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Calendrier Lunaire 2022
Le Calendrier Lunaire est le coup de pouce utile au jardin, pour les légumes, les fruits, les fleurs, les arbres, mais aussi pour l'agriculture, les animaux, les abeilles, le vin, la bière, le bois, le gazon... On y retrouve aussi les meilleures dates qui optimiseront les soins du corps, ainsi que la santé en général. Édité depuis 1978, le Calendrier Lunaire est le fruit de 43 années de recherches et d'expérimentations sur les influences cosmiques. Synthèse d'un savoir astronomique et d'un savoir ancestral, cet ouvrage propose une analyse très détaillée de toutes les influences lunaires et planétaires.
Des champignons dans mon jardin
Jean-Baptiste ROBERT, AuteurCet article fournit le mode demploi pour cultiver des champignons dans son jardin. À partir dune bûche de bois comme support de culture, on percera dabord des trous pour y insérer le mycélium (issu du commerce ou auto-produit). Une fois les bûches installées, les premiers champignons apparaissent au bout de 6 à 12 mois. Après la première cueillette, cest le moment de reprendre la production de mycélium, dont le procédé est détaillé par Jérôme Legros, créateur du blog « Le champignon Jardinier ». Un encart présente brièvement la vente de mycélium.
Le chou de printemps : Tentez le pointu
Sandra LEFRANÇOIS, AuteurSurnommé le « chou pointu », plus tendre et plus fin que les choux dhiver, le chou pommé de printemps est cultivé à contre-saison, arrivant ainsi à maturité pendant la période de soudure entre les légumes dhiver et ceux dété. Adapté aux climats pas trop rudes, il est préférable de le protéger des fortes gelées avec un voile dhivernage ou une cloche, ou en le cultivant sous serre. Le chou pointu échappe à la plupart des ravageurs habituels, mais il faudra le protéger des altises, limaces et escargots, pucerons et, également, des pigeons. Cet article fournit des informations sur les variétés cultivées dans les différents berceaux de culture, notamment dans les zones maraîchères parisiennes, normandes et méridionales. Amélie Leroy et Gaëlle Le Glaunec, maraîchères bio dans lEure, partagent leurs conseils de culture.
Culture des légumes en 2021 au regard du changement climatique
Jean DE LA VAISSIERE, Auteur ; Ariane DESMOULINS, AuteurLes aléas climatiques, de plus en plus récurrents et variés (hivers doux, gelées tardives, orages, périodes trop sèches ou trop humides), impactent fortement les productions agricoles, que ce soit par des perturbations physiques directes (orages de grêle, gelées...) ou par des perturbations provenant de la modification de la nature (multiplication des maladies et des ravageurs). Dans cet article, Jean de la Vaissière et Ariane Desmoulins, des Jardins d'Ariane, qui cultivent des légumes biologiques en permaculture dans la Vienne, partagent leur regard et quelques conseils utilisables en AB suite à la campagne 2021. Il est globalement difficile de se prémunir contre les perturbations physiques directes, même si des semis plus tardifs pour lutter contre le gel et la mise en place de haies pour protéger les cultures du vent sont préconisés. Concernant la lutte contre les maladies et ravageurs, les niveaux de pression et les dégâts sont variables d'une région à l'autre, en lien avec la diversité des micro-climats présents en France. La recherche d'un équilibre prédateurs-parasites peut être une clé pour limiter les dégâts.
Les cultures légumières face au changement climatique (3ème partie)
Jean DE LA VAISSIERE, AuteurAu jardin, le printemps est une période d'effervescence : préparation du sol, multiplication des plants par semis, bouturage, plantations, entretien des légumes d'hiver et des légumes de printemps déjà en place, etc. Parallèlement, il peut s'avérer judicieux de protéger les légumes primeurs des dégâts d'un gel intempestif. La culture des légumes pourra s'envisager de 2 façons, selon que l'on opte pour une culture avec ou sans arrosage. Les semis en place ou directs dans le sol permettront un meilleur enracinement, évitant ainsi de nombreux arrosages, par rapport aux plantes repiquées.
Les cultures légumières face au changement climatique (4ème partie)
Jean DE LA VAISSIERE, Auteur ; Ariane DESMOULINS, AuteurEn juin, au jardin, presque tous les légumes ont déjà été semés ou plantés, depuis le début du printemps. C'est le moment de semer directement de nombreuses cucurbitacées. Il est également possible, comme cela se faisait dans les fermes en plein champ sans arrosage, de repiquer certains légumes d'hiver comme le poireau, les choux, les raves... Pour d'autres légumes d'hiver, en période de sécheresse, il vaudra mieux retarder les semis et les plantations, en évitant cependant d'attendre trop, sous peine de fragiliser l'étape de végétation si les jours sont déjà trop courts (certains choux, notamment). Le mois de juin est celui de la récolte des légumes annuels (laitues, oignons blancs, radis...), des vivaces (artichauts, asperges...) et des petits fruits. Si la canicule s'installe en juillet et août, il conviendra d'éviter d'ensemencer et d'entreprendre de nouvelles cultures. C'est le temps de la récolte des légumes-fruits (tomates, melons...), mais aussi celui de "faire des graines"... Il faudra aussi pailler, arroser avec parcimonie (à moins d'apprendre à cultiver sans irrigation) et, dès août, préparer les futures récoltes d'automne et d'hiver...
Le défi fenouil
Xavier MATHIAS, AuteurD'origine méridionale, le fenouil bulbeux, ou fenouil doux de Florence (Foeniculum vulgare var. dulce), est apprécié pour sa saveur anisée prononcée. Cependant, le cultiver n'est pas si simple. Pour que son bulbe se développe bien, il faut que le sol soit parfaitement ameubli, bien pourvu en matière organique et arrosé avec une régularité sans faille, mais sans humidité prolongée. Sinon, il monte en graines. Bonne nouvelle tout de même, tout se mange dans le fenouil, si bien que, même "raté", le bulbe émincé sera frais et croquant, les feuilles parfumeront un plat cuit en papillote, les fleurs et les graines agrémenteront les crudités... Edouard Meignen, conseiller technique en maraîchage biologique à Bio Centre (45), partage ses conseils de culture pour réussir le fenouil bulbeux.
Dossier : L'art de la multiplication
Brigitte LAPOUGE-DEJEAN, AuteurAprès les chaleurs estivales, septembre marque le début d'une période favorable à la multiplication des arbres, arbustes et plantes vivaces. Ce dossier traite de différentes techniques de multiplication : le bouturage, la division et le marcottage. Les articles présentent des astuces pour favoriser la reprise des racines (par exemple, la préparation d'eau de saule) et des encarts "en pratique" où les opérations pour chaque technique sont expliquées pas à pas. Apparaissent, dans l'ordre, les articles suivants : - Hormones et armes secrètes ; - Le bouturage, c'est magique ! (bouture simple, bouture à talon, bouture dans l'eau, bouture de racines) ; - Rempoter, une étape clé ; - S'initier au marcottage ; - Divisions d'automne (division de touffes, division de bulbes, multiplication par drageon) ; - Semer des arbres (la stratification, le semis en place).
Dossier : Potager perpétuel
Josiane GOEPFERT, Auteur ; Aymeric LAZARIN, AuteurArtichaut, oseille, livèche, ciboulette, chou Daubenton, crambé maritime... autant de légumes et de plantes vivaces pour lesquels le jardinier n'aura pas beaucoup à intervenir. Ces plantes, moins sensibles aux ravageurs et aux maladies, faciles à cultiver et à multiplier, peuvent trouver leur place sur un coin de jardin. Elles apportent des saveurs différentes et permettent avantageusement de faire la jonction entre deux récoltes de légumes. Un premier article - Légumes vivaces : bon plan ou doux rêve ? - expose les principes du potager perpétuel et dresse la liste des vivaces pouvant y prendre place. 5 plantes sont ensuite présentées plus en détails : - L'artichaut, influence méditerranéenne (Astéracées) ; - Chayotte, la fougueuse (Cucurbitacées) ; - La revanche du chou (Brassicacées) ; - Le légume aux anneaux de jade (crosnes, Lamiacées) ; - Quelle élégance, ces rocamboles ! (Alliacées).
Dossier : Un verger résistant au changement climatique
Omar MAHDI, AuteurDepuis 2003, la modification du climat cause de plus en plus de problèmes pour les fruitiers : gelées tardives, sécheresse, brûlures, pluviométrie irrégulière Que faire pour se prémunir contre les conséquences du dérèglement climatique ? Ce dossier propose des solutions : choisir des variétés tardives, planter des espèces plus résistantes, varier lexposition Les articles fournissent des astuces pour favoriser la résilience des arbres du verger en implantant, par exemple, des plantes compagnes (vivaces, arbustes ou arbres à feuillages caducs et persistants) pour attirer les auxiliaires, alimenter le sol et protéger larbre fruitier de lensoleillement direct. Ce dossier invite également le jardinier à repenser laménagement de son jardin. Pour finir, un article propose un tour dhorizon des « fruits de demain », susceptibles de résister à ce qui nous attend. Apparaissent, dans l'ordre, les articles suivants : - Des fruitiers fragilisés ; - Solutions pour adapter les vergers ; - Mon verger-potager pour le climat ; - Grenade, jujube, retour vers le futur.
"J'ai choisi de m'organiser !"
Xavier MATHIAS, AuteurA Saint-Cyr-sur-Loire, en Touraine, Christian Thibault cultive son jardin en bio depuis toujours. Ancien banquier, passionné de jardinage, il a profité de son passage à la retraite pour augmenter sa surface en louant une parcelle dans des jardins familiaux. Avec cinq fois plus de surface qu'auparavant, il a jugé nécessaire de s'organiser afin de ne pas se disperser, ni risquer de s'épuiser. Il a ainsi créé un outil informatique de planification de ses cultures qui lui permet de rationaliser son travail, d'une part, sur son potager historique de 50 m2 accolé à sa maison et consacré aux légumes primeurs et, d'autre part, sur sa nouvelle parcelle de 250 m2 dédiée aux légumes de récolte.
Le jardin vivrier : Autosuffisance et non-travail du sol
Agir au quotidien selon ses convictions ? Cest le choix qua fait Marie-Thérèse Thévard, il y a une trentaine dannées, en développant avec succès son autosuffisance alimentaire en non-travail du sol, au Saguenay, sa région dadoption au Québec. Cet ouvrage est le récit de ses pratiques, convictions et recherches pour incarner un mode de vie écologique fondé sur lindépendance vis-à-vis des énergies fossiles, la résilience, lalimentation saine, la permaculture, lagroécologie et la vie en communauté. Élaboré de façon à suivre, mois par mois, toutes les étapes pour obtenir un potager biologique foisonnant, ce manuel détaille les principes et techniques pour cultiver des légumes, des fruits, des légumineuses et même des céréales. Un principe conducteur guide sa démarche : le non-travail du sol. Devant lépuisement des sols qui est le lot de lagriculture industrielle, Marie-Thérèse Thévard défend « le génie du sol », en évitant de le labourer tout en lenrichissant de paillis. Tout cela en climat boréal, dans un contexte jugé difficile pour la culture maraîchère. Rédigé par sa fille Marie, ce manuel comprend les informations suivantes : - Les principes de la permaculture, de lagroécologie et du non-travail du sol ; - Les associations de cultures pour créer un écosystème vivant et résilient ; - Les techniques de protection des cultures contre le froid ; - Les moyens biologiques de se débarrasser des principaux ravageurs ; - Une boîte à outils pour organiser son jardin (entreposage, outils, calendriers de semis, de plantations et de récoltes) ; - Des méthodes de conservation des légumes et des recettes de saison ; - Lessentiel à savoir concernant lélevage de volailles.
Jardins de pierres
Isabelle ERNE, AuteurL'utilisation des pierres dans les jardins se répand, en particulier depuis la loi zéro phyto. Cependant, si certaines façons de le faire peuvent être intéressantes d'un point de vue écologique, d'autres n'ont pas un bilan vert concluant, loin s'en faut. Dans le passé, dans des lieux aux précipitations insuffisantes et avec des sols trop drainants, les cailloux et les graviers étaient retirés du sol, ce qui permettait à la terre de garder l'eau plus longtemps, puis réinstallés en surface comme un paillage minéral, ce qui avait comme vertu de réduire l'évaporation et de limiter le ruissellement. Certaines régions méditerranéennes ont conservé ces pratiques. Un paillage minéral, contrairement à un paillage végétal, ne se transforme pas en humus, mais il a l'avantage de la durabilité et peut être intéressant dans certains cas particuliers.
Joyeuses fèves
Xavier MATHIAS, AuteurCet article traite de la fève, un des premiers légumes de pleine terre du printemps. La fève « des marais » et sa proche parente, la féverole, présentent de nombreux avantages : toutes deux comestibles, leur culture est assez simple et attire les butineurs et les pucerons. Mais, pas de panique : les pucerons sont surtout gênants pour lil du jardinier et nont guère de chance de gêner le développement de la fève, une fois que les larves de leurs prédateurs, nées un peu plus tard, sen nourriront. Romain Philipon, agriculteur en polyculture-élevage dans les Hauts-de-France, livre au jardinier ses conseils de culture de la féverole. Un encart indique comment semer en poquets pour prévenir la verse.
La laitue qui monte
Xavier MATHIAS, AuteurContrairement aux autres laitues de sa famille, la celtuce (Lastuca sativa var. angustifolia) ne forme pas de pomme. Appelée aussi "laitue asperge", elle développe une hampe florale, épaisse et tendre, d'une trentaine de centimètres, préparée ensuite en cuisine comme des asperges. Les feuilles qui la surmontent peuvent se consommer, en mesclun. Aujourd'hui encore fréquemment consommée en Asie, la laitue celtuce a été cultivée essentiellement en Chine. Elle se sème dès le mois de mars, dans un sol meuble, riche en compost mûr et bien arrosé. La cueillette se fait avant que les fleurs n'apparaissent. Une fois épluchées, les tiges de celtuce, coupées en tronçons, se cuisent à l'eau ou à la vapeur et se prêtent à plusieurs recettes froides et chaudes.