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Conversion
Elevage bio : « Ajuster loffre à la demande »
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurEn France, la production de viande biologique a quasiment doublé en cinq ans : elle est passée de 29 746 tonnes équivalent carcasse (toutes espèces confondues) en 2015 à 59 115 tonnes en 2020, avec un bond de 10 % sur 2020. La filière viande bio a toutefois dû sadapter en 2020 pour équilibrer loffre et la demande durant cette année si particulière (Covid-19). 95 % des viandes bio présentes sur les étals sont dorigine française, et le reste provient dEurope. Les productions qui ont enregistré le plus de conversions en 2020 sont les ovins viande (+ 41 %) et les caprins (+ 55 %). En revanche, les conversions sont en régression en ovins lait (- 10 %) et en porcins (- 26 %), tandis qu'elles continuent de progresser en bovins (lait et viande). Les volumes de bovins allaitants abattus en bio ont enregistré une hausse de 12 % entre 2019 et 2020. Cette croissance est notamment portée par les génisses issues des conversions soutenues des années précédentes. Ces animaux ont alimenté le marché du steak haché et des viandes prêtes à découper. Il faut noter que les ventes de viande hachée bio ont progressé de 11 % en 2020 (en volume comme en valeur).
Etude des filières ovines et bovines allaitantes de la région Centre-Val de Loire, en agriculture biologique
Ce mémoire a été réalisé suite à un stage à l'association Bio Centre, dans le cadre de la Licence professionnelle "Agriculture Biologique Conseil et Développement". Il vise à établir un état des lieux des filières ovins et bovins viande bio en région Centre-Val de Loire et à mieux connaître les modalités de commercialisation des animaux. 72 éleveurs ont répondu au questionnaire qui a servi de base à l'étude. Les résultats permettent d'établir un portrait des élevages bovins et ovins bio de la région en faisant ressortir des aspects techniques liés à la conduite du troupeau, ainsi que des informations sur l'organisation du travail et sur la commercialisation des produits de ces deux filières. Des constats sont ensuite mis en évidence pour les deux filières (dynamique de conversions, de diversification), et des points de vigilance sont soulignés, comme un déficit de valorisation en bio d'une grande quantité d'animaux, ou encore la nécessité d'anticiper le départ en retraite des éleveurs.
Guide : Conduite des bovins viande en agriculture biologique en Nouvelle-Aquitaine Edition 2021
Ce guide technique est consacré à la conduite des bovins allaitants en agriculture biologique dans la région Nouvelle-Aquitaine. Après avoir effectué un rappel sur les principes de lagriculture biologique, il décrit, théoriquement, un système délevage bio idéal. Il fournit ensuite les principaux points réglementaires (éléments du cahier des charges et précisions du guide de lecture), ainsi que des conseils techniques, en ce qui concerne : 1 Lalimentation des bovins viande ; 2 La conduite sanitaire du troupeau ; 3 Le logement des animaux ; 4 La gestion générale du troupeau ; 5 Les rotations des cultures (pour les exploitations en polyculture-élevage) ; 6 Ladaptation de lassolement (avec une sous-partie dédiée aux prairies et une autre dédiée aux cultures). Des repères économiques sont également apportés et les modalités pour pouvoir convertir un élevage sont détaillées.
"Jai misé sur lherbe pour être autonome"
Véronique BARGAIN, AuteurAnthony Paillier, après avoir été très intensif, a décidé, en 2007, dextensifier son élevage ovins viande pour être plus autonome et d'engraisser ses agneaux uniquement à lherbe. Ainsi, il est passé dune SAU de 42 hectares pour 550 brebis à, aujourdhui, 117 hectares pour 350 brebis et 20 vaches allaitantes. Il a choisi dassocier les 2 espèces pour leur complémentarité au pâturage et pour la vente directe, quil a aussi mise en place. Il a aussi fortement diversifié ses ressources alimentaires, notamment fourragères, avec des prairies à flore variée, des méteils, des luzernières associées à du trèfle, ou encore des couverts végétaux cultivés en dérobées dété, comme du colza-moha. Il privilégie les semis sous couvert, qui permettent la réduction des problèmes de salissure et une meilleure implantation des prairies. Il étale les agnelages, de janvier à mars, pour les agnelles et, de fin avril à juin, pour les autres brebis. Il nachète pas de concentré et engraisse ses agneaux uniquement à lherbe, avec une production danimaux assez légers (17 kg de carcasse) qui répondent à la demande de ses clients. Il veut réduire la durée de lengraissement (les agneaux sont rarement vendus à moins de 6 mois) en changeant de race : aujourdhui en Vendéennes croisées Charollais, il souhaite aller vers la Charmoise. Pour valoriser au mieux tous ces changements, ce producteur a fait le choix du bio en 2019, qui représente pour lui une démarche logique, mais aussi un atout pour la vente.
« Nous misons sur le lait et la vente directe »
Émilie SKOWRON, AuteurInstallés depuis cinq ans sur leur exploitation, Elodie et Zacharie Belle commencent à atteindre leur rythme de croisière. Ils ont ainsi pu embaucher deux salariés : Mathieu et Angèle. Les deux associés ont repris la ferme familiale, située dans le Vercors (Drôme), en 2016. Ils ont conservé latelier ovin viande déjà présent et ont créé un atelier ovin lait, ainsi quune fromagerie. Ils sont également passés en bio. En 2019, pour augmenter leur autonomie alimentaire, ils ont repris une exploitation voisine, composée de 120 ha de pâtures. Ils ont conservé le troupeau bovin allaitant de cette ferme (30 vaches). Lexploitation est maintenant composée de 185 ha, dont 100 ha destinés à la fauche. Les brebis laitières effectuent du pâturage tournant sur six paddocks proches de la ferme. Les brebis et vaches allaitantes pâturent au loin. A cause de la pression exercée par le loup, le couple souhaite arrêter latelier ovin viande et développer latelier ovin lait. Pour avoir du lait toute lannée, les brebis laitières sont divisées en deux lots : un saisonné et un désaisonné. La fin du pic de lactation du lot désaisonné correspond avec la mise à lherbe, ce qui favorise la persistance de la lactation. La fin de lactation est ainsi commune aux deux lots : ils passent en monotraite en juillet et août, avec un arrêt de lactation en septembre. Le lait des brebis est transformé en différents types de fromages et yaourts qui sont vendus en direct.
Repères technico-économiques - Conversion en agriculture biologique : Cas concret : Valorisation des mâles de races allaitantes
La conversion à lagriculture biologique amène les éleveurs de bovins allaitants à se questionner sur la valorisation de leurs veaux mâles et sur le type danimal quils vont vendre. Cette fiche a pour objectif daider les éleveurs dans leur choix. Pour cela, quatre hypothèses liées à la valorisation des veaux mâles sont simulées : 1 Veaux sous la mère (avec 75 % de veaux mâles gras) ; 2 100 % broutards ; 3 Bufs finis (soit à 26 mois, soit à 30 mois, soit à 36 mois) ; 4 Inséminations artificielles sexées pour produire un maximum de femelles et un minimum de mâles. Ces différentes hypothèses ont été simulées sur un système naisseur-engraisseur de femelles et de taurillons, basé dans les Deux-Sèvres, comprenant 38 vêlages en race charolaise. Avant sa conversion en bio, cet élevage a déjà des pratiques proches de lagriculture bio : absence de fertilisation azotée, autonomie alimentaire, finition des femelles à lherbe et finition des taurillons à laide de luzerne et dun mélange triticale-pois... Cette fiche détaille, pour chacune des hypothèses testées, les changements au niveau du système de production, ainsi que les résultats économiques obtenus après le passage en bio de lélevage. Les meilleurs résultats économiques sont obtenus avec la production de bufs jeunes (26 mois) ou de veaux sous la mère.
Les nouvelles fiches règlementaires FNAB (en vigueur au 1er janvier 2022)
FNAB, Auteur | PARIS (40 Rue de Malte, 75 011, FRANCE) : FNAB (Fédération Nationale d'Agriculture Biologique) | 2020 et 2021Avec lentrée en vigueur du nouveau règlement bio européen au 1er janvier 2022, la FNAB a mis à jour ses fiches règlementaires. Elles comprennent des fiches socles : Productions végétales ; Cadre général Élevage ; Contrôles. Elles comprennent également des fiches par espèce : Bovins viande & équidés ; Bovins lait ; Porc ; Volailles de chair ; Poules pondeuses ; Ovins & Caprins Lait et Viande ; Lapins ; Escargots.
2013-2019 : Des fermes bio de plus en plus spécialisées ?
Sébastien JULLIARD, AuteurLObservatoire de la production bio en Bretagne est géré par la FRAB. Chaque année, une étude thématique est produite à partir de ses données. En 2020, elle a porté sur lévolution de la bio en Bretagne entre 2013 et 2019, période où la bio a fortement progressé. Historiquement, la Bretagne est une région avec des modèles agricoles très spécialisés. Lanalyse des données montre que les modèles bretons biologiques dérogent un peu à cette règle, même sils néchappent pas à la spécialisation : en 2019, 15 % des fermes bretonnes bio ne sont pas spécialisées (spécialisées au sens de lAgreste, cest-à-dire que 2/3 du chiffre daffaires provient du même atelier). Cette proportion a légèrement augmenté puisque ces systèmes ne représentaient que 10 % des fermes bretonnes bio en 2007. Par ailleurs, le cheptel breton de monogastriques a doublé entre 2013 et 2019, ainsi que le cheptel laitier. Le cheptel moyen des fermes a lui aussi augmenté en poulets de chair (x 2,75), en caprins (+ 60 %) et en porcins (+ 40 %). Les filières qui se sont le moins développées sont les ovins et les bovins allaitants.
Lagriculteur à rebours
Elise COMERFORD-POUDEVIGNE, AuteurFelix Noblia est un éleveur installé dans le Pays Basque. Initialement, il ne souhaitait pas reprendre la ferme familiale. Il a néanmoins envisagé cette possibilité à la fin de ses études afin de pouvoir rester auprès de ses proches et jouer de la musique. En 2008, il reprend lexploitation de son oncle. Il a alors 170 000 demprunts et doit payer 29 000 dannuités. Il comprend très vite que, sil ne change pas son système de production, il ne va pas pouvoir sen sortir dun point de vue financier. En quatre ans, il effectue de multiples changements : il implante des couverts végétaux, arrête de produire du maïs, ne travaille plus ses sols en passant en TCS, met en place un pâturage tournant, optimise certaines complémentarités cultures/élevage, change de race de vaches (pour des Angus) et commercialise en circuits courts. Les comptes de lexploitation repassent alors au vert. Tous ces changements ne sont pas pour autant faciles à accepter pour son oncle qui avait gagné sa vie et bâti lexploitation sur lancien système. En 2017, Félix Noblia présente son dossier aux Trophées de lAgroécologie 2016/2017 et en sort lauréat. Suite à ce succès, il décide de relever un autre défi : convertir son exploitation en bio. Parallèlement, il devient un YouTuber de lagroécologie pour communiquer sur ce quil fait. Actuellement, il consacre deux jours par semaine à la communication.
Lagriculture biologique en Normandie
Ce document récapitule les chiffres-clés de la bio en Normandie. Il se base sur les chiffres recueillis en 2018 par lObservatoire National de lAgriculture Biologique (Agence BIO), et offre également des tendances pour lannée 2019 (ex : tendances de conversion) à travers des analyses plus qualitatives menées par Bio en Normandie et la Chambre régionale dagriculture de Normandie. Après avoir contextualisé lévolution générale de la bio en France et dans cette région, des données détaillées sont apportées pour chaque filière normande : lait (bovin, ovin, caprin), viande (bovin, ovin, porcin, volaille de chair), poules pondeuses, apiculture, produits de la mer, fourrages, grandes cultures, cultures industrielles, légumes frais, fruits, PPAM et autres filières végétales (safran, cultures florales ). Pour chacune dentre elles, le nombre de fermes, la production, le cheptel, les surfaces, la transformation et les circuits de commercialisation sont évoqués. Des données sont également présentées, relatives aux préparateurs (entreprises réalisant des opérations de transformation, de conservation ou de conditionnement de produits), à la restauration, aux distributeurs, aux importateurs et aux exportateurs de produits bio (en France et en Normandie). La consommation de produits alimentaires biologiques est également abordée.
Bovins allaitants : Quel sera l'impact sur mon système si je passe en bio ?
Mathilde SCHRYVE, Auteur ; Christèle PINEAU, Auteur ; Baptiste CORNETTE, Auteur ; ET AL., Auteur | BOURG LES VALENCE Cedex (Chambre d'Agriculture de la Drôme, 145 Avenue Georges Brassens - CS 30418, 26 504, FRANCE) : TECH&BIO | 2020Présenté lors du Rendez-vous Tech&Bio Élevage, qui s'est tenu les 9 et 10 septembre 2020 en Bourgogne-Franche-Comté, ce diaporama s'appuie sur des références technico-économiques issues de plusieurs sources - dont le suivi de plusieurs fermes réalisé dans le cadre du projet BioRéférences, piloté par le Pôle Bio Massif Central. Il a pour but d'apporter des réponses aux questions que des éleveurs de bovins viande peuvent se poser dans le cadre d'une conversion à l'agriculture biologique : - Est-ce qu'on gagne mieux sa vie en bio qu'en conventionnel ? ; - En Bourgogne-Franche-Comté, quelles sont les différences entre les élevages allaitants bio et les autres ? ; - Qu'est-ce qui peut limiter les résultats de mon exploitation ? ; - Pourquoi les élevages allaitants régionaux ont-ils de meilleurs revenus en AB ? ; - Est-ce que ma situation financière sera plus saine si je passe en bio ? ; - Comment se situerait ma productivité du travail à l'ha par rapport à un système conventionnel ? ; - Quels sont les leviers que je peux activer pour améliorer mon revenu ? ; - ainsi que diverses questions sur les aspects liés au matériel agricole et à la mécanisation.
Comment évoluer vers davantage dautonomie au sein des systèmes de polyculture-élevage ? : lexpérience dune ferme expérimentale en marais
D. DURANT, Auteur ; G. MARTEL, Auteur ; A. TRICHEUR, Auteur ; ET AL., AuteurLautonomie des exploitations agricoles est mise en avant dans le cadre de la transition agroécologique. Cet article propose une rétrospective du cheminement suivi par la ferme expérimentale INRAE de Saint Laurent de la Prée. Cette dernière est située dans des marais littoraux atlantiques et a fait évoluer, de 2009 à 2017, son système polyculture-élevage vers davantage dautonomie alimentaire pour son troupeau, en cherchant notamment à renforcer le couplage entre les productions végétales et animales. A partir de données collectées sur lévolution de la ferme et de son fonctionnement, cet article retrace les changements apportés au système de production et les raisons de ces choix. Lanalyse dindicateurs portant sur lautonomie a permis de montrer que lautonomie alimentaire a été acquise au bout de 6 ans. Le calcul dun score reflétant le niveau de couplage entre les cultures et lélevage a également montré que ce niveau est passé de moyen (de 2009 à 2012) à fort (de 2013 à 2017). Enfin, la récente conversion de la ferme à lagriculture biologique met en perspective de nouvelles pistes à explorer pour maintenir, voire améliorer lautonomie alimentaire du troupeau, ainsi que les autres autonomies du système (en paille, en azote, en énergie, etc).
Conversions 2019 : Une dynamique qui perdure pour la 3ème année consécutive ; Demandes daide bio en 2020
Patrick LEMARIE, Auteur ; Philippe CAILLAUD, Auteur ; François VRIGNAUD, AuteurLe premier article est dédié aux nouvelles conversions BIO en Pays de la Loire durant lannée 2019. Des chiffres-clés ont été estimés par la CAB à partir des notifications publiées par lAgence Bio et ont été complétés par une expertise locale. Globalement, la dynamique de conversion perdure au même niveau que lannée précédente, et ce, pour la troisième année consécutive, suite au pic de 2016. Des éléments explicatifs sont apportés pour chaque filière : bovins lait, bovins viande, monogastriques, viticulture, légumes, PPAM, arboriculture et petits fruits. En complément, deux référents de la CAB (Philippe Caillaud et François Vrignaud) apportent leur analyse sur le développement de la bio en Pays de la Loire. Le second article fournit des informations sur les aides bio. Depuis cette année (2020), il nest plus possible de demander des aides au maintien car le Conseil régional a arrêté de les financer. Il est toutefois possible de solliciter un crédit dimpôt bio de 3 500 (avec transparence pour les GAEC). En revanche, les aides à la conversion (engagement sur cinq ans) peuvent toujours être demandées.
Gonzague Proot, agriculteur bio dans la Somme
LETTRE FILIERES FNAB - VIANDE, AuteurGonzague Proot sest installé en 1997 en grandes cultures, dans la Somme. Lorsqu'il sintéresse, dès 2001, à la bio, son assolement se compose de blé, de betteraves sucrières, de pommes de terre, de haricots verts et de pois de conserve et il ny a pas délevage sur la ferme. Petit à petit, dans une démarche globale pour un système durable, Gonzague a mis en place plusieurs actions, puis, en 2010, lors de sa conversion en bio, il a décidé de réintroduire un cheptel de 20 vaches Salers allaitantes sur sa ferme de 140 ha. Aujourd'hui, la Ferme du Développement Durable emploie un salarié à plein temps et un saisonnier durant la moitié de lannée, ainsi que dix salariés saisonniers pour le désherbage manuel des légumes de plein champ.
Guide conversion 2020
Ce guide porte sur la conversion à lagriculture biologique en Pays de la Loire. Il a été conçu afin de répondre à un double objectif : être un support informatif (il contient les informations essentielles pour engager une démarche de conversion) et être un outil pédagogique (il peut servir de base de réflexion et déchanges avec les agriculteurs). Il compile neuf fiches et chacune dentre elles porte sur un thème particulier : Fiche 1 - La démarche de conversion, un cheminement personnel ; Fiche 2 - Les soutiens financiers à lagriculture biologique ; Fiche 3 - Certification, contrôle et étiquetage des produits de lagriculture biologique ; Fiche 4 - Cultiver en agriculture biologique : en pratique... ; Fiche 5 - Règlement européen : résumé du cahier des charges par production biologique (productions végétales, bovins lait et viande, ovins et caprins, porcins, volailles de chair, poules pondeuses, viticulture et arboriculture) ; Fiche 6 - Marché et filières ; Fiche 7 - Lagriculture biologique : quelques chiffres ; Fiche 8 - Pour en savoir plus : contacts utiles ; Fiche 9 - Les grands principes de lagriculture biologique.