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Conversion
La production biologique alsacienne : Les chiffres de 2016
La production biologique continue son essor en Alsace, avec un total de 656 fermes engagées en agriculture biologique fin 2016 qui cultivent 22 660 ha, soit 6,7 % des surfaces agricoles alsaciennes. Cette édition 2017 des chiffres de la bio présente les différentes filières biologiques en Alsace dans le contexte de la nouvelle grande région du Grand Est, avec un focus sur lemploi et la bio dans les territoires. Le programme de développement de la bio en Alsace 2014-2020 doit permettre de passer le seuil des 10 % de surfaces agricoles alsaciennes en bio, et de donner à lAlsace un statut de région phare de la bio en France.
Produire du lait de vache en Nouvelle-Aquitaine
Ce document rappelle, dans un premier temps, quelques généralités sur la filière lait bio en Europe et en France, ainsi que sur la conversion en bovins lait bio, puis présente des chiffres propres à la région Nouvelle-Aquitaine. Il rassemble les résultats technico-économiques issus de fermes bio suivies par 2 réseaux de Poitou-Charentes : les Chambres d'agriculture de la Charente et des Deux-Sèvres et le réseau bio (GAB). Deux cas concrets de fermes sont présentés : une ferme spécialisée en lait de vache et une en système mixte bovins lait/bovins viande (composition du troupeau, assolement, utilisation des surfaces fourragères, alimentation, coût de production...).
Dossier : Agriculture biologique : Les filières bio cherchent des producteurs en Auvergne
Régine TENDILLE, Auteur ; Anne HAEGELIN, Auteur ; Célia DUPETIT, Auteur ; ET AL., AuteurL'AB se développe en Auvergne, aussi bien en termes de conversions dagriculteurs que de développement de filières bio en lien avec une demande croissante en produits bio des consommateurs. Les filières bio cherchent donc de nouveaux producteurs dans cette région malgré la vague de conversions en cours (130 nouveaux producteurs auvergnats se sont engagés dans une conversion en 2015). Cest ce que montrent les divers témoignages dagriculteurs et dacteurs de laval repris dans ce dossier. Cette dynamique concerne aussi bien lélevage que les grandes cultures. Ainsi, en bovins lait, les deux principales laiteries qui collectent sur lAuvergne cherchent de nouveaux producteurs et, en bovins viande, les opérateurs sont en demande danimaux finis (à noter que pour cette production, laide au maintien à lAB est conditionnée en Auvergne au fait que plus de 50 % de la production soit valorisée en bio). En ovins viande, la demande est aussi forte et les abatteurs recherchent des agneaux toute lannée en quantité et de qualité suffisante. En grandes cultures, les transformateurs bio auvergnats privilégient au maximum un approvisionnement local, doù une forte demande. Ainsi, on estime que les besoins supplémentaires en céréales bio auvergnates se chiffraient à 9 500 tonnes en 2015. Dans un tel contexte, les acteurs du conseil sont en ordre de bataille pour accompagner les agriculteurs. Le Pôle de conversion Bio Auvergne, qui regroupe les acteurs du développement de la bio, sur la région, propose un parcours d'accompagnement pour tous les agriculteurs intéressés.
Dossier : Elevage bovin allaitant
C. BOUCHER, Auteur ; Marie-Cécile SEIGLE-BUYAT, Auteur ; Camille PEYRACHE, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier, à travers des témoignages de conseillers, dacteurs de laval ou dagriculteurs, aborde les facteurs clés à retenir sur lélevage bovin allaitant bio. Ce dernier est une production en développement (+ 15 % du nombre des abattages entre 2013 et 2014), en lien avec une demande croissante en viande bio de la part du consommateur. Si les perspectives sont bonnes, léleveur doit néanmoins veiller à bien mûrir son projet, par exemple au moment de la conversion. En Rhône-Alpes, pour aider les nouveaux éleveurs bio, les acteurs du développement peuvent apporter le conseil nécessaire, notamment à travers le diagnostic de conversion. La question de lautonomie alimentaire est aussi fondamentale, en lien avec la recherche dune bonne valorisation de la ressource fourragère. Ceci est particulièrement important du fait dun autre enjeu majeur pour cette production : la finition. En effet, pour aller au bout de la démarche bio, mais aussi améliorer ses revenus, la finition dun maximum danimaux en bio est un plus, à condition de produire des animaux finis de qualité, répondant aux besoins de la filière, avec une bonne autonomie de lexploitation. Diverses options soffrent à léleveur : finition des vaches de réforme, veaux rosés, bufs, circuit court, circuit long. Les témoignages repris ici illustrent cette diversité, mais soulignent aussi limportance danticiper, notamment en filière longue. Ainsi, avant même la fin de sa conversion, il faut avoir préparé sa commercialisation. De même, des acteurs de laval, notamment à travers des primes, incitent les producteurs à anticiper sur la sortie de leurs animaux, le tout pour permettre un développement harmonieux de la filière.
Dossier : La filière bio accélère son développement
Sophie BOURGEOIS, Auteur ; Virginie QUARTIER, Auteur ; François D'ALTEROCHE, AuteurLélevage bovin a vu, et voit encore aujourdhui, une importante vague de conversions en AB, en bovin allaitant dès 2014 et en bovin lait surtout depuis fin 2015, en lien notamment avec la crise en conventionnel et des prix de vente en AB attractifs. Les filières sont donc en ordre de bataille pour accueillir et permettre une bonne valorisation des fruits de ces conversions, dautant plus que le marché est au vert avec une demande croissante en viande bio de la part du consommateur. Mais, pour poursuivre une bonne structuration des filières, permettant une bonne valorisation en AB de tous les bovins bio aujourdhui et à lavenir, il faut veiller à certains points. Ainsi, les agriculteurs ayant un projet de conversion doivent très vite réfléchir à la valorisation de leur viande bio et, de façon générale, les éleveurs doivent sinvestir dans le développement des filières. Ces dernières demandent un approvisionnement régulier en viande de qualité, doù limportance de la planification ou encore de la contractualisation. Autre enjeu majeur : la finition de la voie mâle. Il ny a pas de marché pour de la viande bio maigre. Les opérateurs travaillent donc à développer les marchés pour le veau rosé clair (par exemple, pour les GMS ou les boucheries), le veau rosé (en particulier pour la restauration collective) ou encore les bufs. Pour ces derniers, le défi est de gagner en précocité pour abaisser lâge dabattage à moins de 3 ans. De plus, le prix élevé des céréales en AB fait que la finition à lherbe est aussi un objectif important. Ceci amène à sinterroger sur les critères de sélection en race à viande ou encore sur lintérêt dintroduire des races précoces, valorisant mieux lherbe, comme lAngus.
Dossier : La filière viande bovine bio en Lorraine
Élise SCHEEPERS, AuteurLa Lorraine compte désormais 195 éleveurs allaitants bio, pour la première fois en nombre supérieur par rapport aux producteurs laitiers bio. Ce dossier pose les enjeux d'une filière viande bovine bio construite et stable, nécessaire pour garantir un prix juste et rémunérateur. 2 éléments principaux sont pointés comme facteurs de cette stabilité : la planification et l'estimation. Le dossier se compose de : - La Commission Viande : un endroit pour réfléchir aux orientations de la filière ; - La planification : pilier de la stabilité de la filière ; - La confrontation et l'état d'engraissement : le classement des carcasses bovines ; - Conjoncture des filières viande bio : Des cours stables et une bonne gestion des sorties anticipées des animaux cet été (à partir des données d'Interbev).
Filière viande bovine : La montée en puissance
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurL'année 2015 et le premier semestre de l'année 2016 ont connu une vague de conversions à l'agriculture biologique importante. Concernant les élevages bovins, laitiers et allaitants, la filière se dit optimiste face à cet afflux qui alimentera les rayons de viande dès 2017. Les groupements de producteurs conseillent aux éleveurs de prendre contact dès que possible avec les filières organisées. Du côté de la distribution, les ventes continuent de progresser.
Is there a future for organic production in high ecological value ecosystems ?
A. HORRILLO, Auteur ; M. ESCRIBANO, Auteur ; F. J. MESIAS, Auteur ; ET AL., AuteurDans le Sud-Ouest de l'Espagne et au Portugal, les dehesas sont des systèmes agro-sylvo-pastoraux traditionnels. Les troupeaux y pâturent dans de grands parcours arborés. Ces systèmes se démarquent par leurs fortes valeurs environnementale et socio-économique, et l'élevage y joue un rôle essentiel pour leur préservation. Cette étude analyse le potentiel de ces systèmes traditionnels à se convertir à l'agriculture biologique, en se focalisant sur le cas des élevages de bufs. Un panel de 47 experts des institutions publiques, de l'agriculture, des organismes de recherche, des organismes agricoles et des entreprises, a été réuni. Parmi les aspects étudiés, figurent l'évolution du système de production, la commercialisation des produits et les effets, positifs ou négatifs, que peuvent engendrer les mesures agro-environnementales de la PAC. Ainsi, des éléments pouvant entraver le passage d'une ferme traditionnelle à l'AB ont été identifiés, comme le risque de stagnation des ventes, le manque d'autonomie alimentaire pour les troupeaux, ou encore la difficulté d'accéder à des abattoirs certifiés en AB. La mise en place de subventions, une meilleure commercialisation et l'augmentation des prix du marché pourraient permettre de garantir la continuité des exploitations concernées. Par ailleurs, le passage à l'AB de ces systèmes devrait se traduire par une augmentation des externalités positives de l'agriculture locale, permettant d'améliorer la préservation des dehesas traditionnelles.
Liste bibliographique Bovins : Réalisée à partir de la base de données documentaire Biobase d'ABioDoc : 2016
Cette bibliographie qui porte sur l'élevage bovin biologique (références de 2016) a été réalisée à partir de la base de données documentaire Biobase, seule base de données documentaire francophone spécialisée en agriculture biologique, gérée par ABioDoc et accessible à ladresse suivante : http://abiodoc.docressources.fr/. ABioDoc, le Centre National de Ressources en Agriculture Biologique, service de VetAgro Sup et missionné par le ministère de lAgriculture, a effectué ce travail dans le cadre du projet de recherche BioRéférences, financé dans le cadre de la convention de Massif-Massif Central (CGET) et porté par le Pôle Agriculture Biologique Massif Central.
Michaël Renoult : La culture de l'agronomie
Antoine BESNARD, AuteurInstallé en 2010 en Bretagne sur un système polyculture élevage, Michaël Renoult a converti, à partir de 2012, ses terres et son atelier bovin viande en AB. Il cherche maintenant une solution pour son atelier de canards prêts à gaver conventionnel. Il souhaite avoir une exploitation totalement en AB, d'autant que ce passionné d'agronomie raisonne son système de façon globale. Il cherche, en tenant compte de la fertilité de ses sols, à augmenter les potentiels de ses cultures tout en ne polluant pas. Il veut ainsi limiter le travail du sol. S'il ne peut pas se passer du labour pour cause de contrôle des adventices, il pratique un labour peu profond. Il va aussi tester, sur deux parcelles, l'implantation d'un trèfle blanc sous féverole et sous blé. Il souhaiterait obtenir un couvert permanent de trèfle et implanter 2 à 3 céréales sur 2-3 ans, puis un maïs-féverole et à nouveau 2-3 années de céréales, ceci afin de limiter le labour à 2 fois sur 5 ans. Cette technique permettrait aussi d'augmenter les rendements, et si ce n'est pas le cas, de limiter la main d'uvre, le temps de travail et la consommation de fuel pour un rendement équivalent à celui d'aujourd'hui.
Observatoire régional de l'agriculture biologique d'Auvergne - Edition 2016
En 2015, en Auvergne, on comptait 1099 exploitations en agriculture biologique et en conversion, 64 644 hectares en bio (dont 12 688 en conversion), 282 transformateurs et distributeurs bio. Ce document présente les chiffres clés 2015 de l'agriculture biologique en Auvergne avec des focus sur : les grandes cultures ; les fruits, légumes, vigne, PPAM ; les bovins lait ; les bovins viande ; les ovins viande ; les porcs ; les volailles de chair et les poules pondeuses.
"Spécial PAC et aides AB 2016"
TECHNI BIO, AuteurCe numéro de Techni Bio est consacré aux aides PAC 2016 en agriculture biologique. Sur une exploitation qui reçoit laide au maintien ou à la conversion en agriculture biologique, il nest pas possible de contractualiser aussi une autre mesure de type MAEC système (SHP ), mais les aides bio sont cumulables avec les mesures unitaires MAE ouvertes sur les territoires à enjeux ou biodiversité. Deux tableaux proposent, pour les aides bio et pour dautres aides (veaux sous la mère, aides bovins, PCEA animal, PCEA végétal), les critères déligibilité, la procédure à suivre et le montant des aides. Le crédit dimpôt de 2500 est maintenu en 2016, cumulable avec des aides bio dans la limite de 4000 et sans limites avec les MAEC système et engagements unitaires non spécifiques à lAB.
Agriculture Bio - Témoignages
Quatre vidéos courtes d'environ 3 mns chacune datant de 2015 et 2017, et réalisées pour CERFRANCE Vendée, présentent des témoignages d'éleveurs laitiers et d'éleveurs de bovins viande convertis à l'agriculture biologique. Ils présentent les raisons de cette conversion et les changements qu'elle a introduits dans leur activité professionnelle.
L'agriculture biologique en viande bovine : Pays de la Loire - Deux-Sèvres
Baptiste BUCZINSKI, Auteur ; Hubert FILATRE, Auteur ; Bertrand GALISSON, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (Maison Nationale des Éleveurs, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : INSTITUT DE L'ÉLEVAGE | 2015Ce dossier comporte un document de 4 pages (présentant notamment les principaux chiffres en bovins viande bio en Pays de la Loire - Deux-Sèvres et en France, la réglementation en élevage bovin viande bio et les aides publiques à l'AB en 2015), ainsi que 4 fiches : - Une conversion réussie en viande bovine ; - Naisseur en agriculture biologique ; - Naisseur engraisseur veaux de lait sous la mère en agriculture biologique ; - Produire des bufs en agriculture biologique.
Les chiffres de la bio 2014 en région Centre-Val de Loire
BIO CENTRE' MAG, AuteurAprès quelques chiffres nationaux sur l'AB issus de l'Agence BIO, Bio Centre présente un état des lieux et les chiffres-clés de l'agriculture biologique pour la région Centre : - La filière bio : La région Centre-Val de Loire en progression constante ; - Les filières végétales : En région Centre-Val de Loire, fortes progressions des fruits frais et protéagineux ; - Les filières animales : Deux filières biologiques dynamiques en région Centre-Val de Loire ; - Laval : Le marché de la bio se développe en France. Avec 844 producteurs , la région est au 12ème rang national. Les surfaces bio et en conversion représentent 42 135 ha, soit 1,82 % de la SAU.