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Volaille



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Le portrait du mois : Deux fermes en une
Antoine BESNARD, AuteurCorinne Fesneau, avec son compagnon Jérémy Salmon, sest installée, en mai 2020, en Ille-et-Vilaine, sur la ferme familiale de 30 hectares de SAU : une transmission avec dimportants changements. En effet, la ferme de ses parents était dans un GAEC qui comptait plusieurs productions et accueillait des génisses et un atelier Poulets de Janzé. Avec lapproche de la retraite des parents et le souhait de rester vivre sur la ferme, ce jeune couple, après avoir cherché sa voie, a décidé de rependre la ferme, mais en changeant de production principale (même si latelier volailles est conservé), avec linstallation, en bio, dun atelier de production de lait de chèvre avec transformation et vente directe. Tout cela demandait donc de sortir du GAEC, de trouver des solutions pour le foncier, toutes les terres étant en location, de lancer la conversion, ainsi que les travaux pour accueillir le nouvel atelier et le troupeau caprin. Ce dernier provient dune autre exploitation du même département, dans laquelle Jérémy a travaillé pendant deux ans et dont le propriétaire, Patrick, partait aussi à la retraite mais voulait rester sur sa ferme. Cest ainsi que le troupeau de race alpine a changé dexploitation, alors que Patrick travaillait à transmettre aussi ses débouchés, à savoir trois marchés hebdomadaires et quelques magasins à la ferme. Linstallation de Corinne et de Jérémy est, au final, une double transmission, associée à une conversion. Un vrai challenge rendu plus facile par la volonté des futurs retraités de transmettre et de soutenir le projet de ce couple, qui déjà envisage daccueillir un salarié ou un associé pour faire face à la charge de travail.
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Provence-Alpes-Côte dAzur : Les GIEE de la filière élevage
Agnès CATHALA, AuteurDepuis 2015, 53 groupements dintérêt économique et environnemental (GIEE) ont été labellisés dans la région Provence-Alpes-Côte dAzur. Quinze dentre eux portent sur lélevage. Ils concernent toutes les productions : bovins, porcins, ovins, caprins, volailles et équins. Le 11 décembre 2020, la Chambre régionale dagriculture a organisé, avec la Maison Régionale de lElevage (MRE) et la DRAAF, une matinée de présentation des résultats de ces GIEE. Deux dentre eux concernent plus spécifiquement lélevage biologique. Dans le Vaucluse, lassociation Agribio 84 porte un GIEE qui regroupe quatre éleveurs de volailles de chair et deux éleveurs de poules pondeuses. Ensemble, ils recherchent de nouvelles races, notamment des races mixtes produisant assez dufs et permettant déviter le broyage des poussins mâles. Un essai est mené sur la race « Poule noire traditionnelle ». Dans le Var, le GIEE « Vers une autonomie alimentaire territoriale et biologique des élevages de volailles de Provence Verte » est porté par le GIE Epi de Blé, qui regroupe des éleveurs de volailles et des céréaliers bio, et il est accompagné par AgribioVar. Lobjectif est que les céréaliers fournissent les éleveurs en grains et que ces derniers les transforment en aliments pour poules.
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Les races d'animaux domestiques en France : étude générale et inventaire
Ce livre englobe quasiment toutes les races d'animaux domestiques élevés en France, soit près de 660, appartenant à une quinzaine d'espèces : bovins, ovins, caprins, porcs, chevaux, ânes, poules et autres volailles, lapins, etc. Chaque espèce est traitée d'un point de vue général, puis une courte monographie décrit chacune des races de cette espèce présentes en France : les races françaises, quelle que soit leur importance numérique, et les races étrangères, reconnues officiellement ou non, à l'exception en principe de celles dont les effectifs sont confidentiels dans notre pays.
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Recherche en alimentation animale : OK-Net Ecofeed explore le 100% bio en Europe
Frédéric RIPOCHE, AuteurLe programme de recherche européen OK-Net Ecofeed (2018-2021) a porté sur la question de lalimentation 100 % bio en monogastriques. Il a permis la mise à disposition dun grand nombre de travaux sur cette question, disponibles et traduits sur une plateforme internet dédiée (organic-farmknowledge.org). Parmi ces travaux, notons ceux sur lutilisation de la cameline, notamment en Italie. Source de protéines locale, cette plante semble intéressante : apports dacides aminés soufrés, domégas 3 et 6, digestibilité correcte chez les volailles, utilisation possible en alimentation humaine et animale, en cosmétique Cependant, il reste à construire une vraie chaîne de valeurs autour de lhuile de cameline, pour ainsi disposer de tourteaux en quantité. Par ailleurs, des essais dalimentation 100% bio menés en France, dans un élevage jurassien de pondeuses, ont fourni des résultats intéressants, mais posent la question des coûts de production plus élevés à répercuter. Si, à ce jour, il n'y a pas de solution miracle pour répondre à la question du 100% bio dans lalimentation des monogastriques, OK-Net Ecofeed permet laccès à de nombreuses ressources, et la recherche se poursuit, par exemple, avec le projet Casdar Valorage, sur lutilisation des fourrages et des parcours riches en protéines pour les monogastriques.
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Réenchantons l'élevage : Des cures pour les troupeaux
Stéphane COZON, AuteurCet article présente les soins préventifs et curatifs réalisés sur un élevage en biodynamie (la ferme de Baume Rousse) et leurs bienfaits sur la santé des vaches, des ânesses, des brebis, des cochons et des poules. Parmi les plantes utilisées en cure figurent : l'ail, la betterave fourragère, le lin, l'absinthe et le sainfoin. D'autres traitements élaborés à base de chlorure de magnésium, de vinaigre de cidre ou de miel sont également présentés. Un encart "En pratique" fournit des indications complémentaires pour réaliser les préparations à proposer en cure.
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Règlementation biologique : Des évolutions à partir du 1er janvier 2021 pour les élevages monogastriques
Fabrice ROCHE, Auteur ; Tiffany MASSALVE, Auteur ; Dominique PLASSARD, Auteur ; ET AL., AuteurCet article fait le point sur lévolution de la réglementation biologique pour les élevages de monogastriques. Ainsi, depuis le 1er janvier 2021, les effluents délevages industriels ne sont plus autorisés sur les terres biologiques ; les fabricants de fertilisants disposent dun an pour vendre leurs stocks de fertilisants qui en contiennent et les producteurs de 2 ans pour les utiliser. Parmi les évolutions applicables au 1er janvier 2022, figurent : linterdiction de lintroduction de poulettes âgées de moins de 18 semaines non certifiées bio ; des changements dans les densités danimaux et les conditions de logement en élevage avicole, avec compartimentation des lots ; lobligation, dès le plus jeune âge des poulettes, dun accès continu, en journée, à un espace plein air ; le passage à un lien au sol de 30 % ; des formulations alimentaires 100% bio, avec maintien de la dérogation, jusquen 2025, des 5% dalimentation non bio pour les seuls porcs de moins de 35 kg et pour les jeunes volailles de moins de 18 semaines. Sil est prévu des périodes transitoires pour permettre aux éleveurs de sadapter, se posent de nombreuses questions relatives aux : coûts dadaptation des bâtiments ; performances technico-économiques des élevages avec le passage à des formulations 100 % bio, notamment en poules pondeuses ; valorisation des parcours pour répondre, au moins en partie, au surcoût de production lié au 100 % bio. Dautres interrogations concernent : la dépendance alimentaire, avec une demande accrue en protéines végétales biologiques, mais avec des surfaces de production insuffisantes en France et une concurrence avec lalimentation humaine ; les alternatives possibles au soja. La recherche, notamment au niveau européen, se poursuit.
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Réintroduire un élevage sur ma ferme : 20 producteurs témoignent ou comment (re)découvrir les vertus de la polyculture élevage
Ce recueil s'appuie sur les témoignages de vingt producteurs basés dans les Hauts-de-France qui ont fait le choix de réintroduire de lélevage sur leurs fermes. La recherche dautonomie et de cohérence était à la base de la motivation de tous ces producteurs, mais leurs objectifs étaient assez variés : valorisation des surfaces, fertilisation organique, diversification des revenus, désherbage des parcelles, diversification de la gamme proposée en vente directe Dans tous les cas, associer des cultures et des animaux leur a apporté de nombreux bénéfices agronomiques, socio-économiques et/ou environnementaux. Ces retours dexpériences, notamment sur les difficultés rencontrées, ont pour objectif de mettre en avant de bonnes pratiques pour favoriser la réussite de tels projets, même si chacun dentre eux reste unique. Ce recueil est ainsi composé de trois parties. La première apporte des recommandations, points de vigilance et clés de réussite. La seconde est composée de quatre fiches sur les caractéristiques de différents ateliers délevage (une fiche par espèce) : volailles, porcs, ovins viande, bovins viande. La dernière partie regroupe sept fermoscopies impliquées dans la bio avec des profils et des projets variés : arboriculteurs ayant réintroduit des ovins, polyculteurs ayant réintroduit des bovins ou des ovins, maraîchers ayant réintroduit des volailles
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Résultats technico-économiques 2020 : Enquête réalisée auprès des aviculteurs de Bretagne, Nouvelle-Aquitaine et Hauts-de-France
AGRICULTURES & TERRITOIRES - CHAMBRES D'AGRICULTURE DE BRETAGNE, Auteur ; CHAMBRE RÉGIONALE D'AGRICULTURE DE NOUVELLE-AQUITAINE, Auteur ; CHAMBRE RÉGIONALE D'AGRICULTURE DES HAUTS-DE-FRANCE, Auteur | RENNES CEDEX (Chambre Régionale d'Agriculture de Bretagne - Rond-point Maurice Le Lannou - ZAC Atalante-Champeaux, CS 74223, 35 042, FRANCE) : AGRICULTURES & TERRITOIRES - CHAMBRES D'AGRICULTURE DE BRETAGNE | 2021Cette fiche fait suite à des enquêtes, réalisées en 2020, auprès de producteurs avicoles de Bretagne, de Nouvelle-Aquitaine et des Hauts-de-France. Elle présente les résultats technico-économiques moyens obtenus par les producteurs enquêtés (poids vif moyen, indice de consommation, pourcentage de pertes, pourcentage de saisies, marge PA/m2/lot, charges variables/m2/lot, nombre de lots par an et marge brute m2/an), pour les poulets bio et pour plusieurs catégories de volailles conventionnelles (poulets, pintades et dindes).
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Les revenus de lagriculture biologique en Pays de la Loire 2021 (Données 2020)
Cette publication sur les revenus 2020 de 821 fermes bio des Pays de la Loire permet de comparer les résultats des exploitations et daccompagner le montage de projets dinstallation de nouveaux agriculteurs, dans un contexte où le renouvellement des générations est un enjeu majeur, ainsi que des conversions. Ce document montre une grande disparité de résultats pour une même production. Les résultats sont relativement stables sur les 3 dernières années, pourtant marquées par une météo ne respectant pas les normes saisonnières, que ce soit avec les dégâts du gel, ou des excès, puis du manque deau. De plus, lannée 2020 aura été marquée par une envolée de la demande en produits bio durant le printemps, demande qui sest largement tassée en fin dannée.
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Santé des volailles : Bien observer pour ne pas se laisser voler dans les plumes
Cécile RICHARD, AuteurA partir de conseils formulés par un vétérinaire avicole et de retours dexpériences déleveurs, cet article revient sur les points-clés, entre observation et bonnes pratiques délevage, qui permettent, notamment en bio, d'avoir des poules en bonne santé. Ainsi, des conditions délevage correctes sont essentielles : veiller à labreuvement qui doit être en quantité suffisante et de qualité, à lalimentation (de qualité, équilibrée, adaptée aux besoins, dune granulométrie adaptée) ou encore à lhabitat, avec une température, une ventilation ou encore une humidité des bâtiments à surveiller et à réguler. Autre élément-clé : lobservation régulière des animaux. Quantifier les consommations (deau et daliments) ou encore la mortalité est important. Peser les poules une fois par semaine ou suivre les courbes de ponte peut être aussi un moyen pour détecter plus tôt un problème de santé et pour réagir. Lobservation des déjections, de létat du plumage ou encore du comportement des volailles est tout aussi important. Bref, observer, prévenir plutôt que guérir.
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Spécial Salon Tech&Bio
Emmanuel DESILLES, Auteur ; Sabrina BOURREL, Auteur ; Olwen THIBAUD, Auteur ; ET AL., AuteurCe numéro de Repères Tech&Bio est consacré aux démonstrations et aux conférences présentées à l'occasion de l'édition 2021 du salon Tech&Bio, qui s'est tenue du 21 au 23 septembre, à Bourg-lès-Valence (Drôme). En bovins viande, la question de la valorisation de la voie mâle était au cur des différents ateliers et conférences. Sur le stand Fourrages, trois projets Pepit, dispositif du Conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes, ont été présentés : Secufourrages, Top foin et Semis direct dans les prairies vivantes. Au Pôle Grandes cultures, entre autres démonstrations, deux ateliers étaient consacrés au fauchage/andainage avant battage et à la lutte contre la bruche de la lentille. Concernant les Plantes à parfum, aromatiques et médicinales, de nombreuses discussions se sont focalisées sur le durcissement du règlement européen REACH relatif aux substances chimiques, dont les huiles essentielles considérées comme un assemblage de molécules chimiques. Des démonstrations de matériels (bineuses) ont été proposées. Côté viticulture, les visiteurs ont pu découvrir plusieurs matériels fonctionnant à l'électricité, dont le robot Ted de la société Naïo et l'enjambeur POM, développé par Sabi Agri. En élevage de volailles, les échanges ont concerné l'aménagement des parcours, les souches à double fin et le picage par les poules pondeuses non épointées. Par ailleurs, les démonstrations en maraîchage ont notamment abordé la gestion du climat estival sous abri.
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Transformation du soja à la ferme : Technologies disponibles
Ce guide effectue un tour dhorizon des différentes technologies et installations disponibles pour transformer du soja à la ferme. Lobjectif étant de pouvoir intégrer cet aliment riche en protéines dans lalimentation des monogastriques (porcs et volailles). Dans un premier temps, ce document explique pourquoi cuire les graines de soja destinées aux monogastriques, avec un focus sur les facteurs antinutritionnels thermolabiles du soja. Il aborde ensuite les principes de fonctionnement des équipements de cuisson permettant de saffranchir des facteurs antinutritionnels du soja, avant de détailler les différents équipements disponibles pour pouvoir effectuer cette transformation à la ferme (fonctionnement, caractéristiques, avantages, inconvénients, références de léquipement ). Ce guide a été réalisé dans le cadre de OK-NET EcoFeed, un projet européen H2020, sur la base dun document rédigé en allemand. La version française a été quelque peu remaniée pour apporter une meilleure classification des technologies, et présente quelques équipements supplémentaires.
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L'uf ou la poule : Des innovations pour une filière territoriale et cohérente
SYMBIOSE, AuteurLa Bretagne comptabilisait près de 2,5 millions de poules pondeuses bio en 2020 (12 % des poules bretonnes). Le principal objectif de ces élevages est de produire des ufs coquilles calibrés, de taille M (53 à 63 g) ou L (63 à 73 g). Les ufs S, XL, déformés ou avec des microfissures ne peuvent pas être vendus en ufs coquilles et sont généralement envoyés dans des casseries. Ils sont alors vendus aux alentours de 0,05 ou 0,06 /uf. Les poules de réforme sont également peu valorisées par les abattoirs (autour de 0,20 /poule) et partent principalement à lexport ou en petfood. Face à cela, certains éleveurs se mobilisent et tentent de trouver des solutions. Anne-Sophie et Cédric Laurent proposent, aux côtés de leurs volailles de chair, des poules de réforme prêtes à cuire, en faisant bien la distinction entre les deux sortes de volailles. Elodie Dragon et Aline LHomme font adopter leurs poules de réforme (vendues 5 /poule) via lassociation « Poule pour tous ». Sonia et Jean-Michel Prieur ont choisi de transformer leurs poules de réforme en rillettes. Agrobio 35 a également sensibilisé un groupe de cuisiniers issus de la restauration collective, afin quils mettent en place des recettes à base de poules réformées. Certains éleveurs font également de la pédagogie auprès de leurs clients sur les ufs de petit calibre et les leur vendent à un prix moins élevé.
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Vu aux Culturales ; A découvrir aussi
Les deux pages « Nouveautés » de la revue Biofil décrivent trois innovations en lien avec les productions végétales, qui ont été présentées durant le salon professionnel Les Culturales en juin 2021, ainsi que deux autres innovations en lien avec les productions animales : 1 la faucheuse inter-rangs, développée par Eco-Mulch, permet de gérer la croissance de la luzerne dans une association céréale-luzerne ; 2 Farmdroïd FD20, un robot développé par Stecomat, permet deffectuer plus facilement des semis et du désherbage mécanique sur le rang et linter-rang ; 3 Biolys, un engrais développé par ICL, permet dapporter du SO2 aux plantes et est obtenu à partir dune roche riche en minéraux, la polyhalite, sans subir aucune transformation chimique ; 4 Actichar C Bio, un charbon actif végétal bio développé par Bordet, permet daugmenter les performances animales, daméliorer limmunité, déliminer les substances toxiques, tout en réduisant la production de méthane ; 5 Ecomet, une alternative à la méthionine développée par Provimi Cargill, permet déquilibrer les formules daliments pour pondeuses plus facilement.
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Vu à Innov-Agri ; Vu au Space ; Vu au Tech&Bio 2021
Gilles HARDY, Auteur ; Frédéric RIPOCHE, Auteur ; Frédérique ROSE, Auteur ; ET AL., AuteurCet article décrit plusieurs innovations (utilisables en bio) présentées lors de différents salons professionnels qui se tenus à lautomne 2021. Les cinq premières nouveautés ont été exposées à Innov-Agri et sont des matériels destinés aux grandes cultures : broyeur, fissurateur, déchaumeur et deux outils combinés. Les nouveautés suivantes ont été présentées au Space. Ce sont, soit des matériels délevage (refroidisseur de lait économe, application pour ventiler les bâtiments délevage, nid pour porcelets en maternité libre), soit des intrants (biostimulant pour les sols, asséchant bactérien, seau à lécher à lail, biostimulants pour monogastriques et ruminants, différents compléments alimentaires). Pour finir, les dernières nouveautés ont été observées au salon Tech&Bio. Il sagit dintrants, de matériels ou de prestations développés pour des cultures spécialisées (fongicide contre le mildiou et les monilioses, brumisateur de serres, filet dombrage pour serres, convecteur à air chaud mobile pour lutter contre le gel, blanchiment de serre par drone, gamme de filets paragrêle/ombrage/anti-pluie pour la vigne, stimulateur de défense des plantes) ou de matériels destinés au désherbage mécanique en grandes cultures (bineuse, fraise rotative, faucheuse-andaineuse, écimeuse-préfaneuse, roto-étrille, rouleau, houe rotative).