Cette Bio-Étagère est une recherche facilitée et non exhaustive. Elle moissonne, dans la Biobase, des références répondant à une équation de recherche élaborée par ABioDoc. Cette sélection s’actualise tous les mois.
Vous pouvez affiner cette sélection à l’aide des Mots-Clés, Auteurs et Année d’édition, présents sur la colonne de gauche ; et modifier l'ordre d'affichage à l'aide du menu déroulant (passer de « pertinence décroissante » à « années d'édition décroissante» par exemple)
Selon l'icône de la notice, le document est disponible : en PDF gratuit ; en PDF payant
; sur un autre site internet
.
Les documents sont consultables à ABioDoc et bon nombre d'entre eux peuvent être commandés sous forme de photocopies ou empruntés (pour les ouvrages) selon la réglementation en vigueur (voir Services documentaires).
Conversion



![]()
![]()
Guide conversion bio : Produire en agriculture biologique
Ce guide, réalisé par Bio Nouvelle-Aquitaine et les Chambres d'agriculture de Nouvelle-Aquitaine, en collaboration avec Interbio Nouvelle-Aquitaine, présente des éléments pratiques et de réflexion pour permettre aux agriculteurs de préparer leurs démarches de conversion à l'agriculture biologique. Il se compose de fiches pratiques et thématiques : 1 - Qu'est-ce que lagriculture bio ? ; 2 - Comment construire son projet ? ; 3 - Quelles sont les démarches ? ; 4 - Quelles sont les aides dédiées à l'agriculture biologique ? ; 5 - Glossaire ; 6 - Les organismes uvrant au développement de l'AB. Des fiches "Réglementation" viennent ensuite détailler, pour chaque atelier, les conditions de production (alimentation, logement et accès au plein air, gestion sanitaire, etc.) : 1 - Apiculture ; 2 - Bovins, équins ; 3 - Cervidés ; 4 - Cultures annuelles ; 5 - Cultures pérennes ; 6 - Herbivores viande et lait ; 7 - Lapins ; 8 - Poules pondeuses ; 9 - Ovins, caprins ; 10 - Porcs ; 11 - Volailles de chair. Pour finir, 5 fiches recensent les produits autorisés en AB : 1 - Liste des additifs et des auxiliaires technologiques autorisées pour l'alimentation animale ; 2 - Liste des engrais/amendements du sol autorisés pour la production végétale ; 3 - Liste des matières premières minérales autorisés pour l'alimentation animale ; 4 - Liste des oligo-éléments autorisés pour l'alimentation animale ; 5 - Liste des substances autorisées pour la production végétale.
![]()
![]()
Observatoire régional de l'agriculture biologique : Les chiffres clés 2020 en Centre-Val de Loire
Bio Centre, la Chambre régionale dagriculture Centre-Val de Loire et la DRAAF publient la première édition des chiffres-clés de l'Observatoire Régional de l'Agriculture Biologique (ORAB) en Centre-Val de Loire. Ce document dresse l'état des lieux de la bio en Centre-Val de Loire, en 2020, à l'échelle régionale et départementale : évolution du nombre d'exploitations et d'opérateurs de l'aval, évolution des surfaces, conversions, installations/transmissions. L'analyse détaille aussi les différentes filières : évolution des surfaces et du cheptel, opérateurs économiques, tendances du marché, restauration hors domicile...
![]()
![]()
Observatoire régional de l'agriculture biologique en Pays de la Loire Données 2020
En 2020, en France, l'agriculture biologique a poursuivi son développement. Les achats alimentaires de produits bio ont été multipliés par 2 en 5 ans, pour atteindre 13,2 milliards d'euros. La région des Pays de la Loire participe à cette dynamique nationale et se distingue par son fort engagement en agriculture biologique. En 2020, 3 977 exploitations de la région sont orientées en agriculture biologique, soit 15,1 % des exploitations ligériennes, et 234 147 ha sont conduits en bio (soit 11,3 % de la SAU régionale). Les conversions, très soutenues depuis 2015, se sont poursuivies sur un rythme élevé en 2020. Les estimations 2021 prévoient une part de 16,6 % des exploitations engagées en bio et de 12,3 % de la SAU. 31 % des exploitations ligériennes sont orientées vers la production bovine. La région a la 1ère place nationale en nombre de poulets de chair bio et de vaches laitières, la 2ème place en poules pondeuses et truies et a la 3ème en vaches allaitantes. Les exploitations légumières et viticoles sont particulièrement nombreuses. 28 % des installations bio, en 2020, l'ont été en maraîchage.
![]()
![]()
Observatoire régional de l'agriculture biologique des Pays de la Loire : Données 2020 : Édition 2021
Chaque année, la publication de l'Observatoire régional de l'agriculture biologique des Pays de la Loire permet de disposer d'un état des lieux chiffré de l'agriculture bio dans la région et de suivre son évolution. En 2020, en France, l'agriculture biologique a poursuivi son développement. Les achats alimentaires de produits bio ont été multipliés par 2 en 5 ans, pour atteindre 13,2 milliards d'euros. La région des Pays de la Loire participe à cette dynamique nationale et se distingue par son fort engagement en agriculture biologique. En 2020, 3 977 exploitations de la région étaient orientées en agriculture biologique, soit 15,1 % des exploitations ligériennes, et 234 147 ha étaient conduits en bio (soit 11,3 % de la SAU régionale). Les conversions, très soutenues depuis 2015, se sont poursuivies sur un rythme élevé en 2020. Les estimations 2021 prévoient une part de 16,3 % des exploitations engagées en bio et de 12 % de la SAU. 31 % des exploitations ligériennes sont orientées vers la production bovine. La région a la 1ère place nationale en nombre de poulets de chair et de vaches laitières, la 2ème place en poules pondeuses et en truies et la 3ème en vaches allaitantes. Les exploitations légumières et viticoles sont particulièrement nombreuses. 28 % des installations bio, en 2020, l'ont été en maraîchage.
![]()
![]()
Vignerons du monde : Vignoble Pigeon Hill : Manon Rousseau et Kevin Shufelt : Un vignoble dans le froid de la Belle Province
Arnaud FURET, AuteurManon Rousseau et Kevin Shufelt ont tout dabord été polyculteurs-éleveurs au Québec, avant de changer lorientation de leur ferme, en 2008, en devenant viticulteurs au travers de la plantation de cépages adaptés aux températures extrêmes (variétés hybrides, comme le Frontenac, qui peut résister jusquà 36 °C). Dès le départ, ils ont conduit leur domaine, nommé le vignoble Pigeon Hill, en agriculture biologique avec également des techniques biodynamiques. Ce domaine est maintenant constitué de 5 ha. Afin de favoriser la résistance au froid et aux gelées printanières (en plus du choix variétal), la vigne est conduite selon des méthodes « high cordon » développées dans le nord des États-Unis (plus précisément dans lÉtat du Vermont et dans lÉtat de New York). Cest un système en cordon haut, avec une partie en taille courte et une partie en taille longue avec des baguettes. Du fait des variétés plantées, la pression en maladies est faible et la quantité de cuivre utilisée est minime. En revanche, la pression en ravageurs est forte : altises, scarabées des rosiers, scarabées japonais A lécoute de la nature, ces vignerons sinspirent de la biodynamie et de la permaculture pour améliorer leurs pratiques. Comme lhistoire viticole est encore très récente sur ce territoire, ces deux vignerons expérimentent de nouvelles pratiques en permanence.
![]()
![]()
Lagriculture biologique en Auvergne-Rhône-Alpes Édition 2021
Cette fiche présente les chiffres-clés de lagriculture biologique en Auvergne-Rhône-Alpes. Réalisée par lObservatoire Régional de lAgriculture Biologique en Auvergne-Rhône-Alpes (ORAB-AuRA), elle sappuie sur des données de fin 2019. Elle est composée de deux grandes parties : le recto offre un état des lieux et des perspectives de développement de la bio dans cette région (nombre dexploitations bio, dhectares engagés, de coopératives certifiées, de transformateurs certifiés, de distributeurs certifiés ) ; le verso présente les chiffres-clés de différentes filières animales (bovins viande, bovins lait, ovins viande, ovins lait, caprins, porcins, poules pondeuses, poulets de chair), les chiffres-clés de différentes filières végétales (surfaces fourragères, grandes cultures, fruits, légumes, viticulture, PPAM), la répartition des distributeurs certifiés bio (grossistes et négociants, magasins spécialisés, GMS ), la répartition des transformateurs certifiés bio (industries agroalimentaires, boulangeries, GMS, grossistes ), la part des coopératives certifiées AB (par type de production : viticulture, viandes et bétails, grandes cultures ), ainsi que le nombre de fermes engagées en 2019 (par type de production principale).
![]()
![]()
Dossier de presse INRAE Agriculture biologique : vers un changement déchelle
Ce dossier de presse présente les différentes recherches en lien avec lagriculture biologique menées par INRAE (Institut National de Recherche pour l'Agriculture, l'Alimentation et l'Environnement). Après avoir énuméré les 17 dispositifs expérimentaux dINRAE conduits en agriculture biologique, il détaille une trentaine de projets de recherche, ainsi que leurs principaux résultats. Les projets sont classés selon trois thèmes : 1 Du champ à lassiette : santés et qualités à la loupe ; 2 Quelles clés pour les dynamiques de transitions ; 3 A la recherche de la multi-performance de lagriculture biologique. Les thématiques abordées sont variées, par exemple : « Des vers bien pleins... de pesticides ! » ; « La bio, rempart efficace contre les bioagresseurs » ; « Les vertus du régime bio » ; « Du bio et de la diversité chez les maraîchers » ; « Circuits courts : une belle dynamique collective dans les territoires » ; « PAC : il est urgent de passer au vert » ; « Demain, la panne dazote ? » ; « Notation du bio : lACV doit revoir sa copie » ; « LAB fait aussi pousser les emplois »
![]()
![]()
Elevage bio : « Ajuster loffre à la demande »
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurEn France, la production de viande biologique a quasiment doublé en cinq ans : elle est passée de 29 746 tonnes équivalent carcasse (toutes espèces confondues) en 2015 à 59 115 tonnes en 2020, avec un bond de 10 % sur 2020. La filière viande bio a toutefois dû sadapter en 2020 pour équilibrer loffre et la demande durant cette année si particulière (Covid-19). 95 % des viandes bio présentes sur les étals sont dorigine française, et le reste provient dEurope. Les productions qui ont enregistré le plus de conversions en 2020 sont les ovins viande (+ 41 %) et les caprins (+ 55 %). En revanche, les conversions sont en régression en ovins lait (- 10 %) et en porcins (- 26 %), tandis qu'elles continuent de progresser en bovins (lait et viande). Les volumes de bovins allaitants abattus en bio ont enregistré une hausse de 12 % entre 2019 et 2020. Cette croissance est notamment portée par les génisses issues des conversions soutenues des années précédentes. Ces animaux ont alimenté le marché du steak haché et des viandes prêtes à découper. Il faut noter que les ventes de viande hachée bio ont progressé de 11 % en 2020 (en volume comme en valeur).
![]()
![]()
Etude des filières ovines et bovines allaitantes de la région Centre-Val de Loire, en agriculture biologique
Ce mémoire a été réalisé suite à un stage à l'association Bio Centre, dans le cadre de la Licence professionnelle "Agriculture Biologique Conseil et Développement". Il vise à établir un état des lieux des filières ovins et bovins viande bio en région Centre-Val de Loire et à mieux connaître les modalités de commercialisation des animaux. 72 éleveurs ont répondu au questionnaire qui a servi de base à l'étude. Les résultats permettent d'établir un portrait des élevages bovins et ovins bio de la région en faisant ressortir des aspects techniques liés à la conduite du troupeau, ainsi que des informations sur l'organisation du travail et sur la commercialisation des produits de ces deux filières. Des constats sont ensuite mis en évidence pour les deux filières (dynamique de conversions, de diversification), et des points de vigilance sont soulignés, comme un déficit de valorisation en bio d'une grande quantité d'animaux, ou encore la nécessité d'anticiper le départ en retraite des éleveurs.
![]()
![]()
"Jai misé sur lherbe pour être autonome"
Véronique BARGAIN, AuteurAnthony Paillier, après avoir été très intensif, a décidé, en 2007, dextensifier son élevage ovins viande pour être plus autonome et d'engraisser ses agneaux uniquement à lherbe. Ainsi, il est passé dune SAU de 42 hectares pour 550 brebis à, aujourdhui, 117 hectares pour 350 brebis et 20 vaches allaitantes. Il a choisi dassocier les 2 espèces pour leur complémentarité au pâturage et pour la vente directe, quil a aussi mise en place. Il a aussi fortement diversifié ses ressources alimentaires, notamment fourragères, avec des prairies à flore variée, des méteils, des luzernières associées à du trèfle, ou encore des couverts végétaux cultivés en dérobées dété, comme du colza-moha. Il privilégie les semis sous couvert, qui permettent la réduction des problèmes de salissure et une meilleure implantation des prairies. Il étale les agnelages, de janvier à mars, pour les agnelles et, de fin avril à juin, pour les autres brebis. Il nachète pas de concentré et engraisse ses agneaux uniquement à lherbe, avec une production danimaux assez légers (17 kg de carcasse) qui répondent à la demande de ses clients. Il veut réduire la durée de lengraissement (les agneaux sont rarement vendus à moins de 6 mois) en changeant de race : aujourdhui en Vendéennes croisées Charollais, il souhaite aller vers la Charmoise. Pour valoriser au mieux tous ces changements, ce producteur a fait le choix du bio en 2019, qui représente pour lui une démarche logique, mais aussi un atout pour la vente.
![]()
![]()
« Je suis passé des vaches aux ovins en vente directe »
Bérenger MOREL, AuteurEn Isère, Didier Allibe a complètement changé son système de production : il est passé de lélevage de vaches laitières (dont le lait était vendu en circuit long), à lélevage dovins allaitants valorisés en circuit court. A la cinquantaine, cet éleveur a, en effet, souhaité changer de production pour gagner en confort de travail et rendre sa ferme plus attractive pour une éventuelle transmission. Vue la configuration de sa ferme, il a opté pour lélevage ovin qui nécessite globalement moins dinvestissement et qui permet un retour économique assez rapide. Avant deffectuer cette transition, léleveur a bien réfléchi son projet. Il souhaitait alors simplifier au maximum le travail, avec deux périodes dagnelages et en commercialisant ses agneaux à une coopérative. Cependant, une expérience imprévue lui a fait changer davis : un collègue lui a une fois proposé de vendre ses produits dans un magasin de producteurs. Didier Allibe sest alors rendu compte quil appréciait beaucoup le contact avec les clients. Il a ainsi décidé de vendre des agneaux toute lannée en vente directe, avec trois périodes dagnelages (février, août et novembre). Ceci lui permet également de lisser son revenu sur lannée. Il a misé sur une transformation à la ferme en aménageant un laboratoire dans un camion frigo. Pour répondre aux attentes de sa clientèle, il est également passé en bio.
![]()
![]()
« Nous misons sur le lait et la vente directe »
Émilie SKOWRON, AuteurInstallés depuis cinq ans sur leur exploitation, Elodie et Zacharie Belle commencent à atteindre leur rythme de croisière. Ils ont ainsi pu embaucher deux salariés : Mathieu et Angèle. Les deux associés ont repris la ferme familiale, située dans le Vercors (Drôme), en 2016. Ils ont conservé latelier ovin viande déjà présent et ont créé un atelier ovin lait, ainsi quune fromagerie. Ils sont également passés en bio. En 2019, pour augmenter leur autonomie alimentaire, ils ont repris une exploitation voisine, composée de 120 ha de pâtures. Ils ont conservé le troupeau bovin allaitant de cette ferme (30 vaches). Lexploitation est maintenant composée de 185 ha, dont 100 ha destinés à la fauche. Les brebis laitières effectuent du pâturage tournant sur six paddocks proches de la ferme. Les brebis et vaches allaitantes pâturent au loin. A cause de la pression exercée par le loup, le couple souhaite arrêter latelier ovin viande et développer latelier ovin lait. Pour avoir du lait toute lannée, les brebis laitières sont divisées en deux lots : un saisonné et un désaisonné. La fin du pic de lactation du lot désaisonné correspond avec la mise à lherbe, ce qui favorise la persistance de la lactation. La fin de lactation est ainsi commune aux deux lots : ils passent en monotraite en juillet et août, avec un arrêt de lactation en septembre. Le lait des brebis est transformé en différents types de fromages et yaourts qui sont vendus en direct.
![]()
![]()
Aux Pays-Bas, lautonomie avec des brebis et des vaches
Robin HORRIOT, Auteur ; Jacques ENGELEN, AuteurAux Pays-Bas, Wilco Van der Vaart élève 95 vaches laitières et 40 brebis Texel sur 50 ha de prairies temporaires et 40 ha de prairies naturelles. Avec son système herbager, cet éleveur cherche à être autonome et aime bien la complémentarité que lui offrent ses ateliers ovins et bovins, même si les ovins lui rapportent moins dargent. Depuis peu, Wilco et Renée, son épouse, réfléchissent à passer en bio, afin notamment de mieux valoriser leur lait. Ils souhaitent convertir, dans un premier temps, latelier lait, en séparant les deux ateliers, puis ils verront sils passent toute la ferme en bio. Pour cela, ils se font accompagner par le réseau « Wij land » (« Notre terre » en français). Cette association conseille et accompagne les agriculteurs sur la gestion naturelle des sols, le pâturage et les mélanges prairiaux. Wilco et Renée voient également leur passage en bio comme un moyen de pérenniser leur exploitation, car ils souhaitent que leur fils reprenne un jour la ferme.
![]()
![]()
Vignerons du monde : Château de Bioul : Vanessa Wyckmans-Vaxelaire : Le Nord en bouteille
Arnaud FURET, AuteurVanessa Wyckmans-Vaxelaire et son mari, Andy, ont repris le domaine viticole familial, situé en Belgique, dans la Province de Namur. Au vu de leur position géographique, ils ne souhaitaient pas reproduire les vins qui se faisaient déjà ailleurs et ont décidé de mettre en avant leur spécificité. Leur objectif était donc de mettre le Nord en bouteille. Ils débutent alors les plantations en 2009 et atteignent 12 ha de vignes en 2021. Ils optent pour « un encépagement totalement interpécifique et résistant », loïdium et le mildiou sont ainsi inconnus sur le domaine. Dès le départ, le vignoble est conduit en bio, mais sans certification. Après une discussion avec un vigneron certifié, le couple entame la conversion de son domaine en 2017 et commercialise ses premiers vins bio en 2020. Depuis 2019, ils se tournent vers la biodynamie. Si ces vignerons nont pas eu de réels soucis à convertir leur vignoble en bio, du fait de leurs pratiques, ils ont vécu, auparavant, les déboires des novices qui se lancent dans un nouveau métier. Par ailleurs, en dix ans, leur vignoble a subi trois grosses gelées et trois gelées plus modérées. Pour limiter les risques, ils se sont dotés de tours anti-gel : une fixe et deux motrices. Quatre brebis Shropshire pâturent les vignes durant lhiver, ce qui leur permet de gagner du temps dans la gestion de lenherbement. Au chai, les expérimentations se multiplient, avec lidée dintervenir le moins possible sur les vins.
![]()
![]()
Les nouvelles fiches règlementaires FNAB (en vigueur au 1er janvier 2022)
FNAB, Auteur | PARIS (40 Rue de Malte, 75 011, FRANCE) : FNAB (Fédération Nationale d'Agriculture Biologique) | 2020 et 2021Avec lentrée en vigueur du nouveau règlement bio européen au 1er janvier 2022, la FNAB a mis à jour ses fiches règlementaires. Elles comprennent des fiches socles : Productions végétales ; Cadre général Élevage ; Contrôles. Elles comprennent également des fiches par espèce : Bovins viande & équidés ; Bovins lait ; Porc ; Volailles de chair ; Poules pondeuses ; Ovins & Caprins Lait et Viande ; Lapins ; Escargots.