Détail de l'indexation
MA QUA : Marché Qualité |
Ouvrages de la bibliothèque en indexation MA QUA


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1er et 2 décembre 2011 - Paris : Approches globales d'évaluation de la qualité
Marc HENRY, Auteur ; Denis LAIRON, Auteur ; Machteld HUBER, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut Technique de l'Agriculture Biologique) | 2011Ces journées ont été organisées par l'Institut Technique de l'Agriculture Biologique, dans le cadre d'un projet transversal porté par PEUV (Pour l'Emergence d'une Université du Vivant), avec un financement de la FPH (Fondation pour le Progrès de l'Homme). Le document qui les restitue porte sur plusieurs approches ou méthodes globales d'évaluation de la qualité des aliments : - Approches générales : Structuration de l'eau en domaines de cohérence ; La métabolomique : une approche sophistiquée globale du vivant ; Résultats d'une large étude sur le lien alimentation/santé chez les poulets, incluant des méthodes holistiques ; - Approches techniques : Nouveau concept de naturalité d'un aliment transformé ; Bioélectronique et quantification de la qualité © ; Application des mesures de biophotons dans la recherche sur les plantes et les aliments ; - Approches sensorielles : Analyse sensorielle : la sensorialité humaine comme instrument analytique ; Approche sensible des huiles essentielles : la méthode de Goethe ; - Méthodes morphogénétiques : Une démarche de connaissance adaptée à l'étude du domaine qualitatif de la substance organique ; Le vin vivant à travers le cristal ; Conditions opératoires pour la production reproductible de cristaux de chlorure cuivrique en présence d'additif ; Computerized pattern evaluation of the biocrystallization Method For Carrot Samples ; Hautes dilutions et informations subtiles repérables en cristallisations sensibles ; Analyse critique de la morphochromatographie appliquée à l'étude qualitative des matières organiques.
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90 arguments en faveur de l'agriculture biologique
Ce document donne une vue d'ensemble des avantages de l'agriculture biologique. La plupart des arguments sont accompagnés d'une explication, et il y a pour chacun d'entre eux au moins une source bibliographique pour en savoir plus. Ces arguments se basent pour la plupart sur des résultats de recherches scientifiques, mais aussi sur les ordonnances et cahiers des charges suisses pour l'agriculture biologique. Non exhaustive, cette liste présente 90 arguments en faveur de l'agriculture biologique, au niveau des thématiques suivantes : - Le bio est plus nutritif ; - Le bio est plus sûr ; - Les produits Bourgeon sont authentiques ; - Le bio renonce aux manipulations génétiques ; - Le bio est cohérent ; - Le bio est... vraiment bio ; - Les bêtes bio vivent mieux ; - Pour les bêtes bio, priorité à la médecine douce ; - Le bio protège les oiseaux ; - Le bio favorise les insectes utiles ; - Le bio favorise la biodiversité ; - Le bio soigne le sol ; - Le bio protège les eaux et les cours d'eau ; - Le bio économise l'énergie ; - Le bio stabilise le climat ; - Le bio est social. Ce document est téléchargeable à l'adresse : https://www.fibl.org/shop/pdf/1441-arguments.pdf.
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Acceptabilité par le consommateur du jambon sec de mâles entiers : Rendement de séchage, qualité des gras et composés odorants
Patrick CHEVILLON, Auteur ; Pierre LE STRAT, Auteur ; Jean-Luc VENDEUVRE, Auteur ; ET AL., AuteurCette étude, financée par INAPORC (Interprofession nationale porcine), a pour objet d'évaluer les conséquences de la fabrication de jambon sec de qualité supérieure (plus de 7 mois de sèche) à partir de mâles entiers. Le rendement de séchage de ce jambon est inférieur par rapport au lot de mâles castrés et aux femelles. Néanmoins, l'épaisseur de lard plus faible dans le lot « mâles entiers » pourrait en être à l'origine, l'étude ne permet pas de conclure. Les dégustations par un panel de consommateurs n'ont pas permis de mettre en évidence des risques d'odeurs de verrats (qui sont liées à la teneur en androsténone et en scatol du jambon). Cependant, la bibliographie rappelle qu'il est important de mesurer les niveaux en composants odorants sur le jambon frais, afin de limiter les risques de gêne du consommateur. Les composés odorants sont en effet peu réduits lors de la transformation de plus de 7 mois. Quant à la composition des acides gras, elle ne diffère que très légèrement entre les jambons secs issus de mâles entiers, castrés, ou de femelles. Les jambons secs issus de mâles entiers présentent un peu plus d'acides gras polyinsaturés dans leur gras de couverture par rapport aux autres.
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Acceptabilité par le consommateur du rôti de porcs mâles entiers vendu cuit tranché en libre service
Patrick CHEVILLON, Auteur ; Eric GAULT, Auteur ; Thierry LHOMMEAU, Auteur ; ET AL., AuteurCette étude de l'IFIP, financée par INAPORC et au titre du programme national de développement agricole et rural, avait deux objectifs : tester la perception par le consommateur de l'odeur et du goût de 4 lots de longes cuites dégraissées fabriqués à partir de viande de mâles entiers présentant des niveaux d'androsténone croissants, et définir un seuil d'androsténone à partir duquel il deviendrait risqué de transformer la longe en rôtis cuits pour le libre service. L'odeur n'a pas perturbé le consommateur, qui est prêt à re-consommer ce produit. Cela peut s'expliquer par la faible teneur en gras du rôti. Il semble même qu'à partir de 0,5 µg d'androsténone par gramme de gras, le goût du rôti consommé froid soit amélioré. Il apparaît donc possible d'utiliser les longes de mâles entiers pour fabriquer du rôti de porc. Il faudrait cependant conseiller au consommateur de ne pas réchauffer le produit pour sa consommation. Par ailleurs, le niveau de dégraissage des longes devra être maîtrisé. Enfin, le critère scatol reste à évaluer.
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Acceptabilité par les consommateurs des viandes de porc mâle entier transformées en saucisses, lardons, saucissons secs et jambons cuits
Patrick CHEVILLON, Auteur ; Michel BONNEAU, Auteur ; Pierre LE STRAT, Auteur ; ET AL.A ce jour, en Europe, 80% des porcs mâles sont castrés et près de 100% en France. La justification majeure de cette pratique est de limiter tout risque de mettre sur le marché un pourcentage de viandes fraîches ou de produits transformés à défaut d'odeur sexuelle de verrat. La pratique de la castration à vif est cependant régulièrement remise en cause dans un souci de bien-être animal. Ainsi, une étude a été réalisée par l'Ifip afin de vérifier si, en 2009, du fait de l'évolution de la demande des consommateurs et des conduites d'élevage, le risque d'insatisfaction du consommateur sur des produits transformés (75% de la carcasse de porc) issus de plusieurs mâles entiers était réel. 100 consommateurs ont comparé d'un point de vue organoleptique des fabrications industrielles produites à partir de mâles entiers, comparées à des femelles et à des mâles castrés, sur quatre types de charcuterie : saucisses, lardons fumés, saucissons secs et jambons cuits sans couenne. Les résultats ne montrent pas de différences significatives d'appréciation globale, de goût et d'intention de re-consommation pour les 4 produits. Concernant l'odeur, il existe une différence uniquement sur jambon cuit, le consommateur préférant l'odeur du lot femelle à l'ouverture du sac.
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L'accès pour tous à une alimentation de qualité
Aurélie BELLEIL, Auteur ; Maud ROUSSEL, Auteur ; Mathilde AZZANO, Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut Technique de l'Agriculture Biologique) | 2013Corabio, structure de coordination de l'agriculture biologique en Rhône-Alpes, travaille depuis une quinzaine d'années pour l'introduction de produits bio en restauration collective. Ainsi, ce sont aujourd'hui 90 lycées et treize restaurants d'entreprise qui sont engagés dans les opérations « Mon lycée mange Bio » et « Manger Bio Local en Entreprise ». Par ailleurs, Corabio accompagne les cuisiniers et gestionnaires dans cette démarche d'introduction, notamment à travers des ateliers culinaires les aidant à mieux appréhender les spécificités des produits bio. Ceux-ci s'avèrent plus riches et peuvent être faciles à travailler malgré certains préjugés. En encart, le défi lyonnais des familles à alimentation positive est présenté. L'objectif pour les familles engagées : augmenter leur consommation de produits bio sans augmenter leur budget.
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Les acides gras du lait de vache : Composition et maîtrise par l'alimentation
JL. PEYRAUD, Auteur ; B. ROUILLÉ, Auteur ; C. HURTAUD, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS Cedex 12 (Maison Nationale des Eleveurs, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : INSTITUT DE L'ÉLEVAGE | 2011
L'alimentation des animaux conditionne la composition du lait, notamment celle en matières grasses et plus précisément en acides gras. C'est sur la composition en acides gras que la filière laitière est interpellée, de manière pressante. Il était utile de faire un point objectif sur les questions, les contraintes et les opportunités qui se posent à la filière laitière française dans ce domaine. L'approche retenue a été de répondre de manière simple et concise aux questions suivantes : - Comment sont élaborés les acides gras présents dans le lait ? Quel est le rôle de la glande mammaire en la matière ? ; - Quels laits produire demain ? Comment adapter la composition du lait sans tomber dans des pièges métaboliques ou sans jouer à l'apprenti-sorcier ? ; - Quelle est la diversité des situations aujourd'hui, avec les nouvelles contraintes sur les intrants, et quelles sont les approches opérationnelles d'adaptation existantes ? La deuxième partie du document est consacrée au lien entre l'alimentation (ration de base et supplémentation) et la qualité du lait.
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Additifs alimentaires : Ce que cachent les étiquettes (Nouvelle édition revue et augmentée)
Cet ouvrage fournit la liste des principaux additifs alimentaires utilisés dans l'industrie alimentaire (description, nom, à quoi ça sert) avec des mises en garde et des informations sur leur toxicité ou non, plus ou moins importante. Cette nouvelle édition, revue et augmentée, intègre les récents changements : nouvelles données scientifiques, nouvelles législations (il y a eu notamment les Directives européennes 2008 et 2009 mentionnant ou non tel additif), nouvelles interdictions ou autorisations, et même nouveaux additifs.
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Adéquation entre demande et offre de qualité du lait issu de l'agriculture biologique : Analyse au niveau des élevages dans le Massif Central et des transformateurs en Auvergne et Rhone-Alpes : Rapport final : Projet ADOQ soutenue par le pôle scientifique agriculture biologique Massif Central
Olivier ROQUE, Auteur ; Claire AGABRIEL, Auteur | LYON CEDEX 07 (Agrapole, 23 Rue Jean Baldassini, 69 364, FRANCE) : ISARA-LYON | 2002Cette étude met en évidence des différences entre le lait produit en mode biologique par rapport au conventionnel. En effet, en production bio, on observe une faiblesse des taux (TB - taux butyreux et TP - taux protéique), en particulier sur la période hivernale, on observe également une numération cellulaire plus élevée. Il ressort également de cette étude que les producteurs bio ont une meilleure maîtrise des spores butyriques, mais avec de fortes variations possibles selon les années. Cette étude met également en évidence des points de blocage au niveau des transformateurs concernant le développement de la filière, mais ces derniers ne sont pas liés directement à des aspects techniques, mais plutôt à des aspects stratégiques des transformateurs.
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L'affinage : L'art d'élever des levures, des bactéries et des moisissures
Katell GUEGUEN, AuteurL'affinage intervient en dernière étape de la fabrication du fromage, les premières étant la préparation du lait, la coagulation avec de la présure et l'égouttage. C'est au cours de l'affinage que se développent levures, moisissures et bactéries, chacune ayant un effet différent sur la transformation du fromage. Ainsi, les levures jouent notamment sur la dégradation des protéines (protéolyse) et en cas de problème, le fromage pourra avoir un goût amer. Les réactions chimiques concernant les matières grasses joueront sur l'odeur et la consistance du fromage (plus les molécules de lipides seront petites, plus le fromage sera coulant). Les Penicilliums, plus riches en lipases, feront un fromage de chèvre avec un goût plus marqué que les Géotrichum, plus actifs sur la dégradation des protéines. La qualité de l'air, aussi bien en température qu'en humidité, sera déterminante, notamment pour un bon « travail » des levures, bactéries et autres moisissures, mais aussi pour éviter la freinte, à savoir l'assèchement du fromage.
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Les aflatoxines ou les dangers des produits naturels
Le bio est une niche séduisante. Mais l'industriel qui s'y lance doit se plier à une réglementation stricte. Il doit faire face à des problèmes d'approvisionnements et adapter son organisation afin de bien séparer les flux et d'assurer leur traçabilité. La réglementation sur les aflatoxines rappelle que pour les fruits à coque et les céréales, le naturel n'est pas exempt de dangers.
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Agir localement pour consommer autrement
Comment produire suffisamment de nourriture pour tout le monde en respectant l'environnement, le travail des agriculteurs, la qualité des aliments, des prix justes à la consommation ? Comment agir pour un commerce mondial équitable et l'autonomie alimentaire du Tiers-Monde ? Pour apporter des solutions à ces problèmes, une trentaine d'associations, regroupées au sein de la "Coalition Pour une Agriculture de Qualité" (CPAQ), ont décidé de lancer une campagne originale : "Form'action de consomm'acteurs". Objectif : créer des synergies entre les militants d'une même région devant déboucher sur des actions concrètes.
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Agriculture biologique : un développement très contrasté entre nos voisins et nous !
Le développement de l'agriculture biologique en France suscite encore de nombreuses interrogations et prises de position, notamment de la part de certains groupes et représentants "bio". Ces prises de position trouvant le plus souvent leur expression en référence à une éthique "bio" française, peut-on en apprécier certaines incidences en termes de développement ? Analyse concrète du développement de ce signe de qualité chez quelques-uns de nos voisins et chez nous.
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L'agriculture biologique : une meilleure qualité nutritive ?
A l'heure où les gens s'inquiètent de plus en plus de leur alimentation au point où ils craignent presque les aliments qu'ils consomment tellement ils ont subi de traitements, il est temps de faire un constat quant à la qualité des produits offerts sur le marché. Christine Ouellet, agronome, répond aux questions suivantes : Les aliments biologiques assurent-ils, plus que les aliments conventionnels, un meilleur apport en éléments nutritifs et constituent-ils un meilleur choix alimentaire personnel et collectif ?
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Agriculture biologique et mycotoxines
Les mycotoxines sont des molécules produites par les champignons qui se développent sur certaines matières premières alimentaires (céréales, oléoprotéagineux, frutis) au cours de leur culture ou pendant le stockage. Du fait des effets cancérogènes de certaines d'entre elles, elles sont tracées pour des raisons de santé publique évidente. L'agriculture biologique qui n'utilise que peu de traitements fongicides, souvent de faible efficacité curative, est suspectée de favoriser la présence de mycotoxines dans les aliments. Des études récentes montrent cependant que la présence de champignons parasites n'induit pas forcement la présence de toxines. Leur production implique en effet une dépense énergétique importante, mobilisé seulement en cas de stress. Ainsi, les à-coup nutritionnels liés aux engrais de synthèse et la destruction des organismes vivants par les pesticides sont ainsi des facteurs favorables à leur production. Au contraire, les systèmes biologiques renforçant la résistance naturelle des végétaux aux maladies, il en résulte souvent une diminution quantitative des mycotoxines.