cycle raccourci, un atout possible face à la sécheresse estivale, mais la pluviométrie très variable deviendra un facteur de production prépondérant. Quelles réponses techniques apporter ? Le projet Casdar Optialibio a montré lintérêt dun bon niveau dautonomie alimentaire face aux aléas climatiques. Ainsi, si les fermes les plus autonomes présentent globalement un revenu supérieur, cela se vérifie aussi en années de sécheresse comme 2003, 2010 et 2011. Ce projet a aussi permis didentifier certains déterminants importants du niveau dautonomie, comme la diversité de lassolement ou la précocité de la mise à lherbe, exemples déléments favorables. Les éleveurs mobilisent divers leviers pour plus dautonomie, certains mis en place de façon anticipée (ex. diminuer le taux de renouvellement), dautres en réaction à un aléa, comme lanticipation des réformes. Ces leviers peuvent être classés en trois grandes catégories : augmenter les ressources, diminuer les besoins ou encore adapter son troupeau aux ressources. Ces résultats montrent limportance du travail sur la cohérence de son système (adéquation sol-troupeau).
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Aléas climatiques : votre système est-il paré ?
Jean-Marie LUSSON, AuteurUne liste de leviers, utilisés par les éleveurs du réseau Civam, est présentée pour anticiper les aléas climatiques, notamment les sécheresses. Elle comprend : - faire attention à la gestion du pâturage (ne pas surpâturer) ; - réaliser lessentiel des stocks au printemps (les éleveurs du réseau ne descendent pas sous les 2,3 tMS stockées/UGB) ; - adapter le niveau de chargement (une baisse générale est observée de 0,2 UGB/ha) ; - mettre en place des ressources fourragères à enracinement profond, pâturables et pérennes (luzerne, sainfoin, plantain ) ; - essayer des semis sous couvert de printemps.
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Autonomie alimentaire, les fermes laitières à l'épreuve du climat
Loïc MADELINE, AuteurL'autonomie alimentaire, qui correspond à la proportion de nourriture (fourrages et concentrés) destinée aux animaux de l'exploitation qui est produite sur l'exploitation, peut porter sur la quantité globale d'aliments (en TMS), sur la valeur énergétique (en UF) ou sur la valeur protéique (en kg de MAT). Le niveau global d'autonomie alimentaire est assez élevé en système bovins lait bio. Toutefois, il n'en reste pas moins sensible aux variations climatiques (rendements, qualité, diversité). Le projet Casdar OPTIALIBIO (2014-2018) est né de la volonté d'étudier les risques liés au changement climatique et d'établir des déterminants de l'autonomie alimentaire en vue de l'améliorer et de la renforcer.
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La capacité dadaptation des maïs population
Rémi MASQUELIER, AuteurLa diversité génétique des maïs population leur donne une grande capacité à évoluer in situ avec le terrain, la pratique et le climat, répondant entre autres aux besoins des agriculteurs en zones à potentiel moyen et à contraintes pédoclimatiques élevées. Dans ce contexte, Agri Bio Ardèche a mobilisé, en 2017, des agriculteurs-expérimentateurs afin de mieux connaître ces maïs population. Ces derniers tracent un bilan des observations basées sur différentes variables : le risque de charbon, le besoin en eau, le rendement, la valeur alimentaire. Lobtention de beaux épis indemnes de charbon a été un challenge et les rendements (en ensilage dépis et en maïs grain) ont été très hétérogènes. Par ailleurs, un des testeurs a observé que les populations se comportent aussi bien que les hybrides en situation irriguée. Mieux encore, en terrain non irrigué, elles ont réussi à se maintenir, tandis que les hybrides ont davantage pâti de la sécheresse. Quant à la valeur en protéines, elle était équivalente au maïs hybride ; la valeur énergétique légèrement inférieure.
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CLIMALAIT : Pour l'adaptation des élevages laitiers au changement climatique : des résultats pour la zone des Coteaux secs du Tarn
Le CNIEL a commandité un programme daccompagnement des filières laitières françaises afin danticiper leur adaptation au changement climatique. Lobjectif de CLIMALAIT est d'évaluer l'impact du changement climatique à moyen, voire long terme, sur les différents systèmes laitiers (production de cultures fourragères, alimentation des animaux, stress ) et de fournir aux éleveurs des pistes dadaptation. Pour mener ce programme, la France a été découpée en une trentaine dUnités Laitières Agroclimatiques représentatives des différents systèmes. Ce document présente les résultats pour lUnité Laitière Agroclimatique des Coteaux secs du Tarn. Après une description de cette région agricole et de son climat, les différents points cités ci-dessus sont présentés. Il en ressort que le changement climatique aura très certainement un effet défavorable sur les rendements. Les systèmes laitiers de cette zone reposent en effet principalement sur de lélevage en bâtiment avec de lensilage de maïs ; mais le maïs sera probablement fortement affecté par les sécheresses estivales malgré lirrigation. Les prairies, les méteils, les dérobées et le pâturage pourraient améliorer la résilience de ces systèmes. Ceci nécessite, entre autres, de restructurer le parcellaire pour faire sortir les vaches. Les VL seront également plus soumises au stress thermique. Lisolation, la ventilation, la brumisation des bâtiments, ainsi que ladaptation génétique du troupeau sont à anticiper.
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Comment les éleveurs laitiers normands sadaptent aux fluctuations ?
Cédric GARNIER, Auteur ; Florine GERVAIS, Auteur ; Laurence FOS, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS Cedex 12 (Maison Nationale des Eleveurs, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : INSTITUT DE L'ÉLEVAGE | 2018
La question de la résilience des élevages bovins lait est dimportance dans un contexte daléas économiques et météorologiques forts. Mais les exploitations ne sont pas impactées toutes de la même manière, comme le montrent des résultats issus du suivi de fermes normandes. Dans létude présentée ici, il a été fait le choix didentifier les fermes les plus résilientes en sappuyant sur le niveau de rémunération moyen sur 7 années par unité de main duvre exploitant. Sur les systèmes bovins normands, en sappuyant sur ce critère, on note des écarts parfois très importants pour un même type de système. On observe, sur les systèmes les plus résilients, divers points communs : une productivité de la main duvre globalement plus élevée, tout comme les performances techniques. Lautonomie est aussi un atout au moins pour les systèmes spécialisés ou mixtes lait-viande. Mais, au-delà de ces éléments, il y a diverses voies explorées par les éleveurs les plus résilients. Cest ce que montrent trois témoignages dagriculteurs, un en AOP Normande, un en cours de conversion bio et un troisième en AB depuis 15 ans. Le premier a fait le choix de rester dans lAOP en intégrant plus de vaches normandes dans le troupeau pour respecter lévolution du cahier des charges. Le second sappuie sur la diversification, un suivi technique poussé et des investissements raisonnés. Le dernier, en AB, maximise le pâturage avec une conduite en 2 lots.
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Dossier : Sécheresse 2018 : coup rude pour les éleveurs
Élise SCHEEPERS, Auteur ; Danaé GIRARD, Auteur ; Amélie LENGRAND, AuteurLa sècheresse de l'été 2018 a impacté la pousse de lherbe. Au niveau national, cette dernière sétablit seulement à 32 % de la pousse de référence, sur la période allant du 20 juin au 20 septembre. La situation est encore pire au niveau de la région Grand-Est pour laquelle ce chiffre nest que de 8 % de sa pousse de référence. Une enquête menée dans cette région auprès de 147 producteurs en AB a montré que la moitié dentre eux ont déjà dû faire des aménagements : achat de fourrages et/ou vente danimaux. Les opérateurs doivent dailleurs faire face à une arrivée importante danimaux de tous types, plus ou moins maigres. Dans cette situation, il faut savoir que, si lachat daliments conventionnels reste possible sur dérogation, cela reste très encadré : limité aux fourrages, si possible que pour les animaux non productifs, obligation de ne plus avoir de tels fourrages sur lexploitation au plus tard le 30 avril 2019 Par ailleurs, léchange direct entre agriculteurs est possible mais, là aussi, en respectant la réglementation, qui rend notamment obligatoire le passage physique ou comptable par un organisme collecteur pour les céréales (sur le principe fixé par la loi de la séparation des métiers de production ou de stockage, de ceux de la commercialisation). Ces aléas climatiques devenant de plus en plus fréquents, des actions sont en cours, dans le Grand Est ou ailleurs, pour faciliter les échanges entre éleveurs et polyculteurs sur le moyen et long terme (principe de lautonomie à léchelle du territoire). Il peut être aussi intéressant de repenser son pâturage pour loptimiser. Des formations peuvent aider à identifier les pratiques les plus adaptées à son système.
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Gestion fourrage : Changement climatique : quelles stratégies adopter pour les fourrages en cas de sécheresse ?
En cas de sécheresse, quels leviers peuvent être mis en uvre par les éleveurs ? Cette fiche fait le tour des principaux moyens daction, avec un maître mot : anticiper, et un préalable : faire un bilan fourrager afin de définir au mieux besoins du troupeau et ressources disponibles. Un premier levier possible est de réduire les besoins en adaptant le chargement (réduire le troupeau si besoin, faire tarir certaines vaches plus précocement ou encore optimiser le renouvellement). Divers moyens permettent de jouer sur la ressource, dont lensilage de céréales initialement prévues pour la moisson. Dans ce cas, il faut faire attention au fait que, selon le mélange céréalier ou le type de céréales, les valeurs du produit sont très variables. Il faut faire un compromis entre rendement, taux de matière sèche et digestibilité. Implanter des cultures fourragères, après une récolte, est une autre solution. Il faut aussi anticiper pour les achats de fourrages et ne pas oublier les fourrages sur pied. Enfin, il est important doptimiser son pâturage, dautant plus en période de sécheresse, notamment en augmentant le nombre de parcelles à pâturer (quitte à moins faucher).