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PV PHY : Production Végétale Protection Phytosanitaire |
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RELACS: Deliverables & reports: Mineral oil
Valerio MAZZONI, Auteur ; Vincenzo VERRASTRO, Auteur ; Catherine EXPERTON, Auteur ; ET AL., Auteur | FRICK (Ackerstrasse 113, Case Postale 219, CH-5070, SUISSE) : FIBL (Institut de recherche de l'agriculture biologique) | 2022 et 2021Le projet européen RELACS - REplacement of Contentious Inputs in organic farming Systems (2018-2022) - avait pour objectif dévaluer des solutions pour diminuer, voire remplacer, lutilisation dintrants controversés dans les systèmes conduits en agriculture biologique. Ce projet sest notamment penché sur les alternatives à lutilisation dhuiles minérales. Bien que ces dernières soient assez peu connues et utilisées en France, elles le sont dans dautres pays européens. Elles sont utilisées pour la protection des cultures biologiques et en santé animale. Ces huiles minérales, issues de ressources non renouvelables, peuvent présenter des risques pour la santé et lenvironnement si elles sont utilisées à des doses non appropriées. Cinq livrables ont été publiés sur des alternatives à leur utilisation. Trois dentre eux concernent les productions végétales : 1 Un livrable présente les résultats dessais conduits sur des fermes italiennes pour tester et valider des pratiques alternatives contre les aleurodes dans les vergers dagrumes et sous serre ; 2 Un autre livrable porte plus spécifiquement sur lutilisation d'huile essentielle d'orange et dextrait de plante Clitoria ternatea pour lutter contre les aleurodes dans les serres ; 3 Un livrable détaille des combinaisons de moyens alternatifs pour contrôler les aleurodes sous serre sans recourir aux huiles minérales. Deux autres livrables traitent des alternatives à lutilisation de ces huiles pour la gestion des mammites des vaches laitières : 1 Le premier porte sur lutilisation de lapproche « AHWP » pour limiter lutilisation dhuiles minérales (approche développée dans le cadre de ce projet, avec des groupes dagriculteurs guidés par des conseillers et des vétérinaires pour améliorer la santé globale de leurs animaux) ; 2 Le second analyse le marché des huiles essentielles pour contrôler les mammites sans recourir aux antibiotiques et aux huiles minérales.
Renouvellement de lapprobation du cuivre : « La priorité : gérer laccumulation dans les sols »
Frédérique ROSE, AuteurLe cuivre doit être réapprouvé fin décembre 2025. Matthias Weidenauer, consultant, est mandaté par la Task force cuivre pour uvrer à la réapprobation du cuivre (Union Copper Task Force - EUCuTF) au niveau européen. Il note une grande avancée en 2021, avec ladaptation des guides dévaluation de lEfsa (prise en compte de la courbe en U pour la relation dose/effet négatif, prise en compte de la biodisponibilité du métal). Aujourd'hui, réglementairement, le cuivre est approuvé comme substance active candidate à la substitution. Il nest pas classé cancérigène, mutagène ou reprotoxique, mais persistant, bioassimilable et toxique. Cependant, cette évaluation ne semble pas appropriée pour le cuivre et la Task force uvre pour que le cuivre ne soit plus considéré comme candidat à la substitution. De plus, depuis 2003, la Task force cuivre réalise une étude, en Allemagne, pour évaluer limpact du cuivre sur les vers de terre. Les résultats montrent qu'il ny a pas deffets négatifs avec des doses de 4 et 8 kg/ha, mais que la perte pourrait être conséquente pour diverses espèces avec une forte dose de 40 kg/ha. Des essais sont également menés pour protéger les sols de laccumulation avec limplantation de couverts végétaux adaptés permettant dextraire le cuivre. Pour Matthias Weidenauer, trouver des solutions pour éviter laccumulation de cuivre dans les sols est la priorité. La Task force remet aussi en cause le risque estimé pour le travailleur (seuils de toxicité incohérents, pas de transferts par la peau observés...). Globalement, la Task force cuivre est optimiste pour le renouvellement de lapprobation de la substance.
Soin des plantes par les plantes, un enjeu global de société
Yasmina LEMOINE, AuteurLes préparations naturelles peu préoccupantes (PNPP) font l'objet, depuis 2006 et jusqu'à aujourd'hui encore, d'une histoire mouvementée entre les paysans-utilisateurs et les pouvoirs publics en charge de la réglementation. En effet, sans remettre en cause la nécessité d'un cadre légal, les paysans revendiquent, sur le sujet, la reconnaissance de leurs savoirs et savoir-faire. C'est dans ce contexte que la Confédération Paysanne et l'Aspro-PNPP ont conduit, de 2018 à 2020, le projet REPNPP, pour Recensement et échanges de pratiques autour des PNPP, financé par le dispositif Ecophyto II+. Un second projet a pris la suite, de juin 2021 à 2023, avec un partenariat élargi à Trame, à la FNAB, à AVSF et au Grab-Avignon, afin, notamment, de mieux diffuser les pratiques ou encore de renforcer la formation autour de celles-ci.
Substances naturelles en production végétale : Journées Techniques : 22 & 23 Novembre 2022
Ce document est la synthèse des actes présentés lors des Journées Techniques PNPP (Préparations Naturelles Peu Préoccupantes) 2022, organisées par l'ITAB. Les interventions scientifiques et techniques ont porté sur les points suivants : - la réglementation actuelle sur les produits naturels de protection des plantes, les PNPP et les biocides en AB ; - la recherche-expérimentation sur les substances naturelles en production végétale, PNPP substances de base et substances naturelles à usage biostimulant (SNUB) ; - la restitution de 3 projets OFB/Ministère en charge de lÉcologie portant sur l'utilisation de substances naturelles pour la production végétale en AB.
Tech&Bio 2021 : Des résultats de recherche prometteurs pour une filière biologique dynamique
Juliette PELLAT, Auteur ; Marie VINCENT, Auteur ; Florence FÉVRIER, AuteurLa huitième édition du salon Tech&Bio sest tenue du 21 au 23 septembre 2021, au Lycée agricole du Valentin, à Bourg-lès-Valence (Drôme). Organisé tous les deux ans par la Chambre dagriculture de la Drôme, ce salon agricole international des techniques bio et alternatives a réuni 18 000 visiteurs et 375 exposants. Cet évènement permet à tous les acteurs agricoles déchanger et de sinformer au cours de nombreuses conférences, ateliers et démonstrations de matériel. Le fil vert de cette édition était le biocontrôle. Il a été abordé dans plusieurs conférences et ateliers. Des exposants étaient également présents pour promouvoir leurs solutions de biocontrôle (un village du biocontrôle était installé au cur du village des exposants). Les filières maraîchage et arboriculture ont également largement été mises en avant lors de ce salon. Les principaux sujets abordés en maraîchage étaient le contrôle des adventices, lutilisation de plantes de services et la qualité des sols. En arboriculture, les présentations ont plutôt porté sur le biocontrôle et le changement climatique. Lensemble des diaporamas utilisés pour les conférences, ainsi que les posters présentés durant ce salon sont disponibles sur le site internet Tech&Bio.
Timac Agro : Oceryos, un biostimulant agissant au cur des plantes
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurTimac Agro est une entreprise familiale bretonne spécialisée dans les engrais/amendements, ainsi que dans la nutrition animale. En 2016, cette entreprise a créé un Centre mondial de linnovation (CMI), à Saint-Malo, où des chercheurs tentent de mieux cerner le fonctionnement des végétaux, des algues et des minéraux, afin de comprendre leurs interactions avec leur environnement. Lobjectif final est dappréhender les besoins des végétaux, notamment des algues, ainsi que leurs réactions, et didentifier les composés émis afin de les extraire et de les utiliser comme stimulants pour les cultures. Grâce à ces recherches et à lacquisition de nouvelles connaissances, cinq nouveaux stimulants racinaires et foliaires ont vu le jour en 2021, dont Oceryos qui est utilisable en agriculture biologique. Cette matière fertilisante à base dextraits dalgues brunes et de végétaux est un biostimulant de nouvelle génération, qui agit sur lexpression du potentiel génétique des plantes en régulant et en optimisant lexpression de certains gènes qui améliorent lefficience de labsorption et de la transformation des nutriments.
Use of Copper-Based Fungicides in Organic Agriculture in Twelve European Countries
Lucius TAMM, Auteur ; Barbara THUERIG, Auteur ; Stoilko APOSTOLOV, Auteur ; ET AL., AuteurLa réduction de l'usage de produits à base de cuivre est l'un des objectifs de l'agriculture biologique, mais aussi de la politique agricole mise en uvre au niveau européen. Dans ce contexte, cet article vise à dresser un état des lieux de l'utilisation des produits à base de cuivre en agriculture biologique dans douze pays européens : Belgique, Bulgarie, Danemark, Estonie, France, Allemagne, Hongrie, Italie, Norvège, Espagne, Suisse et Royaume-Uni. Il s'appuie sur des connaissances d'experts. Dans ces pays, 3258 tonnes de cuivre sont utilisées, chaque année, en agriculture biologique, soit 52 % de la dose annuelle autorisée. Les principales cultures concernées sont les oliviers, les vignes et les amandiers. 56 % des utilisations recensées le sont à des doses inférieures à la moitié de celles autorisées et, pour 27 % d'entre elles, les doses sont inférieures au quart des doses autorisées. Toutefois, un abandon total des produits à base de cuivre entraînerait des pertes de rendement non négligeables pour les agriculteurs. Pour en limiter encore l'usage, des stratégies préventives doivent être appliquées et développées, de même que des programmes de sélection de variétés résistantes doivent être mis en place. Un prix abordable des produits alternatifs est également une clé de réussite pour une stratégie de lutte sans cuivre.
Agroécologie en cultures légumières : Les composés organiques volatils au secours des plantes
Sébastien PICAULT, Auteur ; Hélène GAUTIER, Auteur ; Laurent GOMEZ, Auteur ; ET AL., AuteurLe projet Casdar Repulse vise à mettre au point et à évaluer des stratégies de protection des cultures basées sur lutilisation de plantes exerçant un effet de répulsion ou de dissuasion olfactive contre les thrips, les pucerons et certaines mouches. Ce projet, coordonné par le CTIFL, se décompose en trois axes : 1 identifier des plantes induisant un comportement dévitement ou de répulsion, puis les caractériser dun point de vue biochimique (identification de leurs composés organiques volatils COV) ; 2 identifier les conditions favorables à lappropriation, par les producteurs de légumes, de pratiques culturales impliquant lassociation de ces plantes répulsives ; 3 concevoir des stratégies de protection reposant sur ces plantes et évaluer leurs performances agronomiques, techniques et sociales. Repulse repose ainsi, à la fois, sur des tests de comportement, des analyses sur les COV émis par les plantes, des caractérisations du paysage chimique des cultures, des expérimentations au champ et des enquêtes sociologiques.
Les bénéfices des plantes de services et de la biofumigation
VEGETABLE, AuteurDepuis 2018, l'outil collaboratif Geco (Gestion des connaissances) permet de capitaliser les connaissances en lien avec l'agro-écologie et de les diffuser en ligne, sous forme de fiches techniques, accessibles gratuitement. L'outil, alimenté par les contributions des structures de R&D agricoles et par l'expérience terrain, a notamment permis de valoriser des travaux de recherche, comme celui qui a été mené, en 2021, par INRAe et l'ACTA, sur la thématique « plantes de services ». Cet article présente les contributions ajoutées à la plateforme numérique, en lien avec ce projet.
Biocontrôle : Un grand coup daccélérateur
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurSelon IBMA France (association du biocontrôle), les solutions de biocontrôle couvrent 11 % du marché français de la protection des plantes. Lors des 7èmes rencontres annuelles de lassociation, Céline Barthet, la présidente de IBMA France, a déclaré que lobjectif est de passer à 30 % en 2030. Le plan stratégique national 2020-2025 (inclus dans la loi Egalim) souhaite également favoriser les solutions faisant appel à des mécanismes naturels pour lutter contre les bioagresseurs. Actuellement, la viticulture, larboriculture et le maraîchage sont mieux lotis en produits de biocontrôle que les grandes cultures. Beaucoup de projets de recherche et développement sont en cours, mais il faut du temps pour les développer. Cependant, il faut être vigilant car biocontrôle nest pas forcément synonyme dagriculture biologique. Pour être autorisées en bio, les solutions de biocontrôle avec AMM doivent contenir des substances actives conformes à lannexe 2 de la réglementation bio. Si la liste du ministère de lAgriculture recense 550 produits phytosanitaires de biocontrôle en février 2021, seulement 243 sont enregistrés avec la mention UAB (utilisables en bio). De nombreux produits ne sont donc pas autorisés en bio, soit parce que leurs substances actives nont pas encore été évaluées, soit parce quelles ont été recalées. Une réduction des délais dévaluation de la compatibilité des produits de biocontrôle avec le règlement bio serait nécessaire.
Un coléoptère invasif très vorace
Aline LÜSCHER, AuteurLe scarabée japonais (Popillia japonica) commence à arriver en Europe. Le changement climatique favorise son établissement et il a été identifié, pour linstant, en Italie et en Suisse. Il ressemble fortement à un hanneton, mais il se distingue facilement grâce à ses cinq petites touffes de poils blancs quil a de chaque côté de son abdomen. Ce scarabée est très vorace et provoque dimmenses dégâts en agriculture. Il sattaque à plus de 300 espèces de plantes, dont des cultures, des espèces forestières et des espèces horticoles. En Suisse, la production la plus touchée est, pour linstant, la viticulture : ce ravageur mange aussi bien les feuilles que les fleurs et les fruits de la vigne. En plus de la mise en place d'un réseau de surveillance, Agroscope cherche des moyens de lutte biologique, afin de pouvoir contrôler ce ravageur.
Entre pratiques et réglementation : Les préparations naturelles sadaptent ; PNPP : les producteurs de légumes témoignent : Plantes en meilleure santé et coût modique
Arnaud FURET, AuteurLes PNPP peuvent fournir un soutien aux cultures maraîchères et aux plantes aromatiques. Mais comment sy retrouver dans la réglementation mouvante ? Dans les années 2000, Eric Petiot, spécialiste français des solutions naturelles pour la santé des plantes, avait été inquiété par la DGAL Direction générale de lagriculture et de lalimentation. Depuis, les travaux techniques de lItab et de ses partenaires, ainsi que le lobbying actif de lAsproPNPP et de la Confédération paysanne permettent dutiliser, dans un certain cadre, ces substances naturelles. Cependant, il faut du temps pour quune substance naturelle soit reconnue par la Commission européenne comme une substance de base : 34 dossiers sont encore en dépôt à Bruxelles, dont certains sont suivis depuis cinq ans. Parallèlement, Eric Petiot a poursuivi ses recherches et a développé la théorie du triangle, dont le but nest pas de soigner les maladies, mais de rendre le sol vivant et équilibré pour avoir des plantes en bonne santé. Cet article est accompagné dun encart contenant des rappels réglementaires sur les PNPP. Il est également complété par des témoignages de maraîchers bio : Timothée Chatelain met en pratique la théorie du triangle, tandis que Thomas Seguin et Flora Bardelli testent différentes solutions naturelles (infusion de sureau, huiles essentielles, homéopathie ).
Evaluation de solutions de biostimulation : de coproduit à biostimulant, lhistoire dun hydrolysat protéique
Charlotte BERTHELOT, Auteur ; Romane JEAN, Auteur ; Vanessa DEMOISSON, Auteur ; ET AL., AuteurAvant darriver sur les étals, les poissons sont souvent transformés, ce qui génère 60 % de coproduits non destinés à la consommation humaine. Ces coproduits contiennent de fortes concentrations en protéines et en métabolites actifs qui pourraient avoir un grand intérêt en tant que biostimulants pour la croissance des légumes, sachant que la valorisation de coproduits présente des intérêts économiques et environnementaux. Des essais, menés sur deux ans (2019 et 2020) par le CTIFL et lentreprise SARIA (groupe familial qui collecte, transforme et donne une seconde vie aux biodéchets dorigine animale ou alimentaire), ont validé lintérêt de lutilisation dun hydrolysat protéique issu de coproduits de poisson comme biostimulant en culture de laitues beurre, radis ronds et tomates grappes. À noter quun hydrolysat protéique est défini comme un mélange de polypeptides, doligoéléments et dacides aminés, obtenu par hydrolyse de produits animaux ou végétaux. Lhydrolysat protéique issu de coproduits de poisson a favorisé la croissance des laitues en augmentant leur développement racinaire, leur activité enzymatique et leur biosynthèse de chlorophylle. Il impacte aussi positivement la vie biologique du sol. Ces tests ont également permis de constater que ce biostimulant contrebalance les effets négatifs des stress abiotiques (carences en azote ou variations de température ou dhygrométrie).
Expert Group for Technical Advice on Organic Production (EGTOP) : Final Report on Fertilisers IV and Plant Protection Products VI
L'EGTOP, groupe d'experts indépendants ayant pour objectif de donner des conseils techniques sur des questions liées à la production biologique, fournit, dans ce rapport publié en 2021, son avis sur des demandes d'autorisation concernant l'utilisation de nouvelles substances fertilisantes ou de protection des cultures en agriculture biologique. Les substances concernées par ce présent rapport, et pour lesquelles l'avis est favorable, sont : - l'ABE-IT 56, un produit de fractionnement du lysate de Saccharomyces cerevisiae, souche DDSF623, agissant comme éliciteur de défense des plantes ; - les sels de sélénium d'origine naturelle, en tant qu'engrais pour les surfaces agricoles destinées à l'alimentation animale ; - le nitrate de sodium (ou nitrate du Chili), autorisé uniquement pour la production d'algues sur terre dans des systèmes fermés ; - le talc (E553b). En revanche, le groupe d'experts ne préconise pas, à date de ce rapport, l'ajout du schiste brûlé aux annexes du règlement (CE) n° 834/2007 relatif à l'agriculture biologique. Ces avis visent à aider la Commission européenne à élaborer et à améliorer la réglementation qui encadre les productions biologiques.
Fiche dusage pour la substance 23 : Extrait de bulbes dAllium cepa (Révision n°2 6/7/2021)
Les substances de base sont des substances qui peuvent être utilisées à des fins phytopharmaceutiques en agriculture, alors que cela nest pas leur vocation première (ex : le sel, le sucre, le vinaigre ). Elles permettent de se prémunir de certaines maladies ou de certains nuisibles à moindre coût. Dans le cadre du projet Basic Fiches, financé par lAgence Française pour la Biodiversité, lITAB réalise des fiches qui récapitulent les caractéristiques de ces substances afin de les utiliser au mieux. En 2021, la fiche sur les extraits de bulbes dAllium cepa (bulbes doignons) a été mise à jour. Ces extraits sont utilisables en agriculture biologique et présentent des effets fongiques.