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MA FIL : Marché Filière |
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Semences et plants : l'exigence des agriculteurs et maraîchers bio
Bio ou conventionnelle, une semence doit répondre à des exigences réglementaires pour la certification. Le respect de la totalité des prescriptions, sous le contrôle du GNIS (Groupement National Interprofessionnel des Semences et plants), garantit à l'utilisateur la qualité des semences qu'il achète. En bio, les règles concernant les semences sont encore plus draconniennes. La modification du Réglement Communautaire implique la mise en place d'un réseau de producteurs et multiplicateurs de semences bio tel qu'il en existe un pour les semences conventionnelles. Progressivement, les difficultés de production de semences bio se résolvent. Le GNIS fait la synthèse de l'évolution des productions de semences et plants bio, et de la coordination des actions mises en place pour le développement de la filière.
Sial : La bio s'installe
"La traditionnelle étude réalisée chaque année avant le salon afin de classer les nouveaux produits a révélé, cette année, quatre grandes tendances : le plaisir, la santé et la forme,"" la convénience"" (côté pratique) et l'éthique. Les produits bio se retrouvent plus naturellement dans la partie éthique et la partie santé. Le SIAL permettait d'exposer en fonction du type de produit (épicerie, liquide, produit frais...) ou sous bannière nationale ou régionale. Il y avait aussi un secteur ""bio et diététique"" réunissant plus de 70 sociétés dont un stand danois, le SETRAB, Bioconvergence, Bio d'Armor, Ecocert, Biobourgogne Viandes... Au total, c'étaient plus de 400 exposants sur les 5000 présents qui avaient au moins un produit bio à présenter. Une invitation au plaisir gustatif..."
La "Tetra Brik" est-elle vraiment digne du bio ?
Bon nombre de produits bio semblent avoir définitivement opté pour un emballage de type "Tetra Brik". Mais la chose est-elle réellement compatible avec les exigences d'éthique et de respect de l'environnement que suppose la démarche du consommateur bio ? Sabine Willemart et Dominique Parizel ont cherché des éléments de réponse mais ont trouvé surtout du flou, les écobilans n'étant malheureusement pas toujours complets ni fiables.
Un tour du monde de l'agriculture biologique : 1. Afrique - Amériques - Proche-Orient
"En Europe, l'agriculture biologique est une méthode de production basée sur le respect : respect de l'homme, des animaux, des plantes et du sol. Hors Europe, on constate que l'appellation ""agriculture biologique"" ne traduit pas toujours les mêmes concepts. Se pose donc le problème d'importation de ces produits non européens dits biologiques. Or l'agriculture biologique, que ce soit au Sénégal, au Liban ou au Mexique, est en plein essor, même si pour certains pays le développement se fait lentement."
L'ultra-frais bio joue la diversité
Les différents fabricants présents en ultra-frais bio rivalisent de créativité en proposant beaucoup de nouveaux produits, notamment au chocolat. Les fabricants veillent à ne pas proposer des produits trop sophistiqués qui pourraient nuire à la crédibilité du bio. Eclairage sur les nouveaux produits de : Bio d'Armor, Laiterie Legall, Marie Morin, Chambourcy, La Croix Morin, Vrai.
Vers l'obtention d'une AOC
Deux articles courts sur l'appui de deux chambres d'agriculture à des agriculteurs ayant engagé des démarches pour l'obtention d'appellation d'origine contrôlée, pour une production de châtaignes en Ardèche et pour une production de noix dans le Périgord. Chacune de ces démarches repose sur l'importance de ces productions pour le développement local.
Viande bio : peut mieux faire !
La production de viande bio progresse mais les débouchés stagnent. Les explications des spécialistes sont de plusieurs ordres : - l'engouement des distributeurs est moins fort que prévu sauf pour Auchan, - certains opérateurs déchantent tel Orléans Viande qui explique la faible progression par le différentiel de prix jugé trop élevé pour le porc par exemple. La production s'est développée et il faut que le marché fasse de même. Pour cela une association de promotion de la viande bio a vu le jour. Son objectif sera d'instaurer une communication de proximité entre producteurs et consommateurs sur les points de vente. Pour la filière, un facteur de difficulté supplémentaire sera à surmonter : l'application du REPAB générera des surcoûts.
Victor Scherrer : "Recentrer la gamme était indispensable"
Linéaires propose une interview de Victor Scherrer (PDG du Goût de la Vie) sur le bilan des résultats de l'entreprise par rapport aux objectifs de départ.
La Vie Claire : après la pluie... l'éclaircie ?
Lorsque Régis Pelen rachète la chaîne de magasins historiques La Vie Claire, en 1996, celle-ci n'est plus dans ses jours de gloire, bien au contraire. En quatre ans, le nouveau président refond la structure de A à Z : changement des membres de l'équipe dirigeante, changement de locaux, une gamme de 800 produits entièrement redéfinie, des magasins remis à neuf. En septembre dernier, la communication autour de la chaîne reprend. Après avoir connu l'apogée et le fond du goufre, La Vie Claire revient sur les devants de la scène bio.
Volailles biologiques d'Auvergne
Allier Bio a été sollicité par les éleveurs de volailles bio concernant leurs difficultés à s'adapter au nouveau cahier des charges qui remet en cause leur situation actuelle. Une présentation de la filière, ainsi que les caractéristiques des exploitations des éleveurs de volailles biologiques sont publiées dans cet article.
Vom Berg nicht weit ins Tal.
"Souvent, les animaux doivent subir un transport long et pénible pour arriver jusqu'aux abattoirs. Ce problème se pose surtout dans les régions peu développées comme les zones montagneuses. De plus, comme en témoigne l'exemple de la Suisse à travers cet article, les petits abattoirs situés dans les régions rurales, ne peuvent pas entrer en concurrence avec les grands au niveau technique et hygénique et ont du mal à trouver des acheteurs : les grands distributeurs ont tendance à ne travailler qu'avec les grands abattoirs certifiés par l'UE. C'est un cercle vicieux puisque ce comportement engendre une augmentation des prix pour les petites entreprises, les rendant de moins en moins intéressants pour les clients. Dans le but de soutenir les petits abattoirs et d'agir pour le bien être des animaux en raccourcissant leur transport, l'association ""kagfreiland"" a mis en place un label ""Alpenfleisch"" ( la viande des Alpes )."
2ème guide des Biocoop
Biocoop est le premier réseau français de distribution biologique. Ce guide actualisé présente les 187 magasins et supermarchés coopératifs Biocoop (par département) qui proposent plus de 5000 références de produits biologiques et d'éco-produits sélectionnés : fruits et légumes, boulangerie, crèmerie, épicerie, vins, boucherie et charcuterie, plats préparés, cosmétiques, droguerie, librairie, papier recyclé, produits pour le jardinage et l'habitat,...
Abattage, transformation et vente de produits avicoles à la ferme : aspects juridiques et économiques
La production avicole "à la ferme" est de taille réduite, elle contrôle le cycle de vie complet de la volaille (de un jour à l'abattage) et elle est vendue directement au consommateur. Avant de se lancer dans une telle activité, une réflexion s'impose et plusieurs aspects doivent être pris en compte sur le plan économique, technique et personnel. L'ITAVI a édité ce nouveau document qui résume des informations d'ordre réglementaire, pratique et économique sur la production, l'abattage, la transformation et la vente de produits avicoles à la ferme. A partir d'enquêtes réalisées auprès d'une trentaine de producteurs fermiers, des fiches techniques ont été conçues pour différentes espèces avicoles (poulets, pintades, pigeonneaux de chair,...).
Les achats des ménages français
Au cours des années 1996 à 1998, les achats de salades par les ménages français sont restés stables en volume annuel (les achats de salades représentent 12 % des achats de légumes, hors pomme de terre). En revanche, les fluctuations mensuelles sont importantes et la composition du panier a beaucoup évolué. Laitues beurre et batavia sont les perdantes de cette évolution alors que les feuilles de chêne et la mâche gagnent du terrain. Analyse des données du panel Sécodip Consocan.
Agriculture biologique : une ferme bio et néanmoins très technique
Visite de la ferme de Jean-Michel Cellier-Courtil (Président de l'association Auvergne Biologique - 43 ans) sur la commune de Saint-Saturnin dans le Puy-de-Dôme. C'est en 1989 que Jean-Michel Cellier a décidé de se lancer dans la bio et, aujourd'hui, son exploitation en polyculture-élevage couvre une surface vaste : 100 hectares cultivables, le reste en prairies, la moitié de la surface en location. Il emploie un salarié et un apprenti et son père, Lucien Cellier (70 ans) l'aide. Conscient de l'importance de la mécanisation en bio, il fait pousser blé, orge, avoine, sarrasin, féverole, épeautre, pois, luzerne, trèfle et colza et élève des bovins. Partisan d'un cahier des charges rigoureux en élevage, Jean-Michel Cellier déclare que l'éleveur bio doit à la fois prendre en considération la sécurité alimentaire et la qualité. En ce qui concerne la conversion en agriculture biologique en Auvergne, il déclare "Je préfère que l'on aille lentement avec des agriculteurs motivés plutôt que d'avoir des conversions nombreuses qui pourraient galvauder la philosophie et la pratique de l'agriculture biologique".