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Fourrages conservés, concentrés et cultures fourragères annuelles



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Dossier : Le grand retour des légumineuses
Bernard GRIFFOUL, AuteurDe plus en plus d'éleveurs, notamment ovins, cherchent à accroître leur autonomie alimentaire, en particulier en protéines. Les légumineuses peuvent répondre à ce besoin et leur culture progresse dans les élevages. Ce dossier fait le point sur les avantages, mais aussi sur certains points d'alerte relatifs à deux légumineuses, la luzerne et le trèfle violet. Ces deux espèces peuvent répondre aux besoins de tous les animaux, même ceux aux besoins importants, amenant à une réduction sensible de la consommation de compléments. Pâturés ou consommés sous forme de foin ou d'enrubanné, luzerne et trèfle violet permettent une bonne production laitière ou encore d'aider à finir les agneaux tout en allégeant les coûts. Néanmoins, la luzerne demande certaines précautions pour s'assurer une bonne récolte et donc une bonne qualité de fourrage. Comme le montre un des deux témoignages d'éleveurs repris ici, l'utilisation du séchage en grange peut présenter des atouts intéressants. Ainsi, la luzerne, récoltée alors qu'elle n'est pas totalement sèche, garde mieux ses feuilles. De plus, cet éleveur peut faire jusqu'à cinq coupes sur ses luzernières, tous les 28 jours, pour obtenir un foin avec des tiges fines, d'où une meilleure consommation par la suite. Le second témoignage présente le cas d'un élevage ovin où le trèfle violet est privilégié, mais où le recours au foin de luzerne permet de pallier les périodes déficitaires de fin d'été.
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Dossier : De nouveaux débouchés pour la Région PACA
Laurence GEFFROY, AuteurGrande région ovine qui réussit à maintenir les brebis sur son territoire, Provence-Alpes-Côte d'Azur accueille les nouveaux défis de la vente directe et de la production biologique, et s'adapte aux particularités. Le dossier présente plusieurs articles : - Huit mille brebis et un site d'abattage temporaire ; - La vente directe permet de réduire la taille du troupeau ; - L'agriculture biologique offre de nouveaux débouchés (présentation de la famille Escoffier, sélectionneur en race mérinos depuis 70 ans, à Aureille, dans les Bouches-du-Rhône, et dont le Gaec Le Mérinos a pris le tournant de l'agriculture biologique, pour la production de foin en AOP et pour celle d'agneaux, avec un débouché laine "Mérinos d'Arles Sélection") ; - Le Merle, une exploitation presque comme les autres (présentation d'un centre expérimental tourné vers la sélection de la brebis mérinos d'Arles) ; - Berger, une profession qui se féminise.
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Dossier : Quête d'autonomie : Des agriculteurs relatent leur itinéraire
Michel WEBER, Auteur ; Claudine MURAT, Auteur ; Benoit DELMAS, Auteur ; ET AL., AuteurLa question de l'autonomie en élevage peut se raisonner en question de fourrage ou encore, de façon plus générale, au niveau alimentaire. Mais, cela peut aussi inclure l'ensemble des intrants (aliments, paille, carburant, engrais, produits phytosanitaires ) ou même l'autonomie financière ou de décision. Travailler à optimiser son autonomie est un fil conducteur pour optimiser les résultats économiques de son exploitation. Pour cela, il faut notamment chercher l'équilibre entre les divers facteurs de production, tenir compte du potentiel de son système et favoriser une approche globale. Ce dossier, qui regroupe plusieurs témoignages d'éleveurs aveyronnais en bovins lait et viande, ovins lait et caprins, apporte différents éclairages : le rappel de principes fondamentaux comme la notion d'optimum fourrager ou la gestion de la ressource « herbe » dans toute sa diversité (parcours, voire sous bois compris), des exemples de critères pour décrypter l'autonomie d'une exploitation, des exemples de leviers possibles, illustrés par des cas concrets (introduction de la luzerne, séchage en grange, optimisation du pâturage, du chargement, l'utilisation de méteils riches en légumineuses, évolution des rotations ). Par ailleurs, un focus est fait sur la question de la dépendance énergétique et sur les moyens de la réduire. Ce dossier montre aussi que la recherche de l'autonomie peut être gage de durabilité du système et de meilleure qualité de vie.
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Etude des systèmes fourragers méditerranéens et de leur conception sous stress hydrique
Cette étude a été menée dans le cadre du projet Mélibio porté par le Pôle Agriculture biologique Massif Central. Ce projet a été mis en place en 2012 pour accompagner les éleveurs dans la sécurisation de leur système fourrager. Dans le Massif Central, le changement climatique va augmenter la fréquence des sécheresses, menaçant l'autonomie fourragère des élevages. Afin d'explorer les possibilités d'y faire face, cette étude, menée en partenariat avec l'Inra et l'Itab, identifie les caractéristiques des systèmes fourragers dans des zones où les sécheresses sont récurrentes : la Catalogne et la Toscane. Des enquêtes ont été menées auprès d'éleveurs et de techniciens en 2014. Dans les zones méditerranéennes, les cultures fourragères pérennes sont relativement peu utilisées (sauf la luzerne), mais font l'objet d'une réflexion. En revanche, les cultures fourragères annuelles utilisant des variétés locales sont une variable d'ajustement importante. Les surfaces pâturées sont parfois réduites afin de constituer un stock de foin en prévision de la sécheresse annuelle. C'est souvent une diversité de pratiques, de la gestion des stocks à l'irrigation en passant par le pâturage en forêt, qui permet aux éleveurs de faire face au déficit hydrique. Même si le Massif Central ne promet pas d'être aussi aride que la Toscane ou la Catalogne, certaines méthodes pourraient être transposables.
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Intérêts et modalités des cures de sélénium chez la brebis viande
Christel NAYET, AuteurUne étude menée sur 54 élevages du Massif Central montre que le taux de mortalité moyen des agneaux bio est de 14 % (à moins de 60 jours). La supplémentation des brebis au sélénium (1 à 1,2 mg/jour pendant 32 jours avant mise bas), sous forme de CMV ajouté au concentré, semble être la plus efficace pour limiter les carences des agneaux, et elle est autorisée en agriculture biologique.
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En Wallonie : Une production biologique économe en concentrés
Philippe VANDIEST, Auteur ; Charles DELMOTTE, AuteurSur le territoire wallon, sont recensés 6 300 élevages ovins, avec un effectif de 65 500 brebis. Sept candidats du Certificat de spécialisation ovin du Lycée agricole de Mirecourt sont partis à la découverte de quelques exploitations wallonnes atypiques. Ils ont rencontré, entre autres, Patrice Rampanelli, en agriculture biologique depuis 2003, propriétaire de 250 brebis divisées en deux troupeaux de race différente : texel pour produire des agneaux d'herbe et suffolk pour produire des agneaux de bergerie. Dans les deux cas, la complémentation en concentrés est réduite au maximum, avec des résultats techniques étonnants. A l'origine de cette réussite, la qualité des fourrages récoltés. Les prairies contiennent onze espèces, dont trèfle violet et blanc, lotier, minette, dactyle. L'éleveur vend la majorité de ses agneaux en direct. Parallèlement, il s'est investi dans un projet de valorisation de la laine pour la réalisation de couettes 100% laine belge.
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Alimentation animale : Tendre vers l'autonomie alimentaire, un enjeu fort en Rhône-Alpes
Chantal BONZON, AuteurLa recherche d'une meilleure autonomie alimentaire en élevage est un enjeu majeur, en particulier en Rhône-Alpes, région qui a mis en place un dispositif « autonomie alimentaire régionale ». Les agriculteurs adhérents peuvent bénéficier d'un diagnostic sur les points forts et faibles de leur exploitation et sur les pistes d'amélioration, mais aussi des aides à l'assolement (mise en place de cultures protéiques) ou encore aux clôtures pour renforcer le pâturage. Bon nombre d'agriculteurs se sont engagés dans cette démarche avec l'appui de conseillers, en particulier dans la Drôme. Toutes les filières ruminants sont concernées et les essais et expériences de chacun sont capitalisés et diffusés. Ainsi, méteil et prairies multi-espèces (notamment avec le mélange St Marcellin, bien adapté au contexte local) se développent, comme le montrent les divers témoignages présentés dans l'article.
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Dossier : Les dérobées, à pâturer sans modération
Laurence SAGOT, Auteur ; Pascaline RAPP, Auteur ; Stéphane MARTIGNAC, Auteur ; ET AL., AuteurLes dérobées, semées entre deux cultures sans modifier la rotation, sont des ressources potentiellement très intéressantes pour réaliser des stocks de fourrage ou faire pâturer. Le choix des espèces est primordial. Pour le pâturage, elles doivent être appétentes et non acidogènes. Divers essais ont été menés en Limousin, dans le cadre du Programme structurel Herbe et Fourrages. Le colza et le navet sont particulièrement intéressants, avec de bons rendements, une excellente valeur alimentaire et un fourrage équilibré (l'apport de concentrés n'est pas nécessaire même pour des brebis en lactation ou pour la finition). Ils sont aussi de bons antécédents de culture. Le rendement des dérobées dépend notamment de la disponibilité en eau et en azote, d'où la nécessité d'un sol profond, riche en matière organique. On peut limiter leur coût, déjà très compétitif, en ne pratiquant pas de labour : il faut alors faire particulièrement attention au lit de semences (déchaumage rapide, roulage nécessaire, semis sur un centimètre).
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Fermoscopie : Ferme de Saint-Maurice, 41 600 Lamotte-Beuvron : Ovin allaitant, système herbager en agriculture biologique
La ferme de Saint-Maurice Lamotte-Beuvron (41), installée en 1985, a été convertie à l'agriculture biologique en 1997. Son activité est basée sur l'élevage d'un troupeau d'ovins allaitants, des races solognote et berrichonne. L'exploitation de Saint-Maurice est aussi le centre d'élevage de tous les futurs béliers inscrits à la race solognote. Présentation du fonctionnement de l'exploitation : - Approche globale ; - Le parcellaire ; - Pratiques culturales ; - Conduite du troupeau ; - Plan de la ferme ; - Conduite sanitaire ; - Matériels ; - Conduite du pâturage.
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Technique : Utilisations possibles du marc de pommes
Joseph POUSSET, AuteurJoseph Pousset fait un point sur les meilleures façons de tirer partie du marc, "résidu" de l'extraction du jus de pommes. Après présentation de la composition des marcs frais et séchés, Joseph Pousset précise leurs utilisations possibles en aliment du bétail pour les bovins, les moutons, les porcs. La richesse nutritive du marc de pommes est comparable à celle de la betterave fourragère, quoique moins grande en énergie. Son faible prix le rend économiquement intéressant. Si une grande quantité de marcs est disponible, il est alors possible de le déshydrater ou de l'ensiler. Le marc de pommes peut s'utiliser en engrais pour le sol, en le compostant en surface comme du fumier, par exemple. Certains reconnaissent une efficacité au marc de pommes épandu en fine couche sur une prairie envahie de mousses
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Variabilité interannuelle des productions fourragères de 2000 à 2011. Analyse par région à partir d'observations en fermes
Jean DEVUN, Auteur ; JC. MOREAU, Auteur ; Michel LHERM, Auteur ; ET AL.Le suivi de 1196 fermes du dispositif des Réseaux d'Elevage entre 2000 et 2011 a permis de faire un état des lieux de la variabilité de la production fourragère, en relation avec le système de production et le contexte pédoclimatique. En première coupe, le rendement moyen des récoltes d'herbe est de 3,95 t MS/ha, avec des fortes variations entre filières (bovin viande, bovin lait et ovin viande). Les rendements respectifs de maïs ensilage et céréales d'automne sont de 12,4 t MS/ha et 57,3 q/ha. A l'échelle des exploitations, le rendement des prairies est nettement plus variable que ceux du maïs ensilage et des céréales. Les écarts de variabilité interannuelle des rendements entre les exploitations s'expliquent, en partie, par les grandes régions d'élevage (11 à 16%) et régions ISOP (près de 30%). Ceci est probablement lié au niveau d'aléas climatiques et permet de distinguer différents types de régions en fonction du niveau et de la variabilité des rendements.
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Conséquences possibles des changements climatiques sur la production fourragère en France. II. Exemples de quelques systèmes d'élevage
Françoise RUGET, Auteur ; Philippe CLASTRE, Auteur ; Jean-Christophe MOREAU, Auteur ; ET AL., AuteurLa production de ressources fourragères, et le calendrier de celle-ci, sont perturbés par les changements climatiques. Un premier article, paru dans Fourrages n°210, a présenté les simulations de productions d'herbe, de luzerne et de maïs, obtenues via un modèle de culture et selon le scénario A2 du GIEC IV (2007) (Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat). Ces simulations sont combinées, dans ce second article, aux représentations modélisées des besoins de treize types de systèmes d'élevage. Les questions d'alimentation des animaux d'élevage sont abordées, notamment en ce qui concerne le besoin en stocks et la place du maïs dans les rations, deux éléments dont l'importance devrait s'accroître. Dans le scénario envisagé, le maintien des systèmes herbagers serait particulièrement difficile du fait d'une réduction des précipitations estivales. La connaissance, par des experts de terrain, des pratiques présentes et possibles permet d'envisager des solutions techniques et de dégager les questions de recherche et d'expérimentation à privilégier.
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Alimentation : Les nombreux atouts des cultures dérobées
Jean-François RIVIERE, AuteurLes couverts végétaux ont de nombreux atouts : pièges à nitrates, boucliers contre la battance et l'érosion du sol, décomposition de la matière organique du précédent cultural... Ils peuvent également améliorer le rendement de la culture suivante, à condition qu'ils soient récoltés ou pâturés (l'enfouissement d'un couvert volumineux crée un « matelas vert » en fond de labour et peut gêner la culture suivante). Certaines espèces, comme la moutarde et le radis, permettent aussi de lutter contre les nématodes. Enfin, les couverts nourrissent la faune du sol. Avant de semer le couvert, les pailles du précédent cultural doivent être enlevées, opération suivie d'un déchaumage afin d'éliminer les limaces. Les espèces de couverts sont conseillées en fonction du précédent, et de l'utilisation désirée (fauche, pâture, ensilage). La pâture des brebis permet de préserver les stocks de foin, parfois limités. Eric Lejus, éleveur de berrichons dans le Cher, témoigne. Avec son frère, depuis dix ans, il cultive des couverts qui sont pâturés par leurs brebis. Depuis sept ans, il s'agit d'avoine de printemps. Cette céréale respecte la structure des sols et l'état corporel des animaux. Des essais sont en cours avec la société Jouffray-Drillaud pour utiliser des associations de cultures, afin de prolonger la pâture.
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Implanter des dérobées : Une opportunité fourragère ? (Brèves de bergerie - Bulletin n° 35 - juin 2011)
Catherine DELVALLE, Auteur ; Arnaud GRENARD, Auteur ; Stéphane PYPE, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (149 Rue de Bercy, 75 012, FRANCE) : DEPARTEMENT ACTIONS REGIONALES - INSTITUT DE L'ELEVAGE | 2011
Ce document a été conçu à partir du travail réalisé par le Réseau d'Elevage Bovins Viande Nord Picardie. Pour espérer récolter un couvert végétal (interculture) tout en respectant la règlementation, deux scenarii peuvent être envisagés : un semis "précoce" pour une récolte d'automne, un semis "tardif" pour une récolte de fin d'hiver. L'engagement dans l'une ou l'autre de ces options entraînera des choix d'espèces différentes. Les récoltes de printemps génèrent de meilleurs rendements mais il est souvent difficile d'apprécier les pertes subies sur la culture suivante. Cette option est possible dans les parcelles à bon potentiel agronomique où les sols ont la faculté de conserver leur humidité. Ainsi, il est nécessaire d'anticiper la récolte du couvert végétal de l'interculture pour implanter la culture suivante de façon optimale. Plusieurs points sont abordés : - Que choisir entre graminées, légumineuses ou association ? ; - Quels matériels pour l'implantation (Le labour est-il une nécessité ? Quels matériels de semis utiliser ? Et pourquoi combiner travail du sol et semis ? Faut-il rappuyer le lit de semences ? Faut-il fertiliser ?) ; - A quelle densité semer ? ; - Quel type de récolte envisager ? ; - Valeurs alimentaires de cultures dérobées courantes ; - Zoom : le colza fourrager en résumé ; - Témoignage 1 : Benoît Levêque (éleveur de 300 femelles Texel à Saint-Pierre-les-Franqueville (02)) ; - Témoignage 2 : Florent Lievin (éleveur de 600 femelles Ile-de-France, à Mentque (62)) ; - Témoignage 3 : Gaec Croix de Bellefontaine (Luc et Maryline Caron, éleveurs de 500 brebis, de bovins lait et viande, à Hecourt (60)).
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Du démarrage à la finition
REUSSIR PATRE, AuteurAfin d'atteindre ses objectifs en termes de qualité de carcasses et de performances, certaines règles d'alimentation des agneaux doivent être respectées. L'article présente les intérêts et inconvénients techniques et économiques à utiliser des céréales, protéagineux, oléagineux ou déshydratés (pulpe de betterave ou luzerne) dans la ration des agneaux. Le même aliment peut être utilisé depuis 15 jours d'âge jusqu'à la finition. Les céréales doivent être distribuées entières car leur traitement mécanique entraîne des défauts de couleur et de fermeté du gras, et favorise les acidoses. La conservation des grains doit être maîtrisée pour éviter les problèmes de type listériose. La ration peut être distribuée à volonté ou en rationnement. Le rationnement permet de détecter l'état d'engraissement maximum, de diminuer la proportion de gras marron et mou. Il n'est cependant pas nécessaire, sauf problème chronique d'acidose. En cas de mélange à volonté, les agneaux ont tendance à trier. Il est alors conseillé de les laisser finir les refus.