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Rotation des cultures



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Gaec Matringhem, dans la Vienne : Les cultures d'été dominent
Jean-Martial POUPEAU, AuteurFrançois et Gilles Matringhem cultivent 330 hectares, en agriculture biologique depuis 2002-2003, dans la Vienne. Sur ces terres hétérogènes, hydromorphes et/ou sensibles à la sécheresse, et qui bénéficient en grande partie de l'irrigation, les cultures d'été sont majoritaires : maïs, soja, haricots secs... La gestion des adventices est problématique, essentiellement en été, mais les deux frères possèdent tout le matériel nécessaire au désherbage mécanique : roto-étrille, herses étrilles, houe rotative, bineuse, écimeuse... Aussi, après un essai en travail simplifié peu concluant, les frères Matringhem sont revenus au labour. Le binage est également pratiqué sur céréales et protéagineux. Ces derniers sont toujours cultivés en association (orge-pois protéagineux, lupin-petit épeautre, lentille-orge de printemps). Ainsi, la rotation-type de l'exploitation s'étale sur 4 à 5 ans. En l'absence de légumineuses pluri-annuelles telles que la luzerne ou le trèfle, peu adaptés aux sols ou aux pratiques, la fertilisation des sols repose essentiellement sur les achats d'engrais organiques du commerce, épandus à deux reprises sur la rotation. Pour assurer une couverture permanente des sols, les repousses spontanées et du précédent sont privilégiées.
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Calendrier Lunaire 2020
Le Calendrier Lunaire est le coup de pouce utile au jardin, pour les légumes, les fruits, les fleurs, les arbres, mais aussi pour l'agriculture, les animaux, les abeilles, le vin, la bière, le bois, le gazon... On y retrouve aussi les meilleures dates qui optimiseront les soins du corps, ainsi que la santé en général. Édité depuis 1978, le Calendrier Lunaire est le fruit de 42 années de recherches et d'expérimentations sur les influences cosmiques. Synthèse d'un savoir astronomique et d'un savoir ancestral, cet ouvrage propose une analyse très détaillée de toutes les influences lunaires et planétaires.
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Claude Barbet, dans l'Ain : La technique, pour assurer le revenu
Jean-Martial POUPEAU, AuteurClaude Barbet est céréalier dans l'Ain. Son exploitation, convertie en agriculture biologique au début des années 2000, compte 165 hectares, dont 140 sont irrigables. Le principal objectif de l'agriculteur est de "dégager du revenu en misant sur la technique". Cela passe par la mise en place d'une rotation courte, principalement constituée de cultures d'été : soja-maïs-maïs-soja-blé. Deux intercultures longues composées d'espèces gélives assurent la couverture du sol entre les cultures, de même que la luzerne, mise en place sur l'exploitation depuis quelques années et pour des durées de deux ans. Contre les adventices, "bête noire" du céréalier, un panel complet d'outils est utilisé : herse étrille, houe rotative, écimeuse et bineuse. Du côté du travail du sol, Claude Barbet a fait le choix du labour "agronomique", qui consiste à agir à une profondeur de 18 à 20 cm, sans rasettes. Cette modalité est d'ailleurs comparée à un labour traditionnel (30 cm), à un travail du sol réduit sans retournement et à un travail du sol très superficiel ou semis direct sous couvert végétal, dans le cadre d'une expérimentation pilotée par l'Isara et menée depuis 2004, sur l'exploitation de Claude Barbet.
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« Dossier Climat », Lessai DOC le démontre : lagriculture biologique réduit le changement climatique
Andreas GATTINGER, Auteur ; Paul MÄDER, AuteurLagriculture représente environ 11 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Dans le cadre de lessai DOC (essai longue durée en Suisse), une étude dirigée par Andreas Gattinger, ancien collaborateur du FiBL, a montré que des terres assolées cultivées en bio émettent 40 % de gaz à effet de serre de moins que leurs équivalentes conventionnelles. Les analyses ont débuté en 1978 et comparent des rotations de cultures prairie temporaire maïs engrais verts dans différents systèmes : bio-dynamique, bio-organique, 2 systèmes conventionnels (avec et sans engrais de ferme) et un témoin sans engrais. En agriculture, le principal gaz à effet de serre est le N2O. Sur la base des rendements, les résultats montrent que le système bio-dynamique présente les émissions de N2O les plus faibles et le système témoin « sans engrais » les plus hautes. Selon les auteurs, cela prouve que la baisse des émissions nest pas seulement liée au fait de renoncer à lengrais, mais aussi à une exploitation ciblée, avec une rotation des cultures variée et de l'engrais de ferme qui permet de conserver certaines fonctions importantes du sol.
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François Rigondet, dans le Cher : 17 ans de recul en non-labour
Jean-Martial POUPEAU, AuteurFrançois Rigondet exploite 236 ha en grandes cultures dans le Cher. Il a entamé sa conversion bio en 2002 et la étalée sur cinq ans (conversion dun cinquième de la surface chaque année). 60 % de ses terres sont des sols argilo-calcaires lourds et profonds (délicats à travailler) et 40 % sont des rendzines superficielles (qui tolèrent les erreurs de travail du sol). Cette dichotomie facilite létalement des travaux mais complique les choix des assolements. François Rigondet nutilise pas de rotation type, mais seulement des successions culturales bien réfléchies. Selon lui, lun des points essentiels à respecter pour choisir ses cultures est lalternance stricte des époques de semis (hiver et printemps). Le choix est ensuite guidé par le salissement de la culture précédente et par une connaissance fine de la malherbologie. Bien que située en zone vulnérable, lexploitation nimplante pas de couverts car les sols gras ne ressuient que sils sont exposés aux éléments durant lhiver (lexploitation bénéficie dune dérogation possible dans ce département). Labsence de labour est quasi-systématique et a eu pour bénéfice de diminuer les carences en manganèse sur blé et tournesol liées à loxydation du sol. La charrue a été remplacée par une machine à bêcher (modèle Bechamatic). Pour le désherbage mécanique, François Rigondet utilise une bineuse, une herse étrille et a auto-construit une écimeuse.
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Gaec Le Jeloux, dans le Morbihan : Le défi : vivre à trois sur 42 ha
Jean-Martial POUPEAU, AuteurAprès labandon de lélevage en 2010, le Gaec Le Jeloux, dans le Morbihan, ne travaille plus quavec seulement 42 ha de cultures. Pour en vivre, il a fallu mettre en place des cultures à forte valeur ajoutée et obtenir une bonne maîtrise de ces cultures. La maîtrise du salissement est un des points les plus importants et passe par l'adoption de cultures nettoyantes comme le haricot de conserve, mais aussi par de nombreuses actions de désherbage allant jusquau désherbage manuel. Pour nourrir les sols, le Gaec utilise un compost de déchets verts local, dont la matière est collectée auprès de particuliers et d'entreprises de paysagistes (environ 600 t/an), puis broyée par une ETA, ce qui leur permet d'économiser 2 /t par rapport au même produit acheté dans le commerce. La rotation type de cette exploitation est sur 4 ans : pommes de terre, blé, maïs-grain et haricots, avec environ 11 ha pour chaque sole. La culture phare est le plant de pomme de terre car elle assure 60 à 70 % du revenu. Le retour de cette culture tous les quatre ans peut sembler court, mais Yann Le Jeloux explique quil ne tamise pas le sol et évite donc la déstructuration associée à des risques accrus de maladies. La lutte contre les maladies et les ravageurs est dailleurs importante pour le Gaec. Des interventions sont effectuées contre le mildiou, le rhizoctone, les taupins, les doryphores, etc. Mais le risque est toujours présent. Enfin, en hiver, des couverts davoine et de seigle sont implantés avant les cultures de printemps.
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Guide de culture : Féverole bio
C. LE GALL, Auteur ; S. BERARD, Auteur | THIVERVAL-GRIGNON (1 Avenue Lucien Brétignières, 78 850, FRANCE) : TERRES INOVIA | 2019Terres Inovia publie, en collaboration avec lItab et les Chambres dagriculture, un guide de culture sur la féverole bio dhiver et de printemps. Ce guide aborde différents aspects techniques : place dans la rotation, choix entre féverole d'hiver ou de printemps, implantation, fertilisation, gestion des adventices, gestion des maladies et des ravageurs, récolte et conservation.
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Irrigation : Irriguer les grandes cultures en agriculture biologique
Mathieu DEMON, AuteurLirrigation des cultures bio a plusieurs avantages. Elle permet notamment dallonger la rotation et, ainsi, de baisser la pression des adventices. De manière générale, elle permet dassurer un rendement. En effet, les cultures irriguées ont des marges brutes intéressantes. En Nouvelle-Aquitaine, par exemple, le maïs irrigué bio restitue 1,8 fois plus de marge brute que le maïs sec. Dautres cultures telles que les légumes de plein champ ou encore les PPAM (Plantes à Parfum Aromatiques et Médicinales) peuvent être développées sur des terres irriguées et possèdent une haute valeur ajoutée. Lirrigation peut également avoir son intérêt en amont de la culture avec des faux semis visant à limiter la levée dadventices, ou par limplantation de couverts, pour structurer le sol, capter lazote, etc. En revanche, trop dirrigation peut être nocif pour les sols.
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Maîtriser la fertilité et le salissement de ses parcelles
Pierre-Yves LE NESTOUR, Auteur ; Jean ARINO, AuteurEn grandes cultures biologiques, la maîtrise de la fertilité et du salissement des parcelles est essentielle. Fertiliser revient à stimuler lactivité biologique du sol selon 3 moyens : - Le travail du sol (fertilité physique, soit apport eau/air) ; - La rotation longue et diversifiée (fertilité biologique, soit apport de carbone) ; - Les sources de matière organique (fertilité chimique, soit apport déléments nutritifs). En bio, les apports sont limités à 170 uN / ha en ce qui concerne les effluents. Cependant, avant les apports extérieurs, un travail sur les contraintes physiques et ladaptation de la rotation au contexte local sont les premières étapes damélioration de la fertilité. Concernant la maîtrise des adventices, il existe des techniques de prévention telles que les faux semis et le retard de semis ou limplantation dune culture concurrentielle. Si cela nest pas suffisant, une intervention curative, comme le désherbage mécanique, est nécessaire. Les principaux outils sont la herse étrille, la houe rotative, la bineuse, lécimeuse et les faucheuses-andaineuses, à utiliser selon le stade de développement de la culture. La fertilité et le salissement du sol sont étroitement reliés, et les différents leviers pouvant agir sur l'un influent souvent sur l'autre.
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"Le passage au bio a sauvé mon exploitation"
Bernard GRIFFOUL, AuteurNicolas Roybin, éleveur en Isère, a réussi sa conversion, alors quavant de passer en bio, son exploitation rencontrait de fortes difficultés avec la crise du lait en 2015. Le calcul était ambitieux : profiter de ses atouts (un système avec des atouts pour lAB, un troupeau à haut potentiel génétique, des robots de traite et dalimentation...) pour passer en AB en mettant en place un système plus cohérent, réintégrant le pâturage, mais tout aussi productif quavant car le but était aussi de racheter, sur une courte période, les parts sociétales de ses deux anciens associés, devenus salariés aujourdhui. Dès la première année de conversion, en 2016, le système a montré un bénéfice important qui sest confirmé en 2017 et 2018. Le système a été revu pour intégrer le pâturage mais aussi pour produire toute lalimentation nécessaire. Aujourdhui, lexploitation compte 85 vaches laitières (essentiellement des Montbéliardes) à 9300 l par an avec une autonomie alimentaire totale, grâce à une SAU de 385, ha dont 54 de maïs, 25 de soja, 17 de méteil, 30 de blé, 5 davoine, 10 de féverole, 4 de colza, 50 de luzerne et mélanges luzerniers, 102 ha de prairies temporaires (surtout des multi-espèces) et 59 de prairies permanentes. Cet éleveur fait particulièrement attention à ses rotations et à ses rations, et il cherche à éviter le salissement et à optimiser les stocks. Concernant les rations, il fait appel à un service de conseil qui vient quatre fois par an calculer les rations en fonction notamment des récoltes. Le fait de compter 4 UMO sur lexploitation, ainsi que des robots de traite et dalimentation, sécurise le système : plus de souplesse, plus daptitude à gérer les urgences... Avec la baisse des annuités prévue à partir de 2024 et le départ à la retraite de collaborateurs, ce producteur envisage à terme de réduire la production, nétant plus contraint par des coûts fixes élevés.
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Le portrait du mois : Dur à cuivre
Antoine BESNARD, AuteurKoulm Stéphan sest installé sur la ferme familiale située dans les Côtes dArmor en 2011. Il élève des vaches allaitantes, des volailles de chair et cultive des céréales et des pommes de terre, le tout en agriculture biologique. Il est également président dAval Douar Béo (groupement de producteurs de pommes de terre 100 % biologiques). Koulm ne connaissant rien à cette production, il a commencé par en cultiver 1,5 ha, puis la développée pour se stabiliser à 6 ha. Lun des problèmes rencontrés est le taupin. Pour tenter de le solutionner il a dabord commencé par changer sa rotation (mettre les pommes de terre après une prairie et non après une céréale depuis l'année dernière), puis il a revu son positionnement commercial en produisant des plants de pommes de terre. Il est également confronté à des problèmes de mildiou : avec laugmentation de cette culture dans la région, la pression est plus forte. Il défend lutilisation du cuivre en bio, surtout pour les producteurs qui commercialisent en circuit long. Il cherche toutefois à réduire son usage en testant, avec son groupement, des produits associés, comme les engrais foliaires, permettant de réduire dun tiers les doses de cuivre. Cependant, ces traitements triplent le prix de la bouillie. Il faut donc aussi tenir compte de la rentabilité économique. Il sest également penché sur la résistance variétale, mais les pommes de terre issues de ces variétés ne sont pas assez belles et ne peuvent pas être commercialisées en circuit long.
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Rotations bio : Le pari des successions culturales sans prairies
Gaëtan JOHAN, AuteurPendant cinq ans, de 2013 à 2017, le réseau GAB-FRAB breton a suivi huit fermes biologiques en polyculture (6 fermes) et en polyculture-élevage (2 fermes). Dans ces systèmes sans prairies de longue durée, l'objectif était de comparer l'impact de différentes successions culturales sur la gestion des adventices et la fertilité des sols, mais aussi sur les principaux résultats technico-économiques obtenus. Ainsi, sur chacune de ces fermes, deux successions de cultures - témoin et expérimentale (intégrant des mélanges, des semis sous couverts, des engrais verts, etc.) - ont été mises en place et comparées. Dans cet article, les principaux résultats issus d'une analyse multicritère (aspects économiques, sociaux et environnementaux), réalisée grâce au logiciel Systerre® d'Arvalis, sont présentés pour sept de ces fermes. Trois grandes stratégies adoptées par ces agriculteurs ont pu être identifiées : - la mise en place de cultures à forte valeur ajoutée pour les exploitations à surface modérée (30-50 ha), impliquant cependant des temps de travaux importants ; - l'optimisation du temps de travail pour les grandes exploitations de plus de 100 ha ; - la production de céréales et protéagineux pour l'autoconsommation lorsqu'un atelier animal est présent.
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Sarrasin : Une culture aux multiples facettes
SYMBIOSE, AuteurPlante rustique, le sarrasin, de la famille des Polygonacées, valorise les sols pauvres et acides et ne demande pas de fertilisation pour son développement. Le sarrasin présente de nombreux avantages : cycle de végétation court, effet nettoyant sur les vivaces, rupture des cycles de parasites et d'adventices par un travail du sol tardif au printemps, peu gourmand en main duvre... Son introduction dans la rotation comme culture de vente ou couvert végétal permet de diversifier les cultures. Le sarrasin peut également être utile comme plante compagne. Des conseils sont fournis pour préparer le sol avant l'implantation, choisir ses variétés, faire les semis, etc. Des essais de l'INRA de Rennes en partenariat avec la FRAB Bretagne ont porté sur des variétés de sarrasin de Pays, faisant ressortir certaines caractéristiques décrites dans un tableau. Deux témoignages illustrent l'intérêt de l'introduction du sarrasin : Mickaël Renoult, polyculteur-éleveur bio à Saulnières (35), qui utilise le sarrasin comme plante compagne, et Stéphane Postic, polyculteur bio à Elliant (29), qui l'a intégré dans sa rotation.
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Thierry Legris, dans les Yvelines : Un assolement en évolution
Jean-Martial POUPEAU, AuteurInstallé dans les Yvelines, Thierry Legris cultive 145 ha. La conversion de l'exploitation à l'agriculture biologique s'est faite progressivement, entre 2001 et 2006. Les premières années, l'agriculteur a conservé une rotation courte, intégrant pour deux tiers des cultures d'hiver et pour un tiers des cultures de printemps. Toutefois, malgré des opérations de désherbage mécanique répétées, la pression des adventices est très vite devenue problématique, notamment avec de fortes présences de folle-avoine, de gaillet et de vulpin. Afin de renverser la tendance, Thierry Legris a apporté plusieurs ajustements à son assolement et à ses pratiques, et ce, de manière la plus adaptée possible aux différents types de sols qui constituent son parcellaire : introduction de la luzerne, semis du blé uniquement derrière des légumineuses (luzerne, lentille, féverole) ou parfois derrière une association pois fourrager-triticale, etc. La présence de maïs dans l'assolement, culture d'été relativement facile à conduire dans les conditions pédoclimatiques de l'exploitation, permet également de lutter contre la folle-avoine en cassant le cycle de l'adventice. Thierry Legris s'est par ailleurs essayé aux techniques culturales simplifiées mais sans succès.
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Calendrier Lunaire 2019
Le Calendrier Lunaire est le coup de pouce utile au jardin, pour les légumes, les fruits, les fleurs, les arbres, mais aussi pour l'agriculture, les animaux, les abeilles, le vin, la bière, le bois, le gazon... On y retrouve aussi les meilleures dates qui optimiseront les soins du corps, ainsi que la santé en général. Édité depuis 1978, le Calendrier Lunaire est le fruit de 41 années de recherches et d'expérimentations sur les influences cosmiques. Synthèse d'un savoir astronomique et d'un savoir ancestral, cet ouvrage propose une analyse très détaillée de toutes les influences lunaires et planétaires.